" Euroligue : Les trois coups à Belgrade "
Les trois coups de l’Euroligue ont été frappés à Istanbul, lundi soir, à l’occasion du match d’ouverture. Malgré le soutien de ses 11500 supporters, Ulker n’ rien pu faire face à la terrible machine du Pana qui a déroulé un basket sans faille, organisé dense et défensivement infranchissable. 82-66, le champion de Grèce qui n’a apporté que deux retouches à l’équipe troisième du dernier final Four (Spanioulis et Tomasevic en plus) , s’annonce donc, comme prévu, comme l’un des candidats les plus sérieux à la première place du groupe « C ».
Ce fameux groupe dans lequel l’Elan fera ses débuts jeudi soir à Belgrade contre le Partizan.
Un premier voyage qui ne s’annonce pas de tout repos puisque l’Elan a quitté Pau, ce mardi soir pour faire une première étape à Paris d’où il s’envolera mercredi de bonne heure.
Le retour est prévu vendredi à 20 heures à Pau.
Didier Gadou disposera du groupe vainqueur à Brest mais une incertitude plane sur Thierry Gadou déjà ménagé en Bretagne en raison d’un dos douloureux, et dont l’état ne s’est pas amélioré depuis le retour en Béarn.
Dans un match où les deux rivaux ne bénéficient pas des faveurs du pronostic pour jouer les premiers rôles dans la poule, l’Elan devra se souvenir que l’ambiance de la salle Pionnir est l’une des plus chaudes du vieux continent. Et que les joueurs de Dusko Vujosevic y sont souvent transcendés. A l ‘image de leur dernier succès dimanche face à Lasko, dans le cadre de la ligue Adriatique, net et sans bavure 92-67.
Une équipe de Belgrade qui après avoir affiché son désir de ne jouer qu’avec des joueurs serbes, ne se renforçant qu’avec la venue de Nicolas Loncar (Estudiantes Madrid), a fait signé deux américains suite à la blessure de Bozic et le départ en Espagne de Avdalovic.
Gérald Brown, un arrière, est ainsi de retour dans la capitale serbe où il joua en 2003-2004, alors que Edmon Edwards s’est vu offrir un contrat d’un mois pour assurer l’intérim.
C’est donc à une véritable épreuve que les Béarnais sont conviés dans un pays où l’on n’a pas sans doute pas oublié l’humiliation subie face au basket français lors du dernier Euro…
Et pourtant, ils seraient fort bien inspirés de la relever avec succès car la suite du menu européen est encore plus indigeste avec la venue du réal, le voyage à Ulker, la réception du CSKA et le déplacement à Sienne qui figurent aussi au programme de novembre.
Les autres matches du groupe : CSKA-Sienne (mercredi ) ; Real Madrid-Malaga (jeudi).
(Source: http://www.elan-bearnais.fr)
" Un exploit à réaliser "
Cette année encore, les clubs français risquent de souffrir en Euroligue. Strasbourg, qui joue son premier match demain contre l'AEK Athènes, et Pau-Orthez (match jeudi contre le Partizan de Belgrade) ne se font guère d'illusions. D'année en année, le décrochage se poursuit. Redoutés voilà dix ans, les clubs français, trois fois moins riches que les grosses équipes, ne font aujourd'hui plus peur en Europe. L'exercice 2004/05 le confirme: Pau et Villeurbanne ont terminé sur un bilan cumulé de 23 défaites en 28 matches.
Pau-Orthez et Strasbourg voudraient éviter une telle débâcle. «On souhaite évidemment faire mieux que l'an dernier, mais on est tombés dans une poule vraiment impressionnante avec des effectifs effrayants», soupire le directeur exécutif de Pau-Orthez, Pierre Seillant.
«Plusieurs clubs comme le Real Madrid ou le CSKA Moscou alignent treize voire quatorze professionnels. Si ce sera intéressant sur le plan des affiches, sportivement on va souffrir», ajoute l'homme fort de l'Elan Béarnais.
Figurant dans un groupe C terrifiant, où l'attendent outre le Real et le CSKA des équipes comme Malaga, le Panathinaïkos et Sienne, les Palois, même renforcés, ne peuvent ambitionner autre chose que quelques coups d'éclat par-ci par-là.
Créer la surprise
Dans ces conditions, une qualification pour le Top 16 serait considérée comme un exploit. «L'objectif est de bousculer quelques gros calibres à domicile, note Pierre Seillant. Il n'est pas question de se coucher, nous jouerons tous les matches à fond. A défaut de viser le Top 16, pourquoi pas la 6e place de la poule et même la 5e, car il y aura des surprises.»
Pour commencer, Pau-Orthez tentera de s'imposer, jeudi, face au Partizan Belgrade, une des équipes les plus faibles du groupe. «Notre calendrier nous offre la possibilité de faire un coup d'entrée», reconnaît Pierre Seillant, qui craint juste que «les Serbes veuillent, à travers ce match, se venger de l'affront fait par l'équipe de France à l'Euro.»
(Source: http://www.lequipe.fr)
[Euroleague J1] Partizan 57 - 82 EBPO
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philip_pau
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philip_pau
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" Relever la tete "
Candidats au Top 16, Pau et Strasbourg vont tenter d'effacer une saison 2004/2005 catastrophique pour les clubs français.
Frédéric Fauthoux : " Cette année, on défend très bien, et c'est souvent une garantie pour voyager. Toutes les équipes qui vont loin ont une bonne assise défensive.
On est plus solides à tous les postes et on veut faire oublier la saison dernière en se qualifiant pour le Top 16....
C'est une poule très dure. Mais débuter à l'extérieur au Partizan n'est pas mauvais parceque la pression est vraiment sur eux. "
Didier Gadou, l'entraineur de Pau, ne part pas battu d'avance malgrè un groupe d'Euroligue très relevé.
