[ProA - J15] Elan - Dijon
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[center][/center]
" Pas de changement avant fin Janvier "
Le directeur exécutif Pierre Seillant indique que malgrè la 13e place de Po A de l'Elan Béarnais, " il n'est pas encore question de paniquer ", dans une interview parraissant aujourd'hui dans les quotidiens palois La République et l'Eclair des Pyrénées
. Pierre Seillant précise que des ajustements pourraient être envisagés mais que " on ne peut pas tout changer. Casser pour casser, je n'en ai ni envie ni les moyens ! Pour l'instant, on reste comme nous sommes. Jusqu'à la fin du mois de janvier qui sera déterminant ".
Le club béarnais n'a pas abandonné l'idée de recruter un arrière-shooteur qui pourrait jouer en Pro A, ce qui n'est pas le cas de Mike Bauer tenu des quotas concernant le cas des joueurs américains. Pierre Seillant a par ailleurs discuté avec le coch Gordon Herbert, qui semble un peu déboussolé. " Lui, il y croit toujours. Moi, je lui réponds que nous n'avons plus de joker ", affirme Pierre Seillant, dont le club va devoir cravacher pour être européen et aller en play-offs. Par ailleurs, l'échographie passée hier par Thierry Rupert à Pau sera suivie d'une IRM demain. Le joueur est déjà forfait pour le match face à Fenerbahçe Istanbul demain. Le médeciin craint un décollement de l'aponévrose au niveau de l'ischio-jambier derrière la cuisse droite.
(Source : L'EQUIPE)
[center][/center]
" L'Elan s'enfonce "
PAU-ORTHEZ - DIJON. Troisième défaite à domicile des Palois qui sont hors course pour la Semaine des As en février.
http://www.sudouest.com/191206/sport.as ... a65525.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
[center]LA REPUBLIQUE DES PYRENEES[/center]
" Seillant : " On est secoués ! " "
Le boss à bout de patience, n'exclut pas une prochaine saison sans Coupe d'Europe. " Janvier sera déterminant " dit-il.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : " Quel est votre état d'esprit au lendemain de ce nouvel échec à domicile, très mal perçu, contre Dijon ?
: Disons qu'on fait avec, nous sommes bien obligés. Mais il faut aussi se rendre à l'évidence, on est secoués ! Les gens doivent savoir qie, si l'Elan n'est pas européen l'an prochain, il y aura un très gros chambardement. Pendant 30 ans, l'histoire aura été belle. ersonne n'a réussi la même chose en France et cela restera au bilan. Maintenant, s'il le feut, nous repartirons avec des jeunes, une équipe d'universitaires, pour disputer suelement un match par semaine.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Ce serait alors une fin de cycle ?
: Exactement. On vit un peu la même aventure que le Stade Toulousain qui, comme nous, a connu la gloire et des titres. Maintenant, c'est la pagaille. Des problèmes surgissent, il y a aussi les blessures. D'autres ont vécu cela avant, Saint-Etienne ou Béziers dans le rugby, et il leur a fallu du temps pour renaître.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : L'Elan est tenu par des contrats à honorer. De quelle marge de manoeuvre disposez-vous réellement pour rectifier le tir si la position du club en Pro A ne s'améliore pas ?
: Vous savez, pour virer quelqu'un il faut qu'il y ait faute professionnelle. On doit avoir des indices, une preuve. Les salariés sont protégés, et c'est normal. Un entraîneur n'a pas d'obligation de résultats. Alors, pour se séparer, il y a soit une transaction et le constat par les deux parties qu'il est difficile de continuer ensemble. Soit cela se termine aux Prud'hommes. Mais aujourd'hui, il n'est pas encore question de paniquer ! .
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Justement , quel est selon vous l'état d'esprit actuel de Gordon Herbert qui répond invariablement que l'Elan doit continuer à travailler ?
: Lui, il y croit toujours. Moi, je lui réponds que nous n'avons plus de joker. Bien sûr, on peut faire quelques changements, procéder à un ajustement, et il n'est pas exclu d'appeler un nouveau joueur.
