Belle prestation de l'élan et c'est vraiment dommage que la victoire ne soit pas au bout.
Bonne ambiance même si le public devrait hurler un peu plus quand l'horloge approche des 24s pour avertir les joueurs.
un Bauer très énergique même si je regrette parfois qu'il arrose un peu trop et joue trop loin du cercle.
un Miles bon en début de match mais qui semblait par la suite un peu émoussé physiquement et n'a pas joué assez perso.
CC excellent en défense mais du coup transparent en attaque car usé. Pourquoi ne pas l'avoir remplacé par Ferchaud pour le reposer ?!!!
Xane dans son registre habituel, vif et rapide mais qui manque un peu de vista en attaque.
Johnsen décevant ce soir, mais les tickets shoots n'étaient pas vraiment pour lui et il n'a pas trop gaspilé de munitions.
Un Mahinmi stratosphérique en début de match, dommage qu'il soit si vite pénalisé par les fautes (même si une d'entre elles était vraiment très utile).
Et surtout un Wright vraiment excellent dos au cercle. S'il est bien servi, c'est panier 2 fois sur 3. Il a su profiter de sa puissance et d'une relative vivacité par rapport aux géants Barcelonais pour les bousculer sérieusement.
Un Rupert que l'on a pas trop vu ... sauf sur un scotch monumental collé à Vasquez, qui a bien résonné dans les tribunes et qui a encore plus motivé ses partenaires.
[1er Journée EUROLEAGUE] EB Pau-Orthez 66 / 72 FC Barcelone
Modérateurs : Joruus, Modérateurs
Il y avait quand même foule au Palais hier soir et ça c'est déjà réjouissant.
J'ai pour ma part été un peu déçu par Miles, après ce qu'il avait laissé entrevoir. C'est certes un joueur en pénétration, mais moins que ne l'était Chatman. Il distribue bien, mais moins que Cooper, bref la moyenne des deux. Je pense que d'ici 4 ou 5 match, la condition sera de retour et qu'on pourra compter sur lui.
Wrigth, celui qu'on annonçait ici et là comme un N°4 est bien un N°5, sinon par la taille, du moins par son geste. Lui aussi, il faut lui laisser un peu de temps.
Ian nous a fait bondir à 2 ou 3 trois reprises, par des actions superbes. Il va prendre confiance et éviter les petites fautes bêtes. Je suis persuadé que le staff ne s'est pas trompé sur son compte
Bauer, Johnsen, et Wrigth étaient cuits au cours du 4° 1/4 temps. Tous ces paniers ratés sous le cercles en témoignent. C'est hélas le moment à Lakovich et Navarro nous ont crucifiés.
Bref, comme tous les forumers, on ne peut être que confiant pour des lendemain meilleurs, mais déçu d'avoir raté le coche.
J'ai pour ma part été un peu déçu par Miles, après ce qu'il avait laissé entrevoir. C'est certes un joueur en pénétration, mais moins que ne l'était Chatman. Il distribue bien, mais moins que Cooper, bref la moyenne des deux. Je pense que d'ici 4 ou 5 match, la condition sera de retour et qu'on pourra compter sur lui.
Wrigth, celui qu'on annonçait ici et là comme un N°4 est bien un N°5, sinon par la taille, du moins par son geste. Lui aussi, il faut lui laisser un peu de temps.
Ian nous a fait bondir à 2 ou 3 trois reprises, par des actions superbes. Il va prendre confiance et éviter les petites fautes bêtes. Je suis persuadé que le staff ne s'est pas trompé sur son compte
Bauer, Johnsen, et Wrigth étaient cuits au cours du 4° 1/4 temps. Tous ces paniers ratés sous le cercles en témoignent. C'est hélas le moment à Lakovich et Navarro nous ont crucifiés.
Bref, comme tous les forumers, on ne peut être que confiant pour des lendemain meilleurs, mais déçu d'avoir raté le coche.
JC Palois
"Toutes les opinions sont respectables. Bon! C'est vous qui le dites. Moi je dis le contraire. C'est mon opinion. Respectez la donc." J.Prévert
"Toutes les opinions sont respectables. Bon! C'est vous qui le dites. Moi je dis le contraire. C'est mon opinion. Respectez la donc." J.Prévert
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philip_pau
- Joueur de banc de l'Elan
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- Enregistré le : 08 août 2004 20:32
- Localisation : Pau
" Le coup passa si près "
En tête durant les trois quart de la rencontre, Pau a finalement cédé dans les dernières minutes (66-72) face au Barcelone de Juan Carlos Navarro (23 points). Mais la prestation globale de l’Elan est encourageante pour la suite de l’Euroligue.
Ian Mahinmi et Pau ont fait douter le Barça avant de s'incliner.
Les cinq dernières minutes
Il n’aura pas manqué grand chose à Pau pour débuter l’Euroligue 2006-2007 par une victoire. Dans un Palais des Sports copieusement garni (6500 spectateurs), les Béarnais ont longtemps joué les yeux dans les yeux avec Barcelone. Et même plus que ça encore. Partis sur les chapeaux de roue (11-4, 5e), les hommes de Gordon Herbert ont sérieusement bousculé les Catalans durant la première période pour compter jusqu’à 12 longueurs d’avance (34-22, 16e), grâce à leur nouvel intérieur, Michael Wright. Qualifié in-extremis pour ce match et n’ayant disputé aucun entraînement avec ses coéquipiers, l’Américain a montré de bien belles choses en sortant du banc dans le deuxième quart-temps pour aligner 9 points consécutifs (14 au final). Pas encore chaud jusque-là, la star du Barça, Juan Carlos Navarro sortait alors de sa boîte. Deux tirs primés et quelques lancers francs du champion du monde espagnol remettaient ainsi son équipe sur les bons rails à la pause (38-33, 20e).
Mais Pau insistait au retour des vestiaires. Mike Bauer (17 points) trouvait régulièrement la faille pour offrir 6 longueurs d’avance aux siens (46-40). Dusko Ivanovic demandait alors à ses joueurs de resserrer la défense. Aussitôt dit, aussitôt fait. Pau ne trouvait plus la cible et Barcelone enquillait un 7-0 pour prendre l’avantage pour la première fois de la partie (46-47, 29e). Les deux équipes se rendaient alors coup pour coup, Greer répondant à Basile pour redonner l’avantage à Pau (55-56). L’exploit était à portée de mains. Malheureusement pour les Béarnais, Jaka Lakovic sortait alors de sa torpeur pour s’emparer des clés du match dans le money time. Le Slovène inscrivait 9 des 15 derniers points de son équipe et impulsait un 11-2 rédhibitoire dans les cinq dernières minutes. Sans essence dans le moteur, Pau ne parvenait pas à endiguer ce finish des Espagnols et devait finalement s’incliner (66-72).