L'Equipe : Quelles sont vos ambitions au moment d'aborder l'Euroligue?
Didier Gadou : On a toujours de l'ambition. On a envie de faire quelque chose. On souhaite bien figurer, surtout dans l'aspect collectif du jeu. On a des qualités à faire valoir. Ensuite, on doit souvent faire face à la dure réalité des choses. Dans cette compétition, tout semble un peu démesuré. C'est l'une des compétitions de clubs les plus relevées du monde. Mais on va pouvoir s'étalonner face aux meilleurs joueurs européens et on verra ce qu'on peut faire.
E: Le Top 16 vous semble-t-il un objectif raisonnable?
D.G : Quand on est face à l'ardoise, on en reve forcement. C'est l'objectif de départ. Mais il pourrait etre modifié suivant ce qui se passe sur le terrain.
E: D'autant plus que vous figurez dans un groupe a priori très difficile....
D.G : Au moins, c'est une garantie de spectacle! C'est sur que c'est un groupe très relevé avec beaucoup de noms ronflants. Maintenant, il faut voir ce qu'elles valent sur le terrain. Sur ce qu'elles ont montré depuis le début de saison, elles ne sont pas encore toutes au point.
E: Débuter à Belgrade face à l'équipe qui semble le plus à votre portée, est-ce un avantage?
D.G : Non, commencer à Belgrade, ce n'est pas un cadeau. Ils sont un peu dans la meme situation que nous puisqu'ils pensent que nous sommes prenables. C'est un club qui a misé sur la stabilité. Ils ont une politique de construction avec une génération qui manque peut-etre d'expérience, mais qui est grande en taille et en talent.
(Source : Le Journal L'Equipe )
" Rigaudeau : Pau aura un role "
Fin observateur du basket européen, Antoine Rigaudeau pose un regard acéré sur l4euroligue. Et justifie la place de L'Elan dans ce concert concurrentiel.
République des Pyrénées : L'Euroligue adapte régulièrement ses règles, son fonctionnement. Cette évolution qui tend à imiter la NBA vous parait-elle aller dans le bon sens?
Antoine Rigaudeau : Le basket européen bouge, s'adapte peut-etre à la demande. Je crois simplement que l'on constate la meme chose dans tous les secteurs de la société. Pour en venir au jeu, je dirais que, il y a encore 10 ans, nous pratiquions un basket typiquement européen. C'est-à-dire plus fermé qu'aujourd'hui avec une philosophie défensive poussée.
Aujourd'hui, le véritable changement vient des joueurs. Ils sont plus athlétiques et les prises de risques offensives sont importantes.
On a pu le vérifier pendant l'Euro meme si, au final, c'est la défense grecque qui a eu raison.Hélas.....
R.P: Ce jeu plus libre, plus "américanisé", que vous évoquez ne risque-t-il pas de devenir la norme puisque l'ouverture totale des frontières est effective?
A.R : Il y a deux éléments de réponses.
D'abord, et meme si les exigences du haut niveau ont toujours commandé, je ne pense pas que la nouvelle réglementation soit une bonne chose pour le basket français. Mais nous sommes la dans une logique de globalisation, d'uniformisation.
C'est l'histoire du fast-food, un phénomène qui touche aujourd'hui tous les domaines, et pas seulement le basket. Ensuite autant j'étais favorable à une ouverture à l'échelle européenne , autant je ne sais pas trop quoi penser de cette mondialisation. Je crains que, à terme, elle fasse beaucoup de mal à l'effort de formation que fournissaient traditionnellement les clubs européens.
R.P: L'organisatrice de l'Euroligue (l'ULEB) étant une structure privée, comment éviter que, peu à peu, le basket européen ne devienne, comme le football, une affaire de nantis?
A.R : Il faut que les Fédérations nationales fassent attention. Qu'elles jouent un role de garde-fous. Ceci mis à part, il me parait bon que le mouvement soit impulsé par le privé, l'ULEB en l'occurence. En quelques années , elle a fait avancer pas mal de choses meme si aujourd'hui son avenir, en terme de modèle économique notamment, parait un peu flou. Et puis, il y a une autre grande question: la NBA va-t-elle chercher à s'implanter plus encore en Europe? Y aura-t-il des franchises , ou un simple partenariat? Faut voir.
On en peut pas se contenter de dire que la NBA est un mal nécessaire car, avec l'expérience qu'ils ont, les Américains peuvent faure un bien fou au absket européen en terme de développement.
R.P : Mais des obstacles existent. Sur un plan juridique par exemple, l'Elan et les clubs français souffrent d'un manque d'harmonisation fiscale en Europe......
A.R : C'est un problème. Mais je crois qu'il faudrait surtout creuser en direction du domaine privé. A l'étranger, en Italie que je connais bien, de riches propriétaires acceptent d'investir, sur une prériode donnée pour rendre un club compétitif. Il faut savoir que les sommes nécessaires ne sont pas mirobolantes. Que 10% du budget d'un club de football vous suffit en basket pour aller chercher le Final Four chaque saison. Et puis, à Pau, on vit bien. Cette région a un fort pouvoir d'attraction., cela doit pouvoir attirer des partenaires y compris de l'extérieur.
R.P : A vos yeux, le salut de l'Elan en Euroligue passe donc par la?
A.R : Oui, d'autant que l'Elan a une grosse expérience de cette compétition. Il a donc un role à y jouer, surtout à domicile. Mais comme le groupe proposé cette année est délicat, le soutien du public sera aussi déterminant. Avec lui, Pau-Orthez peut géner quelques grosses écuries au Palais des Sports meme si nous savons très bien qu'il est difficile de songer au Final Four.
R.P : Quand on est un compétiteur, comme vous l'avez été, comment accepter cette situation?
A.R : Je préfère me souvenir que, en 1996, la French Team (éliminée en 1/4 de finale à Moscou) n'était pas favorite de l'Euroligue.
