Un grand bravo a l'élan pour cette victoire assez nette qui va lui permettre de finir la phase de poule presque en roue libre et donc de se reconcentrer sur le championnat de France.
Hier soir, bonne prestations de la majorité des joueurs mais mention spéciale à 3 joueurs qui ne font pas habituellement l'unanimité:
- Ferchaud, pour son adresse bien sûr mais aussi pour sa défense plus que correcte.
- Miles, pour sa son match globalement sobre et efficace.
- Mahinmi, pour avoir su se reconcentrer et revenir dans le match après son départ miné par les fautes.
Mention très bien également à Gordy qui a bien fait tourner l'effectif (maxi 30 minutes de jeu pour Miles), profitant du bon soir de Ferchaud et du bon bizutage de Sanders pour économiser CC et Ricardo. Bravo aussi pour les lessons de défense qui semblent enfin être retenues par les joueurs. Laisser l'Aris (certes très maladroits à 3pts) à 62 pts juste après avoir limité Cholet à 56pts, c'est très encourageant pour la suite.
Merci l'élan !
[ 11 journée d'Euroleague ] E.B Pau-Orthez - Aris Salonique
Modérateurs : Joruus, Modérateurs
Ce qui m'a plu, ce sont les 37/24 pts à la mi-temps. Soit une moyenne de 74/48 sur le match. Du rarement vu!
Si nous avions défendu comme ça contre Trévise, ces derniers n'auraient jamais marqué 42 pts en tirs à 3 pts. Salonique a été étouffé par la défense de l'Elan, d'où leur maladresse.
Le score a même atteint un écart de 20 pts durant le passage du banc en milieu de 4° QT. Ça aussi pour le banc c'est du rarement vu.
Bref, tant qu'une défense sévère sera au RV, l'Elan n'aura aucun souci à se faire pour le championnat. A vérifier dimanche.
Si nous avions défendu comme ça contre Trévise, ces derniers n'auraient jamais marqué 42 pts en tirs à 3 pts. Salonique a été étouffé par la défense de l'Elan, d'où leur maladresse.
Le score a même atteint un écart de 20 pts durant le passage du banc en milieu de 4° QT. Ça aussi pour le banc c'est du rarement vu.
Bref, tant qu'une défense sévère sera au RV, l'Elan n'aura aucun souci à se faire pour le championnat. A vérifier dimanche.
JC Palois
"Toutes les opinions sont respectables. Bon! C'est vous qui le dites. Moi je dis le contraire. C'est mon opinion. Respectez la donc." J.Prévert
"Toutes les opinions sont respectables. Bon! C'est vous qui le dites. Moi je dis le contraire. C'est mon opinion. Respectez la donc." J.Prévert
Bon ne boudons pas notre plaisir du moment c'était vraiment bon hier soir au Palais!L'Aris s'est heurté à du béton défensif véritable clé du match ils finissent d'ailleurs à 62 avec un déchet assez important et un parlant 1/19 à 3 points.
Il ya eu du collectif Palois, de l'envie, de l'application et un banc dynamité.
Disons que le match fut tenu par l'Elan au scoring et dans l'intelligence de jeu avec en prime de très belles rotations et notamment une apparition rassurante de Melvin Sanders complètement dans le rythme dès hier soir. L'homme à proposé un aperçu plus que consistant: un shoot éclair rasant décoché comme une flèche mais surtout j'ai trouvé, un volume physique surprenant. Le gars est affûté les amis et le voyage ne l'a pas trop perturbé il semble vraiment en vouloir et je pense sincèrement que le Palais à été rassuré.
Jonhsen: de la présence, du jump mais comme parfois des petits "trous" d'air mais ne soyons pas dur il a oeuvré pour la victoire et sa taille est un atout pour capter les ballons.
Wright: bcp moins de ballons que d'ordinaire l'Aris a visiblement focalisé sur lui le désignant manifestement comme danger majeur. Dès lors il a du batailler ferme pour s'imposer et la lutte fut âpre mais le métier et le physique à parlé et l'érosion défensive Grec constatable au fur et à mesure. C'est une pièce maîtresse du jeu Palois désormais la raquette avec Wright c'est tout de même une belle assurance pour nous et il travaille pour le collectif vraiment que des éloges en ce qui me concerne.
CC: on pourrait retenir des saccades en début de rencontre dans la machine Harrison hier soir mais le Terminator à su dériver sur le circuit auxiliaire pour aligner la cible sur un tir destructeur au buzzer avant de regagner le vestiaire. Il dégage toujours autant de présence même dans la difficulté comme à un certain moment hier soir, il possède cette froide assurance de ceux qui ne doute malgré tout jamais. Un ou deux mauvais choix, du déchet au shoot... ok CC fait un reset général et électrise la salle façon "hasta la vista baby". Défense sangsue, et relai du coach c'est notre CC !
Greer: Ricardo fait le métier et même si j'étais un peu dubitatif sur son début de saison chez nous je dois reconnaître que plus je le regarde et plus je percois son travail de fond. Il est finalement l'expression du collectif et si il n'est pas toujours dans la lumière encore une fois hier soir il a fait le métier et il était fou de joie sur son banc à la fin parceque il y était c'est vrai pour quelque chose dans cette victoire. Reste un petit déchet au LF mais bon...
Miles: et bien voilà il fallait que ça arrive enfin...on va en dire bcp de bien...d'abord sur la mène pure il a hier soir proposé de bonnes choses, dans le rythme de ses partenaires et plus en décalage comme souvent jusqu'ici ses solutions furent éclairées et dynamiques. Son style était plaisant et fluide sur cette rencontre comme habité par une nouvelle confiance l'homme à surtout endossé l'habit difficile de celui qui décide de prendre la responsabilité à des moments clés. Du shoot banco souvent et une vraie bonne réussite qui évidement combla d'aise l'assistance
Parfois sur une ou deux séquences toujours cette petite précipitation mais franchement il a fait un bon match hier soir.Ferchaud: si il y a Luke la main froide il existe aussi Cédric la main chaude...un vrai brasier! Les Grecs n'avaient bien entendu pas inclu notre homme dans la liste des dangers potentiels Ferchaud s'est chargé d'inscrire son nom pour la prochaine fois. Une insolente réussite avec du coup donc des shoots ouverts et une cible marquée genre Robin des Bois. L'Aris s'est désintégré définitivement après le passage du vengeur des parquets et on voit une fois encore que la mise en confiance d'un scoreur comme lui est un sacré atout quand ça veut sourire. Une sortie de banc plus que réussie pour lui et du vécu qui va compter pour la suite de ses aventures chez nous.
Mahinmi: Une entrée comme souvent gâchée par une pluie de fautes qui "casse" son jeu et musèle un peu sa puissance physique et on se dit que mince il ne va pas encore pouvoir peser sur la rencontre comme on l'éspère...ce fut vrai...un temps et un temps seulement car on à eu droit à plusieurs séquences qui démontrent que le garçon n'est pas la par hasard. The destructeur notre Ian lorsqu'il rabaisse le panier pour le regarder droit dans ls yeux, ça fait mal à l'anneau mais pour le public que du bonheur! Sur la fin de rencontre il a pesé dans la raquette et apporté de la percussion pour enfoncer la dernière résistance Grec et quand il arrive lancé comme ça faut être certain de ne pas lire TGV sur l'avant pour se hasarder à traverser la voie d'autant qu'un train peut en cacher un autre.
