[Euroleague : 13e Journée ] Pana: 94 / Pau-Orthez: 62
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philip_pau
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Nobody
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message à moitié ironique :
voila une bonne nouvelle !
pas de top 16, c'est ce qui pouvait nous arriver de mieux. déjà qu'on se ramasse en poules alors imaginez en top 16 où il n'y a que de grosses équipes.
si c'est pour prendre tole sur tole et que ça joue sur le moral de l'équipe autant ne pas y aller.
au moins, l'équipe va finir la saison libérée et concentrée sur le championnat pour assurer le ranking et revenir l'an prochain en euroleague où elle gagnera ses 4-5 matchs en espérant accrocher le top 16 et ainsi de suite...
voila une bonne nouvelle !
pas de top 16, c'est ce qui pouvait nous arriver de mieux. déjà qu'on se ramasse en poules alors imaginez en top 16 où il n'y a que de grosses équipes.
si c'est pour prendre tole sur tole et que ça joue sur le moral de l'équipe autant ne pas y aller.
au moins, l'équipe va finir la saison libérée et concentrée sur le championnat pour assurer le ranking et revenir l'an prochain en euroleague où elle gagnera ses 4-5 matchs en espérant accrocher le top 16 et ainsi de suite...
C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres !
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Nix
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pour moi la partie en gras n'est pas ironique mais "clairvoyante" ... la suite, effectivement c'est ironique.Nobody a écrit :message à moitié ironique :
voila une bonne nouvelle !
pas de top 16, c'est ce qui pouvait nous arriver de mieux. déjà qu'on se ramasse en poules alors imaginez en top 16 où il n'y a que de grosses équipes.
si c'est pour prendre tole sur tole et que ça joue sur le moral de l'équipe autant ne pas y aller.
au moins, l'équipe va finir la saison libérée et concentrée sur le championnat pour assurer le ranking et revenir l'an prochain en euroleague où elle gagnera ses 4-5 matchs en espérant accrocher le top 16 et ainsi de suite...
mais moi c'est un peu mon sentiment, la partie en gras ...
SNCF will survive
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Strasbourgeois !
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Ce n'est pas tout à fait perdu, car Zagreb a un point average encore pire que le vôtre; mais il faudraphilip_pau a écrit :Il ne reste plus qu'une hypothétique 6e place à jouer, autant dire qu'une qualification pour le TOP 16 est dores et déjà terminé.
Finissons au moins par un succès de prestige face à Malaga car ça ne sera pas simple là non plus.
1 gagner contre Malaga, ce qui semble bien ardu vu leur forme du moment (et il y a toujours la première place du groupe en jeu)
2 que les concurrents perdent. Or, si je ne pense pas que Zagreb batte Efes Pilsen, il faudra se méfier de Milan qui pourrait vaincre à domicile l'Olympiacos (faible à l'extérieur) et se retrouver meilleur 6e, avec un bon panier average. Sopot et Ljubljana pourraient aussi tenter le tout pour le tout, mais ce sera dur pour eux (à domicile face à Trévise et Vilnius).
Bref, je me méfie de Milan.
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pascal64lons
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re
Olympiacos joue aussi sa qualif sur le dernier match, heureusement!!
C'est sûr que notre chance d'accéder au top16 est infime, mais elle a le mérite d'exister!!
Il se passe tellement de choses sur ces dernières journées!!
Battons Malaga, qui n'a rien a gagner car ils sont sûrs de finir tête de série, et on verra!! C'est pas compliqué!! lol!!
C'est sûr que notre chance d'accéder au top16 est infime, mais elle a le mérite d'exister!!
Il se passe tellement de choses sur ces dernières journées!!
Battons Malaga, qui n'a rien a gagner car ils sont sûrs de finir tête de série, et on verra!! C'est pas compliqué!! lol!!