Des raisons d’espérer
Une défaite qui, trois jours après un beau succès à Villeurbanne, s’apparentait à une demi-victoire dans les propos béarnais d’après-match. «Nous avons été très intenses pendant un gros quart d’heure, puis bon pendant une demi-heure, on a manqué de gaz dans les dix dernières minutes… Les cinq dernières minutes nous sont fatales, ils ont mis de gros shoots, pas nous. Mais on ne peut pas reprocher aux garçons de ne pas s’être battus au rebond et dans le combat», se félicitait Gordon Herbert qui, peu à peu, semble trouver la bonne formule. «On a manqué de force dans le final mais aussi de vécu collectif. Notre meneur et notre pivot sont trop neufs encore. Mais je retiens que l’on s’est réconcilié avec le public qui n’a rien à nous reprocher et qui ne nous a rien reproché», renchérit Pierre Seillant sans doute rassuré de voir que son équipe tenait la route, après avoir craint la veille d’être ridicule. Meilleur marqueur palois de la rencontre, Mike Bauer résumait finalement parfaitement la soirée en indiquant que «la différence se fait sur l’expérience du haut niveau.» Les Palois peuvent se consoler en se disant qu’ils ne tomberont pas toutes les semaines sur Barcelone. Et s’ils parviennent à reproduire ce genre de match lors des 13 prochaines rencontres d’Euroligue, à commencer par la semaine prochaine à Fenerbahçe, il n’est pas illusoire de rêver du Top 16.
(Source : http://www.sport24.com)
" L'Elan coince sur la fin "
Les Palois ont livré une partie solide mais n'ont pu contenir jusqu'au bout des Catalans devenus plus tranchants.
PAU N'A PAS REUSSI à lancer victorieusement sa trentième campagne européenne d'affilée. Le vainqueur de l'Euroligue 2003 a finalement dicté sa loi de ce côté des Pyrénées (66-72), même si son coach, Dusko Ivanovic, ne travaille pas actuellement avec un effectif qui le réjouisse. Mais malgrè ses soucis - soucis de nati à vrai dire - , l'expérience et le talent ont parlé. " Pau m'a surpris avec son jeu intérieur, un Mahinmi très agressif au début. Et bauer l'a bien relayé ensuite à l'extérieur ", concédait le technicien du Barça.
" Mais nous sommes restés dans le match et en deuxième période, notre défense nous a bien portés. On a mérité la victoire même si Pau a livré une belle partie. On a fondé de gros espoirs cette saison sur notre raquette avec Vasquez et Kasun mais actuellement, cela ne fonctionne pas. Kasun ne méritait pas de jouer plus (3'), c'est lui qui a fait briller Pau au début, et Kakiousis (6') n'en a pas montré beaucoup plus. Mais c'est vrai qu'en revanche, nos deux meneurs ont été bien, Ukic a su peser dans le dernier quart et Lakovic a été impeccable pour conclure ".
A 57 partout (35e), le Slovène joua en effet le plomb, offrant 9 des 15 derniers points espagnols. Avec l'agressivité de Juan Carlos Navarro (23 pts) et l'appoint de Jordi Trias (11 pts), Barcelone trouva ainsi de quoi entrer de bon pied dans une compétition dont son effectif a depuis longtemps fait son miel.
Au coup d'envoi, les seuls Marconato, Basile et Navarro, largement utilisés eux, totalisaient 349 matches d'Euroligue selon le guide média de la compétition...contre 117 à toute l'équipe de Pau. On veut croire que ce ne fut pas tout à fait neutre dans ce débat que les Béarnais affrontèrent toutefois avec un coeur énorme et une cohérence pas si ridicule que cela.
D'emblée , la défense béarnaise planta ses crocs dans les mollets d'un cinq catalan à profil bas donc : sans Navarro, ni Vasquez ou Kakiousis....Ian Mahinmi laissait de gros impacts sur le poste cinq, Britton Johnsen libérait une fureur rouqine digne d'un Celtic bien né et Pau lançait joliment ses dés (11-4, 5e) avant qu'Ivanovic ne réveille ses troupes en demandant une zone press bien haute, des trappes bien hargneuses.
La " Bomba " Navarro déboulait alors dans le jeu (8e) mais alors que Jordi Trias poussait ses feux (7 pts, 17-17, 9e), Xane d'Almeida et Mike Bauer - très présent lui aussi - relançaient à mi-distance et Gordon Herbert reprenait la main en envoyant au feu Michael Wright au relais de Thierry Rupert à l'attaque de deuxième quart.
[center]" Wright fait des siennes "[/center]
Très vite, l'intérieur US, qui avait jusque là flairé la partie du banc, s'y glissa avec gourmandise et finesse, faisant reluire une main gauche qui, elle, n'avait sans doute pas été assez " scoutée " par le staff adverse. Il allait laisser une jolie trace jusqu'au repos apportant 9 points d'un trait pour expédier l'Elan à plus douze (34-22, 16e).
" On a très bien débuté, en jouant avec intensité, avec un gros travail de rebond. On a su maintenir cet état d'esprit trente minutes, le banc a beaucoup apporté, surtout avec des joueurs comme Greer, Bauer, Wright qui ne s'était pourtant quasiment pas entraîné avec nous. Malheureusement, nos cinq dernières minutes n'ont pas maintenu le niveau défensif ", confessait le technicien béarnais.
" On ne veut pas se contenter de jouer, on veut gagner, on n'a pas le choix, on va continuer à travailler. Ian (Mahinmi) ? Non, ses fautes ne sont pas un problème majeur même s'il en fait une stupide. Il nous a donné une grande première mi-temps ".
Mais cela n'a pas suffi. Navarro ramenait le Barça, dans des eaux moins troubles à la pause (38-33).
Les Catalans trouvaient du jeu rapide, la mène et la défense agressive de Ukic, des ouvertures à trois points, qui, heureusement pour Pau, faisaient encore le plus souvent long feu dans le troisième quart (2/11).
Gianluca Basile, à 6,25m justement, arrachait tout de même un premier avantage catalan (46-47, 29e).
Lakovic trépignait déjà, lui qui aime tant jouer les killers de la dernière heure sur ce parquet-là...
(Source : L'EQUIPE)
" La dure loi du Barça "
PAU-ORTHEZ - BARCELONE. Courageux et efficaces, les Palois ont mené pendant plus de trente minutes. Mais la classe et la puissance des Catalans a fait la différence dans le money-time.
Détermination. Le Palois Miles échappe au Barcelonais Trias.
EUROLIGUE (1ere JOURNEE)
Les Palois n'ont pas manqué leur entrée sur la scène européenne, hier soir sur leur parquet, et pourtant ils ont perdu. Quand ils se retourneront sur ces quarante premières minutes d'Euroligue, les hommes de Gordon Herbert ne trouveront pas grand chose à se reprocher. L'envie, la fierté, le courage, tout y était. Face à un autre que Barcelone, ce serait sans doute passé, mais la formation catalane est vraiment d'une classe supérieure. Au point que l'on pouvait craindre que, trois jours seulement après avoir validé son acte de naissance, à Villeurbanne, l'Elan ne soit encore trop jeune, trop frais, trop frêle pour s'attaquer à un cador comme celui-là.
Pivot-taureau. Mais il suffisait de voir, dès les premiers ballons, la hargne que mettait Ian Mahinmi à s'attaquer à la montagne pour comprendre que les Palois, eux, ne se posaient pas de question. L'ancien Havrais, pas encore 20 ans, signait les deux premiers points, puis escaladait les 213 cm de Mario Kasun pour écraser un poster-dunk à donner le frisson. Oui, l'Elan était là pour combattre, pas pour se coucher. Coriace en défense, il préférait donner des lancers aux Catalans plutôt que leur concéder des paniers faciles. Résultat, le Barça devait se contenter d'un tir lointain de Rodrigo de la Fuente pendant les sept premières minutes (6-1 puis 11-4).