Fred Fauthoux: le landais est sur le terrain comme dans le privé assurément généreux et son engagement dans l'arène hier soir ne souffrait d'aucune critique. La pression exercée par les Grecs sur lui était intelligente mais n'aura pas vraiment donnée de résultat puisque l'expérience et la roublardise c'est tout de même utile dans ce genre de match. Cerné il a eu du mal sur quelques ballons mais il en a aussi profité pour donner quelques passes bien senties et dans l'ensemble à assumé son rôle avec sérieux.
Mike Bauer: c'est dur d'exprimer tout le bien que l'on pense de ce joueur et de se dire en même temps que c'est un peu pour rien puisqu'il ne sera plus la très vite. Si quelqu'un est la manifestation de l'engagement et de la générosité sur le parquet chez nous je crois que c'est bien Mike. Il diffuse dans le groupe un supplément d'âme et possède ce gnac si apprécié ici le prototype du gars qui mouille le maillot. Contre de mamouth dès son entrée et panier 3 points le poing levé il y avait dans son regard je pense à cet instant beaucoup de chose en direction de "son" public et accessoirement de son encadrement, de la certitude affichée comme pour affirmer "je suis un bon joueur et vous allez quand même me regretter". Oui il nous manque déjà ! Y'a toujours ce sentiment, ce goût dans la bouche, Mike s'en va mais franchement ça fait ch...
Et je retiens encore son incroyable sportivité, il s'est livré sincèrement et à fond jusqu'au bout alors même qu'il aurait pu laisser filer un peu maintenant qu'il est fixé sur son sort. Chapeau et Merci! Vraiment bon vent à lui.
Le Coach: et oui...le coach...concentré et faisant les bon choix et les bonnes rotations. Il a coupé le rythme Grec par un bon temps-mort et placé en permanence les gars sur le parquet. Communication efficace dans les relais du groupe (Greer,CC etc..) et permutation stratégique lors des LF, bref c'est comme d'habitude évidement quand ça va tout va vous me direz mais justement je crois que la on a un match référence pour tout le monde y compris certainement pour lui. De plus le groupe semblait hier soir très receptif et très affûté au plan physique est-ce le travail de fond qui commence à payer? On l'éspère tous!
Voila mon sentiment sur le match avec en rajout trois petites choses sur l'extra sportif:
1- réelle grosse crise de Bousca après les Péones pour manque de dynamisme j'voudrais pas dénoncer mais la les gars ce fut la méga engeulade!
2- Le public justement...éteint mes amis comme jamais au début et réveillé de force par la "micro attitude" de Gérard et l'excellente prestation de la banda une nouvelle fois qui prend définitivement la première place.
3- La présence de nos amis supporters Grecs c'est sympa.
Qu'est-ce qu'un quasar ?
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
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mathieu
- Joueur du centre de formation de l'Elan
- Messages : 140
- Enregistré le : 05 janv. 2006 15:04
- Localisation : Pau
Bon, vu qu'à priori Philip a des problemes de connexion, est en vacances ou en grève, je vais essayer de me subsituer à sa savoureuse et toujours très complète revue de presse...
L'élève ne va pas dépasser le maitre!
Philip, revient vite !!
Source: Elan Béarnais.fr
Pau-Orthez - Aris Salonique : 77 - 62 !
Victoire des béarnais au Palais des Sports de Pau face à l'Aris Salonique dans le cadre de la 11ème Journée d'Euroleague.
Après un 1er quart temps équilibré 15-12, les hommes de Gordon Herbert creusent un écart de 10 longueurs dans le second quart temps et comptent 13 points d'avance à la pause (37-24).
La seconde période repart sur le même rythme pour les béarnais qui défendent le plomb et développent un jeu attractif avec notamment un festival à 3 points (4 sur 4) de Cédric Ferchaud bien servi par le collectif palois.
Difficile de distinguer un élément particulier tant la prestation collective des béarnais a prédominé avec 5 joueurs à plus de 10 points et un investissement défensif irréprochable de l'ensemble de l'effectif.
Score final : 77 - 62 !
Marqueurs : Fauthoux, Harrison 6, D'almeida, Johnsen 12, Greer 2, Ferchaud 12, Miles 10, Mahinmi 8, Bauer 5, Vaty, Wright 12, Sanders 10.
le 10 / 1 / 2007
Elan-Aris: réactions
Pierre Seillant : « C’est la victoire de toute une équipe et ce soir ils sont tous à féliciter. La soirée est positive, on prend le point avérage à l’Aris, on l’a sur Istanbul, il nous reste à le prendre contre Napels pour terminer le travail et aller au Top 16…Un Top 16 ce n’est pas tous les jours que ça tombe il faut donc en profiter et apprécier…
Je note aussi qu’il y a une progression dans le jeu que l’équipe n’est plus la même depuis Noël si l’on confirme contre Chalon puis Naples on aura démarré l’année tambour battant et je crois que l’on sera alors sur orbite. »
Gordon Herbert : « L’équipe s’est beaucoup battue et a bien défendu. Depuis Noël nous défendons mieux et nos trois derniers matches sont à cet égard encourageant. J’ai demandé aux joueurs de se souvenir de la manière dont nous obtenions nos victoires… Ce soir on a aussi un gros effort du banc qui nous apporte 35 points mais aussi beaucoup d’énergie (Mahinmi) ou de très gros shoots (Ferchaud). C’est une victoire d’équipe. Nous avions mis l’accent sur le rebond et les balles perdues car nous savions que l’Aris est une grosse défense. On a d’ailleurs vu deux très grosses défense mais nos tirs à trois points on fait la différence. Sanders ? Il n’avait qu’un entraînement avec nous, ce qu’i la fait est donc plus que positif… C’est une grande personne il méritait donc qu’on lui fasse confiance.»
Cédric Ferchaud : « C’est positif. On confirme notre parcours en Euroligue mais aussi le match de Cholet. Il ne faut surtout pas s’asseoir dessus mais penser que dès dimanche on joue Chalon et que c’est encore plus important… »
Fred Fauthoux : « Ca fait du bien de gagner comme ça. Je ne dirais pas que ce fut facile mais nous n’avons jamais été menés. On a su porter les accélérations quand il a fallu. De toute manière contre une équipe comme celle-là si tu marches tu es sûr de perdre… La qualification est désormais en vue j’espère qu’on va la prendre. »
Ian Mahinmi : « C’est une très grosse victoire collective. A laquelle je suis heureux d’avoir pu contribuer… J’avais été nul en première période même si je sais que je n’ai pas fait trois fautes. Je voulais prouver que je pouvais jouer à ce niveau moi aussi. Mais franchement tout le monde a donné… »
Melvin Sanders : « C’était bien sûr un peu spécial, mais j’étais très enthousiaste à l’idée de retrouver la compétition et je le suis davantage encore puisque j’ai fait partie d’une équipe qui gagne. L’Aris a fait un gros match défensif mais on a été encore plus dur et j’ai le sentiment que tout le monde a fait n super boulot. »
le 10 / 1 / 2007
Cette fois ça sent vraiment bon!
