Disons que sur les trois ans, Le Mans mérite le titre...
,, mais sur l'année, c'est Nancy largement.
Nancy 88-93 Le Mans, 3 ans d'Euroligue pour le MSB!
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Strasbourgeois !
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bobbylaguepe
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Zianveni veut offrir le titre à Nancy
Pour sa neuvième saison pro avec le Sluc, Maxime Zianveni veut décrocher ce dimanche en finale de pro A de basket la timbale, comme il s’en est confié à l’Est Républicain.
Né à Nancy, Maxime Zianveni, qui réalise par ailleurs sa meilleure saison avec les Couguars (14,9 points, 7,4 rebonds et 35,4 % à trois points en phase régulière), veut remporter le titre national pour tout ce que lui a apporté le Sluc : «Je suis né ici, j'ai toujours joué ici. J'ai vraiment envie d'offrir ce titre à mon club et à ma ville.». Il souhaite également prendre une revanche sur la défaite de Bercy de l’an passé face aux Strasbourgeois. Il pense d’ailleurs que le club lorrain est plus fort cette saison : «Par rapport à la saison dernière, je pense que la plupart des joueurs, notamment moi, ont beaucoup progressé au niveau de l'envie de gagner, du contrôle de soi dans les grands rendez-vous. Cette expérience, dans les moments chauds, je l'ai ressentie plusieurs fois cette saison.», a dit «Air Max», à l’Est Républicain.
Pour sa neuvième saison pro avec le Sluc, Maxime Zianveni veut décrocher ce dimanche en finale de pro A de basket la timbale, comme il s’en est confié à l’Est Républicain.
Né à Nancy, Maxime Zianveni, qui réalise par ailleurs sa meilleure saison avec les Couguars (14,9 points, 7,4 rebonds et 35,4 % à trois points en phase régulière), veut remporter le titre national pour tout ce que lui a apporté le Sluc : «Je suis né ici, j'ai toujours joué ici. J'ai vraiment envie d'offrir ce titre à mon club et à ma ville.». Il souhaite également prendre une revanche sur la défaite de Bercy de l’an passé face aux Strasbourgeois. Il pense d’ailleurs que le club lorrain est plus fort cette saison : «Par rapport à la saison dernière, je pense que la plupart des joueurs, notamment moi, ont beaucoup progressé au niveau de l'envie de gagner, du contrôle de soi dans les grands rendez-vous. Cette expérience, dans les moments chauds, je l'ai ressentie plusieurs fois cette saison.», a dit «Air Max», à l’Est Républicain.
Du bon son!! http://www.myspace.com/jmfjemenfoutiste
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thierryy64
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Karamasof
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Au niveau classement c'est pas faux. Mais n'oublions pas la victoire du Mans aux AS même si ça ne sert pas à grand chose.
Modifié en dernier par Karamasof le 17 juin 2006 23:07, modifié 1 fois.
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Invité
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bobbylaguepe
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L’épouvantail nancéien
Premier ex-aequo avec Pau-Orthez à l’issue de la saison régulière, Nancy a parfaitement tenu son rang lors des Play-offs. Tour à tour tombeur de Chalon et de Strasbourg en quarts puis en demi-finales, le SLUC débarque même à Bercy avec l’étiquette de favori de la finale du championnat de France. D’autant que les Lorrains, malheureusement pour eux, ont l’expérience de ce dernier rendez-vous puisqu’ils s’étaient inclinés contre Strasbourg à ce stade ultime de la compétition l’an dernier. «C'est toujours mieux de savoir où vous mettez les pieds. La moitié des joueurs connaissent les lieux, le déroulement du protocole et ça peut servir dans une finale qui est toujours un match très spécial», admet Jean-Luc Monschau. «Par rapport à la saison dernière, je pense que la plupart des joueurs, notamment moi, ont beaucoup progressé au niveau de l'envie de gagner, du contrôle de soi dans les grands rendez-vous. Cette expérience, dans les moments chauds, je l'ai ressentie plusieurs fois cette saison», renchérit Maxime Zianveni dans les colonnes de L’Est Républicain.