Loin de la. Simplement , nous avions peut-etre compris que seul le collectif permettait de faire la différence. Sur l'instant bien sur, mais aussi plus tard. A titre individuel, ce genre d'aventure a une influence sur l'évolution de votre carrière. Cela a été mon cas.
( Touché au dos samedi à Brest, Thierry Gadou a effectué le déplacement mais n'est pas certain de s'aligner demain à Belgrade. )
( Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Candidats au Top 16, Pau et Strasbourg vont tenter d'effacer une saison 2004/2005 catastrophique pour les clubs français.
Frédéric Fauthoux : " Cette année, on défend très bien, et c'est souvent une garantie pour voyager. Toutes les équipes qui vont loin ont une bonne assise défensive.
On est plus solides à tous les postes et on veut faire oublier la saison dernière en se qualifiant pour le Top 16....
C'est une poule très dure. Mais débuter à l'extérieur au Partizan n'est pas mauvais parceque la pression est vraiment sur eux. "
Didier Gadou, l'entraineur de Pau, ne part pas battu d'avance malgrè un groupe d'Euroligue très relevé.
L'Equipe : Quelles sont vos ambitions au moment d'aborder l'Euroligue?
Didier Gadou : On a toujours de l'ambition. On a envie de faire quelque chose. On souhaite bien figurer, surtout dans l'aspect collectif du jeu. On a des qualités à faire valoir. Ensuite, on doit souvent faire face à la dure réalité des choses. Dans cette compétition, tout semble un peu démesuré. C'est l'une des compétitions de clubs les plus relevées du monde. Mais on va pouvoir s'étalonner face aux meilleurs joueurs européens et on verra ce qu'on peut faire.
E: Le Top 16 vous semble-t-il un objectif raisonnable?
D.G : Quand on est face à l'ardoise, on en reve forcement. C'est l'objectif de départ. Mais il pourrait etre modifié suivant ce qui se passe sur le terrain.
E: D'autant plus que vous figurez dans un groupe a priori très difficile....
D.G : Au moins, c'est une garantie de spectacle! C'est sur que c'est un groupe très relevé avec beaucoup de noms ronflants. Maintenant, il faut voir ce qu'elles valent sur le terrain. Sur ce qu'elles ont montré depuis le début de saison, elles ne sont pas encore toutes au point.
E: Débuter à Belgrade face à l'équipe qui semble le plus à votre portée, est-ce un avantage?
D.G : Non, commencer à Belgrade, ce n'est pas un cadeau. Ils sont un peu dans la meme situation que nous puisqu'ils pensent que nous sommes prenables. C'est un club qui a misé sur la stabilité. Ils ont une politique de construction avec une génération qui manque peut-etre d'expérience, mais qui est grande en taille et en talent.
(Source : Le Journal L'Equipe )
" Rigaudeau : Pau aura un role "
Fin observateur du basket européen, Antoine Rigaudeau pose un regard acéré sur l4euroligue. Et justifie la place de L'Elan dans ce concert concurrentiel.
République des Pyrénées : L'Euroligue adapte régulièrement ses règles, son fonctionnement. Cette évolution qui tend à imiter la NBA vous parait-elle aller dans le bon sens?
Antoine Rigaudeau : Le basket européen bouge, s'adapte peut-etre à la demande. Je crois simplement que l'on constate la meme chose dans tous les secteurs de la société. Pour en venir au jeu, je dirais que, il y a encore 10 ans, nous pratiquions un basket typiquement européen. C'est-à-dire plus fermé qu'aujourd'hui avec une philosophie défensive poussée.
Aujourd'hui, le véritable changement vient des joueurs. Ils sont plus athlétiques et les prises de risques offensives sont importantes.
On a pu le vérifier pendant l'Euro meme si, au final, c'est la défense grecque qui a eu raison.Hélas.....
R.P: Ce jeu plus libre, plus "américanisé", que vous évoquez ne risque-t-il pas de devenir la norme puisque l'ouverture totale des frontières est effective?
A.R : Il y a deux éléments de réponses.
D'abord, et meme si les exigences du haut niveau ont toujours commandé, je ne pense pas que la nouvelle réglementation soit une bonne chose pour le basket français. Mais nous sommes la dans une logique de globalisation, d'uniformisation.
C'est l'histoire du fast-food, un phénomène qui touche aujourd'hui tous les domaines, et pas seulement le basket. Ensuite autant j'étais favorable à une ouverture à l'échelle européenne , autant je ne sais pas trop quoi penser de cette mondialisation. Je crains que, à terme, elle fasse beaucoup de mal à l'effort de formation que fournissaient traditionnellement les clubs européens.
R.P: L'organisatrice de l'Euroligue (l'ULEB) étant une structure privée, comment éviter que, peu à peu, le basket européen ne devienne, comme le football, une affaire de nantis?
A.R : Il faut que les Fédérations nationales fassent attention. Qu'elles jouent un role de garde-fous. Ceci mis à part, il me parait bon que le mouvement soit impulsé par le privé, l'ULEB en l'occurence. En quelques années , elle a fait avancer pas mal de choses meme si aujourd'hui son avenir, en terme de modèle économique notamment, parait un peu flou. Et puis, il y a une autre grande question: la NBA va-t-elle chercher à s'implanter plus encore en Europe? Y aura-t-il des franchises , ou un simple partenariat? Faut voir.
On en peut pas se contenter de dire que la NBA est un mal nécessaire car, avec l'expérience qu'ils ont, les Américains peuvent faure un bien fou au absket européen en terme de développement.
R.P : Mais des obstacles existent. Sur un plan juridique par exemple, l'Elan et les clubs français souffrent d'un manque d'harmonisation fiscale en Europe......