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philip_pau
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" Report Panathinaikos / Pau-Orthez "
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =13&id=731
(Source : http://www.euroleague.net)
" Rien à faire "
Dominé de bout en bout par le Panathinaïkos mercredi soir, Pau-Orthez n’a jamais paru en mesure de perturber le leader du groupe C (62-94). Les portes du Top 16 semblent fermées à double tour pour les Béarnais. A moins que…
Retard à l’allumage
«Pau est toujours en vie ! », se réjouissait Brooks Sales après le beau succès acquis contre Sienne la semaine dernière. Une victoire synonyme d’espoir pour des Palois qui devaient sortir le grand jeu mercredi soir à Athènes pour continuer à rêver. Ecrasé au Stade Olympique (62-94), l’Elan Béarnais est désormais sous respirateur artificiel mais il y a toujours de l’espoir. Car la qualification pour le Top 16 ne relève pas encore de l’utopie. La lourde défaite de l’Ulker Istanbul à Moscou (51-74) laisse filtrer un infime rayon de lumière sous la porte du Top 16.
Face à une équipe déjà qualifiée à la faveur d’une campagne européenne menée tambour battant (10 victoires, 2 défaites) et devant un public plutôt apathique et loin de justifier la réputation sulfureuse des salles grecques, les Palois prenaient l’eau d’entrée. Sous l’impulsion d’un Jaka Lakovic omniprésent (22 points, 3 passes), les Grecs donnaient rapidement le ton. Leur adresse diabolique laissait les Palois en rade avec déjà 17 points de retard à l’issue du premier quart-temps (13-30). Les rêves d’exploit en terre hellène nourris secrètement par Didier Gadou tournaient vite au cauchemar. Touchés dans leur orgueil, les Béarnais réagissaient pourtant par l’intermédiaire de T.J Lux (14 points, 8 rebonds) et Xane d’Almeida (13 points à 3/6 à trois points, 2 rebonds, 2 interceptions) mais les Grecs restaient maîtres de leur sujet et creusaient même un peu plus l’écart à la mi-temps (48-30).
Le naufrage palois
La pause ne changeait pas vraiment la donne. Papanikolaou à l’aile (12 points, 3/4 à trois points) et Diamantidis à la périphérie (13 points, 8 rebonds, 4 interceptions) faisaient toujours des misères aux Béarnais qui ne parvenaient décidément pas à faire leur retard. D’une réussite affolante (22/31 à 2 points, 11/23 à trois points), le Pana rentrait tout alors que chaque panier palois était le résultat d’une lutte acharnée. Un brin chambreur, le public du Stade Olympique sortait de sa léthargie pour chanter la gloire de son équipe préférée alors que le naufrage de Drozdov et consorts prenait fin sur une énorme fessée (62-94). Perdu pour perdu, Didier Gadou avait profité des dernières minutes pour donner du temps de jeu au revenant Laurent Foirest qui n’en profitait pas vraiment (0 point pour un tir tenté en 7 minutes). En cas de nouvelle punition la semaine prochaine contre Malaga, Pau sera une nouvelle fois renvoyé à ses chères études. Définitivement cette fois-ci.
(Source : http://www.sport24.com)
" Panathinaïkos-Pau : 94-62 "
Certes, Pau-Orthez ne s'attendait pas à aller marcher sur les plates-bandes du Panathinaïkos mais de là à subir une telle déculottée (94-62) face à la redoutable armada de cette Euroligue, sans doute pas.
Et pourtant, au coeur de la poudrière grecque et d'un OAKA Olympic Hall tout acquis à la cause de ses favoris, les Palois ont subi une leçon de basket de la part d'un "Pana" totalement maître de son sujet, pour achever au final leur calvaire sur un débours de 32 points !
Un terrible revers qui hypothèque largement leurs chances d'accession au Top 16 puisqu'ils ont désormais très peu de chances de terminer à la cinquième place du groupe C. Une chose est sûre, l'Elan devra remporter son dernier match mercredi prochain à domicile face à Malaga pour espérer obtenir l'ultime sésame accordé au meilleur sixième des trois poules.
Mais le passage est plus étroit que jamais. Un succès mercredi à Athènes aurait considérablement accru les chances paloises. Cette hypothèse n'a tenu que l'espace de quelques secondes face à un Panathinaïkos soucieux d'effacer sa première défaite à domicile depuis... 40 matches, la semaine dernière face à Malaga.