S’ils n’y sont pas encore dans ce top 16, ils n’en sont plus loin du tout, juste derrière la porte. Et de la manière dont ils ont y frappé ce mercredi soir, on voit mal comment désormais les béarnais ne valideraient pas leur ticket… Puisque l’Aris, champion des matches au ralenti, des matches qu’il a l’art de cadenasser à moins de 70 points pour monter sur le podium des meilleures défenses de cette Euroligue a vu lui revenir sur le râble, comme un boomerang, un Elan encore meilleur protecteur de son basket. Le grec a la peau tannée dure au mal n’a certes rien lâché, pas même lorsqu’il vacillait dans les cordes à 22 longueurs (70-48) de son rival euphorique, à l’image de Ian Mahinmi (deux claquettes) ou de Cédric Ferchaud (4 sur 4 à trois points) , mais il est resté tout de même scotché à 62 points. Et encore doit-on à la vérité de dire que, sans quelques largesses béarnaises, sur le pressing du désespoir, sans la décompression, bien compréhensible au demeurant d’un Elan surfant alors sur la vague du seul plaisir, il n’aurait jamais du atteindre ce cap lui qui avait eu toute les peines du monde à passer la barre des 50 unités au moment où le chrono entamait ses trois dernières minutes…
C’est dire si l’Elan a été performant dans sa moitié de terrain et suffisamment convaincant dans l’autre pour se mettre à l’abri de la moindre pression, l’Aris ne le menaçant vraiment jamais quand bien même revint-il à 6 longueurs (41-35) au plus fort de sa révolte…
Il faut dire que les béarnais avaient eu le bon goût de porter un premier coup terrible d’entrée de second quart temps, après avoir fait preuve d’entrée d’une belle agressivité (11 lancers en 10 minutes) et d’une volonté de courir suffisante à échapper aux griffes de l’étau adverse.
Le 15-12 qui sanctionnait mal cette belle entrée en matière, fit ainsi des petits à la vitesse d’un éclair, Bauer signant dès son entrée un trois point qui amorçait un 13-0 cinglant des mains du précieux Wright mais aussi de Sanders lancé dans ce cinq de seconde reprise.
31-14, le rêve n’eut pas le temps de s’installer. L’Aris, au sortir d’un temps mort, allait rappeler son rival à la réalité en s’appuyant sur une défense de zone qui coupa net l’élan de l’Elan. Parce que Wrifht eut à faire un Massey qui se sacrifia sur sa personne et que la réussite lointaine se mit à fuir. A 31, les béarnais restèrent longtemps, plus de quatre longues minutes en fait et si l’Aris ne lui marcha pas dessus il s’empara d’une pluie de lancers (10) pour répondre d’un 10-0 à l’embellie des béarnais.
C’est le moment le meilleur que choisit Miles pour retrouver derrière l’arc le chemin du cercle, bientôt imiter par CC Harrison dont la réussite lointaine, elle aussi et au buzzer, redonnait ses aises à l’Elan au moment du repos (37-24)…
Le troisième quart allait ré-écrire l’histoire avec une belle assurance, L’Aris vivant confortablement de lancers franc pour confirmer ses velléités, et Wright pouvait en témoigner dans les griffes de Massey toujours, et opérer son plus dangereux retour (41-35)… C’est du banc béarnais que vint le salut, Ian Mahinmi revanchard après sa première période blanche (3 fautes en 45 secondes) claquant un rebond au buzzer, tandis que Ferchaud faisait chauffer son poignet pour le premier trois points de la série à venir… 5-0 dans les 30 dernières secondes, l’Aris en prenait un second coup dans les gencives et il lui fit mal puisque l’Elan repartait avec un viatique identique à celui du repos (54-41)…
La défense de zone déclenchée par Herbert provoquait les mêmes effets chez les grecs ou Scales restait en dedans et ou Massey laisait trop de forces en défense et puis l’Elan possédait son ticket gagnant, le duo Mahinmi-Ferchaud. 6 points du jeune pivot transcendé donnait bonne tournure au match (62-46) avant que Cédric Ferchaud ne monte sur la scène pour aligner trois paniers bonifiés les uns derrière les autres… L’Aris si longtemps belliqueux accusait le coup 70-48 et encore 72-52…
Le maître des lieux était béarnais, pas un nuage n’encombrerait plus son horizon européen.
La démonstration avait été totale et le fruit d’un ensemble qui attaque donc 2007 avec de fermes résolutions défensives…
le 11 / 1 / 2007
Source sudouest.com:
En remportant l'épreuve de force dans un match porté sur la défense, les Palois ont accompli hier soir un pas sûrement décisif vers le Top 16 (77-62)
La soirée des costauds:Frédéric Laharie
C'était prévisible. Le choc des quatrièmes s'est joué dans le combat rapproché hier soir entre Pau-Orthez et l'Aris Salonique. C'était le scénario, il a été respecté à la lettre par les deux équipes qui avaient beaucoup misé dans la défense.
A l'Elan Béarnais d'abord, dont on sait qu'il est parfois victime de sautes d'humeur dans ce secteur du jeu. Dans ce contexte, comme souvent, la conquête du ballon au rebond donnerait le ton de la partie. C'est donc sous les cercles que la clé de ce match se jouait et force est de constater que les Palois possédaient les meilleurs serruriers.§
A commencer par Michaël Wright qui s'était préparé à disputer un beau duel de tracteurs face à Jérémiah Massey. L'Américain au profil? grec avait fait très mal aux Palois à l'aller. En bloquant le quatrième meilleur rebondeur de l'Euroligue, le plus dur du boulot serait accompli .
Un travail de sape entrepris comme il le fallait dès la première seconde. Le temps de fermer la porte de derrière (deux paniers de Wilkinson ligne de fond) et la raquette paloise était aussi hermétique qu'un sous-marin nucléaire. Bien sûr, le Palais des sports avait connu match plus « flashy » mais l'Elan devait en passer par là pour mater ces Grecs à l'écorce dure. En attaque aussi, Pau-Orthez poussait fort la porte avec un Michael Wright qui trouvait le premier le chemin du panier.
Il était suivi par Britton Johnsen, puis Aaron Miles et Ricardo Greer dans un premier quart-temps interminable (15-12).
De l'air. Mais ce duel de gros bras connaissait une subite poussée d'adrénaline chez les Palois à la reprise. Wright qui s'était coltiné les muscles de Flecer après ceux de Massey trouvait de l'air. Il allait chercher un panier au rebond après un trois points de Bauer qui avait trouvé le cercle puis une faute, au sol. Bien servi par Fred Fauthoux, il était placé dans les conditions qu'il affectionne particulièrement. Dos au cercle, bien campé sur ses ergots avant de dérouler un mouvement qui se termine invariablement, main gauche, dans le cercle? Ce 13-0 en moins de 5 minutes, conclu par un trois points du nouvel ailier Melvin Sanders plaçait l'Elan sur une voie royale (31-14, 15e). Mais la route ne serait pas jonchée de roses pour autant. L'Aris interdisait l'accès du panier pendant cinq longues minutes avant que Miles et Harrison sur le buzzer de la mi-temps ne débloquent le compteur. C'était la soirée des costauds. Pour finir de s'en persuader, il fallait voir combien les duels se musclaient à la reprise sous les cercles. A son habitude, Wright repartait au combat dans un duel sans merci avec Massey, les deux poids lourds se rendant coup pour coup. L'épreuve de force était encore très équilibrée mais Ferchaud et Sanders, derrière la ligne des 6,25m, ravitaillaient leurs coéquipiers en oxygène (54-47, 30e). L'Elan était cette fois définitivement lancé, d'autant plus que Ian Mahinmi portait l'estocade dès l'entame de ce dernier quart-temps.
