[ULEB Cup - J4] Riga 80-60 EBPO
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green bear
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fan de dragan
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Tu peux rajouter Stanic quand même, même s'il ne fait pas un grand match (5pts 5 passes 4 rebonds)green bear a écrit :80-60....young, rupert et vaty au dessus...le reste à jeter....au moins maintenant c'est clair
Le reste de l'équipe est à Ch..r c'est pas un scoop ! ( Sauf Dials qui n'est une brêle qu'une fois tout les 2 matchs...)
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green bear
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lebron64
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arretez avec stanic on le savait en le faisant signer qu'il ne scorait pas on ferait mieux de se concentrer sur d'autres postes bien plus importants...stanic mene bien fait de bonnes passes mais pas mal de ses caviars les joueurs n'en font pas bon usage, sont limités (fein, mendy, ferchaud) quant à dials en effet un match sur deux...
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pascal64lons
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re
Gagnons déjà tous les matchs à la maison et on y verra plus clair à la fin. N'oubliez pas qu'il suffit d'être dans les 4 premiers pour être qualifié.
Gagner les matchs ici, même si ça ne suffit pas, permettra à l'Elan de se réconcilier avec son public et de prendre confiance pour le championnat.
Gagner les matchs ici, même si ça ne suffit pas, permettra à l'Elan de se réconcilier avec son public et de prendre confiance pour le championnat.
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didier labrit-badie
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y'a eu un gros trou au 1er 1/4 (-14) mais on est là au 2ème et 3ème avec moins de points pris donc on va dire normal, à voir contre Strasbourg si ce début de commencement d'envie de défendre se confirme. Après l'Uleb cup...
Comme dit auparavant, si on gagne tout at home même avec +1 à chaque fois on doit être dans les 4
Comme dit auparavant, si on gagne tout at home même avec +1 à chaque fois on doit être dans les 4
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lebron64
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résumé du site off:
C’est parti sur un scénario catastrophe, redouté par Laurent Mopsus qui avait pourtant doublé l’intensité de l’échauffement compte tenu du contexte de ce déplacement qui avait fait coucher les béarnais à plus de 4h30 du matin…Mais rien n’y fit, le starter resta bloqué et en moins de la moitié du premier quart temps les carottes étaient cuites, bien cuites et l’inquiétude se doublait de la sortie de Stanic après 2’20 de jeu suite à un coup reçu sur la cuisse. Non pas celle qui fut à l’origine de tant de malheurs mais l’autre, pourtant protégée elle aussi. A la lutte pour un rebond, la hanche de Thierry Rupert retombait sur Stanic, et comble de malchance l’impact se situait trois petits centimètres au dessus de la protection.
Le meneur italien allait bien revenir en jeu et, à chaud, ne pas se ressentir d’une douleur pourtant violente sur le coup, mais ce mardi soir à l’hôtel l’Elan priait tout de même pour qu’il s’agisse seulement d’une béquillle.
Meneur numéro 1 ou pas, l’Elan avait bu la tasse : trois tirs ratés, 4 ballons perdus, l’entame portait les béarnais au rayon des disparus. Et la prise à deux systématique des lettons sur le meneur n’était effectivement pas étrangère aux maux dont l’Elan souffrait et dont il ne devait évidemment pas se remettre. 2-9, 5-15 et 5-22 pour Riga après huit minutes: pour avoir manqué son entame l’Elan l’avait manqué. Il y avait même de la menace de fessée dans l’air de cette immense salle ayant accueilli la moitié de sa capacité soit plus de 5000 personnes tout de même.
Si Laurent Mopsus avouait, une demi-heure plus tard, être partagé entre deux sentiments, c’est que la suite ne fut pas un supplice comparable, c’est que ses hommes ne vécurent pas le calice jusqu’à la lie et qu’ils eurent même des velléités louables de réaction. Pas au point de faire douter Riga, pas au point de se faire pardonner cette entame indigne, mais suffisamment pour faire dire au coach qu’il y avait eu des attitudes positives. Autant à Kiev, Ferchaud et les siens s’étaient couchés, autant à Riga ont-ils manifesté quelque révolte qui leur vaut de n’avoir perdu les trois quart temps suivants que de 6 points, d’avoir réduit leur perte de balles de presque moitié (17 au total pour 11 en 20 minutes) et même d’avoir été à deux doigts de rentrer de nouveau dans le match.