Les Grecs, exceptionnels en début de match, ont pris le large dès la troisième minute, en infligeant un 23-2 à Pau-Orthez. Un bon passage à l'entame du deuxième quart-temps a ramené les Palois à huit points, mais Lakovic a permis aux siens de se mettre à l'abri à la pause (48-30). La victoire étant déjà inaccessible, Pau s'est concentré sur sa deuxième mission : concéder le moins de points possible pour protéger son panier average général.
Mais l'écart n'est pas descendu pour autant. Au contraire, les Grecs ont corsé l'addition (68-43, 30e), grâce à une formidable circulation de balle et des très spectaculaires actions (alley-hoop, passes dans le dos, tirs à la cuillère). En face, les Palois, trop limités en rotation (Thierry Gadou absent, Alvin Sims transparent, Laurent Foirest encore trop juste), ont lutté sans génie ni flamme. Incapables de limiter les dégâts, ils ont encaissé au final leur deuxième plus grosse défaite de toute leur histoire européenne, à égalité avec leur déroute à l'Ulker Istanbul cet automne.
(Source : http://www.lequipe.fr)
" Cauchemar au Pana "
Les rêves, les illusions, les espoirs de l’Elan n’ont pas résisté au delà de la 4ème minute et de ce 7-6 illustrant une dernière fois un match un vrai… La suite ? Une démonstration du Pana qui lorsqu’il évolue à ce niveau n’appartient assurément pas à la même planète que celle sur laquelle les béarnais évoluent. « C’est un autre monde », soupirait Didier Gadou à l’issue d’une rencontre archi-dominée par les champions grecs et leur palette de talent, « ils jouent dans une autre cour, avec les meilleurs joueurs d’Europe, nous n’avons pas l’équivalent » renchérissait Pierre Seillant.
Lakovic, le diable en personne, à la baguette, Diamantidis sur un nuage et Batiste pour ramasser tout ce qui traîne, le Pana n’avait pas l’intention de laisser traîner les choses et les béarnais, certes timorés mais sans vraies ressources, assistèrent impuissants à la déferlante verte. 23-2 en l’espace de cinq minutes, le mal était fait et les prémices d’une défaite très lourde (moins 32, comme à Ulker) affichés.
L’Elan venait d’être broyé, subissant tous les duels, perdant toutes les batailles et se retrouvant à des lustres de son prestigieux adversaire avant la fin du premier acte (8-30) et le trio magique avait apporté 21 points dans l’escarcelle du Pana!
La consolation de la soirée, bien maigre, c’est que l’Elan avait la taille pour répondre au banc du Pana. Obradovic l’ayant ouvert en rappelant ses trois tauliers, on vit alors des béarnais s’ébrouer lentement mais sûrement et s’accrocher à la bouée ainsi tendue. A cheval sur la fin du quart temps et du début de l’autre, ils s’offrirent un 16-2 qui redonnait au tableau d’affichage une couleur : 24-32 ! Le match aurait pu être relancé si au sortir d’un temps mort virulent, Obradovic n’avait vite rappelé son meneur slovène, Batiste et lancé Alvertis. Les mêmes hommes produisirent les mêmes effets, intenables Lakovic (20 points au repos) signait son retour de 5 points consécutifs et reprenaient les choses en main. Il n’allait plus quitter le terrain qu’à 4 minutes de la fin, une fois assuré que les béarnais saoulés de coups n’avaient plus l’âme à guerroyer encore.
Et si les béarnais repliés derrière une défense de zone repoussèrent l’affront jusqu’au milieu du troisième acte (37-51, 40-54), leur dernière résistance vola en éclat dès lors qu’Alvertis puis Papanikolaou trouvèrent la mire à trois points (6 sur 8 cumulés en seconde période)…
Le Pana menaça même d’entrée dans l’histoire en infligeant leur plus lourde défaite européenne à des béarnais concassés, mais au courage Lux, Varem et Cissé leur offrirent les points nécessaires à éviter le déluge…
94-62 au terme d’un match écrasé par la machine, inutile de dire que l’Elan avait bien mal choisi son terrain pour entretenir des rêves de challenger…
Mais si Sienne en battant le Réal (77-74) n’arrangeait pas ses affaires, le Cibona en payant la même addition, ou presque (99-70), à deux pas de là contre Olympiakos, Ljubljana en perdant à Bologne, laissaient encore entrevoir une place, toute petite, pour le Top 16…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" L'Elan coule à pic "
http://www.sudouest.com/020206/sport.as ... a59496.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
" Pau en lambeaux "
Pau n'a pas existé hier à Athènes. L'accession au Top 16 passe désormais par un petit miracle.
