[Euroleague - J6] Elan (3v-2d) - Trévise (3v-2d)

Espace de discussions dont le sujet principal est le basket-ball et plus particulièrement l'actualité de l'Élan Béarnais.

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awaremann
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Message par awaremann »

en attendant le match de l'élan demain, le CSKA a battu largement le Barça ce soir à Moscou (76-57)

l'ecart a été fait en majorité dans le dernier quart temps
la clé du match a sans doute été la defense sur Navarro, limité à 12pts alors qu'il tournait à plus de 22pts/match avant (de loin le meilleur marqueur de la compétition)
philip_pau
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Message par philip_pau »

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[updown][center] EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007 Image[/center][/updown]



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[updown][center]ImageEUROLEAGUE : SAISON 2006/2007 [/center][/updown]







[center]6e JOURNEE : 1er PHASE[/center]






ImageELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ


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[right]Image BENETTON TREVISE [/right]







[center]Image.FR[/center]



" Euroligue messieurs : Pau-Orthez : objectif positif "


Animé d'une bonne dynamique depuis la victoire à Naples, Pau-Orthez entend bien s'imposer face à Trévise pour conforter sa balance positive, jeudi lors de la 6e journée de l'Euroligue de basket-ball.

Heureux victorieux en terre napolitaine la semaine dernière (96-84 a.p.), les Palois ont dans la foulée redressé la barre en Championnat de France en battant dimanche les champions en titre manceaux (73-65).

Avec trois victoires pour deux défaites sur la scène européenne, Pau veut profiter de ses nouvelles bonnes dispositions sur son parquet pour rester en positif, avant deux déplacements (Kaunas puis Barcelone), et occuper seul la troisième place du groupe C qu'il partage avec son adversaire de jeudi, Trévise.

Au tableau de leurs rencontres, les Italiens ont décroché quatre victoires pour deux défaites contre les Palois, victorieux cependant de leur dernière confrontation il y a deux ans au Palais des Sports (79-72).

"Après Naples, nous allons jouer une deuxième équipe italienne de suite mais Trévise est beaucoup plus fort. Cela n'a pas grand-chose à voir avec notre précédent adversaire car Trévise s'appuie sur un bon collectif, un vrai jeu de passes alors que Naples mise davantage sur ses individualités", a expliqué l'entraîneur de Pau, Gordon Herbert.

Vainqueur la semaine dernière d'Aris (64-62), les champions d'Italie doivent leur succès à leur jeu défensif, qu'il sera difficile aux Palois de perturber. Trévise pourrait cependant souffrir de l'éventuelle absence de leur ailier Marcus Goree, qui a passé lundi une IRM (image par résonance magnétique) après avoir été blessé à un genou et une cheville en championnat.


(Source : http://www.lnb.fr)









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" Basket - Euroligue (H) : Pau veut s'affirmer "

Pour rester dans la course au Top 16 de l'Euroligue, Pau-Orthez a tout intérêt à s'imposer aux dépens de Trévise, jeudi soir (20h45) dans son fief du Palais des Sports.



Les Béarnais présentent à l'heure actuelle un bilan honorable en Euroligue (3 victoires, 2 défaites) et pourraient l'améliorer par le biais d'une nouvelle victoire face aux Italiens. Ils ont mis fin dimanche en Championnat à une indigente série de trois revers de rang en s'offrant Le Mans, le champion de France en titre (73-65). Une manière de recouvrir la confiance dans la perspective de cette bataille européenne qui s'annonce à la fois disputée et indécise.

Sur la lancée de cette rassurante victoire hexagonale, les Béarnais ont l'intention d'enchaîner face à Trévise. Gordon Herbert, le coach palois, avait reconnu sur le site internet du club que «ce succès était le meilleur moyen de donner une bonne dynamique en vue d'une semaine très importante.» Trévise présente un ratio identique à Pau et reste sur un succès devant l'Aris Salonique dans cet Euroligue (64-42). Même si le Top 16 est encore loin, une quatrième victoire serait bonne à prendre pour l'une des deux formations «C'est un match charnière. Contre une équipe difficile à manoeuvrer certes mais c'est une occasion de valider notre succès de Naples», a prévenu Laurent Mopsus, l'adjoint de Gordon Herbert.