Les Catalans, eux, avaient pris l'option de chasser plus loin de leur cercle, imposant une grosse pression sur Aaron Miles puis Xane d'Almeida et CC Harrison, soumis à de prises à deux étouffantes. Le temps de s'adapter, l'Elan se trouvait rejoint au score (13-13). Mais il repartait plein gaz avec un contre énormissime de Thierry Rupert sur Fran Vazquez, pourtant vaillamment parti au dunk, et deux paniers primés de Mike Bauer et Xane d'Almeida (23-17).
Sur le bord de touche, Dusko Ivanovic était déjà au bord de la crise de nerfs. Gordon Herbert, lui, trouvait encore des solutions. Dans le deuxième quart-temps, elle portait le nom de Michael Wright. Fraîchement débarqué et pas encore au fait des formes de jeu paloises, l'Américain faisait simple, appelant le ballon dans le peinture pour imposer son registre de pivot-taureau: un coup de hanches ici, un coup d'épaule là et le ménage était fait. Ses neufs points en six minutes avaient offert un joli matelas (34-22) que l'infatigable scoreur qu'est Juan-Carlos Navarro se chargeait de dégonfler avant le retour au vestiaires (38-33).
Navarro, la classe. Les dix minutes de pause n'avaient pas refroidi le champion du monde de Saitama: un nouveau triple et deux paniers de Marconato rapprochaient le Barça à 41-40. L'Elan en danger, Bauer se chargeait de le rassurer avec un tir derrière la ligne des 6,25 m et un autre shoot de loin (46-42). Mais les Catalans sortaient le fusil à lunettes: Gianluca Basile, de loin, leur donnait pour la première fois l'avantage (46-47, 29e). Les Palois revenaient au courage, avec Wright et encore Bauer (52-49 puis 55-53).
Mais dans le dernier quart-temps, le Barça faisait parler sa puissance, avec Marconato sous les cercles, et sa classe avec son trio d'arrières. Basile, à trois points, redonnait l'avantage aux Catalans (55-56) et l'égalisation de Greer sonnait le chant du cygne pour l'Elan qui n'allait plus réussir à trouver le chemin du panier les trois minutes suivantes. Lakovic, lui, traçait deux pénétration victorieuses, frappait derrière les 6,25 m et pouvait laisser à Navarro (bomba plus deux lancers) le soin de porter le coup fatal. Les Palois s'étaient montrés braves, mais le Barça était tout simplement plus fort.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Barcelone de sang-froid "
S'il y a des défaites qui valent une victoire, celle-ci ene st une. L'Elan, transfiguré, a longtemps menacé les favoris. L'hiver sera peut-être moins rude.
Impossible de s'en tenir au seul résultat de ce match d'ouverture qui a permis de célébrer, dans une allégresse retrouvée, la 30e saison européenne de l'Elan.
Barcelone s'est certes imposé pour la 9e fois consécutive face au club béarnais mais la longueur de la série traduit bien mal les très nets progrès montrés hier soir par une équipe paloise qui avait retrouvé la flamme en même temps qu'une véritable hiérarchie placée au service d'un collectif enfin digne de ce nom.
Oui, cet Elan portait beau, même battu. Et s'il ne change rien à ces nouvelles dispositions, l'objectif avoué de décrocher au moins quatre succès européens cet hiver au Palais des Sports n'a rien d'un utopie.
Tout pour plaire. Soyons honnêtes : l'Elan a longtemps comblé d'aise une arène surprise par la qualité d'engagement et la discipline de cette équipe paloise que l'on ne croyait pas capable de hausser ainsi son niveau de jeu. Les Catalans, qui ont démarré avec Navarro sur le banc, non plus.
[center]" Le grand Barça pris à la gorge "[/center]
Surpris , pris à la gorge, méchamment secoué au rebond (25-14 à la pause), le grand Barça a d'abord vu Mahinmi prendre le cercle d'assaut. Quatre points du grand Ian puis une flèche empoisonnée décrochée par un très sobre Harrison et, déjà, l'invité prestigieux semblait dans les cordes (11-4, 4e). De leurs cinq premières possessions, les hommes d'Ivanovic n'avaient retiré qu'un maigre lancer mais , bien sûr, la belle affaire ne pouvait en rester là. Ainsi voyait-on d'abord Barcelone imposer plusieurs tours de vis en défense, installer une presse tout-terrain des plus mordantes puis, peu à peu, déployer un efficace jeu de passes. Navarro se chargeait de l'égalisation (13-13; 7e) mais l'Elan remontait aussitôt en température près le contre assourdissant posé par Rupert sur Vasquez. Un modèle du genre !
Un vrai message sur lequel il fallait lire aussi toute la détermination béarnaise concrétisée au tableau par deux paniers primés consécutifs signés Bauer et d'Almeida (23-17). A ce stade de l'empoignade, la puissance du banc catalan allait commencer à jouer un rôle, à l'intérieur notamment ou le champion d'Europe 2003 est équipé comme un panzer.
[center]" Bauer , du sol au plafond "[/center]
Mais, autre divine surprise de la soirée, l'Elan n'avait pas à rougir de ses rotations. Au-delà du cas de Mike Bauer, qui a vraiment tout pour devenir la coqueluche du Palais, on pense ici à Michael Wright.
A peine descendu de l'avion, appelé au relais de Mahinmi bientôt rattrapé par ses pêchés de jeunesse (4 fautes en 23 minutes), l'Américain aux bras puissants faisait parler sa force.
Doté de jolis mouvements, il amenait un véritable impact. Ses neuf points, inscrits en six petites minutes, fichaient surtout une belle pagaille dans la défense espagnole, permettant à l'Elan de surfer sur son avance maximale (12 points ; 34-22, 15e).
[center]" Et Lakovic en spécialiste "[/center]
Seul bémol dans ce joli concert : J.C Navarro avait remis la main sur sa partition préférée, celle de " l'assassin silencieux ". Ses 12 points, bientôt suivi d'autres, permettaient à Barcelone de garder Pau-Orthez en joue (38-33, 20e), puis se faire plus menaçant encore (46-47, 28e).
Dans l'intervalle, l'Elan et l' "energizer " Bauer n'avaient pourtant pas laissé leur part au chien. Présent sur toutes les lignes de stats, efficace de près comme de loin, l'ancien joueur roannais rentrait des shoots loin d'être acquis (40-36). Il faisait lever la salle en plusieurs occasions mais Barcelone, pris d'aveuglement pendant plusieurs minutes (2 sur 9 à 3 points), restait d'autant plus dans la partie que Basile retrouvait le niveau d'adresse qui a fait sa réputation.
Il allait donc falloir vivre cette soirée d'ouverture les yeux dans les yeux, cap à cap, sans peur ni reproches à venir. Basile, dans un geste de grande classe, se retournait pour planter de loin un premier poignard (55-56, 33e).
La suite était une affaire de spécialistes, d'animaux à sang-froid avec comme chef de cordée cette petite peste nommée Lakovic.
L'Elan s'était alors peut-être mis un inutile surcroît de pression, il touchait aussi à la limite de ses possibilités déjà largement repoussées. Et c'est justement dans ces moments-là, quand se joue l'essentiel, que le meneur Slovène de Barcelone est régulièrement touché par la grâce. Auteur de neuf points dans les trois dernières minutes, il faisait la décision presque à lui seul (59-68, 39e) tandis que Gordon Herbert tardait un peu à prendre son temps-mort. Le mal était fait, la logique somme toute respectée. Mais, en lisant entre les lignes de ce match perdu, l'Elan y trouvera sûrement son bonheur.
" Dans les vestiaires d'Elan - Barcelone "
Déçus d'avoir perdu leur première rencontre à domicile, les Palois retenaient des points positifs.