Après avoir fini la saison régulière en trombe (15 victoires pour deux défaites lors de la phase retour) et avoir fait respecter la logique contre Chalon, les hommes de Jean-Luc Monschau ont effacé le douloureux souvenir de l’an dernier en éliminant le champion de France en titre strasbourgeois au terme d’un match d’appui ayant mis la salle Gentilly en ébullition. Ils veulent désormais entrer dans l’histoire du club. Jamais en effet, Nancy n’a été sacré champion de France. Et quelques semaines après la victoire des footeux en Coupe de la Ligue, toute la cité ducale espère encore faire la fête à Paris. Pur produit du club, Zianveni, qui boucle sa neuvième saison pro au Sluc, ne rêve que de cela. «Je suis né ici, j'ai toujours joué ici. J'ai vraiment envie d'offrir ce titre à mon club et à ma ville», clame «Air Max», qui réalise la saison la plus accomplie de sa carrière (14,9 points, 7,4 rebonds) et aura sans doute un grand rôle à jouer dans cette finale, à condition de ne pas être trop vite handicapé par les fautes comme lors de la belle face à la SIG. Seul un succès offrirait au SLUC un billet pour l’Euroligue.
Le Mans dans son élan
Mais Le Mans ne voudra pas s’en laisser compter. Après avoir réalisé deux saisons pleines, bouclées en tête de la saison régulière en 2003-2004 et 2004-2005, les Sarthois ont connu un exercice 2005-2006 plus tourmenté. Certes vainqueur de la Semaine des As en février, ils ont traversé un dernier mois de saison régulière très difficile avec cinq revers lors des huit derniers matches précédant les Play-offs. «Parfois, il y a un joueur ou deux qui connaissent un passage à vide. En ce qui nous concerne, c'est toute l'équipe qui a plongé en même temps. Ça nous a fait du mal mais, au fond de nous, nous savions que nous valions mieux que ça», explique Huseyin Besok dans les colonnes de L’Est Républicain. Et les joueurs de Vincent Collet l’ont montré par la suite. Retrouvant leur défense et leur jeu collectif, les Sarthois ont retrouvé la bonne carburation au bon moment pour éliminer l’ASVEL puis Pau, en deux manches, s’il vous plaît, et enchaîner six succès de rang, en comptant les 2e et 3e matches du tour préliminaire contre Bourg-en-Bresse. «Nous avons prouvé que nous étions revenus dans le rythme face à Villeurbanne et Pau. Nous espérons continuer dans ce sens jusqu'au bout», espère Jermaine Guice.
Le MSB peut donc légitimement prétendre lui aussi au statut de favori de cette finale. N’en parlez cependant pas à Vincent Collet qui ne veut ni de l’étiquette de favori, ni de celle de l’outsider. «Cela va être un match de basket, très ouvert, c’est tout», indique le coach manceau sur le site du club. «C’est un grand bonheur de s’être qualifié en s’imposant à Pau. Et je veux que les joueurs le ressentent comme ça», poursuit-il. Sevré du titre de champion de France depuis 24 ans (le dernier sacre remonte à 1982), les Manceaux connaissent autant que leurs adversaires l’importance de cette rencontre. D’autant qu’une victoire leur assurerait un billet pour trois ans en Euroligue, alors qu’une défaite les laisserait bredouilles puisqu’ils ont refusé de jouer la Coupe ULEB. «C'est très important pour les deux équipes. D'abord, il y a la perspective de l'Euroligue. Dans la vie d'un club, c'est une aventure. Et il y a le titre de champion. Nancy ne l'a jamais gagné. Le Mans l'a fait il y a très longtemps. Pour moi aussi c'est important. Un titre de champion de France dans ma carrière, ce n'est pas rien...», indique encore Besok. «C'est ma première finale de championnat depuis que je joue en Europe. Je suis venu au Mans pour gagner un titre. C'est le moment où jamais. Pour moi et mes coéquipiers !», lui répond, comme en écho, Jermaine Guice.