Didier Gadou : " On va tout remettre sur un dernier match à la maison. je continue de penser qu'il y a deux mondes....
On a vu la différence entre le Pana et notre équipe. Ils ont joué plus dur que nous, plus vite que nous, ils ont été plus adroits que nous. Ils nous ont punis et le résultat est normal....
Des garçons n'ont pas répondu à mes attentes à l'entame du match. Stratégiquement et défensivement, on est coupables ".
Laurent Foirest : " Pau et le Pana, ce n'est pas le meme monde. Je suis content d'etre allé sur le terrain pour voir ou j'en étais et j'en suis encore très loin" .
Mission impossible ?
L'Elan Béarnais ne peut plus atteindre le TOP 16 qu'en accrochant le ticket attribué au meilleur sixième des trois groupes. Avec quatre victoires, soit une de moins que le Cibona Zagreb, actuel 6e du groupe B, Pau doit impérativement battre Malaga mercredi. Une défaite est rédhibitoire. Ensuite, meme en cas de succès, il devra compter sur de multiples faux pas. Car l'Elan traine un point-average catastrophique (-117), le pire de toutes les équipes à 4 victoires (Ljubljana, Sopot et Milan). Et pour la dernière journée, Ljubljana (-39) reçoit Trévise, Milan (-42, un match en moins) reçoit Olympiakos, Sopot (-56, un match en moins) reçoit Vilnius. Bref, Pau est mal en point. D'autant que le Cibona Zagreb ( 5 victoires), ens 'imposant face à Efes Pilsen la semaine prochaine, pourrait mettre tout le monde d'accord.
(Source : Le Journal L'Equipe)
" L'Elan noyé sans etre coulé "
Malgrè la lourde défaite concédée sur le parquet du Pana, l'Elan possède une infime chance de rejoindre le TOP 16.
Didier Gadou : " J'en ai maintenant la certitude, le Pana ira au prochain Final 4. Cette équipe est taillée pour de cettes ambitions. Avec Lakovic et Diamantidis, il dispose d'une traction arrière extraordinaire. Pour le reste, c'est costaud, c'est dur. Il existe un monde d'écart entre eux et nous.
On a bien essayé de se battre, mais l'écart était déjà fait. Je regrette que certains de mes joueurs n'aient pas répondu à mes attentes stratégiques dès le début du match. En défense, on a pris la grèle de partout. On a mis le Pana en confiance, et ensuite c'est devenu très compliqué pour nous ".
Pierre Seillant : " C'est le tarif ce soir en Grèce ! Le Cibona en a pris autant contre Olympiakos. Maintenant, il faut continuer à se battre et à continuer à espérer décrocher la place de meilleur sixième. Sur le matc, sans Harrison, sans Thierry Gadou, avec un Foirest à peine de retour, et certains joueurs " absents", ça va très vite. On récolte ce que l'on mérite. Poste par poste, le Pana est largement au dessus de nous. Ils deviennent normaux dès qu'ils font sortir les cinq stars. On ne lutte pas dans la meme cour " .
Jeff Varem : " C'était un match très difficile. On démarre beaucoup trop lentement et Lakovic a été impossible à stopper. Il faut se rendre à l'évidence, cette équipe est beaucoup plus forte que nous ".
Laurent Foirest : " La Pana est énorme à chaque poste. Nous n'étions pas venus pour perdre. En pensant à cela , on a déjoué et on effectue un très mauvais premier quart-temps. C'est là que se joue l'issue du match. De mon coté, il va me falloir du temps pour retrouver toutes mes sensations. Pour l'instant, je reviens à peine. Je dois encore beaucoup travailler ".