Ils ont tellement cru à l'exploit, les joueurs de l'Elan, qu'ils se révélaient forcément déçus dans les vestiaires.
Une déception toutefois atténuée par bien des promesses, d'autant que deux joueurs arrivent à peine dans le collectif.
Pour débuter sa campagne européenne, Pau-Orthez a affiché des vertus.
Pierre Seillant : " On était si près, si loin. Je félicite toute l'équipe et tout le staff, ce match nous a réconciliés avec le public qui a vu un spectacle digne de l'Euroligue.
On a tout donné et je n'ai rien à reprocher aux joueurs. Ce qui nous manque à la fin, c'est un peu de cohésion et de vécu ensemble ce qui est normal avec un meneur arrivé la semaine dernière et un pivot qui n'avait pas un seul entraînement collectif à son actif.
Les joueurs majeurs du Barça que sont Navarro et Lakovic ont fait la différence mais nous n'avons pas à rougir, au contraire.
L'équipe est en train de se construire définitivement. Vu notre calendrier, on va manger notre pain noir e début de compétition mais en progressant. Dans quelque temps, il faudra compter avec nous ".
Gordon Herbert : " On a très bien commencé, avec beaucoup d'intensité. On défend bien pendant trente minutes avant de se relâcher. On manque quelques shoots dans les cinq dernières minutes, c'est ce qui nous coûte le match.
On est déçu parce qu'on est persuadé qu'on pouvait gagner. On va s'améliorer avec un banc qui ce soir a été très efficace. Bauer, d'Almeida, Greer et Wright, qui nous découvrait, ont vraiment bien joué.
Mahinmi a joué très dur, c'est normal qu'il prenne des fautes pare qu'on lui avait demandé de jouer agressif. Il faudra qu'il apprenne à éviter les fautes inutiles ".
Thierry Rupert : " On s'est bien battu, il ne manque pas grand-chose mais en terme de résultat, c'est une grosse déception pour nous. Barcelone a eu un peu plus d'expérience pour tuer le match quand il fallait ".
Xane d'Almeida : " On est longtemps restés les yeux dans les yeux avec le Barça qui, je pense, était à notre portée. On est bien sûr, un peu déçu du résultat mais on a montré de bonnes choses, c'est intéressant ".
Michael Wright : " Ce n'était pas évident de participer à ce match à peine arrivé, surtout que je n'avais pas joué depuis quatre semaines. On a raté le coche mais je pense que l'on a une bonne équipe ".
Ian Mahinmi : " Barcelone, dessous, c'était plus lourd, plus lent que nos adversaires du championnat de France. J'ai essayé de jouer sur mon atout qu'est la vitesse et ça m'a sourit en début de rencontre.
Aaron Miles a été bon dans la gestion du jeu, Mike Bauer nous a beaucoup apporté. Ce match nous laisse des regrets.
Sur les cinq dernières minutes, des joueurs clés comme Navarro, Lakovic et Basile nous ont vraiment fait mal. Nous, on n'a pas pris les bons shoots, on a manqué quelques rebonds importants. Cela aurait été vraiment bien de s'imposer à domicile car on sait qu'en Euroligue, il est difficile de gagner à l'extérieur ".
Dusko Ivanovic : " Pau a très bien débuté le match avec un jeu intérieur qui m'a surpris. Mahinmi, à lui seul, a donné confiance à son équipe tandis que Bauer a shotté extérieur.
Nous, nous sommes toujours restés dans le match grâce à notre défense. Kakiousis était dans le cinq majeur mais il m'a semblé perdu. A l'intérieur, son association avec Vasquez ne fonctionne pas bien.
En seconde mi-temps, Ukic a très bien conduit l'équipe et Lakovic très bien fini. Pau a livré un très bon match mais on mérite cette victoire ".
(Source : La République des Pyrénées)
Stats du match : http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=11
(Source : http://www.euroleague.net)
En tête durant les trois quart de la rencontre, Pau a finalement cédé dans les dernières minutes (66-72) face au Barcelone de Juan Carlos Navarro (23 points). Mais la prestation globale de l’Elan est encourageante pour la suite de l’Euroligue.
Ian Mahinmi et Pau ont fait douter le Barça avant de s'incliner.
Les cinq dernières minutes
Il n’aura pas manqué grand chose à Pau pour débuter l’Euroligue 2006-2007 par une victoire. Dans un Palais des Sports copieusement garni (6500 spectateurs), les Béarnais ont longtemps joué les yeux dans les yeux avec Barcelone. Et même plus que ça encore. Partis sur les chapeaux de roue (11-4, 5e), les hommes de Gordon Herbert ont sérieusement bousculé les Catalans durant la première période pour compter jusqu’à 12 longueurs d’avance (34-22, 16e), grâce à leur nouvel intérieur, Michael Wright. Qualifié in-extremis pour ce match et n’ayant disputé aucun entraînement avec ses coéquipiers, l’Américain a montré de bien belles choses en sortant du banc dans le deuxième quart-temps pour aligner 9 points consécutifs (14 au final). Pas encore chaud jusque-là, la star du Barça, Juan Carlos Navarro sortait alors de sa boîte. Deux tirs primés et quelques lancers francs du champion du monde espagnol remettaient ainsi son équipe sur les bons rails à la pause (38-33, 20e).
Mais Pau insistait au retour des vestiaires. Mike Bauer (17 points) trouvait régulièrement la faille pour offrir 6 longueurs d’avance aux siens (46-40). Dusko Ivanovic demandait alors à ses joueurs de resserrer la défense. Aussitôt dit, aussitôt fait. Pau ne trouvait plus la cible et Barcelone enquillait un 7-0 pour prendre l’avantage pour la première fois de la partie (46-47, 29e). Les deux équipes se rendaient alors coup pour coup, Greer répondant à Basile pour redonner l’avantage à Pau (55-56). L’exploit était à portée de mains. Malheureusement pour les Béarnais, Jaka Lakovic sortait alors de sa torpeur pour s’emparer des clés du match dans le money time. Le Slovène inscrivait 9 des 15 derniers points de son équipe et impulsait un 11-2 rédhibitoire dans les cinq dernières minutes. Sans essence dans le moteur, Pau ne parvenait pas à endiguer ce finish des Espagnols et devait finalement s’incliner (66-72).
Des raisons d’espérer
Une défaite qui, trois jours après un beau succès à Villeurbanne, s’apparentait à une demi-victoire dans les propos béarnais d’après-match. «Nous avons été très intenses pendant un gros quart d’heure, puis bon pendant une demi-heure, on a manqué de gaz dans les dix dernières minutes… Les cinq dernières minutes nous sont fatales, ils ont mis de gros shoots, pas nous. Mais on ne peut pas reprocher aux garçons de ne pas s’être battus au rebond et dans le combat», se félicitait Gordon Herbert qui, peu à peu, semble trouver la bonne formule. «On a manqué de force dans le final mais aussi de vécu collectif. Notre meneur et notre pivot sont trop neufs encore. Mais je retiens que l’on s’est réconcilié avec le public qui n’a rien à nous reprocher et qui ne nous a rien reproché», renchérit Pierre Seillant sans doute rassuré de voir que son équipe tenait la route, après avoir craint la veille d’être ridicule. Meilleur marqueur palois de la rencontre, Mike Bauer résumait finalement parfaitement la soirée en indiquant que «la différence se fait sur l’expérience du haut niveau.» Les Palois peuvent se consoler en se disant qu’ils ne tomberont pas toutes les semaines sur Barcelone. Et s’ils parviennent à reproduire ce genre de match lors des 13 prochaines rencontres d’Euroligue, à commencer par la semaine prochaine à Fenerbahçe, il n’est pas illusoire de rêver du Top 16.
