j'ai regardé la finale de N1 St Vallier-Aix....il fait peine quand même Tanguy Ramassamy...
pour info, Aix était mené de 13 pts et gagne de 8.....à St Vallier...direction pro B...
Legendaire8 a écrit : "Bon anniversaire au fils spirituel de Jules Ferry et Hélène Darroze, perdu dans sa pampa des tréfonds de l’île de France, perturbateur des minutes de silence de Levallois, mais bon camarade. Dites 33"
Kenny Atkinson, nouveau coach des Brooklyn Nets, envoie des fleurs à deux anciens Palois.
basketsession.com a écrit :« J’ai coaché en première division en France et j’avais un coach canadien fantastique (Gordon Herbert – ndlr). Après lui, j’ai travaillé avec un coach grec (Ilias Zouros – ndlr) et mon GM était Antoine Rigaudeau.
En Europe, on l’appelle « le roi ». Je ne sais pas si les gens ici voient bien de qui il s’agit, il a joué un peu à Dallas à la fin de sa carrière, mais ce gars est une sorte de savant du basket ! C'est un grand joueur et il a eu une très grande influence sur moi. »
J'ai un peu de retard sur l'anniversaire (c'était un 10 mai) mais il y a 30 ans (et 16 jours, donc), j'étais à la Moutète (côté vestiaires bien sûr) pour le match contre le Monaco de Bill Sweek et Eric Beugnot (le frère de l'autre) qui allait nous donner notre premier titre de champion de France. Le major Carter, Freddy, Mathieu Bisséni, Paul Henderson, Kaba, Didier Gadou, Kirk Richards & co, sous la houlette de George Fisher et ses costumes trois pièces (et l'ombre majestueuse du Prési, bien sûr). A l'époque, le championnat se jouait sur une poule finale et la victoire ce soir-là nous assurait le titre aux dépends de l'ASVEL
Un match où l'équipe était restée crispée pendant 30 minutes avant que tout ne se débloque sous la patte de Carter et avec une pression phénomènale du public, debout, chantant sans arrêt.
Et une fiesta incomparable dans les rues d'Orthez ensuite
Un grand souvenir.
Ah oui, très grand souvenir, merci de le rappeler Légendaire8. J'étais arrivé en milieu de 2ème mi-temps (à la mi-temps des matchs les portes s'ouvraient pour ceux qui n'avaient pas de billet) et la liesse était fantastique puis la fête dans la ville énorme et pourtant simple: de grands sourires et la banda qui jouait. Les joueurs accessibles qui se baladaient à la Reine Jeanne et dans d'autres bars pour finalement tous se retrouver chez Moulia
… Kaba qui avait inspiré ce commentaire de Daniel Cazal, journaliste d’Antenne 2, lors d’un match à la Moutète retransmis sur ladite chaine : « Quand on s’appelle Kaba, c’est normal qu’on marque des paniers ! »