Julien a écrit :Par hasard quelqu'un aurait des nouvelles a propos des retransmissions des matchs sur Elan TV ? Il me semble qu'il restait une ou deux possibilités pour le club de diffuser des matchs, hors il ne reste plus que deux rencontres au Palais...
Pas de retransmission sur les deux derniers matchs! Désolé Julien, faudra écouter La Voix Du Béarn à domicile et France Bleu à l'extérieur...
didier labrit-badie a écrit :D'ailleurs pour les entraîneurs il va falloir gérer tout ça. Ils ont lancé la machine, mais il ne faut pas que les joueurs donnent tout sur ce match là uniquement.
Si victoire il y a, il serait intéressant de demander (Elanforever??) comment ils comptent gérer la dépression qui suivra...
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii?????
Johni John a écrit :Pour la location ça marche, mais c'est vraiment avec parcimonie... En espérant que le jour du match pas mal de spectateurs viendront sans billets. Y aura encore une fois pas mal d'invités.
Bon vous jouez tous le jeu d'être fringués en vert & blanc ce samedi au palais ???
Johni John a écrit :Pour la location ça marche, mais c'est vraiment avec parcimonie... En espérant que le jour du match pas mal de spectateurs viendront sans billets. Y aura encore une fois pas mal d'invités.
Bon vous jouez tous le jeu d'être fringués en vert & blanc ce samedi au palais ???
Même le pantalon? Va falloir fouiller!
Oui enfin on ne va pas dans une feria non plus
Joruus a écrit :Un maillot de l'Elan fera bien l'affaire, non ?
Je vais pouvoir étreiner pour la première fois mon maillot de... Aaron Swinson
---- Le message ci-dessous est un double post ----
A la réflexion,je me dis que c'était peut-être bien Chenowith...Qu'il me pardonne la mauvaise orthographe de son patronyme,mais il est vrai que ses performances n'ont pas laissé un souvenir impérissable... Chèvre Novice,tiens, peut-être?
Laurent Mopsus (Pau) : «Chaque match est une finale»
Suite à leur victoire à Dijon samedi dernier, les Palois ne comptent plus que deux victoires de retard sur Besançon et Le Havre, et se sont relancés dans la course au maintien. Laurent Mopsus, le coach de l'Elan Béarnais, insiste sur l'importance de prendre les matches les uns après les autres, à commencer par la réception samedi d'Orléans.
Propos recueillis par Franck CHRÉTIEN (23/04/09)
Votre victoire à Dijon est capitale, comment s'est-elle décidée?
On entame le match avec de la dureté, dans la lignée de ce que j’attendais. On les a pressés. On a essayé de les user, en pilonnant à l’intérieur. La stratégie a été respectée. On a su rester organisés et collectifs en partageant la balle. Cette victoire arrive à point nommé. Je ne cessais de dire que lors de nos deux défaites précédentes, le poids des absents était trop important. Nous avons montré qu’au complet, nous avions des automatismes, que nous avions la capacité de gagner à l’extérieur, que nous avions des joueurs solidaires et capables de rebondir. On a revu la force intérieur que nous avions montrée en janvier et en mars. C’est un sursaut d’orgueil pour un match qui était capital.
Vous avez concédé auparavant deux lourdes défaites à Gravelines et au Mans, sont-elles oubliées ?
Nos défaites ont marquées les esprits, mais nous sommes derniers depuis le début du championnat et il y a eu des erreurs de recrutement et des blessés. C’est normal. Mais elles sont oubliées et je ne souhaite pas connaître à nouveau ces mêmes mésaventures. Nous jouons un championnat dans un championnat. On navigue en permanence entre deux extrêmes : victoire ou défaite. Chaque match est, pour nous, une finale. La difficulté, c’est que nous avons joué vingt finales cette saison. C’est beaucoup d’énergie émotionnelle dépensée. Une victoire ne suffit pas et nous n’avons pas le droit à l’erreur. Émotionnellement, c’est très éprouvant. Notre travail consiste à ressourcer tout le monde chaque début de semaine. Mais je n’oublie pas que contre Le Mans, nous avons joué sans aucun meneur (Thomas Heurtel et Frédéric Moncade étaient blessés) et sans poste 4 (Dylan Page était également blessé). On sait que nous sommes aussi dépendant de certains joueurs. Nous sommes conscients de nos forces et de nos faiblesses.
La victoire à Dijon conjuguée aux défaites de Besançon et Dijon ont-elles fait renaître l'espoir ?
