Rien à voir avec ce que j’ai écrit.Ted Lapidus a écrit :Si on te suit, ça va bien finir par être la faute du club si des adultes déraillent. On les a pas assez maternés les poovres choux, tellement vulnérables, c'est ça ? ...awaremannn a écrit :Donc le club était au courant (forcément, s’ils déclenchent l’alarme incendie... ) qu’ils fumaient un produit dopant pendant une période de compétition et ne l’a pas mis à pied ni signalé le dopage ? Effectivement c’est croustillant...Joruus a écrit : Une anecdote croustillante lors de son passage à l’Élan : DJ et JK faisaient chambre commune dans un hôtel de Nice et leur fumette avait déclenché l'alarme incendie...
Merde, c'est d'abord leur affaire à eux ; ni le club ni les institutions ni l'OTAN ni l'ONU n'ont à se charger de toutes les turpitudes personnelles et intimes qui planent et voltigent sur chacun de nous. Qu'on les aide ok, qu'on soit adultes à leur place non !
Je reformule du coup :
Si tu es au courant d’une infraction ou d’un crime et que tu ne préviens pas les autorités compétentes, tu es coupable de recel, et c’est puni, parfois très lourdement, par la loi.
Le fait est que le même principe existe un peu avec les sportifs coupables de dopage, tu te dois de prévenir les autorités si tu es au courant de pratique dopante. Et si la personne au courant et qui n’a pas prévenu se trouve être l’équipe qui emploie le sportif, ou encore son manager, les instances peuvent tout à fait considérer que le club a protégé sciemment ces joueurs afin d’améliorer son classement, voire les a poussé à se doper.
Et là, soyons clairs, c’est la mort du club au niveau professionnel.
Heureusement, en plus d’être un produit dopant assez efficace pour lutter contre le stress notamment, le cannabis est surtout considéré comme une drogue récréative, et donc en pratique on sanctionne assez peu violemment les sportifs positifs, et jamais leurs employeurs même au courant.