(Source : http://www.sport24.com)
" L'Elan coince sur la fin "
Les Palois ont livré une partie solide mais n'ont pu contenir jusqu'au bout des Catalans devenus plus tranchants.
PAU N'A PAS REUSSI à lancer victorieusement sa trentième campagne européenne d'affilée. Le vainqueur de l'Euroligue 2003 a finalement dicté sa loi de ce côté des Pyrénées (66-72), même si son coach, Dusko Ivanovic, ne travaille pas actuellement avec un effectif qui le réjouisse. Mais malgrè ses soucis - soucis de nati à vrai dire - , l'expérience et le talent ont parlé. " Pau m'a surpris avec son jeu intérieur, un Mahinmi très agressif au début. Et bauer l'a bien relayé ensuite à l'extérieur ", concédait le technicien du Barça.
" Mais nous sommes restés dans le match et en deuxième période, notre défense nous a bien portés. On a mérité la victoire même si Pau a livré une belle partie. On a fondé de gros espoirs cette saison sur notre raquette avec Vasquez et Kasun mais actuellement, cela ne fonctionne pas. Kasun ne méritait pas de jouer plus (3'), c'est lui qui a fait briller Pau au début, et Kakiousis (6') n'en a pas montré beaucoup plus. Mais c'est vrai qu'en revanche, nos deux meneurs ont été bien, Ukic a su peser dans le dernier quart et Lakovic a été impeccable pour conclure ".
A 57 partout (35e), le Slovène joua en effet le plomb, offrant 9 des 15 derniers points espagnols. Avec l'agressivité de Juan Carlos Navarro (23 pts) et l'appoint de Jordi Trias (11 pts), Barcelone trouva ainsi de quoi entrer de bon pied dans une compétition dont son effectif a depuis longtemps fait son miel.
Au coup d'envoi, les seuls Marconato, Basile et Navarro, largement utilisés eux, totalisaient 349 matches d'Euroligue selon le guide média de la compétition...contre 117 à toute l'équipe de Pau. On veut croire que ce ne fut pas tout à fait neutre dans ce débat que les Béarnais affrontèrent toutefois avec un coeur énorme et une cohérence pas si ridicule que cela.
D'emblée , la défense béarnaise planta ses crocs dans les mollets d'un cinq catalan à profil bas donc : sans Navarro, ni Vasquez ou Kakiousis....Ian Mahinmi laissait de gros impacts sur le poste cinq, Britton Johnsen libérait une fureur rouqine digne d'un Celtic bien né et Pau lançait joliment ses dés (11-4, 5e) avant qu'Ivanovic ne réveille ses troupes en demandant une zone press bien haute, des trappes bien hargneuses.
La " Bomba " Navarro déboulait alors dans le jeu (8e) mais alors que Jordi Trias poussait ses feux (7 pts, 17-17, 9e), Xane d'Almeida et Mike Bauer - très présent lui aussi - relançaient à mi-distance et Gordon Herbert reprenait la main en envoyant au feu Michael Wright au relais de Thierry Rupert à l'attaque de deuxième quart.
[center]" Wright fait des siennes "[/center]
Très vite, l'intérieur US, qui avait jusque là flairé la partie du banc, s'y glissa avec gourmandise et finesse, faisant reluire une main gauche qui, elle, n'avait sans doute pas été assez " scoutée " par le staff adverse. Il allait laisser une jolie trace jusqu'au repos apportant 9 points d'un trait pour expédier l'Elan à plus douze (34-22, 16e).
" On a très bien débuté, en jouant avec intensité, avec un gros travail de rebond. On a su maintenir cet état d'esprit trente minutes, le banc a beaucoup apporté, surtout avec des joueurs comme Greer, Bauer, Wright qui ne s'était pourtant quasiment pas entraîné avec nous. Malheureusement, nos cinq dernières minutes n'ont pas maintenu le niveau défensif ", confessait le technicien béarnais.
" On ne veut pas se contenter de jouer, on veut gagner, on n'a pas le choix, on va continuer à travailler. Ian (Mahinmi) ? Non, ses fautes ne sont pas un problème majeur même s'il en fait une stupide. Il nous a donné une grande première mi-temps ".
Mais cela n'a pas suffi. Navarro ramenait le Barça, dans des eaux moins troubles à la pause (38-33).
Les Catalans trouvaient du jeu rapide, la mène et la défense agressive de Ukic, des ouvertures à trois points, qui, heureusement pour Pau, faisaient encore le plus souvent long feu dans le troisième quart (2/11).
Gianluca Basile, à 6,25m justement, arrachait tout de même un premier avantage catalan (46-47, 29e).
Lakovic trépignait déjà, lui qui aime tant jouer les killers de la dernière heure sur ce parquet-là...
(Source : L'EQUIPE)
" La dure loi du Barça "
PAU-ORTHEZ - BARCELONE. Courageux et efficaces, les Palois ont mené pendant plus de trente minutes. Mais la classe et la puissance des Catalans a fait la différence dans le money-time.
Détermination. Le Palois Miles échappe au Barcelonais Trias.
EUROLIGUE (1ere JOURNEE)
Les Palois n'ont pas manqué leur entrée sur la scène européenne, hier soir sur leur parquet, et pourtant ils ont perdu. Quand ils se retourneront sur ces quarante premières minutes d'Euroligue, les hommes de Gordon Herbert ne trouveront pas grand chose à se reprocher. L'envie, la fierté, le courage, tout y était. Face à un autre que Barcelone, ce serait sans doute passé, mais la formation catalane est vraiment d'une classe supérieure. Au point que l'on pouvait craindre que, trois jours seulement après avoir validé son acte de naissance, à Villeurbanne, l'Elan ne soit encore trop jeune, trop frais, trop frêle pour s'attaquer à un cador comme celui-là.
Pivot-taureau. Mais il suffisait de voir, dès les premiers ballons, la hargne que mettait Ian Mahinmi à s'attaquer à la montagne pour comprendre que les Palois, eux, ne se posaient pas de question. L'ancien Havrais, pas encore 20 ans, signait les deux premiers points, puis escaladait les 213 cm de Mario Kasun pour écraser un poster-dunk à donner le frisson. Oui, l'Elan était là pour combattre, pas pour se coucher. Coriace en défense, il préférait donner des lancers aux Catalans plutôt que leur concéder des paniers faciles. Résultat, le Barça devait se contenter d'un tir lointain de Rodrigo de la Fuente pendant les sept premières minutes (6-1 puis 11-4).
Les Catalans, eux, avaient pris l'option de chasser plus loin de leur cercle, imposant une grosse pression sur Aaron Miles puis Xane d'Almeida et CC Harrison, soumis à de prises à deux étouffantes. Le temps de s'adapter, l'Elan se trouvait rejoint au score (13-13). Mais il repartait plein gaz avec un contre énormissime de Thierry Rupert sur Fran Vazquez, pourtant vaillamment parti au dunk, et deux paniers primés de Mike Bauer et Xane d'Almeida (23-17).