(Source : http://www.lequipe.fr)











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" Une occasion à saisir "



Vainqueur à Naples la semaine dernière et face au Mans dimanche en Pro A, Pau-Orthez semble avoir trouvé le bon rythme. Les Béarnais ont l’occasion de confirmer ce bel élan et de se positionner dans la course au Top 16 en accueillant Trévise jeudi soir.


Image
Ricardo Greer sera encore l'une des armes paloises face à Trévise.



Une semaine fructueuse
En une semaine, Pau-Orthez a balayé une bonne partie de ses doutes, nés d’un début de saison brillant en Euroligue, mais très médiocre en championnat. Les hommes de Gordon Herbert sont d’abord allés chercher leur deuxième victoire en déplacement sur la scène européenne en s’imposant à Naples (84-96). Puis, ils ont sorti la tête de l’eau et de la zone de relégation en battant Le Mans dimanche au Palais des Sports en Pro A (73-65). Un match au cours duquel les Béarnais ont dû remonter un handicap de douze points avant de l’emporter et qui, en championnat, fait désormais figure de référence. De là à parler de déclic au moment de recevoir la Benetton Trévise… «Cette victoire fait du bien… Au classement d’abord car on en avait impérativement besoin, mais je crois qu’il y a eu aussi la manière. Toute l’équipe s’est battue et n’a jamais paniqué. Il ne faut cependant pas parler d’un déclic… On pourra en parler après deux-trois succès consécutifs…», indiquait Thierry Rupert sur le site du club en début de semaine.

Ricardo Greer, le monsieur Plus
«Nous avons seulement gagné deux matches de suite. C’est la première fois de la saison que nous réussissons cela. L’équipe s’améliore mais maintenant, notre challenge est d’obtenir une troisième victoire de rang», renchérit Ricardo Greer. L’ancien Strasbourgeois est, avec le dernier arrivé, Michael Wright (15,4 points par match en Euroligue, 22 points dimanche contre Le Mans), l’homme en forme des Palois en ce moment. La semaine dernière, à Naples, il a compilé 16 points et 10 rebonds. Et dimanche face au MSB, il a encore accéléré le tempo avec 18 points, 16 rebonds et 5 passes ! L’Elan comptera donc encore sur son Américain jeudi soir face à Trévise. Comme Pau, la formation transalpine compte 3 victoires et 2 défaites. Elle reste sur une victoire impressionnante contre l’Aris Salonique, maintenue sous la barre des 45 points (64-42), soit le 3e plus petit total de points de l’histoire de la compétition et une victoire inespérée en Lega contre la Virtus Rome (66-67), après avoir compté 8 points de retard à 1’14 de la fin !

Poursuivre la série
Emmenés par un trio d’arrières redoutables, composé du Grec Nikos Zizis (12,4 points et 5,2 passes par match, meilleur passeur de l’Euroligue), de l’Américain Terrell Lyday (8, 4 points) et de l’Italien Marco Mordente (9,2 points, 69,2% de réussite à 3 points), les hommes de David Blatt chercheront à décrocher leur première victoire en déplacement cette saison en Europe. Mais il leur faudra pour cela peut-être composer sans Marcus Goree, leur homme fort du secteur intérieur (5ème à l’évaluation, 8ème rebondeur, 3ème meilleur contreur de la compétition). L’ancien Havrais s’est blessé le week-end dernier en championnat et a passé une IRM rassurante lundi. Mais le staff médical trévisan ne décidera qu’au dernier moment de l’aligner ou pas. Dans tous les cas, il ne devrait pas être à 100% de ses moyens. Un gros coup dur pour Trévise qui perdrait là son meilleur marqueur et son meilleur rebondeur. Gordon Herbert n’en a cure et espère simplement voir son équipe «confirmer sa victoire à Naples et rester dans cette dynamique positive.» En cas de succès, Pau prendrait seul la 3e place du groupe C (au moins) et se positionnerait idéalement dans la course aux billets pour le Top 16. De quoi motiver une équipe qui semble taillée pour ces gros matches…


(Source : http://www.sport24.com)








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" Ricardo Greer : " On regarde devant " "


RICARDO GREER, l'ailier palois, estime que les mauvais jorus de l'Elan sont passés.