À aucun moment nous avons cessé d’y croire. Et nous travaillons pour. Nous avons créé sept exploits. Nous sommes encore en vie. La situation est difficile, il faut s’accrocher. Nous assumons aussi les jugements du milieu du basket. Nous avons une équipe jeune avec un meneur et un intérieur de 19 ans, un pivot de 20 ans. Un jeune joueur ne voit que la finalité. Le processus est de montrer comment arriver à cette finalité qui est la victoire. On a peu de marge d’évolution pour ces jeunes joueurs. C’est l’expérience qui amène la stabilité. Ils n’ont pas encore toutes les réponses. Alain Digbeu n'apporte son expérience, une certaine sérénité et un relais sur et en dehors du terrain pour le coach que depuis février. On a connu des hauts et des bas. Il existe une certaine instabilité. C’est difficile de trouver un équilibre pour nous. Pour toutes les équipes, Pau est l’équipe qu’il est impératif de battre. Nous avons des objectifs au jour le jour, action par action. Mais l’état d’esprit est là. J’avoue qu’en décembre, lorsque j’ai repris l’équipe, je me suis dit : « c’est pas possible, on n’y arrivera pas. » De plus, en janvier, notre meilleur marqueur ne revient pas (Andre Emmett). J’étais mal, mais les joueurs sont allés chercher des choses inespérées. Ça prouve que l’équipe est plus forte qu’un individu. Mathématiquement, ce n’est pas fini. La victoire de Dijon nous apporte une bouffée d’oxygène, cela nous donne plus d’appétit, mais Dijon n’est qu’une étape intermédiaire. Il en reste encore plein d’autres.
Vous recevez Orléans, allez à Cholet, recevez Hyères-Toulon et allez à Besançon. Que jugez-vous votre fin de calendrier ?
L’aspect et l’approche psychologique feront la différence. Gagner un match est une chance de plus pour nous de nous maintenir, et une chance de moins pour nos adversaires directs. Quelque soit le calendrier, ça ne change rien. Gagner met la pression sur le Havre et Besançon, et même peut être aussi sur Dijon et Rouen. On ne s’attend pas à ce qu'on nous fasse des cadeaux. On veut se maintenir.
Le match à Besançon sera-t-il déterminant ?
C’est très loin, trop loin pour nous. On n’y pense même pas. La tension est telle que nous ne pouvons pas nous permettre de nous fixer un quota de victoires. Notre volonté est de gagner chaque match, gagner chaque finale. Mais nous avons les cartes en mains.
Philippe Hervé s’est mis en colère malgré la victoire de son équipe le week-end dernier. Craignez-vous la réaction de cette équipe ?
Ce n’est jamais bon pour l’équipe adverse lorsqu’un entraîneur se met en colère. Et il faut que ça tombe sur nous en face… Mais bon, c’est mieux de jouer à domicile. Nous allons défendre notre bastion. On va se mettre les tripes par terre. C’est une nouvelle finale. Nous serons prêts. Orléans est une belle machine de guerre et ils sont en train de revenir. Nous aurons besoin de faire appel à des valeurs comme le combat, l’abnégation, et la sérénité. Nous devons rester maître de notre sujet, faire preuve d’agressivité à tout instant. Nos forces devront être optimum. Notre foi devra être inébranlable pour créer un huitième exploit.
Laurent Mopsus (Pau) : «Chaque match est une finale»
Suite à leur victoire à Dijon samedi dernier, les Palois ne comptent plus que deux victoires de retard sur Besançon et Le Havre, et se sont relancés dans la course au maintien. Laurent Mopsus, le coach de l'Elan Béarnais, insiste sur l'importance de prendre les matches les uns après les autres, à commencer par la réception samedi d'Orléans.
Propos recueillis par Franck CHRÉTIEN (23/04/09)
Votre victoire à Dijon est capitale, comment s'est-elle décidée?
On entame le match avec de la dureté, dans la lignée de ce que j’attendais. On les a pressés. On a essayé de les user, en pilonnant à l’intérieur. La stratégie a été respectée. On a su rester organisés et collectifs en partageant la balle. Cette victoire arrive à point nommé. Je ne cessais de dire que lors de nos deux défaites précédentes, le poids des absents était trop important. Nous avons montré qu’au complet, nous avions des automatismes, que nous avions la capacité de gagner à l’extérieur, que nous avions des joueurs solidaires et capables de rebondir. On a revu la force intérieur que nous avions montrée en janvier et en mars. C’est un sursaut d’orgueil pour un match qui était capital.