Ils ont dit:
Gordon Herbert
coach palois«» Les joueurs se sont bien battus, la défense a été excellent. Nous avons vraiment bien progressé dans ce secteur depuis Noël. C'est une victoire d'équipe: le banc a apporté de l'énergie et 35 points. On savait qu'il fallait gagner la bataille du rebond, pour ne surtout pas leur laisser de deuxième chance de tir. Cela a été bien fait. Concernant Sanders, il n'a eu qu'un entraînement hier pour apprendre les systèmes. Ce n'était pas facile pour lui mais il a très bien rempli son rôle.
Cédric Ferchaud
arrière palois
«» C'est une bonne chose de faite, une victoire qui confirme ce qu'on a réussit de bien depuis le début de la saison en Euroligue. On a bien défendu en homme à homme et la zone les a bien embêtés aussi. De mon côté, j'ai mis dedans mais je n'ai pas créé mes shoots tout seul. J'ai profité des passes de Ricardo (Greer) et de Freddy (Fauthoux) deux fois.
Frédéric Fauthoux
capitaine palois
«» Ce n'est pas encore définitif pour le Top 16 mais à moins d'une catastrophe... Surtout que l'équipe n'a pas envie de s'arrêter là. C'est une victoire importante pour la confiance. On a créé un premier écart dans le deuxième quart-temps, ils sont revenus à leur rythme, en marchant, mais la deuxième rafale, avec Ian (Maihnmi) et Cédric (Ferchaud) a eu raison d'eux. C'est du bon boulot mais maintenant, il faut battre Chalon dimanche car n'oublions pas que notre pain, c'est le championnat de France.
Pierre Seillant
directeur exécutif palois«» C'est une très belle soirée, mathématiquement et psychologiquement. L'équipe est en train de se libérer. tous ont participé à ce succès, on a même pu protéger des joueurs majeurs pour Chalon, dimanche, et Naples mercredi. Ce sera le match de la qualification pour le Top 16, j'espère qu'on fera le "lleno". Cette équipe le mérite
Source sport24.com:
Pau se fait violence
Pau-Orthez a décroché son premier succès à domicile cette année en Euroligue en dominant l’Aris Salonique mercredi soir (77-62). Avec cette probante victoire, les Béarnais sont tout proches du Top 16.
Par Bastien Aubert
Avec un bilan équilibré de cinq victoires pour autant de défaites, Pau-Orthez avait largement de quoi préparer ce 11e match d’Euroligue délesté d’une pression paralysante. Devant l’Aris Salonique, concurrent direct pour le Top 16, les Béarnais ont pourtant manqué de constance et ont manqué de griller un joker.
Un départ en fanfare
Melvin Sanders, la nouvelle recrue venue des Spurs, débutait sur le banc et assistait au premier shoot réussi de Michael Wright, qui survenait alors que ses coéquipiers étaient déjà menés (2-6). Britton Johnsen se chargeait alors de remettre les compteurs à égalité sur deux lancers francs avant de claquer un dunk dans la foulée (10-8) ! Ricardo Greer apportait quant à lui son expérience pour marquer le premier écart notable de la partie après l’entrée en jeu de Ian Mahinmi (15-10). Un fossé allait alors se creuser à partir du 2e quart-temps. Michael Bauer d’un tir primé, puis encore ce diable de Wright d’un lay-up donnait plus de poids à la prestation béarnaise (20-13). En face, ni Sigalas ni Iliadis n’avait accès au cercle et l’avance gonflait à vue d’œil. Avec l’arrivée du massif Sanders sur le parquet, les hommes de Gordon Herbert s’en donnaient à cœur joie et enchaînaient pas moins de six paniers à rien (28-14) ! Sigalas stoppait alors l’hémorragie après une faute de Bauer mais le mal était fait puisqu’après vingt minutes, le score était sans appel à la pause (37-24).
Salonique se rebiffe
Au retour des vestiaires, les Grecs se montraient plus tranchants. Profitant des fautes françaises, Alex Scales, Spiros Panteliadis et Michael Wilkinson réduisaient la marque sur lancers-francs avant que Jeremiah Massey ne smashe (41-35). En perdition, les coéquipiers de Fred Fauthoux se faisaient remonter les bretelles par leur coach, qui réclamait un temps mort (25e). Après cet intermède, il fallait tout l’aplomb de CC Harrison pour faire repartir la machine d’un tir en tête de raquette (43-35). Pour boucler la 3e période, Mahinmi sortait le grand jeu. Après un rebond offensif, il enquillait deux points avant de faire trembler le cercle adverse et de signer un lay-up bien senti (60-44) ! De deux tirs primés d’affilée, Cédric Ferchaud corsait l’addition par la suite (70-48). L’Elan terminait alors en roue libre et se donnait même quelques sueurs froides en voyant que Scales ne rentre quasiment tous ses lancers-francs (10/11). Au final, Pierre Seillant pouvait souffler puisque ses protégés s’imposent (77-62) et accroissent considérablement leurs chances de participer au Top 16.
Programme et résultat du groupe C :
Mercredi
Pau-Orthez - Aris Salonique 77-62
Trévise-CSKA Moscou 60-68
Jeudi
20h45 Naples-Barcelone
19h45 Kaunas-Fenerbahçe
Voilà ce que j'ai pu relever ce matin...
L'élève ne va pas dépasser le maitre!
Philip, revient vite !!
Source: Elan Béarnais.fr
Pau-Orthez - Aris Salonique : 77 - 62 !
Victoire des béarnais au Palais des Sports de Pau face à l'Aris Salonique dans le cadre de la 11ème Journée d'Euroleague.
Après un 1er quart temps équilibré 15-12, les hommes de Gordon Herbert creusent un écart de 10 longueurs dans le second quart temps et comptent 13 points d'avance à la pause (37-24).
La seconde période repart sur le même rythme pour les béarnais qui défendent le plomb et développent un jeu attractif avec notamment un festival à 3 points (4 sur 4) de Cédric Ferchaud bien servi par le collectif palois.
Difficile de distinguer un élément particulier tant la prestation collective des béarnais a prédominé avec 5 joueurs à plus de 10 points et un investissement défensif irréprochable de l'ensemble de l'effectif.
Score final : 77 - 62 !
Marqueurs : Fauthoux, Harrison 6, D'almeida, Johnsen 12, Greer 2, Ferchaud 12, Miles 10, Mahinmi 8, Bauer 5, Vaty, Wright 12, Sanders 10.
le 10 / 1 / 2007
Elan-Aris: réactions
Pierre Seillant : « C’est la victoire de toute une équipe et ce soir ils sont tous à féliciter. La soirée est positive, on prend le point avérage à l’Aris, on l’a sur Istanbul, il nous reste à le prendre contre Napels pour terminer le travail et aller au Top 16…Un Top 16 ce n’est pas tous les jours que ça tombe il faut donc en profiter et apprécier…
Je note aussi qu’il y a une progression dans le jeu que l’équipe n’est plus la même depuis Noël si l’on confirme contre Chalon puis Naples on aura démarré l’année tambour battant et je crois que l’on sera alors sur orbite. »
Gordon Herbert : « L’équipe s’est beaucoup battue et a bien défendu. Depuis Noël nous défendons mieux et nos trois derniers matches sont à cet égard encourageant. J’ai demandé aux joueurs de se souvenir de la manière dont nous obtenions nos victoires… Ce soir on a aussi un gros effort du banc qui nous apporte 35 points mais aussi beaucoup d’énergie (Mahinmi) ou de très gros shoots (Ferchaud). C’est une victoire d’équipe. Nous avions mis l’accent sur le rebond et les balles perdues car nous savions que l’Aris est une grosse défense. On a d’ailleurs vu deux très grosses défense mais nos tirs à trois points on fait la différence. Sanders ? Il n’avait qu’un entraînement avec nous, ce qu’i la fait est donc plus que positif… C’est une grande personne il méritait donc qu’on lui fasse confiance.»