C'est l'ultime gladiateur palois, l'homme fort d'une renaissance béarnaise concrétisée par deux victoires probantes à Naples en Euroligue (84-96 a.p), puis face au Mans en Championnat (73-65). Pour l'ailier dominicain de Pau, Ricardo Greer (1,95m, 28 ans), ciment du jeu de l'Elan, le plus dur est derrière.... " On reste sur deux victoires qui nous ont relancés. Si on gagne contre Trévise, on fait un pas vers le Top 16. Et là, on est chez nous, on a retrouvé de la confiance, alors on a les moyens de le faire ", prophétise celui qui menage si sa sueur, ni son ardeur (9,5 pts, 7 rbds de moyenne) pour pousser son groupe.



Image : " En signant à Pau, vous attendiez-vous à un début de saison si agité ?
Image :On ne s'y attend pas, d'autant qu'il a dans cette équipe de quoi faire un bon groupe, des ambitions.
Alors commencer comme ça est un moment difficile à passer. Mais on sait que pour s'en sortir, on doit rester soudés pour trouver une solution. En tant que joueur, on doit aussi comprendre que c'est à nous de changer tout ça, de donner le meilleur pour faire changer les choses
.

Image : Tout n'est peut être pas du ressort des joueurs, l'arrivée tardive du coach , le recrutement.....
Image : On savait que le coach avait des engagements avec une sélection (la Géorgie), qu'il arriverait plus tard, et on peut comprendre. On ne peut pas tout mettre sur le dos du coach, il nous avait prévenus lors de notre première réunion. On avait un staff pour nous encadrer. Je ne vais pas mentir et dire que ça n'a pas été difficile de vivre un début comme ça, que tout allait bien. Ca n'allait pas, c'est vrai mais c'était aussi à nous, en tant qu'équipe d'affronter ça. Je ne regrette pas d'avoir signé.

Image : Avec tous ces mouvements, Pau a pris du retard en matière de collectif...
Image : On n'a pas toujours eu le bon joueur à la bonne place. C'a été le cas au poste de meneur. Aujourd'hui avec Aaron (Miles), on a un gamin talentueux, et dès le premier entraînement j'ai compris qu'il allait nous aider. Même s'il est jeune, que c'est sa première saison en Europe. On l'a tous encouragé. Puis Michael Wright est arrivé et il a beaucoup apporté en impact au poste bas, et sa présence contribue à donner plus de confiance à Ian (Mahinmi) qui apprend encore, qui en a besoin quand il vient du banc. C'est vrai qu'à côté de àa, la situation de Mike Bauer est particulière. Je n'ai jamais vécu ça, mais je sais que même si c'est dur, frustrant pour lui, il reste positif, et il est prêt à se battre quand on a besoin de lui.

[center]" Faire un peu de bruit dans le Top 16 "[/center]

Image : Gordon Herbert, coach à la réputation défensive, a semblé déçu par le rendement de l'équipe dans ce registre. C'est le point faible de Pau ?
Image : On a beaucoup de talent des deux côtés du terrain, mais il nous manque parfois un peu de concentration, de rigueur dans ce qu'on veut mettre en application. Parfois, on veut trop en faire, on veut être bons partout. C'est ce qui te pousse parfois à en faire trop, à faire des erreurs. Il nous faut juste jouer avec l'esprit libre. Le coach est arrivé avec des plans défensifs, des choses qu'on travaille tous les jours à l'entraînement, et qu'on doit arriver à mettre en pratique en jouant simplement au basket, en arrêtant de vouloir trop réfléchir.

Image : Tout de même, vous avez eu une sévère altercation avec lui à propos de tout cela à Salonique. Vous étiez sous tension ?
Image : Oui, c'était une situation tendue et des choses ont été dites qui n'auraient pas du l'être. Et je m'en excuse. Avec Gordon, on en a reparlé après. En tant que coach, il veut tirer le meilleur de ses joueurs et ce jour-là, il m'a dit des choses que j'ai prises comme une attaque personnelle et je n'aurais pas dû. Il était lui aussi sous pression pour avoir perdu trop de matches, il essayait de nous faire réagir. Mais tout ça a été grossi hors de proportion, on ne s'est pas battus, on n'était même pas sur le point de le faire. Il y a eu une grosse dispute c'est vrai, mais on a eu un problème, on en a discuté, et aujourd'hui on regarde devant nous. Tout ça, c'est derrière nous.

