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" 3e JOURNEE PRO A :
SIG (0-2) /
EB PAU-ORTHEZ (1-1)"
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Match à suivre en direct sur à 19h.[/center][/updown]
" Basket - Pro A : Un choc Strasbourg - Pau-Orthez "
L'affiche de la troisième journée opposera mardi (19h00) Strasbourg à Pau-Orthez. Déjà défaits deux fois, les Strasbourgeois sont en quête de confiance mais les Palois ne comptent qu'un modeste succès obtenu samedi face à Clermont.
La SIG devra en outre se passer de son meneur Lonnie Cooper, blessé à la cheville et indisponible sept semaines. «
On doit faire avec beaucoup de désavantages, des blessés et un groupe complètement renouvelé. On progresse petit à petit, même si cela ne se voit pas clairement sur le terrain. On garde une confiance totale dans le groupe de joueurs, qui manque surtout d'expérience et de vécu commun», a déclaré l'entraîneur Eric Girard qui comptera sur Gauthier Darrigand, presque remis d'une entorse, pour mener le jeu. Côté béarnais, seul le capitaine Fauthoux (aponévrosite) manquera encore à l'appel. «
Face à deux formations attendues dans le haut du tableau en fin de championnat, on va vraiment voir où nous en sommes», a estimé le pivot palois Thierry Rupert.
(Source :
http://www.lequipe.fr)
" Strasbourg en appel "
Battus deux fois en deux journées, Strasbourg a bien mal démarré sa saison.
John McCord et Strasbourg veulent enfin décoller ce mardi.
Deux matches, deux défaites. Le début de saison de Strasbourg est loin des espérances des dirigeants alsaciens. Certes, la SIG a dû faire face à une importante vague de départs cet été mais le calendrier proposé aux Alsaciens (réception de Roanne et déplacement à Paris) laissait penser qu’ils auraient le temps de prendre leurs marques tranquillement. Il n’en fut rien. Surpris au Hall Rhenus par Roanne (74-77) puis battus à Coubertin par un PBR surprenant (74-65), les hommes d’Eric Girard accueillent Pau-Orthez mardi soir sans aucune certitude. Et sans véritablement de droit à l’erreur. Toujours privés de Lonnie Cooper, blessé à la cheville et out six semaines, les Strasbourgeois doivent impérativement se relancer face à une formation béarnaise encore en rodage. Surclassés par Le Havre en ouverture (76-61), les Palois se sont bien repris en dominant Clermont ce week-end (81-66). Une rencontre au cours de laquelle les hommes de Gordon Herbert ont alterné le bon et le moins bon, avec notamment des passages à vide dans les 2e et 4e quart-temps. Des insuffisances qu’il ne faudra sans doute pas reproduire face au champion de France 2005.
(Source :
http://www.sport24.com)
" Strasbourg (0-2) / Pau-Orthez (1-1) "
Battu à domicile par Roanne ( 74-77), puis à Paris ( 74-65), Strasbourg doit l’emporter à domicile mais ce ne sera pas simple face à Pau-Orthez. Le pivot strasbourgeois Claude Marquis, auteur d’une grosse série de Play-Offs face aux Palois la saison dernière avec Cholet, se mesurera à Ian Mahinmi.
(Source :
http://www.lnb.fr)
" Attention, peinture fraîche ! "
STRASBOURG - PAU-ORTHEZ.
La raquette est fragile.
Pivot.
Ian Mahinmi est encore un peu tendre.
PRO A (3e JOURNEE)
La première sortie de l'Elan au Palais des sports a permis de se faire une idée plus précise de la cuvée béarnaise 2006-2007. Qu'en est-il ressorti ? Que le débat concernant John Gilchrist deuxième arrière davantage que meneur, scoreur plus que gestionnaire risque d'entretenir les longues soirées d'hiver entre les pour et les contre.
Des certitudes malgré tout : autour du meneur américain et de Xane d'Almeida, les Palois sont outillés avec un duo Harrison-Greer très costaud, alors que Ferchaud apportera son shoot; le poste d'intérieur est pourvu lui aussi avec Britton Johnsen, Thierry Rupert et Mike Bauer; reste celui de pivot, tenu par Ian Mahinmi qui n'a dominé ni le Havrais Traoré ni le Clermontois Badiane, deux joueurs de sa génération.
Epauler Mahinmi. Sans pivot d'envergure, l'Elan sait qu'il risque de souffrir dans la peinture en Euroligue bien sûr, mais aussi face à ses rivaux français, ce que l'on observera ce soir, peut-être, à Strasbourg. L'essai réalisé par le Sénégalais Yamar Diene n'ayant pas été jugé concluant, si l'on en juge par le temps que lui a accordé Gordon Herbert (1 mn 7 s) contre Clermont samedi dernier, il faut donc s'attendre à voir débarquer un autre pivot pour épauler Ian Mahinmi.