Sur le bord de touche, Dusko Ivanovic était déjà au bord de la crise de nerfs. Gordon Herbert, lui, trouvait encore des solutions. Dans le deuxième quart-temps, elle portait le nom de Michael Wright. Fraîchement débarqué et pas encore au fait des formes de jeu paloises, l'Américain faisait simple, appelant le ballon dans le peinture pour imposer son registre de pivot-taureau: un coup de hanches ici, un coup d'épaule là et le ménage était fait. Ses neufs points en six minutes avaient offert un joli matelas (34-22) que l'infatigable scoreur qu'est Juan-Carlos Navarro se chargeait de dégonfler avant le retour au vestiaires (38-33).
Navarro, la classe. Les dix minutes de pause n'avaient pas refroidi le champion du monde de Saitama: un nouveau triple et deux paniers de Marconato rapprochaient le Barça à 41-40. L'Elan en danger, Bauer se chargeait de le rassurer avec un tir derrière la ligne des 6,25 m et un autre shoot de loin (46-42). Mais les Catalans sortaient le fusil à lunettes: Gianluca Basile, de loin, leur donnait pour la première fois l'avantage (46-47, 29e). Les Palois revenaient au courage, avec Wright et encore Bauer (52-49 puis 55-53).
Mais dans le dernier quart-temps, le Barça faisait parler sa puissance, avec Marconato sous les cercles, et sa classe avec son trio d'arrières. Basile, à trois points, redonnait l'avantage aux Catalans (55-56) et l'égalisation de Greer sonnait le chant du cygne pour l'Elan qui n'allait plus réussir à trouver le chemin du panier les trois minutes suivantes. Lakovic, lui, traçait deux pénétration victorieuses, frappait derrière les 6,25 m et pouvait laisser à Navarro (bomba plus deux lancers) le soin de porter le coup fatal. Les Palois s'étaient montrés braves, mais le Barça était tout simplement plus fort.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Barcelone de sang-froid "
S'il y a des défaites qui valent une victoire, celle-ci ene st une. L'Elan, transfiguré, a longtemps menacé les favoris. L'hiver sera peut-être moins rude.
Impossible de s'en tenir au seul résultat de ce match d'ouverture qui a permis de célébrer, dans une allégresse retrouvée, la 30e saison européenne de l'Elan.
Barcelone s'est certes imposé pour la 9e fois consécutive face au club béarnais mais la longueur de la série traduit bien mal les très nets progrès montrés hier soir par une équipe paloise qui avait retrouvé la flamme en même temps qu'une véritable hiérarchie placée au service d'un collectif enfin digne de ce nom.
Oui, cet Elan portait beau, même battu. Et s'il ne change rien à ces nouvelles dispositions, l'objectif avoué de décrocher au moins quatre succès européens cet hiver au Palais des Sports n'a rien d'un utopie.
Tout pour plaire. Soyons honnêtes : l'Elan a longtemps comblé d'aise une arène surprise par la qualité d'engagement et la discipline de cette équipe paloise que l'on ne croyait pas capable de hausser ainsi son niveau de jeu. Les Catalans, qui ont démarré avec Navarro sur le banc, non plus.
[center]" Le grand Barça pris à la gorge "[/center]
Surpris , pris à la gorge, méchamment secoué au rebond (25-14 à la pause), le grand Barça a d'abord vu Mahinmi prendre le cercle d'assaut. Quatre points du grand Ian puis une flèche empoisonnée décrochée par un très sobre Harrison et, déjà, l'invité prestigieux semblait dans les cordes (11-4, 4e). De leurs cinq premières possessions, les hommes d'Ivanovic n'avaient retiré qu'un maigre lancer mais , bien sûr, la belle affaire ne pouvait en rester là. Ainsi voyait-on d'abord Barcelone imposer plusieurs tours de vis en défense, installer une presse tout-terrain des plus mordantes puis, peu à peu, déployer un efficace jeu de passes. Navarro se chargeait de l'égalisation (13-13; 7e) mais l'Elan remontait aussitôt en température près le contre assourdissant posé par Rupert sur Vasquez. Un modèle du genre !
Un vrai message sur lequel il fallait lire aussi toute la détermination béarnaise concrétisée au tableau par deux paniers primés consécutifs signés Bauer et d'Almeida (23-17). A ce stade de l'empoignade, la puissance du banc catalan allait commencer à jouer un rôle, à l'intérieur notamment ou le champion d'Europe 2003 est équipé comme un panzer.
[center]" Bauer , du sol au plafond "[/center]
Mais, autre divine surprise de la soirée, l'Elan n'avait pas à rougir de ses rotations. Au-delà du cas de Mike Bauer, qui a vraiment tout pour devenir la coqueluche du Palais, on pense ici à Michael Wright.
A peine descendu de l'avion, appelé au relais de Mahinmi bientôt rattrapé par ses pêchés de jeunesse (4 fautes en 23 minutes), l'Américain aux bras puissants faisait parler sa force.
Doté de jolis mouvements, il amenait un véritable impact. Ses neuf points, inscrits en six petites minutes, fichaient surtout une belle pagaille dans la défense espagnole, permettant à l'Elan de surfer sur son avance maximale (12 points ; 34-22, 15e).
[center]" Et Lakovic en spécialiste "[/center]
Seul bémol dans ce joli concert : J.C Navarro avait remis la main sur sa partition préférée, celle de " l'assassin silencieux ". Ses 12 points, bientôt suivi d'autres, permettaient à Barcelone de garder Pau-Orthez en joue (38-33, 20e), puis se faire plus menaçant encore (46-47, 28e).
Dans l'intervalle, l'Elan et l' "energizer " Bauer n'avaient pourtant pas laissé leur part au chien. Présent sur toutes les lignes de stats, efficace de près comme de loin, l'ancien joueur roannais rentrait des shoots loin d'être acquis (40-36). Il faisait lever la salle en plusieurs occasions mais Barcelone, pris d'aveuglement pendant plusieurs minutes (2 sur 9 à 3 points), restait d'autant plus dans la partie que Basile retrouvait le niveau d'adresse qui a fait sa réputation.
Il allait donc falloir vivre cette soirée d'ouverture les yeux dans les yeux, cap à cap, sans peur ni reproches à venir. Basile, dans un geste de grande classe, se retournait pour planter de loin un premier poignard (55-56, 33e).
La suite était une affaire de spécialistes, d'animaux à sang-froid avec comme chef de cordée cette petite peste nommée Lakovic.
L'Elan s'était alors peut-être mis un inutile surcroît de pression, il touchait aussi à la limite de ses possibilités déjà largement repoussées. Et c'est justement dans ces moments-là, quand se joue l'essentiel, que le meneur Slovène de Barcelone est régulièrement touché par la grâce. Auteur de neuf points dans les trois dernières minutes, il faisait la décision presque à lui seul (59-68, 39e) tandis que Gordon Herbert tardait un peu à prendre son temps-mort. Le mal était fait, la logique somme toute respectée. Mais, en lisant entre les lignes de ce match perdu, l'Elan y trouvera sûrement son bonheur.
" Dans les vestiaires d'Elan - Barcelone "
Déçus d'avoir perdu leur première rencontre à domicile, les Palois retenaient des points positifs.
Ils ont tellement cru à l'exploit, les joueurs de l'Elan, qu'ils se révélaient forcément déçus dans les vestiaires.
Une déception toutefois atténuée par bien des promesses, d'autant que deux joueurs arrivent à peine dans le collectif.
Pour débuter sa campagne européenne, Pau-Orthez a affiché des vertus.