(Source : La République des Pyrénées)
Stats du match :
http://www.euroleague.net/stats/statsPa ... artido=154
Classement Général :
http://www.euroleague.net/results/results.jsp
(Source : http://www.euroleague.net)
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =13&id=731
(Source : http://www.euroleague.net)
" Rien à faire "
Dominé de bout en bout par le Panathinaïkos mercredi soir, Pau-Orthez n’a jamais paru en mesure de perturber le leader du groupe C (62-94). Les portes du Top 16 semblent fermées à double tour pour les Béarnais. A moins que…
Retard à l’allumage
«Pau est toujours en vie ! », se réjouissait Brooks Sales après le beau succès acquis contre Sienne la semaine dernière. Une victoire synonyme d’espoir pour des Palois qui devaient sortir le grand jeu mercredi soir à Athènes pour continuer à rêver. Ecrasé au Stade Olympique (62-94), l’Elan Béarnais est désormais sous respirateur artificiel mais il y a toujours de l’espoir. Car la qualification pour le Top 16 ne relève pas encore de l’utopie. La lourde défaite de l’Ulker Istanbul à Moscou (51-74) laisse filtrer un infime rayon de lumière sous la porte du Top 16.
Face à une équipe déjà qualifiée à la faveur d’une campagne européenne menée tambour battant (10 victoires, 2 défaites) et devant un public plutôt apathique et loin de justifier la réputation sulfureuse des salles grecques, les Palois prenaient l’eau d’entrée. Sous l’impulsion d’un Jaka Lakovic omniprésent (22 points, 3 passes), les Grecs donnaient rapidement le ton. Leur adresse diabolique laissait les Palois en rade avec déjà 17 points de retard à l’issue du premier quart-temps (13-30). Les rêves d’exploit en terre hellène nourris secrètement par Didier Gadou tournaient vite au cauchemar. Touchés dans leur orgueil, les Béarnais réagissaient pourtant par l’intermédiaire de T.J Lux (14 points, 8 rebonds) et Xane d’Almeida (13 points à 3/6 à trois points, 2 rebonds, 2 interceptions) mais les Grecs restaient maîtres de leur sujet et creusaient même un peu plus l’écart à la mi-temps (48-30).
Le naufrage palois
La pause ne changeait pas vraiment la donne. Papanikolaou à l’aile (12 points, 3/4 à trois points) et Diamantidis à la périphérie (13 points, 8 rebonds, 4 interceptions) faisaient toujours des misères aux Béarnais qui ne parvenaient décidément pas à faire leur retard. D’une réussite affolante (22/31 à 2 points, 11/23 à trois points), le Pana rentrait tout alors que chaque panier palois était le résultat d’une lutte acharnée. Un brin chambreur, le public du Stade Olympique sortait de sa léthargie pour chanter la gloire de son équipe préférée alors que le naufrage de Drozdov et consorts prenait fin sur une énorme fessée (62-94). Perdu pour perdu, Didier Gadou avait profité des dernières minutes pour donner du temps de jeu au revenant Laurent Foirest qui n’en profitait pas vraiment (0 point pour un tir tenté en 7 minutes). En cas de nouvelle punition la semaine prochaine contre Malaga, Pau sera une nouvelle fois renvoyé à ses chères études. Définitivement cette fois-ci.
(Source : http://www.sport24.com)
" Panathinaïkos-Pau : 94-62 "
Certes, Pau-Orthez ne s'attendait pas à aller marcher sur les plates-bandes du Panathinaïkos mais de là à subir une telle déculottée (94-62) face à la redoutable armada de cette Euroligue, sans doute pas.
Et pourtant, au coeur de la poudrière grecque et d'un OAKA Olympic Hall tout acquis à la cause de ses favoris, les Palois ont subi une leçon de basket de la part d'un "Pana" totalement maître de son sujet, pour achever au final leur calvaire sur un débours de 32 points !
Un terrible revers qui hypothèque largement leurs chances d'accession au Top 16 puisqu'ils ont désormais très peu de chances de terminer à la cinquième place du groupe C. Une chose est sûre, l'Elan devra remporter son dernier match mercredi prochain à domicile face à Malaga pour espérer obtenir l'ultime sésame accordé au meilleur sixième des trois poules.