Retrouvant quelque peu leurs idées, ils eurent d’abord le bon goût de stopper net l’hémorragie en serrant la vis défensive dans un second quart qui ressembla à quelque chose (14-14). 22-36, ils n’étaient guère payé de leur effort mais l’improbable Bertrans avait, du milieu du terrain et au buzzer envoyé un trois points comme on en voit parfois…
Nullement découragé, l’Elan remit au retour des vestiaires son ouvrage sue le métier et sa combativité à l’image de Ludovic Vaty était récompensée d’un 6-1 qui lui redonnait des couleurs 28-37. Sur ce coup, l’Elan eut même deux ballons de moins 7 mais Young fautait offensivement sur une contre attaque alors que Dials manquait un lay-up.
L’Elan allait sentir passer l’addition de ses deux manquements et du découragement : 9-0 à suivre et 28-46. Un score qui cette fois obligeait les béarnais à se dépenser pour ne pas être broyée. Ils furent parfois au point de rupture pour ne pas être tous au diapason défensif notamment et puis parce que Riga a des talents supérieurs aux siens (41-60, 45-68) mais ils ne lâchèrent pas l’affaire. Compte tenu du 8-22 initial, le mal n’avait pas empiré et sur l’heure, l’Elan voulait s’en servir comme d’un encouragement… « Il a y eu du mieux et des choses qui devraient nous permettre d’avancer» dira Stanic. D’autant plus que le club poursuit activement ses recherches d’un renfort qui devrait aussi permettre de rajouter au ré-équilibrage de l’équipe.
le 28 / 11 / 2007
C’est parti sur un scénario catastrophe, redouté par Laurent Mopsus qui avait pourtant doublé l’intensité de l’échauffement compte tenu du contexte de ce déplacement qui avait fait coucher les béarnais à plus de 4h30 du matin…Mais rien n’y fit, le starter resta bloqué et en moins de la moitié du premier quart temps les carottes étaient cuites, bien cuites et l’inquiétude se doublait de la sortie de Stanic après 2’20 de jeu suite à un coup reçu sur la cuisse. Non pas celle qui fut à l’origine de tant de malheurs mais l’autre, pourtant protégée elle aussi. A la lutte pour un rebond, la hanche de Thierry Rupert retombait sur Stanic, et comble de malchance l’impact se situait trois petits centimètres au dessus de la protection.
Le meneur italien allait bien revenir en jeu et, à chaud, ne pas se ressentir d’une douleur pourtant violente sur le coup, mais ce mardi soir à l’hôtel l’Elan priait tout de même pour qu’il s’agisse seulement d’une béquillle.
Meneur numéro 1 ou pas, l’Elan avait bu la tasse : trois tirs ratés, 4 ballons perdus, l’entame portait les béarnais au rayon des disparus. Et la prise à deux systématique des lettons sur le meneur n’était effectivement pas étrangère aux maux dont l’Elan souffrait et dont il ne devait évidemment pas se remettre. 2-9, 5-15 et 5-22 pour Riga après huit minutes: pour avoir manqué son entame l’Elan l’avait manqué. Il y avait même de la menace de fessée dans l’air de cette immense salle ayant accueilli la moitié de sa capacité soit plus de 5000 personnes tout de même.
Si Laurent Mopsus avouait, une demi-heure plus tard, être partagé entre deux sentiments, c’est que la suite ne fut pas un supplice comparable, c’est que ses hommes ne vécurent pas le calice jusqu’à la lie et qu’ils eurent même des velléités louables de réaction. Pas au point de faire douter Riga, pas au point de se faire pardonner cette entame indigne, mais suffisamment pour faire dire au coach qu’il y avait eu des attitudes positives. Autant à Kiev, Ferchaud et les siens s’étaient couchés, autant à Riga ont-ils manifesté quelque révolte qui leur vaut de n’avoir perdu les trois quart temps suivants que de 6 points, d’avoir réduit leur perte de balles de presque moitié (17 au total pour 11 en 20 minutes) et même d’avoir été à deux doigts de rentrer de nouveau dans le match.