Pierre Seillant : " On était si près, si loin. Je félicite toute l'équipe et tout le staff, ce match nous a réconciliés avec le public qui a vu un spectacle digne de l'Euroligue.
On a tout donné et je n'ai rien à reprocher aux joueurs. Ce qui nous manque à la fin, c'est un peu de cohésion et de vécu ensemble ce qui est normal avec un meneur arrivé la semaine dernière et un pivot qui n'avait pas un seul entraînement collectif à son actif.
Les joueurs majeurs du Barça que sont Navarro et Lakovic ont fait la différence mais nous n'avons pas à rougir, au contraire.
L'équipe est en train de se construire définitivement. Vu notre calendrier, on va manger notre pain noir e début de compétition mais en progressant. Dans quelque temps, il faudra compter avec nous ".
Gordon Herbert : " On a très bien commencé, avec beaucoup d'intensité. On défend bien pendant trente minutes avant de se relâcher. On manque quelques shoots dans les cinq dernières minutes, c'est ce qui nous coûte le match.
On est déçu parce qu'on est persuadé qu'on pouvait gagner. On va s'améliorer avec un banc qui ce soir a été très efficace. Bauer, d'Almeida, Greer et Wright, qui nous découvrait, ont vraiment bien joué.
Mahinmi a joué très dur, c'est normal qu'il prenne des fautes pare qu'on lui avait demandé de jouer agressif. Il faudra qu'il apprenne à éviter les fautes inutiles ".
Thierry Rupert : " On s'est bien battu, il ne manque pas grand-chose mais en terme de résultat, c'est une grosse déception pour nous. Barcelone a eu un peu plus d'expérience pour tuer le match quand il fallait ".
Xane d'Almeida : " On est longtemps restés les yeux dans les yeux avec le Barça qui, je pense, était à notre portée. On est bien sûr, un peu déçu du résultat mais on a montré de bonnes choses, c'est intéressant ".
Michael Wright : " Ce n'était pas évident de participer à ce match à peine arrivé, surtout que je n'avais pas joué depuis quatre semaines. On a raté le coche mais je pense que l'on a une bonne équipe ".
Ian Mahinmi : " Barcelone, dessous, c'était plus lourd, plus lent que nos adversaires du championnat de France. J'ai essayé de jouer sur mon atout qu'est la vitesse et ça m'a sourit en début de rencontre.
Aaron Miles a été bon dans la gestion du jeu, Mike Bauer nous a beaucoup apporté. Ce match nous laisse des regrets.
Sur les cinq dernières minutes, des joueurs clés comme Navarro, Lakovic et Basile nous ont vraiment fait mal. Nous, on n'a pas pris les bons shoots, on a manqué quelques rebonds importants. Cela aurait été vraiment bien de s'imposer à domicile car on sait qu'en Euroligue, il est difficile de gagner à l'extérieur ".
Dusko Ivanovic : " Pau a très bien débuté le match avec un jeu intérieur qui m'a surpris. Mahinmi, à lui seul, a donné confiance à son équipe tandis que Bauer a shotté extérieur.
Nous, nous sommes toujours restés dans le match grâce à notre défense. Kakiousis était dans le cinq majeur mais il m'a semblé perdu. A l'intérieur, son association avec Vasquez ne fonctionne pas bien.
En seconde mi-temps, Ukic a très bien conduit l'équipe et Lakovic très bien fini. Pau a livré un très bon match mais on mérite cette victoire ".
(Source : La République des Pyrénées)
Stats du match : http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=11
(Source : http://www.euroleague.net)
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didier labrit-badie
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Match vu à la télé.
Hier soir j'étais complétement abattu mais la nuit portant conseil je me dis qu'il y a beaucoup de choses positives à retirer.
Déjà l'ambiance: elle est super bien passée sur sport+ et les "E-LAN-BE-AR-NAIS" scandés quand le barça a égalisé faisaient chaud au coeur même si après le triplé de Lakovic tout s'est arrêté.
J'ai beaucoup aimé l'association Mahinmi-Rupert dans le cinq de départ, cette doublette est présente en défense et bouge trés bien en attaque. Miles a été provoquer dessous pour avoir des fautes je pense, bilan il s'est fait scotcher et n'a jamais obtenu de fautes. La clé est là pour moi: sans lancers-francs on ne peut gagner aucun match car l'adresse périphérique c'est bien mais mettre la pression sur des joueurs menacés d'élimination c'est mieux. Par contre quand il passe son adverse direct et qu'il s'arrête sur la ligne des lancers il peut marquer plus facilement(cf son panier vers la fin).
Pour Wright je dis qu'il faut surtout attendre car il n'a clairement pas été scouté et vous verrez que ses départs sur la gauche seront fortement contestés dès le prochain match car la vidéo va circuler(remember l'an dernier l'énorme premier match de CC à Belgrade) et là il lui faudra soit aller à droite soit ressortir ou obtenir la faute.
Ce qui était vraiment plaisant à voir c'est ce jeu de transition qui a permis de marquer quantité de points avant que la défense soit en place. Sur jeu placé là on n'a pas encore de domination et en défense placée on est parfois naïf dessous mais tout ça ne demande qu'à progresser.
Je comprends aussi l'attachement que l'on peut avoir pour Bauer, il a un enthousiasme hyper communicatif. D'ailleurs l'enthousiasme général du groupe fait plaisir à voir.
Ferchaud aurait du rentrer en 1ère mi-temps car après en seconde c'est trop tard pour un joueur qui n'a pas encore joué.
Je pense qu'Herbert aura beaucoup appris sur ce match et sa tristesse à la fin montre qu'il pouvait gagner et qu'il fera tout pour gagner dans le futur.
Pour moi l'Elan ne lachera aucun match à l'avenir. Dès la semaine prochaine va falloir ne pas prendre un éclat pour le goal average qui va être important. Une victoire étant bien évidemment du meilleur goût.
Allez, j'y crois à donf, on a une équipe et une équipe qui fait plaisir à voir.
Hier soir j'étais complétement abattu mais la nuit portant conseil je me dis qu'il y a beaucoup de choses positives à retirer.
Déjà l'ambiance: elle est super bien passée sur sport+ et les "E-LAN-BE-AR-NAIS" scandés quand le barça a égalisé faisaient chaud au coeur même si après le triplé de Lakovic tout s'est arrêté.
J'ai beaucoup aimé l'association Mahinmi-Rupert dans le cinq de départ, cette doublette est présente en défense et bouge trés bien en attaque. Miles a été provoquer dessous pour avoir des fautes je pense, bilan il s'est fait scotcher et n'a jamais obtenu de fautes. La clé est là pour moi: sans lancers-francs on ne peut gagner aucun match car l'adresse périphérique c'est bien mais mettre la pression sur des joueurs menacés d'élimination c'est mieux. Par contre quand il passe son adverse direct et qu'il s'arrête sur la ligne des lancers il peut marquer plus facilement(cf son panier vers la fin).
Pour Wright je dis qu'il faut surtout attendre car il n'a clairement pas été scouté et vous verrez que ses départs sur la gauche seront fortement contestés dès le prochain match car la vidéo va circuler(remember l'an dernier l'énorme premier match de CC à Belgrade) et là il lui faudra soit aller à droite soit ressortir ou obtenir la faute.
Ce qui était vraiment plaisant à voir c'est ce jeu de transition qui a permis de marquer quantité de points avant que la défense soit en place. Sur jeu placé là on n'a pas encore de domination et en défense placée on est parfois naïf dessous mais tout ça ne demande qu'à progresser.