Mais le passage est plus étroit que jamais. Un succès mercredi à Athènes aurait considérablement accru les chances paloises. Cette hypothèse n'a tenu que l'espace de quelques secondes face à un Panathinaïkos soucieux d'effacer sa première défaite à domicile depuis... 40 matches, la semaine dernière face à Malaga.
Les Grecs, exceptionnels en début de match, ont pris le large dès la troisième minute, en infligeant un 23-2 à Pau-Orthez. Un bon passage à l'entame du deuxième quart-temps a ramené les Palois à huit points, mais Lakovic a permis aux siens de se mettre à l'abri à la pause (48-30). La victoire étant déjà inaccessible, Pau s'est concentré sur sa deuxième mission : concéder le moins de points possible pour protéger son panier average général.
Mais l'écart n'est pas descendu pour autant. Au contraire, les Grecs ont corsé l'addition (68-43, 30e), grâce à une formidable circulation de balle et des très spectaculaires actions (alley-hoop, passes dans le dos, tirs à la cuillère). En face, les Palois, trop limités en rotation (Thierry Gadou absent, Alvin Sims transparent, Laurent Foirest encore trop juste), ont lutté sans génie ni flamme. Incapables de limiter les dégâts, ils ont encaissé au final leur deuxième plus grosse défaite de toute leur histoire européenne, à égalité avec leur déroute à l'Ulker Istanbul cet automne.
(Source : http://www.lequipe.fr)
" Cauchemar au Pana "
Les rêves, les illusions, les espoirs de l’Elan n’ont pas résisté au delà de la 4ème minute et de ce 7-6 illustrant une dernière fois un match un vrai… La suite ? Une démonstration du Pana qui lorsqu’il évolue à ce niveau n’appartient assurément pas à la même planète que celle sur laquelle les béarnais évoluent. « C’est un autre monde », soupirait Didier Gadou à l’issue d’une rencontre archi-dominée par les champions grecs et leur palette de talent, « ils jouent dans une autre cour, avec les meilleurs joueurs d’Europe, nous n’avons pas l’équivalent » renchérissait Pierre Seillant.
Lakovic, le diable en personne, à la baguette, Diamantidis sur un nuage et Batiste pour ramasser tout ce qui traîne, le Pana n’avait pas l’intention de laisser traîner les choses et les béarnais, certes timorés mais sans vraies ressources, assistèrent impuissants à la déferlante verte. 23-2 en l’espace de cinq minutes, le mal était fait et les prémices d’une défaite très lourde (moins 32, comme à Ulker) affichés.
L’Elan venait d’être broyé, subissant tous les duels, perdant toutes les batailles et se retrouvant à des lustres de son prestigieux adversaire avant la fin du premier acte (8-30) et le trio magique avait apporté 21 points dans l’escarcelle du Pana!
La consolation de la soirée, bien maigre, c’est que l’Elan avait la taille pour répondre au banc du Pana. Obradovic l’ayant ouvert en rappelant ses trois tauliers, on vit alors des béarnais s’ébrouer lentement mais sûrement et s’accrocher à la bouée ainsi tendue. A cheval sur la fin du quart temps et du début de l’autre, ils s’offrirent un 16-2 qui redonnait au tableau d’affichage une couleur : 24-32 ! Le match aurait pu être relancé si au sortir d’un temps mort virulent, Obradovic n’avait vite rappelé son meneur slovène, Batiste et lancé Alvertis. Les mêmes hommes produisirent les mêmes effets, intenables Lakovic (20 points au repos) signait son retour de 5 points consécutifs et reprenaient les choses en main. Il n’allait plus quitter le terrain qu’à 4 minutes de la fin, une fois assuré que les béarnais saoulés de coups n’avaient plus l’âme à guerroyer encore.