Cédric Ferchaud : « C’est positif. On confirme notre parcours en Euroligue mais aussi le match de Cholet. Il ne faut surtout pas s’asseoir dessus mais penser que dès dimanche on joue Chalon et que c’est encore plus important… »
Fred Fauthoux : « Ca fait du bien de gagner comme ça. Je ne dirais pas que ce fut facile mais nous n’avons jamais été menés. On a su porter les accélérations quand il a fallu. De toute manière contre une équipe comme celle-là si tu marches tu es sûr de perdre… La qualification est désormais en vue j’espère qu’on va la prendre. »
Ian Mahinmi : « C’est une très grosse victoire collective. A laquelle je suis heureux d’avoir pu contribuer… J’avais été nul en première période même si je sais que je n’ai pas fait trois fautes. Je voulais prouver que je pouvais jouer à ce niveau moi aussi. Mais franchement tout le monde a donné… »
Melvin Sanders : « C’était bien sûr un peu spécial, mais j’étais très enthousiaste à l’idée de retrouver la compétition et je le suis davantage encore puisque j’ai fait partie d’une équipe qui gagne. L’Aris a fait un gros match défensif mais on a été encore plus dur et j’ai le sentiment que tout le monde a fait n super boulot. »
le 10 / 1 / 2007
Cette fois ça sent vraiment bon!
S’ils n’y sont pas encore dans ce top 16, ils n’en sont plus loin du tout, juste derrière la porte. Et de la manière dont ils ont y frappé ce mercredi soir, on voit mal comment désormais les béarnais ne valideraient pas leur ticket… Puisque l’Aris, champion des matches au ralenti, des matches qu’il a l’art de cadenasser à moins de 70 points pour monter sur le podium des meilleures défenses de cette Euroligue a vu lui revenir sur le râble, comme un boomerang, un Elan encore meilleur protecteur de son basket. Le grec a la peau tannée dure au mal n’a certes rien lâché, pas même lorsqu’il vacillait dans les cordes à 22 longueurs (70-48) de son rival euphorique, à l’image de Ian Mahinmi (deux claquettes) ou de Cédric Ferchaud (4 sur 4 à trois points) , mais il est resté tout de même scotché à 62 points. Et encore doit-on à la vérité de dire que, sans quelques largesses béarnaises, sur le pressing du désespoir, sans la décompression, bien compréhensible au demeurant d’un Elan surfant alors sur la vague du seul plaisir, il n’aurait jamais du atteindre ce cap lui qui avait eu toute les peines du monde à passer la barre des 50 unités au moment où le chrono entamait ses trois dernières minutes…
C’est dire si l’Elan a été performant dans sa moitié de terrain et suffisamment convaincant dans l’autre pour se mettre à l’abri de la moindre pression, l’Aris ne le menaçant vraiment jamais quand bien même revint-il à 6 longueurs (41-35) au plus fort de sa révolte…
Il faut dire que les béarnais avaient eu le bon goût de porter un premier coup terrible d’entrée de second quart temps, après avoir fait preuve d’entrée d’une belle agressivité (11 lancers en 10 minutes) et d’une volonté de courir suffisante à échapper aux griffes de l’étau adverse.
Le 15-12 qui sanctionnait mal cette belle entrée en matière, fit ainsi des petits à la vitesse d’un éclair, Bauer signant dès son entrée un trois point qui amorçait un 13-0 cinglant des mains du précieux Wright mais aussi de Sanders lancé dans ce cinq de seconde reprise.
31-14, le rêve n’eut pas le temps de s’installer. L’Aris, au sortir d’un temps mort, allait rappeler son rival à la réalité en s’appuyant sur une défense de zone qui coupa net l’élan de l’Elan. Parce que Wrifht eut à faire un Massey qui se sacrifia sur sa personne et que la réussite lointaine se mit à fuir. A 31, les béarnais restèrent longtemps, plus de quatre longues minutes en fait et si l’Aris ne lui marcha pas dessus il s’empara d’une pluie de lancers (10) pour répondre d’un 10-0 à l’embellie des béarnais.
C’est le moment le meilleur que choisit Miles pour retrouver derrière l’arc le chemin du cercle, bientôt imiter par CC Harrison dont la réussite lointaine, elle aussi et au buzzer, redonnait ses aises à l’Elan au moment du repos (37-24)…
Le troisième quart allait ré-écrire l’histoire avec une belle assurance, L’Aris vivant confortablement de lancers franc pour confirmer ses velléités, et Wright pouvait en témoigner dans les griffes de Massey toujours, et opérer son plus dangereux retour (41-35)… C’est du banc béarnais que vint le salut, Ian Mahinmi revanchard après sa première période blanche (3 fautes en 45 secondes) claquant un rebond au buzzer, tandis que Ferchaud faisait chauffer son poignet pour le premier trois points de la série à venir… 5-0 dans les 30 dernières secondes, l’Aris en prenait un second coup dans les gencives et il lui fit mal puisque l’Elan repartait avec un viatique identique à celui du repos (54-41)…
La défense de zone déclenchée par Herbert provoquait les mêmes effets chez les grecs ou Scales restait en dedans et ou Massey laisait trop de forces en défense et puis l’Elan possédait son ticket gagnant, le duo Mahinmi-Ferchaud. 6 points du jeune pivot transcendé donnait bonne tournure au match (62-46) avant que Cédric Ferchaud ne monte sur la scène pour aligner trois paniers bonifiés les uns derrière les autres… L’Aris si longtemps belliqueux accusait le coup 70-48 et encore 72-52…
Le maître des lieux était béarnais, pas un nuage n’encombrerait plus son horizon européen.
La démonstration avait été totale et le fruit d’un ensemble qui attaque donc 2007 avec de fermes résolutions défensives…
le 11 / 1 / 2007
Source sudouest.com:
En remportant l'épreuve de force dans un match porté sur la défense, les Palois ont accompli hier soir un pas sûrement décisif vers le Top 16 (77-62)
La soirée des costauds:Frédéric Laharie
C'était prévisible. Le choc des quatrièmes s'est joué dans le combat rapproché hier soir entre Pau-Orthez et l'Aris Salonique. C'était le scénario, il a été respecté à la lettre par les deux équipes qui avaient beaucoup misé dans la défense.
A l'Elan Béarnais d'abord, dont on sait qu'il est parfois victime de sautes d'humeur dans ce secteur du jeu. Dans ce contexte, comme souvent, la conquête du ballon au rebond donnerait le ton de la partie. C'est donc sous les cercles que la clé de ce match se jouait et force est de constater que les Palois possédaient les meilleurs serruriers.§
A commencer par Michaël Wright qui s'était préparé à disputer un beau duel de tracteurs face à Jérémiah Massey. L'Américain au profil? grec avait fait très mal aux Palois à l'aller. En bloquant le quatrième meilleur rebondeur de l'Euroligue, le plus dur du boulot serait accompli .