Je comprends aussi l'attachement que l'on peut avoir pour Bauer, il a un enthousiasme hyper communicatif. D'ailleurs l'enthousiasme général du groupe fait plaisir à voir.
Ferchaud aurait du rentrer en 1ère mi-temps car après en seconde c'est trop tard pour un joueur qui n'a pas encore joué.
Je pense qu'Herbert aura beaucoup appris sur ce match et sa tristesse à la fin montre qu'il pouvait gagner et qu'il fera tout pour gagner dans le futur.
Pour moi l'Elan ne lachera aucun match à l'avenir. Dès la semaine prochaine va falloir ne pas prendre un éclat pour le goal average qui va être important. Une victoire étant bien évidemment du meilleur goût.
Allez, j'y crois à donf, on a une équipe et une équipe qui fait plaisir à voir.
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Chico
- Jeune Prospect
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- Enregistré le : 31 janv. 2005 18:36
- Localisation : pas très loin de Bobbylaguèpe
J'étais assez pessimiste avant le début de cette euroligue. Mais après avoir vu le match sur sport +, je me suis rassuré au moins pour la Pro A.
J'ai bien aimé le jeu intérieur de Pau : Mahinmi, comme disait quelqu'un très naif défensivement (quand on voit le bouchon qu'il met au meneur barcelonais pour sa quatrième faute) et le nouveau Wright, un peu à court de forme mais très intéressant. J'ai pu admirer un très bon Mike Bauer que je ne connaissais pas du tout et qui m'a surpris, un bon Greer.
Par contre je suis un peu déçu par Miles, j'espère seulement qu'il a besoin d'adaptation car il ne joue plus dans les ligues américaines où le un contre un est roi et les aides défensives n'existent pas, car hier il est souvent parti à l'aventure dans la raquette !! Je suis super déçu du nombre de rebonds offensifs qu'a pris Barcelone qui leur ont donné un nombre important de deuxième chance ainsi que par les aides défensives très limites des intérieurs (en particulier Johnssen).
Sinon, c'est encourageant pour la suite !
J'ai bien aimé le jeu intérieur de Pau : Mahinmi, comme disait quelqu'un très naif défensivement (quand on voit le bouchon qu'il met au meneur barcelonais pour sa quatrième faute) et le nouveau Wright, un peu à court de forme mais très intéressant. J'ai pu admirer un très bon Mike Bauer que je ne connaissais pas du tout et qui m'a surpris, un bon Greer.
Par contre je suis un peu déçu par Miles, j'espère seulement qu'il a besoin d'adaptation car il ne joue plus dans les ligues américaines où le un contre un est roi et les aides défensives n'existent pas, car hier il est souvent parti à l'aventure dans la raquette !! Je suis super déçu du nombre de rebonds offensifs qu'a pris Barcelone qui leur ont donné un nombre important de deuxième chance ainsi que par les aides défensives très limites des intérieurs (en particulier Johnssen).
Sinon, c'est encourageant pour la suite !
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Monstertruck64
- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
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Je crois surtout que c'est la defense barcelonaise (forte certes mais pas si impressionante que çà) qui a obligé Miles a aller au get-apens sous les panneaux. Il etait completement isolé du reste de l'equipe et n'avait pas beaucoup d'autres alternatives. Apres c'est vrai qu'il semble avoir les qualités d'appuis pour faire du Nick Galis mais encore faut il qu'il en ait un peu la place en haut de raquette. Nos joueurs sans ballon trop statiques ne le permettant pas enormement.. Mais bon, comme le dit le presi, cette equipe manque de "vecu" et c'est vrai qu'elle est quasi-neuve dans cette configuration.didier labrit-badie a écrit :. Miles a été provoquer dessous pour avoir des fautes je pense, bilan il s'est fait scotcher et n'a jamais obtenu de fautes. La clé est là pour moi: sans lancers-francs on ne peut gagner aucun match car l'adresse périphérique c'est bien mais mettre la pression sur des joueurs menacés d'élimination c'est mieux. Par contre quand il passe son adverse direct et qu'il s'arrête sur la ligne des lancers il peut marquer plus facilement(cf son panier vers la fin).
Le scouting a venir va certainement le gener mais ca restera un joueur difficile a bouger dans ses entreprises. Vu comme il reduit la distance en prenant appui sur les chaussettes de ses opposants, ils peuvent mettre en place toutes les tactiques qu'ils veulent a ce moment là, ils feront fautes au mieux. C'est vraiment le pivot où il faut jouer l'interception sur lui comme l'a fait Marconato en balaçant ses paluches devant (le rapport de taille a joué là..).didier labrit-badie a écrit :.Pour Wright je dis qu'il faut surtout attendre car il n'a clairement pas été scouté et vous verrez que ses départs sur la gauche seront fortement contestés dès le prochain match car la vidéo va circuler(remember l'an dernier l'énorme premier match de CC à Belgrade) et là il lui faudra soit aller à droite soit ressortir ou obtenir la faute.
Bon par contre c'est pas le joueur le plus sexy de la planete, quand il a le ballon on dirait Henri Leconte dans un jeu video basket gore sous champis hallucinogènes, mais c'est efficace! Et vu qu'a cette heure ci, il doit tout juste comprendre où il habite maintenant, le gars ne nous a pas encore montré toute la place qu'il peut prendre dans un match. Mais ca pourrait etre pas mal..
Ne faites rien, mais faites le bien..!
Il a peut etre aussi une equipe a manager le bonhomme et son message s'adresse certainement beaucoup plus à ses joueurs qu'on public bearnais dans ce cas.Karamasof a écrit :Ouais, à croire que l'on ai pas vu le même match.Monstertruck64 a écrit :Il n'est pas géné notre ami Dusko quand il dit " Pau a livré un très bon match mais on mérite cette victoire"
Ne faites rien, mais faites le bien..!
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Strasbourgeois !
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Strasbourgeois ! a écrit :Pendant ce temps, Le Mans aussi semble faire un gros match face à Bologne !
42-35 à la mi-temps pour les Manceaux. Encore une fois, la doublette Campbell -Gregory fait des merveilles.
Je viens de voir la fin de leur match...C'est impressionnant! Victoire autoritaire, avec un Nicevic étincelant (au moins 4 passes décisives en relation intérieur-intérieur de toute beauté, dont 2 pour des gros dunks), Bogavac est assez impressionnant, et Gregory est aussi trtès très fort.... Si ils continuent comme ça, ils vont être monstrueux en championnat!
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
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pascal64lons
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re
Très belle victoire du MSB 82/71 contre Bologne.
Très gros match de Gregory!!
Félicitations au MSB!!
Très gros match de Gregory!!
Félicitations au MSB!!
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didier labrit-badie
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Victoire du Mans 82-71, magnifique match sur un rythme up-tempo et même si la zone italienne(obliger l'adversaire à défendre en zone c'est déjà une victoire)gêne les sarthois en 2ème mi-temps ils n'ont pas craqué et quelques attaques rondement menées ont permis de recreuser l'écart. Vraiment bravo bravo Le Mans. C'est enthousiasmant tout ça...
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pascal64lons
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On verra ce qu'on est capable de faire contre Trévise .........
Belles perf des clubs français en EL malgré notre défaite. A ce stade de la compétition, on peut encore fantasmer sur 2 clubs français au top16!!
Belles perf des clubs français en EL malgré notre défaite. A ce stade de la compétition, on peut encore fantasmer sur 2 clubs français au top16!!