Et si les béarnais repliés derrière une défense de zone repoussèrent l’affront jusqu’au milieu du troisième acte (37-51, 40-54), leur dernière résistance vola en éclat dès lors qu’Alvertis puis Papanikolaou trouvèrent la mire à trois points (6 sur 8 cumulés en seconde période)…
Le Pana menaça même d’entrée dans l’histoire en infligeant leur plus lourde défaite européenne à des béarnais concassés, mais au courage Lux, Varem et Cissé leur offrirent les points nécessaires à éviter le déluge…
94-62 au terme d’un match écrasé par la machine, inutile de dire que l’Elan avait bien mal choisi son terrain pour entretenir des rêves de challenger…
Mais si Sienne en battant le Réal (77-74) n’arrangeait pas ses affaires, le Cibona en payant la même addition, ou presque (99-70), à deux pas de là contre Olympiakos, Ljubljana en perdant à Bologne, laissaient encore entrevoir une place, toute petite, pour le Top 16…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" L'Elan coule à pic "
http://www.sudouest.com/020206/sport.as ... a59496.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
" Pau en lambeaux "
Pau n'a pas existé hier à Athènes. L'accession au Top 16 passe désormais par un petit miracle.
Didier Gadou : " On va tout remettre sur un dernier match à la maison. je continue de penser qu'il y a deux mondes....
On a vu la différence entre le Pana et notre équipe. Ils ont joué plus dur que nous, plus vite que nous, ils ont été plus adroits que nous. Ils nous ont punis et le résultat est normal....
Des garçons n'ont pas répondu à mes attentes à l'entame du match. Stratégiquement et défensivement, on est coupables ".
Laurent Foirest : " Pau et le Pana, ce n'est pas le meme monde. Je suis content d'etre allé sur le terrain pour voir ou j'en étais et j'en suis encore très loin" .
Mission impossible ?
L'Elan Béarnais ne peut plus atteindre le TOP 16 qu'en accrochant le ticket attribué au meilleur sixième des trois groupes. Avec quatre victoires, soit une de moins que le Cibona Zagreb, actuel 6e du groupe B, Pau doit impérativement battre Malaga mercredi. Une défaite est rédhibitoire. Ensuite, meme en cas de succès, il devra compter sur de multiples faux pas. Car l'Elan traine un point-average catastrophique (-117), le pire de toutes les équipes à 4 victoires (Ljubljana, Sopot et Milan). Et pour la dernière journée, Ljubljana (-39) reçoit Trévise, Milan (-42, un match en moins) reçoit Olympiakos, Sopot (-56, un match en moins) reçoit Vilnius. Bref, Pau est mal en point. D'autant que le Cibona Zagreb ( 5 victoires), ens 'imposant face à Efes Pilsen la semaine prochaine, pourrait mettre tout le monde d'accord.
(Source : Le Journal L'Equipe)
" L'Elan noyé sans etre coulé "
Malgrè la lourde défaite concédée sur le parquet du Pana, l'Elan possède une infime chance de rejoindre le TOP 16.
Didier Gadou : " J'en ai maintenant la certitude, le Pana ira au prochain Final 4. Cette équipe est taillée pour de cettes ambitions. Avec Lakovic et Diamantidis, il dispose d'une traction arrière extraordinaire. Pour le reste, c'est costaud, c'est dur. Il existe un monde d'écart entre eux et nous.
On a bien essayé de se battre, mais l'écart était déjà fait. Je regrette que certains de mes joueurs n'aient pas répondu à mes attentes stratégiques dès le début du match. En défense, on a pris la grèle de partout. On a mis le Pana en confiance, et ensuite c'est devenu très compliqué pour nous ".
Pierre Seillant : " C'est le tarif ce soir en Grèce ! Le Cibona en a pris autant contre Olympiakos. Maintenant, il faut continuer à se battre et à continuer à espérer décrocher la place de meilleur sixième. Sur le matc, sans Harrison, sans Thierry Gadou, avec un Foirest à peine de retour, et certains joueurs " absents", ça va très vite. On récolte ce que l'on mérite. Poste par poste, le Pana est largement au dessus de nous. Ils deviennent normaux dès qu'ils font sortir les cinq stars. On ne lutte pas dans la meme cour " .
Jeff Varem : " C'était un match très difficile. On démarre beaucoup trop lentement et Lakovic a été impossible à stopper. Il faut se rendre à l'évidence, cette équipe est beaucoup plus forte que nous ".