Vous avez concédé auparavant deux lourdes défaites à Gravelines et au Mans, sont-elles oubliées ?
Nos défaites ont marquées les esprits, mais nous sommes derniers depuis le début du championnat et il y a eu des erreurs de recrutement et des blessés. C’est normal. Mais elles sont oubliées et je ne souhaite pas connaître à nouveau ces mêmes mésaventures. Nous jouons un championnat dans un championnat. On navigue en permanence entre deux extrêmes : victoire ou défaite. Chaque match est, pour nous, une finale. La difficulté, c’est que nous avons joué vingt finales cette saison. C’est beaucoup d’énergie émotionnelle dépensée. Une victoire ne suffit pas et nous n’avons pas le droit à l’erreur. Émotionnellement, c’est très éprouvant. Notre travail consiste à ressourcer tout le monde chaque début de semaine. Mais je n’oublie pas que contre Le Mans, nous avons joué sans aucun meneur (Thomas Heurtel et Frédéric Moncade étaient blessés) et sans poste 4 (Dylan Page était également blessé). On sait que nous sommes aussi dépendant de certains joueurs. Nous sommes conscients de nos forces et de nos faiblesses.
La victoire à Dijon conjuguée aux défaites de Besançon et Dijon ont-elles fait renaître l'espoir ?
À aucun moment nous avons cessé d’y croire. Et nous travaillons pour. Nous avons créé sept exploits. Nous sommes encore en vie. La situation est difficile, il faut s’accrocher. Nous assumons aussi les jugements du milieu du basket. Nous avons une équipe jeune avec un meneur et un intérieur de 19 ans, un pivot de 20 ans. Un jeune joueur ne voit que la finalité. Le processus est de montrer comment arriver à cette finalité qui est la victoire. On a peu de marge d’évolution pour ces jeunes joueurs. C’est l’expérience qui amène la stabilité. Ils n’ont pas encore toutes les réponses. Alain Digbeu n'apporte son expérience, une certaine sérénité et un relais sur et en dehors du terrain pour le coach que depuis février. On a connu des hauts et des bas. Il existe une certaine instabilité. C’est difficile de trouver un équilibre pour nous. Pour toutes les équipes, Pau est l’équipe qu’il est impératif de battre. Nous avons des objectifs au jour le jour, action par action. Mais l’état d’esprit est là. J’avoue qu’en décembre, lorsque j’ai repris l’équipe, je me suis dit : « c’est pas possible, on n’y arrivera pas. » De plus, en janvier, notre meilleur marqueur ne revient pas (Andre Emmett). J’étais mal, mais les joueurs sont allés chercher des choses inespérées. Ça prouve que l’équipe est plus forte qu’un individu. Mathématiquement, ce n’est pas fini. La victoire de Dijon nous apporte une bouffée d’oxygène, cela nous donne plus d’appétit, mais Dijon n’est qu’une étape intermédiaire. Il en reste encore plein d’autres.
Vous recevez Orléans, allez à Cholet, recevez Hyères-Toulon et allez à Besançon. Que jugez-vous votre fin de calendrier ?
L’aspect et l’approche psychologique feront la différence. Gagner un match est une chance de plus pour nous de nous maintenir, et une chance de moins pour nos adversaires directs. Quelque soit le calendrier, ça ne change rien. Gagner met la pression sur le Havre et Besançon, et même peut être aussi sur Dijon et Rouen. On ne s’attend pas à ce qu'on nous fasse des cadeaux. On veut se maintenir.
Le match à Besançon sera-t-il déterminant ?
C’est très loin, trop loin pour nous. On n’y pense même pas. La tension est telle que nous ne pouvons pas nous permettre de nous fixer un quota de victoires. Notre volonté est de gagner chaque match, gagner chaque finale. Mais nous avons les cartes en mains.
Philippe Hervé s’est mis en colère malgré la victoire de son équipe le week-end dernier. Craignez-vous la réaction de cette équipe ?
Ce n’est jamais bon pour l’équipe adverse lorsqu’un entraîneur se met en colère. Et il faut que ça tombe sur nous en face… Mais bon, c’est mieux de jouer à domicile. Nous allons défendre notre bastion. On va se mettre les tripes par terre. C’est une nouvelle finale. Nous serons prêts. Orléans est une belle machine de guerre et ils sont en train de revenir. Nous aurons besoin de faire appel à des valeurs comme le combat, l’abnégation, et la sérénité. Nous devons rester maître de notre sujet, faire preuve d’agressivité à tout instant. Nos forces devront être optimum. Notre foi devra être inébranlable pour créer un huitième exploit.