A 20 ans seulement il les fêtera le 5 novembre , l'ex-Havrais n'a pas le cuir suffisamment épais pour enchaîner, deux fois par semaine, un match de Pro A et les durs combats de l'Euroligue où le jeu au sol, et donc les kilos, la puissance, sont souvent prépondérants aux qualités de verticalité. Et le plan B, qui consiste à envoyer Thierry Rupert au relais de l'ex-Havrais, ne marchera pas non plus quand il faudra jouer un Savrasenko (Moscou), un Beard (Kaunas), un Kasun (Barcelone) ou un Gigli (Trévise), auxquels l'intérieur rendra à la fois des centimètres et des kilos.
Devant Clermont, les 50 % de réussite dans les tirs derrière les 6,25 m ont masqué en partie le manque de densité de la raquette paloise. N'empêche que Gordon Herbert a relevé que «
quinze rebonds offensifs laissés aux Auvergnats, c'est beaucoup trop » et Thierry Rupert admis que «
les Clermontois nous ont bougé au rebond ». Des carences qui coûteront immanquablement des victoires quand l'adresse ne sera pas là.
Mais la nécessité de recruter un autre pivot est un thème sur lequel nul ne veut s'étendre aujourd'hui. «
Je ne m'occupe pas de ça, voyez le coach », élude Britton Johnsen, meilleur rebondeur de l'Elan après deux matches. «
Je veux essayer de construire l'équipe avec les joueurs qui sont là, glisse Gordon Herbert.
La période d'essai de Yamar Diene se termine dans dix jours, on fera un point à ce moment. »
Et Fuller ? Si le staff palois n'a pas l'air de se presser, c'est parce que le marché ne regorge pas de gros pivots et que les camps de présaison NBA rouvrent à peine, avec leurs joueurs surnuméraires qui seront bientôt libérés. Les Utah Jazz par exemple, débutent le leur dans l'Idaho aujourd'hui... avec dans leur effectif un certain Hiram Fuller.
Privé du play-off, la saison dernière avec l'Elan, à cause d'une blessure au genou, le pivot américain (2,08 m) a décidé de retenter sa chance en NBA. Mais chez des Jazz où les quatre meilleurs marqueurs de la saison 2005-2006 sont des ailiers forts ou des pivots (Okur, Boozer, Kirilenko, Harpring), ses chances de décrocher un contrat sont étroites. Et cela les Palois le savent bien.
(Source :
http://www.sudouest.com)
" Strasbourg à l'arrêt "
Sans son meneur Lonnie Cooper blessé, Strasbourg est à la peine mais ne s'affole pas.
APPELEZ CA comme vous voulez, à Strasbourg, on parle volontiers de tuile.
Le mot, pour l'occasion, n'a rien de galvaudé. Contraint pendant l'été de rebâtir à 80% une équipe qui sortait d'une période faste (un titre de champion en 2005 et une saison en Euroligue) , la SIG a perdu, seulement 24 heures avant le début du championnat son nouveau maître à jouer, Lonnie Cooper (cheville). Absent pour encore trois semaines, l'ex-Palois, n'a pas été remplacé dans le roster, malgrè les requêtes de son coach Eric Girard. "
J'ai demandé un joker à mes dirigeants mais notre budget ne nous le permettait pas. On n'avait pas besoin d'une star mais d'un joueur capable d'aider Darrigand à la mène car on l'a vu samedi à Paris, Gauthier (légèrement touché à la cheville également)
ne peut pas assumer seul ce rôle. Je ne peux pas non plus mettre Nissim en meneur 25 minutes même s'il fait son maximum. Ce n'est pas son truc ".
Un seul être vous manque et tout est (donc) dépeuplé. Sans Cooper, Strasbourg a perdu "
de l'expérience, de la sérénité et des points dans le money-time ".
Comme samedi, sans la capitale, ou les Alsaciens n'ont pu résister à l'euphorie parisienne (65-74). " Il
n'y a pas à rougir d'avoir perdu contre Roanne ou Paris, tempère pourtant Girard.
Si on avait été au complet, on avait un calendrier intéressant à jouer. On va prendre du retard sur les autres, c'est certain maos on a la chance de jouer un Championnat de basket et pas de foot ".
Entendez par là qu'être dans les huit premiers satisferait pleinement le technicien alsacien, les deux derniers champions n'ayant terminé leur exercice régulier qu'à la troisième (Strasbourg) et cinquième place (Le Mans). Capable de se remettre en question ("
si je n'ai qu'une qualité, c'est bien celle-là "), Girard ne se cache pas non plus derrière l'absence de Cooper pour expliquer les balbutiements initiaux de la SIG.