Image : En Euroligue, vous prenez moins de shoots et plus de rebonds que l'an passé à Strasbourg, vous êtes moins une option offensive et plus un travailleur de l'ombre, ça vous va ?
Image : Je regarde la façon dont cette équipe est constituée et je vois toutes nos forces offensives : C.C Harrison, Britton Johnsen, Michael Wright, tous peuvent scorer. Quant à moi, je l'ai déjà fait avant; on m'a demandé si j'étais prêt à me sacrifier pour l'équipe, j'ai dit oui. L'équipe passe avant les stats pour moi. Etre MVP d'une équipe qui perd ne m'intéresse pas. L'an passé, la situation était difficile, j'étais une des deux premières options. A Pau, je dois trouver une autre façon d'être efficace. Tant qu'on gagne, c'est OK.

Image : Pau est dans la course au Top 16. C'est le niveau de cette équipe ?
Image : On a le talent pour être compétitif à ce niveau. Une fois l'équipe stabilisée, on sera durs à jouer. On perd le premier match face à Barcelone, toujours invaincu (le Barça a cependant été battu hier soir à Moscou), après on a perdu des matches à notre portée, alors qu'on était pas au mieux. Mais je crois globalement qu'on a montré qu'on pouvait avoir le niveau. Je crois même qu'on a les moyens de faire un peu de bruit dans le Top 16 ".






" L'incertitude Goree "

- EB Pau-Orthez : COINCEE entre quatre déplacements européens, la venue du champion d'Italie, Trévise, peut constituer un tournant pour les Palois. Un quatrième succès validerait une phase aller bien négociée, compte tenu d'un calendrier peu clément. " On est en bonne position mais si rien n'est perdu, rien n'est gagné non plus... " tempère Gordon Herbert, plus souriant depuis le double succès face à Naples (96-84 a.p) et Le Mans ( 73-65). " Nous avons joué notre meilleur basket depuis le début de la saison. Mais si Trévise a peut-être moins de talents que l'an dernier, elle reste une équipe au sens fort du terme ", ajoute l'entraîneur canadien.

- Benetton Trévise : A Trévise, feront défaut l'ancien arrière NBA Richie Frahm, blessé à un pied depuis un mois et peut-être de l'ailier-fort Marcus Goree, touché dimanche en Championnat au genou et à la cheville gauche. L'ancien Havrais effectue un test ce matin mais sera probablement diminué. Très portée du coup sur le jeu extérieur avec le duo de scoreurs Zisis-Lyday, Trévise a annulé un handicap de seize points à Rome dimanche (succès 67-66).


(Source : L'EQUIPE)











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" GAME PREVIEW : Pau-Orthez vs. Benetton Treviso "


http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=72


(Source : http://www.euroleague.net)








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" Herbert, secret défense "


PAU-ORTHEZ - TREVISE. Austère et réservé, l'entraîneur de l'Elan, qui a bâti sa philosophie sur un basket très défensif, détonne dans le paysage palois. Portrait d'un passionné en quête de perfection.


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"Nul ne se met autant de pression que moi », affirme Gordon Herbert .



EUROLIGUE (6e JOURNEE)
Qui connaît Gordon Herbert ? A Pau, depuis trois mois, la personnalité du coach canado-finlandais de l'Elan fait se dresser des sourcils, suscite des interrogations, voire des incompréhensions. Beaucoup n'ont pas osé franchir la barrière, celle de la langue bien sûr, mais aussi cette distance posée, volontairement ou pas, par le personnage.
Coupe réglementaire, regard las, timbre de voix monocorde, démarche voûtée et lente. Herbert n'invite pas au « big up ». Ceux qui donnent du « tu » au débonnaire président Pierre Seillant se demandent encore par quelle face approcher l'iceberg. Devant la presse, les premières semaines, le discours d'Herbert se résuma à deux-trois phrases, dont cette antienne : « On doit encore travailler pour être en meilleure forme et pouvoir mieux défendre. » Pas très funky... Peut-il être léger ? « Bien sûr, assure CC Harrison, qui l'a connu à Paris. Il lui arrive de sortir des blagues vraiment drôles dans le vestiaire. »