A.R : C'est un problème. Mais je crois qu'il faudrait surtout creuser en direction du domaine privé. A l'étranger, en Italie que je connais bien, de riches propriétaires acceptent d'investir, sur une prériode donnée pour rendre un club compétitif. Il faut savoir que les sommes nécessaires ne sont pas mirobolantes. Que 10% du budget d'un club de football vous suffit en basket pour aller chercher le Final Four chaque saison. Et puis, à Pau, on vit bien. Cette région a un fort pouvoir d'attraction., cela doit pouvoir attirer des partenaires y compris de l'extérieur.
R.P : A vos yeux, le salut de l'Elan en Euroligue passe donc par la?
A.R : Oui, d'autant que l'Elan a une grosse expérience de cette compétition. Il a donc un role à y jouer, surtout à domicile. Mais comme le groupe proposé cette année est délicat, le soutien du public sera aussi déterminant. Avec lui, Pau-Orthez peut géner quelques grosses écuries au Palais des Sports meme si nous savons très bien qu'il est difficile de songer au Final Four.
R.P : Quand on est un compétiteur, comme vous l'avez été, comment accepter cette situation?
A.R : Je préfère me souvenir que, en 1996, la French Team (éliminée en 1/4 de finale à Moscou) n'était pas favorite de l'Euroligue.
Loin de la. Simplement , nous avions peut-etre compris que seul le collectif permettait de faire la différence. Sur l'instant bien sur, mais aussi plus tard. A titre individuel, ce genre d'aventure a une influence sur l'évolution de votre carrière. Cela a été mon cas.
( Touché au dos samedi à Brest, Thierry Gadou a effectué le déplacement mais n'est pas certain de s'aligner demain à Belgrade. )
( Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Encore une fois, le Roi montre que c'est un grand monsieur... 
Et j'aime bien son approche, Pau-Orthez peut faire qqchose en EL. Il n'y a pas de fatalité à perdre tous nos matchs en EL. Il faut avoir confiance en notre collectif, même face aux gros.
Qd on battait le grand Real à Orthez dans les années 80 (entre autres), on n'avait pas non plus une équipe de super stars. Que nous manque-t-il, si ce n'est ce grain de folie, cette inconscience qui peut nous faire croire qu'on peut battre n'importe qui ?
Bon, ok
, mais on ne sait jamais. Croyons en la glorieuse incertitude du sport ! 
Et j'aime bien son approche, Pau-Orthez peut faire qqchose en EL. Il n'y a pas de fatalité à perdre tous nos matchs en EL. Il faut avoir confiance en notre collectif, même face aux gros.
Qd on battait le grand Real à Orthez dans les années 80 (entre autres), on n'avait pas non plus une équipe de super stars. Que nous manque-t-il, si ce n'est ce grain de folie, cette inconscience qui peut nous faire croire qu'on peut battre n'importe qui ?
Bon, ok
, mais on ne sait jamais. Croyons en la glorieuse incertitude du sport ! -
inthezone
- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
- Messages : 548
- Enregistré le : 15 sept. 2004 18:56
- Localisation : en télétravail
La présentation du match sur Roligue.net, c'est par là 
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =1&id=1921
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =1&id=1921Stu Jacksoniste de la première heure.
"L'essence du supporter est dans la défaite"
"L'essence du supporter est dans la défaite"
-
JB Diam's
pour moi, comme je l'ai dit sur un autre post, le match de demain, c'est peut etre deja un tournant, une reference (positive j'espere).
si on gagne demain, alors on est sur de bons rails et on pourrait mettre le feu au real, qui est bien feblard a l'interieur...
il faut y croire!!!!!
allez les gars!!!!!!!!!!
si on gagne demain, alors on est sur de bons rails et on pourrait mettre le feu au real, qui est bien feblard a l'interieur...
il faut y croire!!!!!
allez les gars!!!!!!!!!!
-
philip_pau
- Joueur de banc de l'Elan
- Messages : 1902
- Enregistré le : 08 août 2004 20:32
- Localisation : Pau
L'Elan débute donc ce soir, à 20h45 , dans la toujours très bouillante salle Pionir sa campagne européenne avec une rencontre face au Partizan Belgrade.
" Preview de Partizan Belgrade / EB Pau-Orthez "
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =1&id=1921
(Source : http://www.euroleague.net)
" A Belgrade pour espérer "
Ce n’est pas le bout du monde, mais c’est tout de même à l’autre bout de Belgrade. Et suffisamment loin pour que les balles perdues se perdent vraiment… L’hôtel Président où la délégation béarnaise a pris ses quartiers ce mercredi en début d’après midi sert en effet de cadre à un immense stand de tir, de quoi ravir les amoureux de ball trap.
Pas de souci pour Didier Gadou, il n’y a aucun risque que ses joueurs soient tentés par le Belgrade by night… Les champs avoisinant ont laissé loin derrière eux les embouteillages de la capitale qui s’est d’ores et déjà enveloppé sous un ciel bas et se recroqueville, prête à affronter l’hiver naissant, il faisait un tout petit 7 degrés à la descente de l’avion.
C’est donc à une véritable mise au vert qu’a eu droit l’Elan, mais également à une mise à pied, dans la mesure où sur le tapis de l’aéroport quatre sacs manquaient à l’appel.
Dans le meilleur des cas, Thierry Rupert, Brooks Sales, CC Harrison et le kiné Benoît Mahieu ne récupèreraient leur bien que tard dans la nuit, plus vraisemblablement jeudi matin…
La séance de travail prévue dans la salle Pionneer, ce mercredi soir tombait du même coup à l’eau et se traduirait par un shooting collectif dont Thierry Gadou sera exempté compte tenu de ce que son dos continue à le faire souffrir.
Si les béarnais les avaient oublié les réalités de l’Euroligue et de ses longs transferts se sont vite rappelés à leur bons souvenirs…
Mais puisque c’est, dit-on, dans la difficulté que se forge la solidarité, les partenaires de Freddy Fauthoux seront sans doute y trouvés des raisons supplémentaires de se regrouper.