A sa décharge, l'effectif est tout neuf, les prises de décision encore hésitantes et les automatismes très perfectibles. L'exemple le plus frappant concerne Claude Marquis, débarqué de Cholet après dix ans dans les Mauges et qui manque cruellement de repères sur le terrain. "
C'est vrai que Claude sort d'un cadre spécial et a besoin d'une stabilité sur le terrain qu'on a perdue avec la blessure de Cooper. Mais je ne suis pas inquiet, il va pouvoir vite nous refaire du Marquis, c'est-à-dire fixer à l'intérieur et imposer sa puissance. L'investissement du joueur me plaît en tout cas beaucoup. Il est peut-être même un peu trop à l'écoute des consignes, il doit encore se lâcher et être plus égoiste ".
Il n'y a donc pas le feu dans la maison aslacienne et la rencontre face à Pau, ce soir, avec le retour au Rhénus du Dominicain Ricardo Greer, n'inquiète pas outre mesure Eric Girard. "
On va recevoir une grosse machine pour qui on a beaucoup de respect. Même si tous les matches sont très importants, celui-là l'est pas plus que les autres. Les débats seront peut-être un peu déséquilibrés mais on sait qu'on a une carte à jouer ".
Psychologiquement d'abord, les Strasbourgeois restent sur cinq victoires face à l'Elan en saison régulière dont deux giffles l'an passé (+30 et +25).
Sur le papier ensuite, la SIG n'est pas non plus à plaindre même si "
on a bien réduit la voilure (Girard dixit) ".
Autour du revenant Afik Nissim, Mike Smith est déjà bien affûté, Chuck Eidson, MVP de Bundesliga en 2005 avec Giessen, déploie une énorme activité et Aerick Sanders est le parfait complément de McCord pour le sale boulot intérieur (défense, rebonds et claquettes). Avec le retour du patron d'ici à quelques semaines, puis de Sacha Giffa après la trêve de Noêl, la SIG pourra voguer à nouveau en eaux plus profondes.
" Greer en terrain connu "
C'est avec le groupe vainqueur samedi dernier que
Pau se rend en Alsace, pays de connaissance pour Ricardo Greer, le nouvel ailier palois sacré champion avec Strasbourg en 2005. Sur place, les Béarnais , toujours privés de Fauthoux dont le retour est prévu samedi, retrouveront un autre meneur du cru en la personne du jeune Gauthier Darrigand.
Toujours orphelin de Lonnie Cooper, la mène alsacienne devrait être un peu moins fragile ce soir qu'à Paris samedi (75-64) puisque Gauthier Darrigand se remet de son entorse à la cheville. Afik Nissim a en revanche été dispensé d'entraînement hier matin pour observer Yom Kippour.
(Source : L'EQUIPE)
" Greer : " Pau m'enchante " "
L'ailier dominicain retrouve une salle ou il a évolué deux ans. Séquence émotion pour ce garçon attachant.
Un baroudeur Ricardo Greer ? Peut-être, si on s'en tient uniquement à la lecture de son cursus ou l'Elan est déjà son 4e club français fréquenté par l'ailier dominician, né à New-York il y a 28 ans.
Mais le cliché semble aujourd'hui avoir vieilli. Lié à Pau-Orthez pour deux ans, le successeur d'Artur Drozdov, champion avec Stasbourg en 2005, a envie de se poser. "
Je veux me stabiliser, en jouant pour une bonne équipe à forte tradition comme l'Elan. C'est pour cela que Pau, la ville, le club, m'enchantent vraiment. Je suis bien ici, fier de porter ce maillot, d ejouer dans ce beau Palais ", plaide-t-il avec sincérité, en usant de sa langue natale pour mieux faire passer le message.
Joueur puissant, servi par un humour finement travaillé, Greer, homme du monde qui vient d'épouser aussi la nationalité de sa femme australienne, vivra des moments particuliers ce soir en Alsace. "
J'ai gardé des amis là-bas ", dit Ricardo pour lequel ces sentiments n'ont pas de prix.
La République des Pyrénées : " e t'inspire ce retour à Strasbourg ou tu as décroché le principal titre de ta carrière ?
Ricardo Greer :
J'avoue que c'est spécial. Avec Mesti (son épouse), on a vécu 2 ans à Strasbourg. Il y a eu ce championnat gagné en 2005 et j'ai beaucoup de sentiments pour coach Girard et surtout John McCord. Cela va me faire bizarre de jouer contre lui. Je connais bien également Mike Smith et Marquis qui sont arrivés cette année.
La République des Pyrénées : Mais il y a aussi un match à gagner chez une équipe mal partie (2 défaites) ?
