Effectif pour la saison 2008/2009
Modérateurs : Joruus, Modérateurs
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La richesse de beaucoup de ces clubs vient, au-delà des sommes elles-mêmes, surtout de la quasi absence de charges et d'impôts.Strasbourgeois ! a écrit :Et j'oubliais le Real Madrid, le plus riche de tous :
Real Madrid (Euroliga) 39.000.000
Les salaires des joueurs un peu partout en Europe sont net de charges et d'impôts pour le joueur et le club
Si un club espagnol propose un salaire de 100000€ à un joueur il faudra à un club français au moins 150000 € pour pouvoir lui proposer le même gain.
j'exclu bien sûr de la négociation toute considération non pécunière
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Attention, les chiffres que j'ai donnés sont issus de la saison dernière (comme je l'ai précisé).
Ils sont issus d'une enquête faite par un magazine de basket espagnol.
J'ai également vu les chiffres que tu as donné et ils sont tirés d'un site grec (cf article sur http://www.ballineurope.com/european-ba ... in-europe/).
Visiblement les budgets ont beaucoup augmentés d'une année sur l'autre et ça ne semble pas prêt de s'arrêter!!!!!!!!!!!
Ils sont issus d'une enquête faite par un magazine de basket espagnol.
J'ai également vu les chiffres que tu as donné et ils sont tirés d'un site grec (cf article sur http://www.ballineurope.com/european-ba ... in-europe/).
Visiblement les budgets ont beaucoup augmentés d'une année sur l'autre et ça ne semble pas prêt de s'arrêter!!!!!!!!!!!
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Au moment où beaucoup d'amoureux du basket français cherchent à relancer notre championnat, n'hésitons pas à utiliser la recette gagnante de notre voisin comme on a d'ailleurs commencé à le faire avec la semaine des As, petite soeur de la Copa del Rey. Car eux n'ont pas hésité il y a une vingtaine d'années à copier la place forte d'alors, le championnat italien. L'actuel président de l'Euroleague et ancien dirigeant de la Liga ACB, Jordi Bertomeu, ne s'en cache d'ailleurs pas: "Quand nous avons démarré la ligue espagnole, j'ai passé un mois en Italie juste pour comprendre comment la Lega fonctionnait dans le but de la copier. On peut toujours inventer quelque chose, mais tout ce qui est réellement important l'a déjà été, donc il n'y a plus rien à découvrir." Il y a un an et demi (novembre 06), BasketNews nous proposait une plongée au coeur du pays des champions du monde. Depuis l'ACB est toujours au top, les derniers résultats le prouvent.
Ci-dessous quelques petits points concernant la Liga ACB:
Le calendrier doit recevoir l'approbation des clubs. La ligue a recours, depuis 2 ans, à un logiciel. Cet outil informatique permet de tenir compte des disponibilités des salles, des calendriers européens, de la nécessité de programmer un grand match par semaine pour la télévision et de ne pas multiplier les déplacements éprouvants pour les équipes.
Les réglements imposent un salaire minimum et des quotas. les clubs n'ont ainsi droit qu'à 2 extra-communautaires et doivent compter un minimum de 4 espagnols.
La ligue espagnole a également innové sur le plan des transferts, à l'instar des "restricted free agents" en NBA. A l'intersaison, tout joueur en fin de contrat peut considérer les offres des clubs, en choisir une, et le dernier employeur a une semaine pour s'aligner et conserver son joueur.
En 2006-07, le budget total des 18 équipes de la ligue s'élevait à 100 millions d'euros, soit une moyenne de 5.5 millions par clubs. Le salaire moyen d'un pro de l'ACB est de 300 000 euros par an. Toutes les équipes doivent présenter un budget minimum de 3.3 millions d'euros et une salle d'une capacité minimale de 5 000 places. Tout comme l'Euroleague, la Liga voudrait faire passer ce minima à 7 000 places, objectif réaliste puisque 6 500 spectateurs en moyenne assistaient (à la mi-saison 06-07) à chaque rencontre et que 11 des 18 enceintes peuvent déjà accueillir 7 000 spectateurs ou plus.
TVE, chaîne publique diffuse l'affiche de chaque journée. La ligue a noué des accords avec 18 chaînes locales qui complètent l'offre télévisuelle. Ainsi, ce sont en moyenne 5, voire 6 des 9 matches de la journée qui sont retransmis sur le petit écran.
Traitant du basket national mais aussi mondial, ACB.com est devenu le site de basket le plus visité au monde hors-NBA. Sa réussite tient au fait qu'il constitue une véritable communauté grâce à ses forums et au jeu SuperManager, une "fantasy league" qui draine 70 000 participants. Cette stratégie permet de fidéliser ces utilisateurs.