C’est en effet en ordre serré qu’il leur faudra entrer dans cette arène toujours aussi hostile pour défier avec quelques chances de succès un Partizan qui s’annonce comme toujours, solide, grand et doté de ces merveilleux fondamentaux que l’on prête au basketteurs slaves.
« C’est jeune et ça va haut » notait Didier Gadou impatient à l’idée de savoir comment ces hommes vont négocier le passage de l ‘ échelon national à celui de l’Europe, passage qui s’apparente souvent à un fossé. « Nous sommes bien en place, certes mais ici ce sera une autre affaire, il faudra y rester sous la pression de l’adversaire et de son public.»
Valider au plan international une défense qui dans l’hexagone n’encaisse que 66 points de moyenne, voilà en fait le challenge des béarnais. Or Belgrade, au sein de la Ligue Adriatique, aime jouer plus au large restant sur deux succès à près et plus de 90 points. Il y a donc une opposition de style en perspective mais au delà il y a des hommes dont ce sera pour beaucoup le baptême du feu de l’Euroligue. Et c’est sans doute sur le plan émotionnel que se jouera ce premier acte d’une compétition. Avec en toile de fond la recherche, pour les uns comme pour les autres, des raisons d’espérer dans ce groupe où le plus délicat restera à venir.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Première escale à Belgrade "
http://www.sport24.com/sport24_article_ ... _4956.html
(Source : http://www.sport24.com)
" Retour au Pionir "
http://www.sudouest.com/031105/sport.as ... a73730.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
" Rupert revoit la lumière "
Victime d'une rupture du tendon d'achille la saison dernière, l'intérieur palois revient en forme pour le début de l'Euroligue, ce soir à Belgrade.
Thierry Rupert : " Les premiers mois étaient durs. Après, on accepte la blessure. Le temps est long, mais cela permet de se libérer l'esprit et de passer du temps avec sa famille. J'ai pu commencer à penser à ma reconversion. J'ai plein d'idées....
Il m'a boosté et m'a fait beaucoup bosser. Il m'a expliqué que je devais etre un joueur majeur de l'équipe et qu'on avait besoin de moi( en parlant de Didier Gadou).
J'en ai vraiment bavé , c'est peut etre pour ça que j'ai eu un contrecoup physique. Mais ça commence à porter ses fruits. Je suis sur une pente ascendante....
J'ai essayé de prendre des infos un peu partout parceque je ne le connais pas très bien( en parlant de Milojevic).Mais c'est un client. Je le contiendrai au maximum. Je sais aussi que les Serbes vont nous attendre parce qu'on est un représentantfrançais et que la dernière fois qu'ils ont joué une équipe française cela s'est mal passé....
Je n'en veux pas à Claude Bergeaud( pour sa non-sélection en Equipe de France) parceque je n'avais pas été bon. Mon orgueil en a pris un coup mais cette décision n'était pas injuste. j'avais une grosse part de responsabilité. "
Didier Gadou : " Tout le monde veut retrouver le Rupert de la saison passée. C'est un joueur altruiste qui peut donner des solutions intérieures mais aussi extérieures grace à son tir à deux points. Il a encore des choses à developper, comme son placement. S'il améliore concentration et communication, il franchira encore un cap. Il est en conscient....
Il revient après une blessure pas évidente. Il faut le pousser à aller chercher le meilleur de lui-meme.
Il a encore des courbes de forme et de méforme, ce qui est normal. Il a touché le fond à Bourg mais il est depuis sur la bonne voie. Il répond présent dans beaucoup de secteurs de jeu. "
(Source : Le Journal L'Equipe)
" Fauthoux: Je suis pret à jouer "
Utilisé avec parcimonie depuis le retour de Cooper, Frédéric Fauthoux est toujours pret à rendre service à son équipe, dès ce soir à Belgrade.
République des Pyrénées : International en septembre et sur le banc de l'Elan en octobre. La situation semble paradoxale, comment l'expliquez-vous?
Frédéric Fauthoux : Pour l'instant, ce n'est pas évident tout les jours. Ce qui joue en ma défaveur, c'est que l'équipe a pris des automatismes de jeu lors de l'avant-saison, pendant que j'étais avec l'équipe de France. Au retour de l'Euro, j'ai peut-etre eu une dizaine de jours de lassitude, mais depuis plusieurs semaines je me sens très bien, tant physiquement que mentalement. Je suis pret à jouer.
R.P : Comment vivez-vous la concuerence?
F.F : Comme toujours, elle me stimule. mais bon cela ne sert à rien d'avoir des états d'ame. Il faut faire abstraction de tout cela, et des occasions de montrer ce que je sais faire sur un terrain seront nombreuses.
R.P : Que pensez-vous pouvoir apporter à cette équipe?
F.F : Ce que je fais depuis toujours dans un role de meneur-organisateur capable de mettre la main sur le ballon quand il le faut comme prendre des tirs de loin. Je dois également jouer mon role de captaine sur et en dehors du parquet. Mais en ayant peu de temps de jeu, je le répète, c'est moins évident.
R.P : Ce retour à Belgrade ravive t-il des émotions particulière en vous?
F.F : Je ne vois pas comment je ne pourrais pas penser à tous les bons moments vécus ici avec les Bleus. C'était une avanture humaine extraordinaire avec une récompense au bout. Il s'est passé des choses à Belgrade que je n'oublierai jamais. Je crois , qu'en France, beaucoup se sont identifiés à cette équipe de France. Meme si je préfère regarder devant moi plutot que derrière, les gens que je croise continuent souvent de m'en parler.
R.P : Ou se trouve votre médaille de bronze?
F.F : Elle est à sa place, à Horsarrieu! Elle st la fierté de pas mal de monde, heureux de l'approcher.