D'ailleurs, l'idée d'engager un arrière shooteur n'a pas été abandonnée....Mais on ne peut pas tout changer. Cassez pour cassez, je n'en ai ni envie ni les moyens ! Pour l'instant, on reste comme nous sommes. Jusqu'à la fin du mois de janvier qui sera déterminant ".
" Rupert forfait pour jeudi "
Il en saura plus mercredi après une IRM, mais l'échographie passée hier a déjà confirmé le forfait de Thierry Rupert pour jeudi. Souffrant derrière la cuisse droite, à hauteur de l'iscio-jambier, depuis dimanche, l'intérieur palois craint une blessure semblable à celle qui affecte déjà Freddy Fauthoux : à savoir un décollement de l'aponévrose.
La profondeur de la blessure et la durée de cicatrisation peuvent ensuite nécessiter plusieurs semaines d'absence. Rappelons que Ian Mahinmi est aussi blessé.
(Source : LA REPUBLIQUE DES PYRENEES )
" Pas de changement avant fin Janvier "
Le directeur exécutif Pierre Seillant indique que malgrè la 13e place de Po A de l'Elan Béarnais, " il n'est pas encore question de paniquer ", dans une interview parraissant aujourd'hui dans les quotidiens palois La République et l'Eclair des Pyrénées
. Pierre Seillant précise que des ajustements pourraient être envisagés mais que " on ne peut pas tout changer. Casser pour casser, je n'en ai ni envie ni les moyens ! Pour l'instant, on reste comme nous sommes. Jusqu'à la fin du mois de janvier qui sera déterminant ".
Le club béarnais n'a pas abandonné l'idée de recruter un arrière-shooteur qui pourrait jouer en Pro A, ce qui n'est pas le cas de Mike Bauer tenu des quotas concernant le cas des joueurs américains. Pierre Seillant a par ailleurs discuté avec le coch Gordon Herbert, qui semble un peu déboussolé. " Lui, il y croit toujours. Moi, je lui réponds que nous n'avons plus de joker ", affirme Pierre Seillant, dont le club va devoir cravacher pour être européen et aller en play-offs. Par ailleurs, l'échographie passée hier par Thierry Rupert à Pau sera suivie d'une IRM demain. Le joueur est déjà forfait pour le match face à Fenerbahçe Istanbul demain. Le médeciin craint un décollement de l'aponévrose au niveau de l'ischio-jambier derrière la cuisse droite.
(Source : L'EQUIPE)
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" L'Elan s'enfonce "
PAU-ORTHEZ - DIJON. Troisième défaite à domicile des Palois qui sont hors course pour la Semaine des As en février.
http://www.sudouest.com/191206/sport.as ... a65525.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
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" Seillant : " On est secoués ! " "
Le boss à bout de patience, n'exclut pas une prochaine saison sans Coupe d'Europe. " Janvier sera déterminant " dit-il.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : " Quel est votre état d'esprit au lendemain de ce nouvel échec à domicile, très mal perçu, contre Dijon ?
: Disons qu'on fait avec, nous sommes bien obligés. Mais il faut aussi se rendre à l'évidence, on est secoués ! Les gens doivent savoir qie, si l'Elan n'est pas européen l'an prochain, il y aura un très gros chambardement. Pendant 30 ans, l'histoire aura été belle. ersonne n'a réussi la même chose en France et cela restera au bilan. Maintenant, s'il le feut, nous repartirons avec des jeunes, une équipe d'universitaires, pour disputer suelement un match par semaine.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Ce serait alors une fin de cycle ?
: Exactement. On vit un peu la même aventure que le Stade Toulousain qui, comme nous, a connu la gloire et des titres. Maintenant, c'est la pagaille. Des problèmes surgissent, il y a aussi les blessures. D'autres ont vécu cela avant, Saint-Etienne ou Béziers dans le rugby, et il leur a fallu du temps pour renaître.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : L'Elan est tenu par des contrats à honorer. De quelle marge de manoeuvre disposez-vous réellement pour rectifier le tir si la position du club en Pro A ne s'améliore pas ?
: Vous savez, pour virer quelqu'un il faut qu'il y ait faute professionnelle. On doit avoir des indices, une preuve. Les salariés sont protégés, et c'est normal. Un entraîneur n'a pas d'obligation de résultats. Alors, pour se séparer, il y a soit une transaction et le constat par les deux parties qu'il est difficile de continuer ensemble. Soit cela se termine aux Prud'hommes. Mais aujourd'hui, il n'est pas encore question de paniquer ! .