Un travail de sape entrepris comme il le fallait dès la première seconde. Le temps de fermer la porte de derrière (deux paniers de Wilkinson ligne de fond) et la raquette paloise était aussi hermétique qu'un sous-marin nucléaire. Bien sûr, le Palais des sports avait connu match plus « flashy » mais l'Elan devait en passer par là pour mater ces Grecs à l'écorce dure. En attaque aussi, Pau-Orthez poussait fort la porte avec un Michael Wright qui trouvait le premier le chemin du panier.
Il était suivi par Britton Johnsen, puis Aaron Miles et Ricardo Greer dans un premier quart-temps interminable (15-12).
De l'air. Mais ce duel de gros bras connaissait une subite poussée d'adrénaline chez les Palois à la reprise. Wright qui s'était coltiné les muscles de Flecer après ceux de Massey trouvait de l'air. Il allait chercher un panier au rebond après un trois points de Bauer qui avait trouvé le cercle puis une faute, au sol. Bien servi par Fred Fauthoux, il était placé dans les conditions qu'il affectionne particulièrement. Dos au cercle, bien campé sur ses ergots avant de dérouler un mouvement qui se termine invariablement, main gauche, dans le cercle? Ce 13-0 en moins de 5 minutes, conclu par un trois points du nouvel ailier Melvin Sanders plaçait l'Elan sur une voie royale (31-14, 15e). Mais la route ne serait pas jonchée de roses pour autant. L'Aris interdisait l'accès du panier pendant cinq longues minutes avant que Miles et Harrison sur le buzzer de la mi-temps ne débloquent le compteur. C'était la soirée des costauds. Pour finir de s'en persuader, il fallait voir combien les duels se musclaient à la reprise sous les cercles. A son habitude, Wright repartait au combat dans un duel sans merci avec Massey, les deux poids lourds se rendant coup pour coup. L'épreuve de force était encore très équilibrée mais Ferchaud et Sanders, derrière la ligne des 6,25m, ravitaillaient leurs coéquipiers en oxygène (54-47, 30e). L'Elan était cette fois définitivement lancé, d'autant plus que Ian Mahinmi portait l'estocade dès l'entame de ce dernier quart-temps.
Ils ont dit:
Gordon Herbert
coach palois«» Les joueurs se sont bien battus, la défense a été excellent. Nous avons vraiment bien progressé dans ce secteur depuis Noël. C'est une victoire d'équipe: le banc a apporté de l'énergie et 35 points. On savait qu'il fallait gagner la bataille du rebond, pour ne surtout pas leur laisser de deuxième chance de tir. Cela a été bien fait. Concernant Sanders, il n'a eu qu'un entraînement hier pour apprendre les systèmes. Ce n'était pas facile pour lui mais il a très bien rempli son rôle.
Cédric Ferchaud
arrière palois
«» C'est une bonne chose de faite, une victoire qui confirme ce qu'on a réussit de bien depuis le début de la saison en Euroligue. On a bien défendu en homme à homme et la zone les a bien embêtés aussi. De mon côté, j'ai mis dedans mais je n'ai pas créé mes shoots tout seul. J'ai profité des passes de Ricardo (Greer) et de Freddy (Fauthoux) deux fois.
Frédéric Fauthoux
capitaine palois
«» Ce n'est pas encore définitif pour le Top 16 mais à moins d'une catastrophe... Surtout que l'équipe n'a pas envie de s'arrêter là. C'est une victoire importante pour la confiance. On a créé un premier écart dans le deuxième quart-temps, ils sont revenus à leur rythme, en marchant, mais la deuxième rafale, avec Ian (Maihnmi) et Cédric (Ferchaud) a eu raison d'eux. C'est du bon boulot mais maintenant, il faut battre Chalon dimanche car n'oublions pas que notre pain, c'est le championnat de France.
Pierre Seillant
directeur exécutif palois«» C'est une très belle soirée, mathématiquement et psychologiquement. L'équipe est en train de se libérer. tous ont participé à ce succès, on a même pu protéger des joueurs majeurs pour Chalon, dimanche, et Naples mercredi. Ce sera le match de la qualification pour le Top 16, j'espère qu'on fera le "lleno". Cette équipe le mérite
Source sport24.com:
Pau se fait violence
Pau-Orthez a décroché son premier succès à domicile cette année en Euroligue en dominant l’Aris Salonique mercredi soir (77-62). Avec cette probante victoire, les Béarnais sont tout proches du Top 16.
Par Bastien Aubert
Avec un bilan équilibré de cinq victoires pour autant de défaites, Pau-Orthez avait largement de quoi préparer ce 11e match d’Euroligue délesté d’une pression paralysante. Devant l’Aris Salonique, concurrent direct pour le Top 16, les Béarnais ont pourtant manqué de constance et ont manqué de griller un joker.
Un départ en fanfare
Melvin Sanders, la nouvelle recrue venue des Spurs, débutait sur le banc et assistait au premier shoot réussi de Michael Wright, qui survenait alors que ses coéquipiers étaient déjà menés (2-6). Britton Johnsen se chargeait alors de remettre les compteurs à égalité sur deux lancers francs avant de claquer un dunk dans la foulée (10-8) ! Ricardo Greer apportait quant à lui son expérience pour marquer le premier écart notable de la partie après l’entrée en jeu de Ian Mahinmi (15-10). Un fossé allait alors se creuser à partir du 2e quart-temps. Michael Bauer d’un tir primé, puis encore ce diable de Wright d’un lay-up donnait plus de poids à la prestation béarnaise (20-13). En face, ni Sigalas ni Iliadis n’avait accès au cercle et l’avance gonflait à vue d’œil. Avec l’arrivée du massif Sanders sur le parquet, les hommes de Gordon Herbert s’en donnaient à cœur joie et enchaînaient pas moins de six paniers à rien (28-14) ! Sigalas stoppait alors l’hémorragie après une faute de Bauer mais le mal était fait puisqu’après vingt minutes, le score était sans appel à la pause (37-24).
Salonique se rebiffe
Au retour des vestiaires, les Grecs se montraient plus tranchants. Profitant des fautes françaises, Alex Scales, Spiros Panteliadis et Michael Wilkinson réduisaient la marque sur lancers-francs avant que Jeremiah Massey ne smashe (41-35). En perdition, les coéquipiers de Fred Fauthoux se faisaient remonter les bretelles par leur coach, qui réclamait un temps mort (25e). Après cet intermède, il fallait tout l’aplomb de CC Harrison pour faire repartir la machine d’un tir en tête de raquette (43-35). Pour boucler la 3e période, Mahinmi sortait le grand jeu. Après un rebond offensif, il enquillait deux points avant de faire trembler le cercle adverse et de signer un lay-up bien senti (60-44) ! De deux tirs primés d’affilée, Cédric Ferchaud corsait l’addition par la suite (70-48). L’Elan terminait alors en roue libre et se donnait même quelques sueurs froides en voyant que Scales ne rentre quasiment tous ses lancers-francs (10/11). Au final, Pierre Seillant pouvait souffler puisque ses protégés s’imposent (77-62) et accroissent considérablement leurs chances de participer au Top 16.
