Je pense qu'un match de quart est quelque chose de décisif, déjà. Et en 2003, on l'avait gagné. Cela, c'est un fait. Nous étions d'ailleurs invaincu dans notre poule. Pas vraiment le cas en 2007.Tigre de Sants a écrit :Toujours si ma mémoire est bonne:perdu de 2 pts contre une italie décimée et moribonde,après avoir été sacrément à la ramasse tout le match, je te le rappelle...
Au risque de te contredire,je trouve bien au contraire qu'il y a de fortes analogies,en ce sens que l'on échoue de très peu en demi-avec les clefs du camion confiées à Parker,déjà-et qu'ensuite on ne sait pas se remobiliser,les egos reprennent le dessus,et tout par en c...
Bref,Bergeaud ou pas,l'histoire se plaît à bégayer,et c'est typiquement français,ça,le côté"je me loupe dans les matches décisifs".L'amour du maillot,quoi.
Et si je comprends, et partage en partie, ta position sur les manques français au niveau du mental, je ne pense pas qu'en 2003 on se serait fait atomiser de la sorte. En 2007, c'était prévisible, puisque le match de poule contre la Slovénie avait donné le ton.
Et puis il faut se rappeler le parcours de cette fameuse Italie de 2003 : sortie 3e des poules, elle bat la Slovénie de 2pts en barrage, bat la Grèce, un des favoris, de 2pts en quart, perd de 2pts contre l'Espagne en demi, gagne de 2 contre la France... Son parcours en matchs éliminatoires avait été remarquable, et ce n'est pas un hasard si la même équipe s'est retrouvée si haut en 2004.
L'argument "ce n'est pas l'entraîneur qui défend ou qui rate les paniers", ce n'est quand même pas très convaincant... Surtout dans le domaine de la défense, qui est quand même là où on voit le mieux la marque du coach !C.B.s'est planté en 2007 et-surtout-cette année,dans un autre rôle,mais ce n'est pas non plus le Grand Satan,ni lui qui (ne) défend (pas)..