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Justement , quel est selon vous l'état d'esprit actuel de Gordon Herbert qui répond invariablement que l'Elan doit continuer à travailler ?
: Lui, il y croit toujours. Moi, je lui réponds que nous n'avons plus de joker. Bien sûr, on peut faire quelques changements, procéder à un ajustement, et il n'est pas exclu d'appeler un nouveau joueur.
D'ailleurs, l'idée d'engager un arrière shooteur n'a pas été abandonnée....Mais on ne peut pas tout changer. Cassez pour cassez, je n'en ai ni envie ni les moyens ! Pour l'instant, on reste comme nous sommes. Jusqu'à la fin du mois de janvier qui sera déterminant ".
" Rupert forfait pour jeudi "
Il en saura plus mercredi après une IRM, mais l'échographie passée hier a déjà confirmé le forfait de Thierry Rupert pour jeudi. Souffrant derrière la cuisse droite, à hauteur de l'iscio-jambier, depuis dimanche, l'intérieur palois craint une blessure semblable à celle qui affecte déjà Freddy Fauthoux : à savoir un décollement de l'aponévrose.
La profondeur de la blessure et la durée de cicatrisation peuvent ensuite nécessiter plusieurs semaines d'absence. Rappelons que Ian Mahinmi est aussi blessé.
(Source : LA REPUBLIQUE DES PYRENEES )
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- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
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L'analyse de la puissance du bassin économique me parait pertinente. L'ASVEL, le PBR ou la SIG devraient en effet etre les principaux moteurs du basket francais sous 10 ans.
Toutefois, à Pau qui est certes une toute petite ville, il y a quand même un avantage que Limoges (sponso par la porcelaine ?) ou Cholet (encore que Nantes) peuvent difficielement avancer : le siège de la compagnie qui dégage le plus de cash en France : Total. L'avenir du club, si l'on rentre effectivement ds ce cycle de puissance économique (ms Zagreb ? Sopot ? Ljubljana ?) passera par la signature d'un réel partenariat Elan - Total. Pas un simple sponsor maillot : un vrai club Elan Total Pau-Orthez (ca devrait motiver les troupes en plus )
Ceci dit, reste la question du bassin démographique, et pour ca il n'y a rien à faire. Avec une heure de transport en voiture on ne touchera jamais que les Landes, le Gers et Tarbes... un désert démographique. Alors la solution : un Elan Gascon Total Bordeaux-Pau ?
Toutefois, à Pau qui est certes une toute petite ville, il y a quand même un avantage que Limoges (sponso par la porcelaine ?) ou Cholet (encore que Nantes) peuvent difficielement avancer : le siège de la compagnie qui dégage le plus de cash en France : Total. L'avenir du club, si l'on rentre effectivement ds ce cycle de puissance économique (ms Zagreb ? Sopot ? Ljubljana ?) passera par la signature d'un réel partenariat Elan - Total. Pas un simple sponsor maillot : un vrai club Elan Total Pau-Orthez (ca devrait motiver les troupes en plus )
Ceci dit, reste la question du bassin démographique, et pour ca il n'y a rien à faire. Avec une heure de transport en voiture on ne touchera jamais que les Landes, le Gers et Tarbes... un désert démographique. Alors la solution : un Elan Gascon Total Bordeaux-Pau ?
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- Joueur majeur de l'Elan
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Si tu met "Total" sur un maillot, je parie que la moitié des gens qui viennent voir jouer l'Elan, parfois en faisant beaucoup de kilomètres en voiture à essence, joueront les vierges éffarouchées, et ne voudront pas voir le nom d'une méchante entreprise qui fait rien qu'à faire exprès de polluer sur le maillot de leur club.Pablo a écrit :L'analyse de la puissance du bassin économique me parait pertinente. L'ASVEL, le PBR ou la SIG devraient en effet etre les principaux moteurs du basket francais sous 10 ans.