Solitaire. En privé, les apparences tombent. Après la victoire à Naples, la semaine dernière, on l'a vu quitter la salle de restaurant et revenir avec cinq bières dans chaque main, qu'il a posées sur la table des joueurs. Puis prolonger la soirée d'une discussion à bâtons rompus, autour d'un verre de vin. « Quand il est en confiance, il est très ouvert et convivial, avance son adjoint, Laurent Mopsus. S'il doit prendre une décision, il écoute tous les avis jusqu'au dernier moment. Mais quand il tranche, c'est seul. C'est quelqu'un de très riche humainement, mais qui a besoin de moments de solitude. »
Dans le bureau du coach de l'Elan au Palais des sports, Claude Bergeaud, l'un de ses prédécesseurs, avait accroché un foulard rouge, des affiches de course landaise, des dessins de Blachon, des maillots, des ballons. Dans le nouvel univers de Gordon Herbert, les murs sont tapissés de panneaux sur lesquels il dessine à l'infini des systèmes de jeu. Décor clinique, ambiance studieuse. « Il ne débranche jamais, confirme Mopsus. Il est en permanence en réflexion sur le jeu, sur les autres, sur ce qu'il pourrait améliorer. Quand il a trouvé, il lui arrive de m'expédier un e-mail à 2 heures du matin. »
Premier à pousser les portes du palais alors que le jour se lève, Herbert déjeune le plus souvent sur place et repart à la nuit tombée. « Il a la flamme, c'est un vrai passionné », poursuit Mopsus. « Quand j'arrive au gymnase, il est déjà là; quand j'en repars, la lumière est encore allumée dans son bureau, sourit CC Harrison. Il faut comprendre, être à Pau, pour lui, c'est une forme d'accomplissement. »


Volcanique. Débranche-t-il parfois ? L'autre soir, au pied du Vésuve, il envisageait les vacances de Noël, en Finlande, sa patrie d'adoption, celle de son épouse. Au programme : ski et pêche dans la glace. Effort. Méditation. Tout le personnage.
« Nul ne se met autant de pression que moi », lâcha Gordon Herbert, le mois passé, alors que son équipe n'en finissait plus de perdre en Pro A. S'il lui arrive parfois de faire référence à ses années de coaching à Francfort (un titre de champion d'Allemagne, une participation au Top 16 de l'Euroligue), pour rappeler qu'il ne vient pas de nulle part, même s'il a débuté dans le métier en Finlande et effectué un crochet par l'Autriche, pays anonymes sur la carte du basket européen, Herbert suit sa trace sans se retourner sur les critiques.
Herbert, c'est un caractère, tendance caractériel, parfois. « Il sait être dur avec les joueurs quand il le faut, mais il les respecte tous », assure Mopsus. « Américains, Français, joueurs majeurs ou pas, il met tout le monde sur un pied d'égalité », confirme le meneur Xane d'Almeida. En public, jamais une critique à l'encontre d'un de ses joueurs. Dans l'intimité des vestiaires, la mitraille peut s'abattre. « Il vise juste et frappe fort », révèle le capitaine Fred Fauthoux.
Mon staff, mon équipe, personne n'entre, personne ne sort : ce fut à Paris, face à la déliquescence des administrateurs du PBR, son réflexe de survie. A Pau : la même stature protectrice envers ses joueurs, dont le jeune meneur Aaron Miles, critiqué des derniers jours.


Perfectionniste. A sa façon de s'agenouiller sur le parquet, le menton posé sur la paume de sa main, il rappelle parfois George Fisher, premier coach étranger de l'Elan (1979-1989). Mais la ressemblance s'arrête là. Fisher, dans ses costumes trois pièces, était un as dans l'art de la séduction. Séduire est le cadet des soucis d'Herbert. « Au niveau basket, il a pourtant des exigences en termes d'esthétisme, commente Mopsus. Il recherche la perfection. Si on touche à ça, attention, il peut exploser. Il ne montre pas souvent ses émotions, mais quand ça sort... » Les arbitres de Pro A ont approché le volcan. Deux rapports sont déjà tombés sur le bureau de la commission de discipline.
« Devenir coach suppose un long travail de maturation, dit le Canadien. Cela prend huit à neuf ans pour bâtir sa philosophie, ensuite il faut trouver les joueurs car, avec certains, ça fonctionne, avec d'autres pas. » Gordon Herbert est sur cette voie à Pau. Et comme le pêcheur qui trempe son fil dans la glace, l'exercice requiert une certaine patience.