Programme et résultat du groupe C :
Mercredi
Pau-Orthez - Aris Salonique 77-62
Trévise-CSKA Moscou 60-68
Jeudi
20h45 Naples-Barcelone
19h45 Kaunas-Fenerbahçe
Voilà ce que j'ai pu relever ce matin...
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didier labrit-badie
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Résultat excellent hier soir pour la suite de la compét' mais le match n'était vraiment pas beau.
Gagner un match à pression, pourri par le jeu défensif grec et le gagner, qui plus est à domicile, c'est un changement radical dans nos habitudes. Sans remonter trop loin dans le temps, il y a un an juste, après l'exploit à Madrid, on n'avait pu rien faire face à Ulker et le top 16 s'éloignait. CC n'était pas là, c'est aussi un grand changement.
Ce qui plaisir aussi, c'est qu'Herbert dispose d'une hydre à 7 têtes. Souvent face à l'élan il fallait museler 2 joueurs et c'était gagné. Or hier soir Wright a été bien isolé et CC n'était pas dans un bon tempo offensif mais il y a eu des réponses données ailleurs.
Depuis samedi Britton ne force plus, c'est aussi un sacré changement. Il se concentre aussi sur le rebond défensif et ça apporte des solutions de jeu rapide.
Ce qui est vraiment plaisant c'est l'ambiance générale, excellente, qui transparaît, qui dégouline du groupe. Que d'échanges sur le banc, que de joueurs debouts à encourager leurs coéquipiers dans le dernier 1/4, que de manisfestations de joies sur le terrain(Britton qui bouscule complétement Ian après ses shoots, Fred qui percute Cédric après un triplé servi sur un plateau, etc...) et le public à l'unisson. Grande, grande soirée d'Euroligue.
La banda aurait pu jouer les enfants du pyrée plutôt que passer un sirtaki moyen au niveau de l'esprit.
L'élan, avec la défaite de Trévise, pourrait même viser le second chapeau pour le tirage au sort, à condition d'être dans les 2 meilleurs 3ème. Bon, je m'emballe, je pense que le championnat de France va reprendre ses priorités, mais ça fait du bien de se découvrir des ambitions au top niveau européen.
Après Nancy face à l'AEK et Pau face à l'Aris, pourquoi pas Le Mans à Olympiacos pour parachever cette semaine franco-grecque? bon courage à eux...
Gagner un match à pression, pourri par le jeu défensif grec et le gagner, qui plus est à domicile, c'est un changement radical dans nos habitudes. Sans remonter trop loin dans le temps, il y a un an juste, après l'exploit à Madrid, on n'avait pu rien faire face à Ulker et le top 16 s'éloignait. CC n'était pas là, c'est aussi un grand changement.
Ce qui plaisir aussi, c'est qu'Herbert dispose d'une hydre à 7 têtes. Souvent face à l'élan il fallait museler 2 joueurs et c'était gagné. Or hier soir Wright a été bien isolé et CC n'était pas dans un bon tempo offensif mais il y a eu des réponses données ailleurs.
Depuis samedi Britton ne force plus, c'est aussi un sacré changement. Il se concentre aussi sur le rebond défensif et ça apporte des solutions de jeu rapide.
Ce qui est vraiment plaisant c'est l'ambiance générale, excellente, qui transparaît, qui dégouline du groupe. Que d'échanges sur le banc, que de joueurs debouts à encourager leurs coéquipiers dans le dernier 1/4, que de manisfestations de joies sur le terrain(Britton qui bouscule complétement Ian après ses shoots, Fred qui percute Cédric après un triplé servi sur un plateau, etc...) et le public à l'unisson. Grande, grande soirée d'Euroligue.
La banda aurait pu jouer les enfants du pyrée plutôt que passer un sirtaki moyen au niveau de l'esprit.
L'élan, avec la défaite de Trévise, pourrait même viser le second chapeau pour le tirage au sort, à condition d'être dans les 2 meilleurs 3ème. Bon, je m'emballe, je pense que le championnat de France va reprendre ses priorités, mais ça fait du bien de se découvrir des ambitions au top niveau européen.
Après Nancy face à l'AEK et Pau face à l'Aris, pourquoi pas Le Mans à Olympiacos pour parachever cette semaine franco-grecque? bon courage à eux...
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Légendaire8
- Champion du Jaco Sportif 2019
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- Localisation : Orthézien monté à Paris
Plusieurs choses à retenir
- la défense, surtout. Une défense qui peut permettre de voyager loin. Confirmation de Cholet aussi puisque 56 points encaissés là bas et une grosse défense en 4ème quart temps.
- Wright ciblé par toutes les défenses, c'était prévisible après les matches allers, mais le bon point est qu'on arrive à gagner même s'il ne met pas 20 points
- le scoring réparti (5 joueurs à 10 et 12 points) qui permettent de compenser les rendements offensifs moyens de CC, Ricardo ou Michael
- le banc
Quand on fait le bilan, ça rend bien optimiste. Faut répéter ça en championnat et ce sera très bien
La qualif est proche, il faut assurer. Personnellement, j'aimerais bien deux autres victoires (Naples et Kaunas), ça permettrait de finir à 8-6, une vraie qualif à l'aise et ça éviterait les sempiternels articles de l'Equipe sur les ratios victoires / défaites des clubs français en EL
- la défense, surtout. Une défense qui peut permettre de voyager loin. Confirmation de Cholet aussi puisque 56 points encaissés là bas et une grosse défense en 4ème quart temps.
- Wright ciblé par toutes les défenses, c'était prévisible après les matches allers, mais le bon point est qu'on arrive à gagner même s'il ne met pas 20 points
- le scoring réparti (5 joueurs à 10 et 12 points) qui permettent de compenser les rendements offensifs moyens de CC, Ricardo ou Michael
- le banc
Quand on fait le bilan, ça rend bien optimiste. Faut répéter ça en championnat et ce sera très bien
La qualif est proche, il faut assurer. Personnellement, j'aimerais bien deux autres victoires (Naples et Kaunas), ça permettrait de finir à 8-6, une vraie qualif à l'aise et ça éviterait les sempiternels articles de l'Equipe sur les ratios victoires / défaites des clubs français en EL
On devrait jamais quitter Montauban
Effectivement, beaucoup de monde ici a fustigé le travail du préparateur des Spurs suite à l'avalanche de blessures et aux 4èmes quarts-temps poussifs en début de saison mais il semblerait que le travail paye finalement. Enchainer euroligue et championnat fut difficile et nos adversaires de pro-a en ont bien profité.Quasar a écrit :...De plus le groupe semblait hier soir très receptif et très affûté au plan physique est-ce le travail de fond qui commence à payer? On l'éspère tous!
Après avoir rechargé les batteries durant la trêve, avec la qualification pour le top 16 presque en poche et avec deux bons joueurs US en renfort pour le milieu de semaine, le programme consistant des semaines à venir sera bien plus facile à encaisser.
Pour moi il y a eu un déclic hier soir, avec des joueurs de banc qui se sont montrés dignes des titulaires et du coup un temps de jeu assez bien partagé par Gordy. Jouer à 10 plutôt qu'à 5, c'est toujours plus facile, surtout si on veut maintenir une pression défensive constante durant 40 minutes. Plus que la victoire de prestique face au CSKA, ce match doit donc pour moi servir de référence pour le reste de la saison car c'est en jouant (et en coachant) comme ça que l'on redressera la barre en championnat et que l'on fera autre chose que de la figuration quand on sera au top 16.