Toutefois, à Pau qui est certes une toute petite ville, il y a quand même un avantage que Limoges (sponso par la porcelaine ?) ou Cholet (encore que Nantes) peuvent difficielement avancer : le siège de la compagnie qui dégage le plus de cash en France : Total. L'avenir du club, si l'on rentre effectivement ds ce cycle de puissance économique (ms Zagreb ? Sopot ? Ljubljana ?) passera par la signature d'un réel partenariat Elan - Total. Pas un simple sponsor maillot : un vrai club Elan Total Pau-Orthez (ca devrait motiver les troupes en plus )
Ceci dit, reste la question du bassin démographique, et pour ca il n'y a rien à faire. Avec une heure de transport en voiture on ne touchera jamais que les Landes, le Gers et Tarbes... un désert démographique. Alors la solution : un Elan Gascon Total Bordeaux-Pau ?
Et puis après tout, Total a eu presque 15 ans depuis l'arrivée de l'élan à Pau, pour s'intéresser au basket, mais ne l'a jamais fait. Et je pense pas que Seillant soit assez truffe pour ne pas y avoir pensé avant nous, et pour ne pas avoir tenté de les approcher pendant cette période. Donc, personnellement, je n'y crois pas.
Ensuite, un Elan Bordeaux/Pau, je n'y crois pas non plus : c'est trop loin, et trop peu basket, comme région.
A la limite, je verrais plutôt qqchose avec le pays basque. Mais bon, à long terme, je n'y crois pas vraiment.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
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On peut rêver d'avoir Total ou pas sur le maillot, de quitter Pau.
Mais tout ça ne nous explique en rien pourquoi l'équipe ne gagne pas en ce moment.
Sait-on quelque chose de l'entrevue Seillant/coachs?
Que veut dire le Direx quand il dit: "J'ai le sentiment que le club est exploité, les joueurs ne semblent pas perturbés par les défaites.."
Je me demande si ce groupe va si bien que ça.
Mais tout ça ne nous explique en rien pourquoi l'équipe ne gagne pas en ce moment.
Sait-on quelque chose de l'entrevue Seillant/coachs?
Que veut dire le Direx quand il dit: "J'ai le sentiment que le club est exploité, les joueurs ne semblent pas perturbés par les défaites.."
Je me demande si ce groupe va si bien que ça.
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- Joueur majeur de l'Elan
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c'est pas faux, y'a eu hors sujet, là!gom jabbar a écrit :On peut rêver d'avoir Total ou pas sur le maillot, de quitter Pau.
Mais tout ça ne nous explique en rien pourquoi l'équipe ne gagne pas en ce moment.
Sait-on quelque chose de l'entrevue Seillant/coachs?
Que veut dire le Direx quand il dit: "J'ai le sentiment que le club est exploité, les joueurs ne semblent pas perturbés par les défaites.."
Je me demande si ce groupe va si bien que ça.
Sinon, oui, qqun a des infos?
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
Ouais mais pour info, le siège de Total n'est pas à Pau mais à la Défense à Paris.Pablo a écrit :L'analyse de la puissance du bassin économique me parait pertinente. L'ASVEL, le PBR ou la SIG devraient en effet etre les principaux moteurs du basket francais sous 10 ans.
Toutefois, à Pau qui est certes une toute petite ville, il y a quand même un avantage que Limoges (sponso par la porcelaine ?) ou Cholet (encore que Nantes) peuvent difficielement avancer : le siège de la compagnie qui dégage le plus de cash en France : Total. L'avenir du club, si l'on rentre effectivement ds ce cycle de puissance économique (ms Zagreb ? Sopot ? Ljubljana ?) passera par la signature d'un réel partenariat Elan - Total. Pas un simple sponsor maillot : un vrai club Elan Total Pau-Orthez (ca devrait motiver les troupes en plus )
Ceci dit, reste la question du bassin démographique, et pour ca il n'y a rien à faire. Avec une heure de transport en voiture on ne touchera jamais que les Landes, le Gers et Tarbes... un désert démographique. Alors la solution : un Elan Gascon Total Bordeaux-Pau ?
L'usine de Lacq ne représente qu'une trés infime partie des résultats de Total et cela ne va pas aller en s'améliorant lorsque l'on voit la destruction une par une des unités dans l'usine et le futur épuisement des ressources de gaz en 2013.Donc ce n'est surement pas maintenant que Total va s'investir dans le club.