(Source : http://www.sudouest.com)











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" Trévise, c'est le match charnière "

A distance, ce dimanche, les deux candidats au podium de cette poule C d’Euroligue qui vont se défier ce jeudi soir (20h45 coup d’envoi), se sont envoyés un message, eux qui dans leur championnat respectifs jouaient sur un air… Suffisamment impressionnant pour que les états majors s’empressent de faire rapatrier les vidéos de leur succès.
Comment donc Rome, chez lui, avec un certain Mire Chatman mais aussi l’inusable Dejan Bodiroga a-t-elle pu gâcher un pécule de 17 points en moins d’un quart d’heure et plus encore de 8 points à une minute du gong ? Les images méritaient le coup d’œil et Gordon Herbert comme Laurent Mopsus n’ont pas manqué de s’y attarder avant de proposer à leur troupes une fin d’entraînement orientée sur la gestion des derniers ballons.
Comment donc les Manceaux, réputés coriaces défenseurs, n’ont-ils su enrayer le phénomène Ricardo Greer au point que le dominicain livre sa plus belle feuille de stats de la saison et joue un rôle capital dans le succès des siens ? David Blatt, le coach venu du Maccabi, il y a deux saisons, ne voulait rater ça sous aucun prétexte quand bien même connaissait-il le garnement qu’il joua deux fois la saison dernière lors des Strasbourg - Benetton.
L’Elan et Trévise n’ont donc pas raté l’approche de leur retrouvailles. Gordon Herbert, reconnaissait tout de suite que « ce succès était le meilleur moyen de donner une bonne dynamique en vue d’une semaine très importante, Angelo Gigli, l’enfant de Rome, bourreau de ses ex-partenaires affirmant « qu’ après ce gros coup, il serait capital d’aller gagner à Pau puisqu’ il fallait désormais aussi gagner à l’extérieur en Euroligue.»
Voila donc deux challengers bien dans leur tête, dans leur basket aussi, même si c’est plus neuf côté béarnais, et donc remontés face à un enjeu qui n’échappe ni à l’un ni à l’autre des deux camps…
Car s’il n’est pas encore venu le temps de se projeter vers le top 16, le vainqueur se verra tout de même créditer d’un quatrième succès, ce qui constitue plus de la moitié du chemin parcouru alors que nous ne sommes pas encore à la moitié du parcours… Quand deux autres clubs se voient menacer de ne toujours compter qu’une seule victoire…
« C’est un match charnière. Contre une équipe difficile à manœuvrer certes mais c’est une occasion de valider notre succès de Naples » annonce Laurent Mopsus.
D’autant plus belle que l’Elan accrocherait à son bilan, après Moscou, le troisième gros morceau de la poule, et il s’en ferait pour la suite un véritable allié…
Bref, les clignotants pourraient rester au vert sous les cintres du palais, mais il reste un combat à gagner et ce n’est sans doute pas la partie la plus facile du challenge.
Quand bien même planera jusqu’au coup d’envoi, la participation de Marcus Goree cet intérieur découvert au Havre en 2001-2002 et depuis trois ans désormais sous la bannière de la Benetton dont il est l’un des socles et l’un des joueurs phares de ce début d’Euroligue (5ème à l’évaluation, 8ème rebondeur, 3ème meilleur contreur)…
Goree ou pas, l’Elan sait bien que ce ne sont pas des choses qui changent la face des matches. Surtout face à un rival dont la culture du jeu reste la marque de fabrique et où l’effectif est à l’abri d’une absence. Blessé en fin de match à Rome, Goree avait posé son genou et sa cheville dans la glace alors que les siens martyrisaient les locaux…
Non, c’est bel et bien sur « l’énergie et le sens du combat », ces principes que Gordon Herbert affichent systématiquement en lettres rouge sur le tableau du dernier breafing, les mêmes que ceux développés à Naples et face au Mans, sur les valeurs sûres qu’il possède aussi, à l’exemple de Michael Wright capable de rivaliser avec Marcus Gorée au niveau des stats (10ème scoreur de l’Euroligue, le 3ème shooteur de lancers franc et le 4ème aux fautes provoquées), que l’Elan aura à s’appuyer pour contrarier une équipe qui aime courir.
C’est sans le moindre doute en restant calé dans le quota de points qu’il accorde à ses adversaires européens (72) que l’Elan aura le plus de chances d’apercevoir la lumière… Et de conserver la dynamique qui semble être son meilleur remède….