J'ai bien compris ce que viennent de dire Cozette et Monclar à l'antenne, que si Pau est toujours en course pour le maintien lors de la dernière journée à Besançon, le match serait éventuellement télévisé sur Sport + ? faudrait limite alors installer un écran géant au palais
Sauf que je serai pas en France ce jour là, je vais louper ça
---- Le message ci-dessous est un double post ----
Demain on risque de retrouver Curti bien plus longtemps que prévu à la mène orléanaise, Sciarra étant out... est-ce vraiment une bonne nouvelle ? mouais... J'aurais largos préféré que Banks ou Greene soit à sa place ^^
Si l'absence de Sciarra est confirmée, c'est à priori une bonne nouvelle pour nous.
Même s'il joue beaucoup moins de minutes cette saison, il reste l'un des dépositaires principaux du jeu offensif orléanais et un relais important sur le terrain pour le coach.
Johni John a écrit :J'ai bien compris ce que viennent de dire Cozette et Monclar à l'antenne, que si Pau est toujours en course pour le maintien lors de la dernière journée à Besançon, le match serait éventuellement télévisé sur Sport + ? faudrait limite alors installer un écran géant au palais
1/ Vu que les qualifiés en Play-Offs sont quasiment déjà connus, ça paraîtrait comme un choix évident de programmation...
2/ 1000000000 de fois d'accord pour que l'Elan organise un truc (au casino c'était sympa la dernière fois que y'avait eu retransmission...)
Choix évident de programmation ? Hum...
Quand il y a un ASVEL-Nancy lors de cette même journée qui pourrait (peut-être) décider de l'attribution de la première place de saison régulière ?
Joruus a écrit :Si l'absence de Sciarra est confirmée, c'est à priori une bonne nouvelle pour nous.
Même s'il joue beaucoup moins de minutes cette saison, il reste l'un des dépositaires principaux du jeu offensif orléanais et un relais important sur le terrain pour le coach.
Salut a tous je sais pas si Sciarra jouera ou pas en tout cas hier soir à Orly il montait dans l'avion pour Pau avec le reste de l'equipe et il semblait pas en plus mauvaise condition que les autres joueurs.
theseus a écrit :Choix évident de programmation ? Hum...
Quand il y a un ASVEL-Nancy lors de cette même journée qui pourrait (peut-être) décider de l'attribution de la première place de saison régulière ?
Si si choix évident vu que la première place de la saison régulière, si elle se joue entre Nancy et l'ASVEL n'aura finalement que peu d'impact... La place en Euroligue?Si ces deux équipes sont au coude à coude pour la première place, avec l'avantage du terrain en P-O, ça devrait aller... Et puis justement on devrait revoir ces deux clubs en post-season, alors que la descente de Pau serait un événement colossal, même si c'est plus ou moins prévu depuis un moment. Donc pour moi, objectivement oui, choix de programmation logique.
theseus a écrit :Choix évident de programmation ? Hum...
Quand il y a un ASVEL-Nancy lors de cette même journée qui pourrait (peut-être) décider de l'attribution de la première place de saison régulière ?
Si si choix évident vu que la première place de la saison régulière, si elle se joue entre Nancy et l'ASVEL n'aura finalement que peu d'impact... La place en Euroligue?Si ces deux équipes sont au coude à coude pour la première place, avec l'avantage du terrain en P-O, ça devrait aller... Et puis justement on devrait revoir ces deux clubs en post-season, alors que la descente de Pau serait un événement colossal, même si c'est plus ou moins prévu depuis un moment. Donc pour moi, objectivement oui, choix de programmation logique.
Elan Forever a écrit :
Si si choix évident vu que la première place de la saison régulière, si elle se joue entre Nancy et l'ASVEL n'aura finalement que peu d'impact... La place en Euroligue?Si ces deux équipes sont au coude à coude pour la première place, avec l'avantage du terrain en P-O, ça devrait aller... Et puis justement on devrait revoir ces deux clubs en post-season, alors que la descente de Pau serait un événement colossal, même si c'est plus ou moins prévu depuis un moment. Donc pour moi, objectivement oui, choix de programmation logique.