Laurent Foirest : " La Pana est énorme à chaque poste. Nous n'étions pas venus pour perdre. En pensant à cela , on a déjoué et on effectue un très mauvais premier quart-temps. C'est là que se joue l'issue du match. De mon coté, il va me falloir du temps pour retrouver toutes mes sensations. Pour l'instant, je reviens à peine. Je dois encore beaucoup travailler ".
(Source : La République des Pyrénées)
Stats du match :
http://www.euroleague.net/stats/statsPa ... artido=154
Classement Général :
http://www.euroleague.net/results/results.jsp
(Source : http://www.euroleague.net)
Résultat logique mais avec un écart important 
Ecart qui impose une vision lucide sur le niveau...c'est dur à encaisser d'autant que nos joueurs donnent ce qu'ils peuvent mais la c'est injouable.
Deux façons de voir: 1- ça détruit le moral et de fait cela à une mauvaise influence sur le chpt avec défaite derrière ou 2- au contraire ça motive le groupe qui capitalise cette expérience EL pour s'exprimer à fond en chpt en s'appuyant sur son statut plus confortable dans cette compétition la (ne pas y voir un manque de respect envers les autres formations mais c'est pour situer le supposé état d'esprit de l'équipe).
Il reste que pour les non-initiés une telle défaite peut paraître énorme alors qu'en vérité elle est complètement "normal" dans ce genre de situation , l'amplitude du score reste malheureusement souvent la seule inconnue.
Pas de renoncement quand même il subsiste un espoir, infime certes mais bel et bien vrai d'accéder au Top 16 et de toute façon demeure également l'assurance de pouvoir tenter de régaler son public face à Malaga...l'exploit est possible et nous savons que l'élan jouera à fond, après...
Ecart qui impose une vision lucide sur le niveau...c'est dur à encaisser d'autant que nos joueurs donnent ce qu'ils peuvent mais la c'est injouable.Deux façons de voir: 1- ça détruit le moral et de fait cela à une mauvaise influence sur le chpt avec défaite derrière ou 2- au contraire ça motive le groupe qui capitalise cette expérience EL pour s'exprimer à fond en chpt en s'appuyant sur son statut plus confortable dans cette compétition la (ne pas y voir un manque de respect envers les autres formations mais c'est pour situer le supposé état d'esprit de l'équipe).
Il reste que pour les non-initiés une telle défaite peut paraître énorme alors qu'en vérité elle est complètement "normal" dans ce genre de situation , l'amplitude du score reste malheureusement souvent la seule inconnue.
Pas de renoncement quand même il subsiste un espoir, infime certes mais bel et bien vrai d'accéder au Top 16 et de toute façon demeure également l'assurance de pouvoir tenter de régaler son public face à Malaga...l'exploit est possible et nous savons que l'élan jouera à fond, après...
Qu'est-ce qu'un quasar ?
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
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Strasbourgeois !
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Re: re
Olympiacos ne joue sa qualification la semaine prochaine que si Milan l'emporte ce soir. Si Milan perd, le Pirée est qualifié quelle que soit l'issue du Milan-Olympiacos de la semaine prochaine. Mais si Milan gagne ce soir, Pau est éliminé.pascal64lons a écrit :Olympiacos joue aussi sa qualif sur le dernier match, heureusement!!
C'est sûr que notre chance d'accéder au top16 est infime, mais elle a le mérite d'exister!!
Il se passe tellement de choses sur ces dernières journées!!
Battons Malaga, qui n'a rien a gagner car ils sont sûrs de finir tête de série, et on verra!! C'est pas compliqué!! lol!!
Quant à Malaga, ils se battront pour obtenir la 1ere place.
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Berny
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Il y avait facilement un, voir 2 matches de plus a notre portee sur cette EL. On les a perdu, et c'est ceux la qui vont manquer.
Je suis le premier a raler du manque de combativite sur certains matches. Mais la, je crois qu'il vaut mieux arreter les degats sur l'EL. Prendre 20 pts par rencontre au top 16 ne ferait pas du bien..
Je suis le premier a raler du manque de combativite sur certains matches. Mais la, je crois qu'il vaut mieux arreter les degats sur l'EL. Prendre 20 pts par rencontre au top 16 ne ferait pas du bien..