Marketing: la ligue possède 4 gros sponsors exclusifs. Aucun de leurs concurrents ne peut s'afficher sur les maillots des clubs de l'ACB. Ces partenariats assurent d'importantes rentrées d'argent à la ligue. A tel point que celle-ci assure ne plus pouvoir progresser dans le domaine du marketing sportif classique. La ligue entend explorer d'autres voies, aussi diverses que les nouvelles technologies, notamment la téléphonie mobile, le loto sportif ou de nouvelles formes de partenariat comme celle déjà développée avec des marques de lunettes ou de textiles.
La ligue française a encore du travail pour développer le basket en France...........
Ci-dessous quelques petits points concernant la Liga ACB:
Le calendrier doit recevoir l'approbation des clubs. La ligue a recours, depuis 2 ans, à un logiciel. Cet outil informatique permet de tenir compte des disponibilités des salles, des calendriers européens, de la nécessité de programmer un grand match par semaine pour la télévision et de ne pas multiplier les déplacements éprouvants pour les équipes.
Les réglements imposent un salaire minimum et des quotas. les clubs n'ont ainsi droit qu'à 2 extra-communautaires et doivent compter un minimum de 4 espagnols.
La ligue espagnole a également innové sur le plan des transferts, à l'instar des "restricted free agents" en NBA. A l'intersaison, tout joueur en fin de contrat peut considérer les offres des clubs, en choisir une, et le dernier employeur a une semaine pour s'aligner et conserver son joueur.
En 2006-07, le budget total des 18 équipes de la ligue s'élevait à 100 millions d'euros, soit une moyenne de 5.5 millions par clubs. Le salaire moyen d'un pro de l'ACB est de 300 000 euros par an. Toutes les équipes doivent présenter un budget minimum de 3.3 millions d'euros et une salle d'une capacité minimale de 5 000 places. Tout comme l'Euroleague, la Liga voudrait faire passer ce minima à 7 000 places, objectif réaliste puisque 6 500 spectateurs en moyenne assistaient (à la mi-saison 06-07) à chaque rencontre et que 11 des 18 enceintes peuvent déjà accueillir 7 000 spectateurs ou plus.
TVE, chaîne publique diffuse l'affiche de chaque journée. La ligue a noué des accords avec 18 chaînes locales qui complètent l'offre télévisuelle. Ainsi, ce sont en moyenne 5, voire 6 des 9 matches de la journée qui sont retransmis sur le petit écran.
Traitant du basket national mais aussi mondial, ACB.com est devenu le site de basket le plus visité au monde hors-NBA. Sa réussite tient au fait qu'il constitue une véritable communauté grâce à ses forums et au jeu SuperManager, une "fantasy league" qui draine 70 000 participants. Cette stratégie permet de fidéliser ces utilisateurs.
Marketing: la ligue possède 4 gros sponsors exclusifs. Aucun de leurs concurrents ne peut s'afficher sur les maillots des clubs de l'ACB. Ces partenariats assurent d'importantes rentrées d'argent à la ligue. A tel point que celle-ci assure ne plus pouvoir progresser dans le domaine du marketing sportif classique. La ligue entend explorer d'autres voies, aussi diverses que les nouvelles technologies, notamment la téléphonie mobile, le loto sportif ou de nouvelles formes de partenariat comme celle déjà développée avec des marques de lunettes ou de textiles.
La ligue française a encore du travail pour développer le basket en France...........
- Strasbourgeois !
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Non, pas si étonnant si on se rappelle que mes chiffres sont en $ et les tiens en euros : la variation n'est pas si grande.Reconquête a écrit :A priori c'est pourtant bien les budgets et pas les masses salariales. Mais c'est vrai que ça peut paraître étonnant des variations aussi grandes d'une année sur l'autre.
- Strasbourgeois !
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Faut quand même pas pousser !Hoops42 a écrit :La richesse de beaucoup de ces clubs vient, au-delà des sommes elles-mêmes, surtout de la quasi absence de charges et d'impôts.Strasbourgeois ! a écrit :Et j'oubliais le Real Madrid, le plus riche de tous :
Real Madrid (Euroliga) 39.000.000
D'abord la quasi absence de charges est un mythe : pas mal de pays euroligue en font payer, et pas forcément des cacahouètes.
Ensuite, si tu enlèves 33% de charges à un budget de 39 M $, il reste quand même 26 M $... Alors, pleurer sur la fiscalité me fait quand même un peu rigoler...
Continue à rigoler, Monsieur je sais toutStrasbourgeois ! a écrit :Faut quand même pas pousser !Hoops42 a écrit :La richesse de beaucoup de ces clubs vient, au-delà des sommes elles-mêmes, surtout de la quasi absence de charges et d'impôts.Strasbourgeois ! a écrit :Et j'oubliais le Real Madrid, le plus riche de tous :
Real Madrid (Euroliga) 39.000.000
D'abord la quasi absence de charges est un mythe : pas mal de pays euroligue en font payer, et pas forcément des cacahouètes.
Ensuite, si tu enlèves 33% de charges à un budget de 39 M $, il reste quand même 26 M $... Alors, pleurer sur la fiscalité me fait quand même un peu rigoler...