Et puis si Total commencent à sponsoriser tous les clubs sportifs des sites ou ils sont implantés, ils n'en finiraient plus!
Je ne vois pas pourquoi Total devrait sponsoriser l'élan juste car ils font en Béarn une part risible de leurs bénéfices. Et sachant que cela ne va pas en s'améliorant...
- didier labrit-badie
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En effet, le siège n'est pas à Pau et Lacq ne représente(presque) plus rien pour le groupe. Le seul intérêt est le centre de recherche Jean Féger(pas sur de l'orthographe) qui est à Pau.
Sinon on a un nouvel échéancier qui est fin janvier. Et apparemment ce sera l'arrivée d'un nouveau joueur avec le prêt de Bauer qui se passera. C'est vrai que la date est propice puisque des clubs éliminés d'EL vont dégraisser tout en recherchant des contrats moins élevés. Mais il manquera vraiment...
Après pour le coach on est, comme avec la plupart des joueurs, les poings liés. Il a 2 ans de contrat, comment le virer ET le payer? Sachant en plus que l'on a sur le dos la 2ème année de Didier qui a été négociée. A moins qu'il démissionne sans contre-partie mais ça ne se fait plus ça.
On va voir demain, j'espère, une réaction de groupe et il va la falloir de toute façon car en face on n'aura pas des danseuses...
Sinon on a un nouvel échéancier qui est fin janvier. Et apparemment ce sera l'arrivée d'un nouveau joueur avec le prêt de Bauer qui se passera. C'est vrai que la date est propice puisque des clubs éliminés d'EL vont dégraisser tout en recherchant des contrats moins élevés. Mais il manquera vraiment...
Après pour le coach on est, comme avec la plupart des joueurs, les poings liés. Il a 2 ans de contrat, comment le virer ET le payer? Sachant en plus que l'on a sur le dos la 2ème année de Didier qui a été négociée. A moins qu'il démissionne sans contre-partie mais ça ne se fait plus ça.
On va voir demain, j'espère, une réaction de groupe et il va la falloir de toute façon car en face on n'aura pas des danseuses...
Le départ vers une "capitale régionale" (Toulouse ou Bordeaux) peut être un élément important.
Cependant, l'élément majeur est, à mon sens, l'intervention d'une grosse entreprise ayant la volonté d'investir dans le basket.
Paris n'a pas de grande équipe car n'a pas de gros sponsor.
L'asvel, en revanche, a un gros nom pour le supporter. Et comme par hasard, les Spurs viennent jouer à l'astroballe, communiquent avec l'asvel. Rien sur le PBR lors du passage des spurs à Paris Bercy.
De la même façon, on peut voir que Vitoria est un très grand d'Europe avec Tau derrière. Et Vitoria n'est pas une "capitale", que je sache. Au même titre que Girona qui a trouvé son mécène espagnol.
Je pense donc que, avant même de penser à un changement d'implantation, la présence d'un gros sponsor devient une condition sine qua none pour pouvoir survivre désormais à haut niveau.
Au fait, il gère quoi, M. Béral, maintenant ???
Cependant, l'élément majeur est, à mon sens, l'intervention d'une grosse entreprise ayant la volonté d'investir dans le basket.
Paris n'a pas de grande équipe car n'a pas de gros sponsor.
L'asvel, en revanche, a un gros nom pour le supporter. Et comme par hasard, les Spurs viennent jouer à l'astroballe, communiquent avec l'asvel. Rien sur le PBR lors du passage des spurs à Paris Bercy.
De la même façon, on peut voir que Vitoria est un très grand d'Europe avec Tau derrière. Et Vitoria n'est pas une "capitale", que je sache. Au même titre que Girona qui a trouvé son mécène espagnol.
Je pense donc que, avant même de penser à un changement d'implantation, la présence d'un gros sponsor devient une condition sine qua none pour pouvoir survivre désormais à haut niveau.
Au fait, il gère quoi, M. Béral, maintenant ???
- didier labrit-badie
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Du camping après s'être occupé d'une brioche de couleur orBOZO a écrit :
Au fait, il gère quoi, M. Béral, maintenant ???