Retrouvant quelque peu leurs idées, ils eurent d’abord le bon goût de stopper net l’hémorragie en serrant la vis défensive dans un second quart qui ressembla à quelque chose (14-14). 22-36, ils n’étaient guère payé de leur effort mais l’improbable Bertrans avait, du milieu du terrain et au buzzer envoyé un trois points comme on en voit parfois…
Nullement découragé, l’Elan remit au retour des vestiaires son ouvrage sue le métier et sa combativité à l’image de Ludovic Vaty était récompensée d’un 6-1 qui lui redonnait des couleurs 28-37. Sur ce coup, l’Elan eut même deux ballons de moins 7 mais Young fautait offensivement sur une contre attaque alors que Dials manquait un lay-up.
L’Elan allait sentir passer l’addition de ses deux manquements et du découragement : 9-0 à suivre et 28-46. Un score qui cette fois obligeait les béarnais à se dépenser pour ne pas être broyée. Ils furent parfois au point de rupture pour ne pas être tous au diapason défensif notamment et puis parce que Riga a des talents supérieurs aux siens (41-60, 45-68) mais ils ne lâchèrent pas l’affaire. Compte tenu du 8-22 initial, le mal n’avait pas empiré et sur l’heure, l’Elan voulait s’en servir comme d’un encouragement… « Il a y eu du mieux et des choses qui devraient nous permettre d’avancer» dira Stanic. D’autant plus que le club poursuit activement ses recherches d’un renfort qui devrait aussi permettre de rajouter au ré-équilibrage de l’équipe.
le 28 / 11 / 2007
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Strasbourgeois !
- Joueur historique de l'Elan
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- Localisation : Entre Nice et Strasbourg
Finalement, un vrai second meneur, ce ne serait peut-être pas du luxe...lebron64 a écrit : Le meneur italien allait bien revenir en jeu et, à chaud, ne pas se ressentir d’une douleur pourtant violente sur le coup, mais ce mardi soir à l’hôtel l’Elan priait tout de même pour qu’il s’agisse seulement d’une béquillle.
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gfive
- Joueur majeur de l'Elan
- Messages : 2796
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Pas forcément. Ma préférence irait à un 1/2Strasbourgeois ! a écrit :Finalement, un vrai second meneur, ce ne serait peut-être pas du luxe...lebron64 a écrit : Le meneur italien allait bien revenir en jeu et, à chaud, ne pas se ressentir d’une douleur pourtant violente sur le coup, mais ce mardi soir à l’hôtel l’Elan priait tout de même pour qu’il s’agisse seulement d’une béquillle.
Un gros défenseur capable d'attaquer le cercle, et qui soit capable de gérer un peu la balle pour reposer Stanic, mais aussi de jouer à ses côtés pour gérer les prises à 2.
Un CC Harrisson, quoi.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
un CC Harisson... puis il nous faudrait un 3/4, un Ricardo Greer quoi..., puis un 5 régulier, un Michael Wright quoi... 'tain elle était vraiment bien l'équipe de l'année dernière !gfive a écrit :Pas forcément. Ma préférence irait à un 1/2Strasbourgeois ! a écrit :Finalement, un vrai second meneur, ce ne serait peut-être pas du luxe...lebron64 a écrit : Le meneur italien allait bien revenir en jeu et, à chaud, ne pas se ressentir d’une douleur pourtant violente sur le coup, mais ce mardi soir à l’hôtel l’Elan priait tout de même pour qu’il s’agisse seulement d’une béquillle.
Un gros défenseur capable d'attaquer le cercle, et qui soit capable de gérer un peu la balle pour reposer Stanic, mais aussi de jouer à ses côtés pour gérer les prises à 2.
Un CC Harrisson, quoi.
Rap de Pau :
http://www.moustyk.info
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