Les deux équipes ont en tout cas du talent à revendre à tous les étages. A l’intérieur, la bagarre promet d’être chaude entre Cyril Julian (MVP français de Pro A), Max Zianveni ou Dan McClintock et Alain Koffi, Huseyin Besok et Eric Campbell, MVP de la dernière Semaine des As. A la périphérie, le duel entre Yannick Bokolo, l’un des plus prometteurs espoirs du basket français, et Marques Green, le meneur de poche du Sluc, ou encore l’affrontement entre les deux Jermaine, Guice, MVP de la saison dernière avec Le Havre, et Boyette promettent beaucoup. Et que dire du mano à mano que devraient se livrer Tariq Kirksay et Kenny Gregory ? Le spectacle devrait donc être de toute beauté pour le plus grand plaisir d’un POPB qui affichera complet.
Premier ex-aequo avec Pau-Orthez à l’issue de la saison régulière, Nancy a parfaitement tenu son rang lors des Play-offs. Tour à tour tombeur de Chalon et de Strasbourg en quarts puis en demi-finales, le SLUC débarque même à Bercy avec l’étiquette de favori de la finale du championnat de France. D’autant que les Lorrains, malheureusement pour eux, ont l’expérience de ce dernier rendez-vous puisqu’ils s’étaient inclinés contre Strasbourg à ce stade ultime de la compétition l’an dernier. «C'est toujours mieux de savoir où vous mettez les pieds. La moitié des joueurs connaissent les lieux, le déroulement du protocole et ça peut servir dans une finale qui est toujours un match très spécial», admet Jean-Luc Monschau. «Par rapport à la saison dernière, je pense que la plupart des joueurs, notamment moi, ont beaucoup progressé au niveau de l'envie de gagner, du contrôle de soi dans les grands rendez-vous. Cette expérience, dans les moments chauds, je l'ai ressentie plusieurs fois cette saison», renchérit Maxime Zianveni dans les colonnes de L’Est Républicain.
Après avoir fini la saison régulière en trombe (15 victoires pour deux défaites lors de la phase retour) et avoir fait respecter la logique contre Chalon, les hommes de Jean-Luc Monschau ont effacé le douloureux souvenir de l’an dernier en éliminant le champion de France en titre strasbourgeois au terme d’un match d’appui ayant mis la salle Gentilly en ébullition. Ils veulent désormais entrer dans l’histoire du club. Jamais en effet, Nancy n’a été sacré champion de France. Et quelques semaines après la victoire des footeux en Coupe de la Ligue, toute la cité ducale espère encore faire la fête à Paris. Pur produit du club, Zianveni, qui boucle sa neuvième saison pro au Sluc, ne rêve que de cela. «Je suis né ici, j'ai toujours joué ici. J'ai vraiment envie d'offrir ce titre à mon club et à ma ville», clame «Air Max», qui réalise la saison la plus accomplie de sa carrière (14,9 points, 7,4 rebonds) et aura sans doute un grand rôle à jouer dans cette finale, à condition de ne pas être trop vite handicapé par les fautes comme lors de la belle face à la SIG. Seul un succès offrirait au SLUC un billet pour l’Euroligue.