R.P : Ce soir, l'Elan entame sa saison d'Euroligue par un déplacement au Partizan Belgrade. La victoire semble obligatoire pour survivre dans ce "groupe de la mort ? ".
F.F : Il ne faut pas se louper d'entrée. L'idéal est de gagner ici et de confirmer la semaine prochaine face au Real au Palais. Le Top 16 est conditionné par ses deux premiers matches.
R.P : Que craignez-vous dans cette équipe?
F.F : Souvent, contre eux, tu te dis que cela va etre facile. En définitive, tu te rends compte qu'ils te posent des problèmes à chaque fois. L'an passé le Partizan ne gagne que deux matches, mais sans quasiement prendre de gros éclats. Cette année, c'est une équipe très jeune encadrée par Loncar et Milojevic, deux joueurs redoutables et expérimentés.
R.P : L'ambiance du "Pionir" est souvent assimilée à un " enfer". Cette réputation est elle toujours d'actualité?
F.F : En tout cas c'est une salle que j'aime beaucoup. Elle respire le basket. L'ambiance est toujours sulfureuse, avec des policiers en armes autour du terrain. Les supporters sont à fond derrière leur équipe et on n'est jamais à l'abri de se faire copieusement insulter.
C'est ici, il y a deux ans, que l'on a gagné le match ( 77-75) qui nous permet de croire au Top 16 que l'on atteindra finalement. Forcément, c'est une enceinte ou tu as envie de revenir.
R.P : Que vous inspire les formations qui composent ce Groupe C ?
F.F : Il n'y a que des noms ronflants avec des effectifs monstrueux. au moins, le Palais va assister à du très bon basket. D'un autre coté, pour passer le premier tour, nous devons travailler encore plus.
Nous avons une équipe construite dans ce sens. Elle est complète et possède la meilleure défense de Pro-A. Cette assise nous donne quelques certitudes.
En revanche, pour s'extraire de ce premier tour, nous devons réussir quelques exploits en mettant un peu de folie dans notre jeu. Je pense néanmoins que nous pouvons jouer les yeux dans les yeux contre n'importe qui.
Arrivés hier midi dans le froide capitale serbe( 7 degrès) recouverte de brume, les Palois, dont la trousse à pharmacie et les sacs de Cooper, Sales et Rupert sont restés coincés entre Paris et Belgrade, ont rejoint leur hotel situé dans un cadre champètre situé à une vingtaine de kilomètres de l'agglomération. Après une sieste réparatrice, ils ont rejoint le "Pionir" pour un entrainement effectué en soirée. L'occasion de tester le genou de Thierry Gadou , douloureux depuis un choc reçu samedi à Brest. Une gène qui ne devrait pas empécher l'intérieur landais de tenir sa place ce soir.
(Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Ce soir à 20h45, dans la salle Pionir, Partizan Belgrade vs Elan Béarnais Pau-Orthez, à suivre sur http://www.euroleague.net , en direct sur la radio locale France Bleu Béarn(102.5) et en différé sur Sport+ à 22h45.
Partizan Belgrade : 4. Tripkovic (SEM, 1,97m), 5. Bogdanovic (SEM, 2,04m), 6. Loncar (SEM, 1,98m), 7. Perovic (SEM, 2,17m), 8. Suput (CRO, 2m), 9. Stefanovic (SER, 1,93m), 10. Borovnjak (SEM, 2,08m), 11. Bakic (SEM, 1,93m), 12. Velickovic ( SEM, 2,04m), 13. Milojevic (SEM, 2,01), 14. Pekovic (SEM, 2,10m), 15. Samardziski (MAC, 2,15m), 20. Bozic (SEM, 1,97m), G.Brown (US, 1,91m), 33. D.Edwards ( US, 1,91m).
Entraineur : D. Vujosevic(SEM).
Pau-Orthez : 4. F.Fauthoux (FR, 1,80m), 5. C.C Harrison (US, 1,94m), 6. X.D'Almeida (FR, 1,83m), 8. A.Drozdov (UKR, 1,98m), 9. S.Cissé (FR, 1,94m), 11. L.Cooper 5US, 1,93m), 12. T.Rupert (FR, 2,04m), 13. T.Gadou (FR, 2,06m), 14. B.Sales (US, 2,08m), 15. TJ Lux (US, 2,04m), 16. J.Varem (NIG, 1,93m), 17. J.Aka (FR, 2,03m).
Entraineur : Didier Gadou (FR).
" Preview de Partizan Belgrade / EB Pau-Orthez "
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =1&id=1921
(Source : http://www.euroleague.net)
" A Belgrade pour espérer "
Ce n’est pas le bout du monde, mais c’est tout de même à l’autre bout de Belgrade. Et suffisamment loin pour que les balles perdues se perdent vraiment… L’hôtel Président où la délégation béarnaise a pris ses quartiers ce mercredi en début d’après midi sert en effet de cadre à un immense stand de tir, de quoi ravir les amoureux de ball trap.
Pas de souci pour Didier Gadou, il n’y a aucun risque que ses joueurs soient tentés par le Belgrade by night… Les champs avoisinant ont laissé loin derrière eux les embouteillages de la capitale qui s’est d’ores et déjà enveloppé sous un ciel bas et se recroqueville, prête à affronter l’hiver naissant, il faisait un tout petit 7 degrés à la descente de l’avion.
C’est donc à une véritable mise au vert qu’a eu droit l’Elan, mais également à une mise à pied, dans la mesure où sur le tapis de l’aéroport quatre sacs manquaient à l’appel.
Dans le meilleur des cas, Thierry Rupert, Brooks Sales, CC Harrison et le kiné Benoît Mahieu ne récupèreraient leur bien que tard dans la nuit, plus vraisemblablement jeudi matin…
La séance de travail prévue dans la salle Pionneer, ce mercredi soir tombait du même coup à l’eau et se traduirait par un shooting collectif dont Thierry Gadou sera exempté compte tenu de ce que son dos continue à le faire souffrir.