J'espère donc que ce résultat n'est pas qu'un feu de paille et que le mois à venir va enfin mettre l'élan sur orbite, au point de redevenir une terreur en pro-a et d'installer le doute chez les cadors européens qui se présenteront face à nous.
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KINDER64
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je crois que la coupure des fêtes de fin d'année a fait du bien au organisme mais aussi dans les têtes. Ils ont fait un break entier, et ont cessé la spirale de défaites, on est reparti sur des bonnes bases et sur une bonne dynamique.
Je n'ai pas vu le match parce que j'étais au boulot jusqu'à 22h, mais sur les images télés, on a vraiment l'air d'avoir une très bonne ambiance dans l'équipe.
Je n'ai pas vu le match parce que j'étais au boulot jusqu'à 22h, mais sur les images télés, on a vraiment l'air d'avoir une très bonne ambiance dans l'équipe.
Juste un bémol dans l'euphorie ambiante.
Je trouve que la défense est encore perfectible car, malgré tous ces satisfecit, il y a eu beaucoup de maladresse de la part de l'Aris. Sur les 18 shoots à 3 pts ratés notamment, une bonne partie était des tirs ouverts.
Ca ne remet pas en cause la performance de notre équipe, simplement, avec un peu plus de réussite côté grecs, le match aurait eu certainement une autre physionomie.
Je trouve que la défense est encore perfectible car, malgré tous ces satisfecit, il y a eu beaucoup de maladresse de la part de l'Aris. Sur les 18 shoots à 3 pts ratés notamment, une bonne partie était des tirs ouverts.
Ca ne remet pas en cause la performance de notre équipe, simplement, avec un peu plus de réussite côté grecs, le match aurait eu certainement une autre physionomie.
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visiteur
- Joueur de banc de l'Elan
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- Localisation : Henri IV y fut couronné
Complètement d'accord! Il y a au bas mot 30 points de tirs ouverts qui ont été abandonné par l'Aris hier soir, entre les 3 pts et les 2 pts extérieursBOZO a écrit :Juste un bémol dans l'euphorie ambiante.
Je trouve que la défense est encore perfectible car, malgré tous ces satisfecit, il y a eu beaucoup de maladresse de la part de l'Aris. Sur les 18 shoots à 3 pts ratés notamment, une bonne partie était des tirs ouverts.
Ca ne remet pas en cause la performance de notre équipe, simplement, avec un peu plus de réussite côté grecs, le match aurait eu certainement une autre physionomie.
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philip_pau
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- Localisation : Pau
Nix a écrit :j'ai un peu l'impression que l'on a attendu qu'ils marquent des 3 points avant de sortir sur eux ... comme ils n'en ont pas marqué, on est jamais sorti sur eux ... un peu comme si leur maladresse avait été pressentie par herbert et nos joueurs ... non ?
Oui, après Herbert le " magicien ", voici venu Herbert " le devin "
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gfive
- Joueur majeur de l'Elan
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- Enregistré le : 16 févr. 2005 9:07
- Localisation : Bordeaux
ouais, enfin, si Alex Scales rentre son premier tir du match en 4° quart, et qu'à la mi-temps, Massey et lui sont à 1/6 aux tirs, alors que Scales est habituellement le plus gros 'tenteur' de l'Euroleague, c'est sans doute pas complètement par hasard non plus.visiteur a écrit :Complètement d'accord! Il y a au bas mot 30 points de tirs ouverts qui ont été abandonné par l'Aris hier soir, entre les 3 pts et les 2 pts extérieursBOZO a écrit :Juste un bémol dans l'euphorie ambiante.
Je trouve que la défense est encore perfectible car, malgré tous ces satisfecit, il y a eu beaucoup de maladresse de la part de l'Aris. Sur les 18 shoots à 3 pts ratés notamment, une bonne partie était des tirs ouverts.
Ca ne remet pas en cause la performance de notre équipe, simplement, avec un peu plus de réussite côté grecs, le match aurait eu certainement une autre physionomie.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
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awaremann
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- Localisation : pau ou paris
il est pas magicien, mais il a du voir que l'Aris est fort à l'interieur (c'est l'une des équipes qui prend le plus de rebonds de l'euroleague par exemple) mais que son pourcentage à 3pts est faible (29% sur la saison d'euroleague, plus mauvais pourcentage de la compétition)philip_pau a écrit :Nix a écrit :j'ai un peu l'impression que l'on a attendu qu'ils marquent des 3 points avant de sortir sur eux ... comme ils n'en ont pas marqué, on est jamais sorti sur eux ... un peu comme si leur maladresse avait été pressentie par herbert et nos joueurs ... non ?
Oui, après Herbert le " magicien ", voici venu Herbert " le devin "
donc il a au départ axé la défense plus à l'interieur, et comme les grecs rentraient pas les shoots, y avait vraiment aucune raison de changer...
[img]http://img484.imageshack.us/img484/3199/signdraganmg0.jpg[/img]
[url]http://s3.metaldamage.fr/c.php?uid=122326[/url]
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mathieu
- Joueur du centre de formation de l'Elan
- Messages : 140
- Enregistré le : 05 janv. 2006 15:04
- Localisation : Pau
Je viens d'entendre le Président Palois, A.Béral, sur france info dire qu'ils visent le TOP16 (Bon là OK il se mouille pas trop...) et qu'au TOP16 il ne compte pas que l'élan fasse de la figuration. Il voit l'élan juste derriere les 4 gros...
Claude Bergeaud, encore une fois dans le public à Pau hier, partage cet avis, et voit l'élan comme un gros européen , derriere Moscou, Barcelone et les 2 grecs ( Olympiacos et le Pana)...
C'est quand meme flatteur!
Il a dit aussi que cette année c'était une véritable armada qui composait le roster de l'élan et qu'ils pouvaient viser loin!
Sinon à priori, une accession au TOP 16 apporte 10 points (3 de participation à la première phase et 7 pour le TOP16) et sortir de la poule de TOP 16 (participation au quart) amène 10 points de plus... Tentant non??? C'est peut etre pour ça que le staff de l'élan ne fait pas du tout l'impasse sur l'Euroleague... et que quelques impassent furent faite en championat... Car nous ne sommes qu'à 2 victoires de la 4ieme place! Avec une seconde partie de championat correcte on sera en play off.
Ayons confiance...
Claude Bergeaud, encore une fois dans le public à Pau hier, partage cet avis, et voit l'élan comme un gros européen , derriere Moscou, Barcelone et les 2 grecs ( Olympiacos et le Pana)...
C'est quand meme flatteur!
Il a dit aussi que cette année c'était une véritable armada qui composait le roster de l'élan et qu'ils pouvaient viser loin!
Sinon à priori, une accession au TOP 16 apporte 10 points (3 de participation à la première phase et 7 pour le TOP16) et sortir de la poule de TOP 16 (participation au quart) amène 10 points de plus... Tentant non??? C'est peut etre pour ça que le staff de l'élan ne fait pas du tout l'impasse sur l'Euroleague... et que quelques impassent furent faite en championat... Car nous ne sommes qu'à 2 victoires de la 4ieme place! Avec une seconde partie de championat correcte on sera en play off.
Ayons confiance...