Le Mans dans son élan
Mais Le Mans ne voudra pas s’en laisser compter. Après avoir réalisé deux saisons pleines, bouclées en tête de la saison régulière en 2003-2004 et 2004-2005, les Sarthois ont connu un exercice 2005-2006 plus tourmenté. Certes vainqueur de la Semaine des As en février, ils ont traversé un dernier mois de saison régulière très difficile avec cinq revers lors des huit derniers matches précédant les Play-offs. «Parfois, il y a un joueur ou deux qui connaissent un passage à vide. En ce qui nous concerne, c'est toute l'équipe qui a plongé en même temps. Ça nous a fait du mal mais, au fond de nous, nous savions que nous valions mieux que ça», explique Huseyin Besok dans les colonnes de L’Est Républicain. Et les joueurs de Vincent Collet l’ont montré par la suite. Retrouvant leur défense et leur jeu collectif, les Sarthois ont retrouvé la bonne carburation au bon moment pour éliminer l’ASVEL puis Pau, en deux manches, s’il vous plaît, et enchaîner six succès de rang, en comptant les 2e et 3e matches du tour préliminaire contre Bourg-en-Bresse. «Nous avons prouvé que nous étions revenus dans le rythme face à Villeurbanne et Pau. Nous espérons continuer dans ce sens jusqu'au bout», espère Jermaine Guice.
Le MSB peut donc légitimement prétendre lui aussi au statut de favori de cette finale. N’en parlez cependant pas à Vincent Collet qui ne veut ni de l’étiquette de favori, ni de celle de l’outsider. «Cela va être un match de basket, très ouvert, c’est tout», indique le coach manceau sur le site du club. «C’est un grand bonheur de s’être qualifié en s’imposant à Pau. Et je veux que les joueurs le ressentent comme ça», poursuit-il. Sevré du titre de champion de France depuis 24 ans (le dernier sacre remonte à 1982), les Manceaux connaissent autant que leurs adversaires l’importance de cette rencontre. D’autant qu’une victoire leur assurerait un billet pour trois ans en Euroligue, alors qu’une défaite les laisserait bredouilles puisqu’ils ont refusé de jouer la Coupe ULEB. «C'est très important pour les deux équipes. D'abord, il y a la perspective de l'Euroligue. Dans la vie d'un club, c'est une aventure. Et il y a le titre de champion. Nancy ne l'a jamais gagné. Le Mans l'a fait il y a très longtemps. Pour moi aussi c'est important. Un titre de champion de France dans ma carrière, ce n'est pas rien...», indique encore Besok. «C'est ma première finale de championnat depuis que je joue en Europe. Je suis venu au Mans pour gagner un titre. C'est le moment où jamais. Pour moi et mes coéquipiers !», lui répond, comme en écho, Jermaine Guice.
Les deux équipes ont en tout cas du talent à revendre à tous les étages. A l’intérieur, la bagarre promet d’être chaude entre Cyril Julian (MVP français de Pro A), Max Zianveni ou Dan McClintock et Alain Koffi, Huseyin Besok et Eric Campbell, MVP de la dernière Semaine des As. A la périphérie, le duel entre Yannick Bokolo, l’un des plus prometteurs espoirs du basket français, et Marques Green, le meneur de poche du Sluc, ou encore l’affrontement entre les deux Jermaine, Guice, MVP de la saison dernière avec Le Havre, et Boyette promettent beaucoup. Et que dire du mano à mano que devraient se livrer Tariq Kirksay et Kenny Gregory ? Le spectacle devrait donc être de toute beauté pour le plus grand plaisir d’un POPB qui affichera complet.
Du bon son!! http://www.myspace.com/jmfjemenfoutiste
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Invité
)
Cyril Julian dans l'équipe aujourd'hui :
Allez Nancy et Cyril
Vraiments des mots très sympa, ca fait chaud au coeur.L'euroligue est-elle envisageable pour Nancy ?
"(...) Je voudrais dire aussi qu'en tant qu'ancien de Pau, si je peux rendre a l'Elan trois ans d'Euroligue, cela serait un beau clin d'oeil pour eux".
Vous vous battrez donc autant pour Pau que pour Nancy ?
"Exactement. Pour Didier aussi. Je sais le travail investi par les dirigeants Palois au quotidien. Ils méritent les trois ans".
Allez Nancy et Cyril
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bobbylaguepe
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philip_pau
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