Ricardo Greer :
Effectivement. On n'est pas encore à notre meilleur niveau et samedi, contre Clermont, il nous a manqué l'instinct du " tueur " en fin de partie. Mais je suis persuadé que nous disposons à Pau du meilleur effectif de France, alors...
Bien sûr, on sent ici de la pression; il y a l'obligation de gagner souvent. Pourtant, cela ne doit pas nous faire peur car c'est une bonne pression. A nous de la positiver pour s'en servir face à des équipes qui essaieront de jouer là-dessus.
La République des Pyrénées : C'est le message qu'essaie de faire passer Gordon Herbert ?
Ri
cardo Greer :
Je crois qu'il a la bonne philosophie en insistant sur la défense. C'est le meilleur moyen pour se mettre vite en confiance et justement éviter cette peur qui ne sert à rien car, quand elle s'installe, les problèmes commencent...
La République des Pyrénées : Est-ce aussi pour prémunir ton équipe contre tout cela que tu parles autant sur le terrain ?
Ricardo Greer : (Surpris)
Ah bon... Je parles vraiment beaucoup ? Oui, sûrement. Mais, chez les Greer, on est tous très bavards ! En fait, je le fais naturellement et on m'a dit, ici, que le fait de ne pas être capitaine ne m'empêchait pas de parler. Cela m'a toujours intéressé d'aider les autres, d'apporter des conseils.
La République des Pyrénées : Voilà pourquoi on t'a beaucoup vu au service du collectif sur les deux premiers matches (1), quitte à être moins présent à la marque ?Rica
rdo Greer :
J'ai toujours aimé apporter un plus à l'équipe, faire ce dont elle a besoin quand il faut. Rebond, défense ou autre chose : peu importe. Vous savez, je ne suis pas un joueur de stats. Du moment que mon équipe gagne, tout va bien ".
(1).
13 rebonds au Havre, 9 passes contre Clermont et " seulement " 8,5 points marqués.
" Strasbourg : faible des pattes arrières "
Champion en 2005, mais vidé de ses forces léé dernier, Strasbourg, privé d'Euroligue, tente comme l'Elan de reconstruire. Non sans mal pour l'instant puisque les Alsaciens, qui ont conservé le seul John McCord, n'ont toujours pas ouvert leur compteur.
Battus à domicile lors de l'ouverture, par Roanne 74-77, ils viennent de subir la loi de Paris, 65-74.
Ces deux résultats peuvent s'expliquer en bonne partie par l'absence d'un certain Lonnie Cooper.
Opéré d'une cheville, l'ancien meneur de l'Elan fera défaut deux mois et voilà que sa doublure, le béarnais Gauthier Darrigand souffre lui aussi d'une cheville.
Actuellement faible des pattes arrières, la SIG s'en remettra ce soir à des garçons plutôt expérimentés.
Outre le MVP allemand Eidson (22 pts face au PBR), elle a vu revenir au Rhénus le feu follet israelien Afik Nissim et a attiré le solide centre choletais Claude Marquis déçu de ne pas avoir pu rebondir à l'étranger.
(Source : La République des Pyrénées)
SIG :
5.
Darrigand (FR, 1,84m),
6.
Mendy (FR, 2m),
7.
Marquis (FR, 2,01m),
8.
Sanders (US, 2,02m),
9.
Smith (US, 2,01m),
11.
Nissim (ISR-FR, 1,80m),
12.
McCord (US-ANG, 2,01m),
13.
Eidson (US, 2,02m),
14.
Bach (FR,1,98m),
14.
Madrich (ALL, 2,11m),
16.
Yaci (FR, 1,84).
Entraîneur :
E.Girard (FR)
EB PAU-ORTHEZ :
5.
CC Harrison (US, 1,94m),
6.
X d'Almeida (FR, 1,83m),
7.
R.Greer (DOM, 1,96m) incertain ,
8.
B.Johnsen (US, 2,06m),
9.
C.Ferchaud (FR, 1,96m),
11.
J. Gilchrist (US, 1,85m),
12.
T.Rupert (FR, 2m),
14.
I.Mahinmi (FR, 2,08m),
15.
M.Bauer (US, 2,03m) ,
17.
Y.Diene (SEN,, 2,10m),
18.
L.Vaty (FR, 2,05m).
Entraîneur :
G.Herbert (CAN)
Ce soir, au
Hall Rhénus de Strasbourg, la
SIG reçoit l'
Elan Béarnais Pau-Orthez, pour le compte de la 3e Journée de Pro A.
Les arbitres de la rencontre :
MM. Viator, Gasperin et Julien.
La rencontre sera à suivre sur TPS à 19h, le net, via le site de la Ligue,
http://www.lnb.fr et à la radio, sur France Bleu Béarn (102,5).