(Source : http://www.elan-bearnais.fr)














" Balle de break pour l'Elan "

Une victoire béarnaise ce soir face à Trévise permettrait à l'Elan d'idéalement se positionner avant deux déplacements périlleux.


Imaginez dans quel confort moral les Palois pourraient aborder leurs deux prochains déplacements, à Kaunas puis Barcelone, s'ils avaient le bon goût de ne pas se louper , ce soir, face aux robustes Italiens de Trévise qui partagent avec eux la troisième place provisoire du groupe C avec 8 points (trois succès , deux revers), derrière le CSKA et Barcelone qui s'affrontaient hier soir.
Dans ce " sprint-marathon " qui mène au Top 16, l'Elan se trouve dans la situation vécue en 2002/03, quand après cinq journées tous les espoirs étaient permis...avant de subir de plein fouet le contre-coup de cette belle entame. Un énorme coup de mou matérialisé par six défaites consécutives ! Si pareil scénario semble peu probable cette saison - réceptions d'Istanbul, Salonique, Naples, Kaunas au retour - il convient d'aborder le duel face à Trévise avec tous les égards dû au champion d'Italie qui honore le Top 16 de sa présence depuis 2001.

[center]" Duel de défenses "[/center]

L'entraîneur Gordon Herbert en convient aisément : " Après Naples, voilà une seconde équipe italienne de suite mais attention, Trévise est beaucoup plus fort. Cette équipe n'a que peu de rapport avec notre précédent adversaire car le Benetton s'appuie sur un très bon collectif, un vrai jeu de passes, alors que les Napolitains misent davantage sur leurs individualités. Ce qui est sûr, c'est qu'à 4-2 on serait vraiment pas mal. On a donc intérêt à répondre présent d'entrée de match ".
" En Euroligue, depuis le début de saison, on se transcende toujours contre les grandes équipes qui affichent de grands noms, décrypte de son côté le meneur Xane d'Almeida. Trévise, lorsqu'on regarde son effectif, on se dit qu'on peut les battre. Il faut aborder ce match comme nos deux derniers face à Naples et Le Mans, en étant très sérieux et solidaires à l'extrême ".

Revigorés par la démonstration de force dominicale réussi face aux Manceaux (73-65), les Palois ont tout intérêt à conserver cette énergie défensive, laquelle, contrairement à la Pro A, ne leur a jamais fait défaut en Euroligue (72,3 points concédés en moyenne, soit la 7e défense des 24 équipes en lice, malgrè une prolongation victorieuse disputée jeudi dernier à Naples). Une défense qui semble être également le point fort des Transalpins...depuis une semaine et le tour de force réussi contre Salonique, scotché à 42 unités dont quatre dans le dernier quart-temps. " Je connais bien David Blatt, précise Gordon Herbert. C'est un véritable ami. Nous nous sommes souvent croisés avec nos sélections nationales respectives. Son équipe travaille beaucoup en défense en alternant des zones et des match-up ".

" Gare au Goree....s'il joue "

Une zone que devront dynamiter les extérieurs béarnais, soit en trouvant la mire de loin, ce qui n'est pas le fort de l'équipe depuis le début de la compétition (5e équipe la plus faible à trois points avec 33% de réussite), soit en réussissant à trouver ses joueurs intérieurs. On parle ici de Michael Wright, auteur de 22 points dimanche, " petit par la taille mais grand par le talent ", selon son coéquipier Ricardo Greer, dont le duel avec Marcus Goree vaut son pesant de viande fraîche, à condition que de dernier joue ce soir.
Une éventuelle absence de Goree obligerait Angelo Gigli (2,09m) ) à prendre de nouvelles responsabilités, Nikos Zisis (5,2 passes) à apporter son écot offensif supplémentaire , comme Terrell Lyday, l'ancien meneur de l'ASVEL de nouveau sous les feux des projecteurs européens malgrè des statistiques peu folichonnes (8,4 points, 1,8 passes). A défaut d'assurer une menace offensive extérieure, Aaron Miles connaît son challenge du jour : neutraliser Lyday.
Afin de réussir dans son entreprise, l'Elan peut compter sur l'apport de Mike Bauer (8,8 points), laissé au frigo les jours de Pro A er susceptible de se transformer en Zorro les soirées européennes (remember Moscou et Salonique).
Bauer, une rotation supplémentaire à même de reposer un cinq mejeur (Miles - Greer - Harrison - Johnsen - Wright) soumis à rude épreuve ces derniers temps.
Pour terrasser Trévise, l'Elan a besoin de tous ses hommes au sommet de leur art , et bien sûr d'un public à l'unisson. le Top 16 se mérite.