Bon, plus précisément, depuis septembre 2005, d'hôtellerie de plein air dans le groupe d'André Trigano
http://www.andre-trigano.com/?partie=in ... iques&id=4
Pourtant les joueurs avaient l'air bien abattus dimanche soir à la fin du match. Je penses qu'ils souffrent autant que nous de ce manque de liant, de réussite et d'adresse et qu'ils donneraient cher pour sortir de ce marasme.gom jabbar a écrit :Que veut dire le Direx quand il dit: "J'ai le sentiment que le club est exploité, les joueurs ne semblent pas perturbés par les défaites.."
Je me demande si ce groupe va si bien que ça.
Peut-être qu'à la suite de la réunion du staff, a été réalisée une réunion staff/joueurs, dans laquelle chacun a pu s'exprimer, de façon à redémarrer sur de bonnes bases.
En ce qui concerne l'avenir économique de l'Elan dans sa petite ville de Pau, il ne faut pas oublier que son Palais des sports représente la meilleure affluence de France et une des meilleures d'E.L. Cela correspond à la culture basket de notre région. A voir ce qu'est devenu le basket à Toulouse et ce qu'il représente à Bordeaux, on peut s'interroger sur d'autres grandes villes comme Lyon, qui a du mal à remplir son astroballe de 5.500 personnes.
Tout comme à Limoges, je pense que le basket à Pau restera une place forte grâce à sa culture basket.
JC Palois
"Toutes les opinions sont respectables. Bon! C'est vous qui le dites. Moi je dis le contraire. C'est mon opinion. Respectez la donc." J.Prévert
"Toutes les opinions sont respectables. Bon! C'est vous qui le dites. Moi je dis le contraire. C'est mon opinion. Respectez la donc." J.Prévert
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- Joueur majeur de l'Elan
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J'espère bien, qu'ils avaient l'air abattus! Enfin, ils doivent avoir un peu d'amour propre, quoi!JC a écrit : Pourtant les joueurs avaient l'air bien abattus dimanche soir à la fin du match. Je penses qu'ils souffrent autant que nous de ce manque de liant, de réussite et d'adresse et qu'ils donneraient cher pour sortir de ce marasme.
Peut-être qu'à la suite de la réunion du staff, a été réalisée une réunion staff/joueurs, dans laquelle chacun a pu s'exprimer, de façon à redémarrer sur de bonnes bases.
En ce qui concerne l'avenir économique de l'Elan dans sa petite ville de Pau, il ne faut pas oublier que son Palais des sports représente la meilleure affluence de France et une des meilleures d'E.L. Cela correspond à la culture basket de notre région. A voir ce qu'est devenu le basket à Toulouse et ce qu'il représente à Bordeaux, on peut s'interroger sur d'autres grandes villes comme Lyon, qui a du mal à remplir son astroballe de 5.500 personnes.
Tout comme à Limoges, je pense que le basket à Pau restera une place forte grâce à sa culture basket.
sinon, pour l'élan, ça restera peut être une place forte en France, mais en europe, avec un cahier des charges style salle de 10000 places, etc??? J'en doute.
Et avec un bon marketing, l'ASVEL doit pouvoir remplir une salle énorme. Un tas de clubs NBA arrivent à remplir des salles immenses pour des matches de saison régulière sans enjeux, par des gens qui apprécient plus le dunk et les pop corn, que le basket.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
- didier labrit-badie
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il veut dire que le club est exploité financièrement: en gros il paie de gros salaires sans retour. Bref, c'est l'inverse de la situation "classique" où c'est l'employé qui est exploité par la boîte pour laquelle il bosse.gom jabbar a écrit :Que veut dire le Direx quand il dit: "J'ai le sentiment que le club est exploité, les joueurs ne semblent pas perturbés par les défaites.."
- didier labrit-badie
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sur ces 6 semaines là son salaire sera pris en charge par l'assurance et comme au 31 décembre il n'y a plus de salaire à verser à Seillant, on va dire que ça va faire du bien à la fin de la saison....Gio a écrit :Ah ben génial, Rupert Out 6 semaines ! Non seulement il coûte cher, il joue peu, et en plus il est bléssé, super !