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- Joueur du centre de formation de l'Elan
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Les charges sociales, fiscales et autres ne sont pas de 33 % en France, rien que les charges sociales, je te dit pas : si un club enrole un joueur, pour lui payer 100 € de salaire il faut que le club débourse 160 € à peu près avec tous les prélèvements.Strasbourgeois ! a écrit :Faut quand même pas pousser !Hoops42 a écrit :La richesse de beaucoup de ces clubs vient, au-delà des sommes elles-mêmes, surtout de la quasi absence de charges et d'impôts.Strasbourgeois ! a écrit :Et j'oubliais le Real Madrid, le plus riche de tous :
Real Madrid (Euroliga) 39.000.000
D'abord la quasi absence de charges est un mythe : pas mal de pays euroligue en font payer, et pas forcément des cacahouètes.
Ensuite, si tu enlèves 33% de charges à un budget de 39 M $, il reste quand même 26 M $... Alors, pleurer sur la fiscalité me fait quand même un peu rigoler...
A ça tu rajoutes les charges fiscales et hop, pour proposer un salaire équivalent à une offre étrangère, ben les clubs français doivent faire de sacrés efforts.
- Strasbourgeois !
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On s'est mal compris. Quand je parlais de charges, j'entendais bien les charges patronale, non la fiscalité. Elles avoisinent les 50 % du salaire. Ce qui fait un tiers du total (salaire + charges). Conclusion : si en France les clubs arrivaient à se trouver un budget de 39 M $, même en enlevant ce tiers de charges, il resterait 26 M... (12 M$ de charges + 26 M$ de salaires, pour bien me faire comprendre).thierryy64 a écrit :Les charges sociales, fiscales et autres ne sont pas de 33 % en France, rien que les charges sociales, je te dit pas : si un club enrole un joueur, pour lui payer 100 € de salaire il faut que le club débourse 160 € à peu près avec tous les prélèvements.Strasbourgeois ! a écrit :Faut quand même pas pousser !Hoops42 a écrit :
La richesse de beaucoup de ces clubs vient, au-delà des sommes elles-mêmes, surtout de la quasi absence de charges et d'impôts.
D'abord la quasi absence de charges est un mythe : pas mal de pays euroligue en font payer, et pas forcément des cacahouètes.
Ensuite, si tu enlèves 33% de charges à un budget de 39 M $, il reste quand même 26 M $... Alors, pleurer sur la fiscalité me fait quand même un peu rigoler...
A ça tu rajoutes les charges fiscales et hop, pour proposer un salaire équivalent à une offre étrangère, ben les clubs français doivent faire de sacrés efforts.
Bref, ce que je veux dire, c'est que le problème n'est pas qu'on paie ces charges (et encore une fois, allez voir ce qui se passe en Italie ou en Grèce, vous serez surpris. Je ne connais pas le cas espagnol). Le problème, c'est que personne en France n'arrive à ficeler un budget de plus de 5 M d'euros.
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Vues les retombées médiatiques du basket en France, faut pas trouver ça étonnant!!Le problème, c'est que personne en France n'arrive à ficeler un budget de plus de 5 M d'euros.
D'un autre côté, les rares sponsors nationaux qu'on avait à l'Elan, se barrent les uns après les autres, ou du moins, réduisent leur part année après année!! Ya peut-être d'autres raisons qu'on ne connait pas............
Pour ce qui est des sponsors locaux, tant que l'Elan n'aura pas compris qu'il faut mettre un ancien joueur pour aller les solliciter, on aura du mal à développer de ce côté là! Je ne dis pas que c'est l'unique solution, mais c'en est une!!
En tant que chef d'entreprise, si je vois un Fauthoux (ou autre...) débarquer pour me vendre des places, j'aurais beaucoup plus de mal à le congédier sans rien lâcher que si c'est un commercial quelconque. Encore faut-il trouver celui qui acceptera de prendre la route.....
- Nix
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Après, il faut avoir des affinités avec le commerce, ce n'est pas donné à tout le monde ... Demandes à Zidane par exemple d'aller vendre des places à une boite marseillaise ...pascal64lons a écrit :En tant que chef d'entreprise, si je vois un Fauthoux (ou autre...) débarquer pour me vendre des places, j'aurais beaucoup plus de mal à le congédier sans rien lâcher que si c'est un commercial quelconque. Encore faut-il trouver celui qui acceptera de prendre la route.....
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T'as des écoles de commerce pour apprendre les rudiments du métier!! Mais quand tu t'appelles Fauthoux, t'as déjà 50% du boulot qui est fait!!Après, il faut avoir des affinités avec le commerce, ce n'est pas donné à tout le monde ... Demandes à Zidane par exemple d'aller vendre des places à une boite marseillaise ...
Demandes à la cave de Jurançon s'ils ne sont pas contents d'avoir des joueurs de la Section comme commerciaux, et tout ça pour vendre du pinard!!
Zidane? S'il avait besoin de bosser pour vivre, il n'aurait aucun mal à décrocher des rdv et à vendre des places ou des loges!!
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