Si les béarnais les avaient oublié les réalités de l’Euroligue et de ses longs transferts se sont vite rappelés à leur bons souvenirs…
Mais puisque c’est, dit-on, dans la difficulté que se forge la solidarité, les partenaires de Freddy Fauthoux seront sans doute y trouvés des raisons supplémentaires de se regrouper.
C’est en effet en ordre serré qu’il leur faudra entrer dans cette arène toujours aussi hostile pour défier avec quelques chances de succès un Partizan qui s’annonce comme toujours, solide, grand et doté de ces merveilleux fondamentaux que l’on prête au basketteurs slaves.
« C’est jeune et ça va haut » notait Didier Gadou impatient à l’idée de savoir comment ces hommes vont négocier le passage de l ‘ échelon national à celui de l’Europe, passage qui s’apparente souvent à un fossé. « Nous sommes bien en place, certes mais ici ce sera une autre affaire, il faudra y rester sous la pression de l’adversaire et de son public.»
Valider au plan international une défense qui dans l’hexagone n’encaisse que 66 points de moyenne, voilà en fait le challenge des béarnais. Or Belgrade, au sein de la Ligue Adriatique, aime jouer plus au large restant sur deux succès à près et plus de 90 points. Il y a donc une opposition de style en perspective mais au delà il y a des hommes dont ce sera pour beaucoup le baptême du feu de l’Euroligue. Et c’est sans doute sur le plan émotionnel que se jouera ce premier acte d’une compétition. Avec en toile de fond la recherche, pour les uns comme pour les autres, des raisons d’espérer dans ce groupe où le plus délicat restera à venir.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Première escale à Belgrade "
http://www.sport24.com/sport24_article_ ... _4956.html
(Source : http://www.sport24.com)
" Retour au Pionir "
http://www.sudouest.com/031105/sport.as ... a73730.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
" Rupert revoit la lumière "
Victime d'une rupture du tendon d'achille la saison dernière, l'intérieur palois revient en forme pour le début de l'Euroligue, ce soir à Belgrade.
Thierry Rupert : " Les premiers mois étaient durs. Après, on accepte la blessure. Le temps est long, mais cela permet de se libérer l'esprit et de passer du temps avec sa famille. J'ai pu commencer à penser à ma reconversion. J'ai plein d'idées....
Il m'a boosté et m'a fait beaucoup bosser. Il m'a expliqué que je devais etre un joueur majeur de l'équipe et qu'on avait besoin de moi( en parlant de Didier Gadou).
J'en ai vraiment bavé , c'est peut etre pour ça que j'ai eu un contrecoup physique. Mais ça commence à porter ses fruits. Je suis sur une pente ascendante....
J'ai essayé de prendre des infos un peu partout parceque je ne le connais pas très bien( en parlant de Milojevic).Mais c'est un client. Je le contiendrai au maximum. Je sais aussi que les Serbes vont nous attendre parce qu'on est un représentantfrançais et que la dernière fois qu'ils ont joué une équipe française cela s'est mal passé....
Je n'en veux pas à Claude Bergeaud( pour sa non-sélection en Equipe de France) parceque je n'avais pas été bon. Mon orgueil en a pris un coup mais cette décision n'était pas injuste. j'avais une grosse part de responsabilité. "
Didier Gadou : " Tout le monde veut retrouver le Rupert de la saison passée. C'est un joueur altruiste qui peut donner des solutions intérieures mais aussi extérieures grace à son tir à deux points. Il a encore des choses à developper, comme son placement. S'il améliore concentration et communication, il franchira encore un cap. Il est en conscient....
Il revient après une blessure pas évidente. Il faut le pousser à aller chercher le meilleur de lui-meme.
Il a encore des courbes de forme et de méforme, ce qui est normal. Il a touché le fond à Bourg mais il est depuis sur la bonne voie. Il répond présent dans beaucoup de secteurs de jeu. "
(Source : Le Journal L'Equipe)
" Fauthoux: Je suis pret à jouer "
Utilisé avec parcimonie depuis le retour de Cooper, Frédéric Fauthoux est toujours pret à rendre service à son équipe, dès ce soir à Belgrade.
République des Pyrénées : International en septembre et sur le banc de l'Elan en octobre. La situation semble paradoxale, comment l'expliquez-vous?
Frédéric Fauthoux : Pour l'instant, ce n'est pas évident tout les jours. Ce qui joue en ma défaveur, c'est que l'équipe a pris des automatismes de jeu lors de l'avant-saison, pendant que j'étais avec l'équipe de France. Au retour de l'Euro, j'ai peut-etre eu une dizaine de jours de lassitude, mais depuis plusieurs semaines je me sens très bien, tant physiquement que mentalement. Je suis pret à jouer.
R.P : Comment vivez-vous la concuerence?
F.F : Comme toujours, elle me stimule. mais bon cela ne sert à rien d'avoir des états d'ame. Il faut faire abstraction de tout cela, et des occasions de montrer ce que je sais faire sur un terrain seront nombreuses.
R.P : Que pensez-vous pouvoir apporter à cette équipe?
F.F : Ce que je fais depuis toujours dans un role de meneur-organisateur capable de mettre la main sur le ballon quand il le faut comme prendre des tirs de loin. Je dois également jouer mon role de captaine sur et en dehors du parquet. Mais en ayant peu de temps de jeu, je le répète, c'est moins évident.
R.P : Ce retour à Belgrade ravive t-il des émotions particulière en vous?
F.F : Je ne vois pas comment je ne pourrais pas penser à tous les bons moments vécus ici avec les Bleus. C'était une avanture humaine extraordinaire avec une récompense au bout. Il s'est passé des choses à Belgrade que je n'oublierai jamais. Je crois , qu'en France, beaucoup se sont identifiés à cette équipe de France. Meme si je préfère regarder devant moi plutot que derrière, les gens que je croise continuent souvent de m'en parler.
R.P : Ou se trouve votre médaille de bronze?
F.F : Elle est à sa place, à Horsarrieu! Elle st la fierté de pas mal de monde, heureux de l'approcher.
R.P : Ce soir, l'Elan entame sa saison d'Euroligue par un déplacement au Partizan Belgrade. La victoire semble obligatoire pour survivre dans ce "groupe de la mort ? ".
F.F : Il ne faut pas se louper d'entrée. L'idéal est de gagner ici et de confirmer la semaine prochaine face au Real au Palais. Le Top 16 est conditionné par ses deux premiers matches.
R.P : Que craignez-vous dans cette équipe?
F.F : Souvent, contre eux, tu te dis que cela va etre facile. En définitive, tu te rends compte qu'ils te posent des problèmes à chaque fois. L'an passé le Partizan ne gagne que deux matches, mais sans quasiement prendre de gros éclats. Cette année, c'est une équipe très jeune encadrée par Loncar et Milojevic, deux joueurs redoutables et expérimentés.
R.P : L'ambiance du "Pionir" est souvent assimilée à un " enfer". Cette réputation est elle toujours d'actualité?
F.F : En tout cas c'est une salle que j'aime beaucoup. Elle respire le basket. L'ambiance est toujours sulfureuse, avec des policiers en armes autour du terrain. Les supporters sont à fond derrière leur équipe et on n'est jamais à l'abri de se faire copieusement insulter.
C'est ici, il y a deux ans, que l'on a gagné le match ( 77-75) qui nous permet de croire au Top 16 que l'on atteindra finalement. Forcément, c'est une enceinte ou tu as envie de revenir.
R.P : Que vous inspire les formations qui composent ce Groupe C ?
F.F : Il n'y a que des noms ronflants avec des effectifs monstrueux. au moins, le Palais va assister à du très bon basket. D'un autre coté, pour passer le premier tour, nous devons travailler encore plus.
Nous avons une équipe construite dans ce sens. Elle est complète et possède la meilleure défense de Pro-A. Cette assise nous donne quelques certitudes.
En revanche, pour s'extraire de ce premier tour, nous devons réussir quelques exploits en mettant un peu de folie dans notre jeu. Je pense néanmoins que nous pouvons jouer les yeux dans les yeux contre n'importe qui.
Arrivés hier midi dans le froide capitale serbe( 7 degrès) recouverte de brume, les Palois, dont la trousse à pharmacie et les sacs de Cooper, Sales et Rupert sont restés coincés entre Paris et Belgrade, ont rejoint leur hotel situé dans un cadre champètre situé à une vingtaine de kilomètres de l'agglomération. Après une sieste réparatrice, ils ont rejoint le "Pionir" pour un entrainement effectué en soirée. L'occasion de tester le genou de Thierry Gadou , douloureux depuis un choc reçu samedi à Brest. Une gène qui ne devrait pas empécher l'intérieur landais de tenir sa place ce soir.
(Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Ce soir à 20h45, dans la salle Pionir, Partizan Belgrade vs Elan Béarnais Pau-Orthez, à suivre sur http://www.euroleague.net , en direct sur la radio locale France Bleu Béarn(102.5) et en différé sur Sport+ à 22h45.
Partizan Belgrade : 4. Tripkovic (SEM, 1,97m), 5. Bogdanovic (SEM, 2,04m), 6. Loncar (SEM, 1,98m), 7. Perovic (SEM, 2,17m), 8. Suput (CRO, 2m), 9. Stefanovic (SER, 1,93m), 10. Borovnjak (SEM, 2,08m), 11. Bakic (SEM, 1,93m), 12. Velickovic ( SEM, 2,04m), 13. Milojevic (SEM, 2,01), 14. Pekovic (SEM, 2,10m), 15. Samardziski (MAC, 2,15m), 20. Bozic (SEM, 1,97m), G.Brown (US, 1,91m), 33. D.Edwards ( US, 1,91m).
Entraineur : D. Vujosevic(SEM).
Pau-Orthez : 4. F.Fauthoux (FR, 1,80m), 5. C.C Harrison (US, 1,94m), 6. X.D'Almeida (FR, 1,83m), 8. A.Drozdov (UKR, 1,98m), 9. S.Cissé (FR, 1,94m), 11. L.Cooper 5US, 1,93m), 12. T.Rupert (FR, 2,04m), 13. T.Gadou (FR, 2,06m), 14. B.Sales (US, 2,08m), 15. TJ Lux (US, 2,04m), 16. J.Varem (NIG, 1,93m), 17. J.Aka (FR, 2,03m).
Entraineur : Didier Gadou (FR).
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inthezone
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Et kiki a eu du nez de le mettre dans son roaster Fantasy Challenge? C'est Bibi...alien64 a écrit :A noter que hier, nos 2 anciens Croates, Skelin et Marcelic, ont remporté leur 1er match avec leur nouvelle équipe du Cibona. Bravo à eux, surtout à Davor qui termine avec la meilleure eval du match (18 ) ![/qu[te]
Stu Jacksoniste de la première heure.
"L'essence du supporter est dans la défaite"
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Je vous souhaite une belle victoire.Nobody a écrit :c'est bien parti, 3-0 pour l'élan...
pourvu que ça dure[/qu[te]
Franchement, sur le papier, l'effectif de Belgrade ne paie vraiment pas de mine. Soit ils nous ont déniché deux ou trois jeunes encore inconnus mais géniaux (ce qu'on ne peut jamais exclure), soit ils ont l'effectif le pus faible de l'histoire récente du Partizan.
Donc une victorie paloise me paraît très probable, surtout si Thierry R défend comme il sait le faire sur Milojevic.
Bon match !