" Marcus Goree incertain "

Victime d'une distortion d'un genou et de la cheville droite dimanche dernier en Championnat lors de la victoire étriquée face à Rome, Marcus Goree, qui devait passer une IRM avant le départ de son équipe pour le Béarn, est très incertain. A 29 ans et pour sa troisième saison sous les couleurs du Benetton, l'Américain de 2,06m est une valeur sûr du " spaghetti circuit ". En Euroligue, son influence sur le jeu du Benetton est indiscutable. Leader de son équipe en terme de temps de jeu (32 minutes), de points marqués (14,5) et de rebonds (8,1), Goree est " La " plaque tournante intérieure de sa formation. Son forfait serait évidemment une excellente nouvelle pour les Béarnais. Le staff italien prendra la décision de le faire jouer ou pas en dernière minute.


(Source : La République des Pyrénées)










Au Palais des Sports Image, ce soir :












[updown][center]Image à 20h45 ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ vs BENETTON TREVISE[/center] [/updown]



Le match sera également à suivre sur le site de l'Euroligue, via le live http://www.euroleague.net et à la radio France Bleu Béarn, sur la fréquence 102.5 ou bien via le net http://www.tv-radio.com/player/mini.php ... &RM=1&QT=1







Image : BENETTON TREVISE : 4. T.LYDAY (US, 1,91m), 5. B.SMITH (US, 1,96m), 6. N.ZISIS (GRE, 1,97m), 7. M.SORAGNA (ITA, 1,99m), 8. N.GEORGE (US, 1,98m), 9. M.MORDENTE (ITA, 1,92m), 15. A.GIGLI (ITA, 2,09m), 17. S.NELSON (US, 2,03m), 18. M.GOREE (US, 2,05m, incertain), 19. J.BEARD (US, 2,06m).


Entraîneur : Mr David Blatt (US).







ImageELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m) , 5. CC HARRISON (US, 1,94m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. R.GREER (DOM 1,96m), 8. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 1,98m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).


Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)
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didier labrit-badie
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Message par didier labrit-badie »

philip_pau a écrit :Quand j'arrive au gymnase, il est déjà là; quand j'en repars, la lumière est encore allumée dans son bureau, sourit CC Harrison.
Et comment il appelait Coubertin l'ami CC? :o
Trés bonne itw de Ricardo sans faux semblant. Merci pour cette revue de presse.
philip_pau
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Message par philip_pau »

A noter également que ce matin, il restait 1500 places à vendre.
On peut en déduire qu'au moins 7000 personnes au minimum seront au Palais ce soir.
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Nobody
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Message par Nobody »

non 6200 puisque la capacité officielle du palais est de 7700 places et des poussières
C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres !
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bobbylaguepe
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Message par bobbylaguepe »

Ca va etre compliqué! -10 à moins de 3 minutes du terme...

Et voila, on va retomber dans le marasme de la défaite!
Du bon son!! http://www.myspace.com/jmfjemenfoutiste
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bobbylaguepe
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Message par bobbylaguepe »

Je n'ai pas vu le match

qqun puet nous faire un petit topo sur l'Elan de ce soir?

Merci
Du bon son!! http://www.myspace.com/jmfjemenfoutiste
Gio
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Message par Gio »

Ils ont 50 shoots ouverts à 3 points dans le match et nous punissent, on défend comme des m***** et c'est vraiment énervant à voir !!! Et nous, quand on est ouverts, on met rien dedans !!! En plus, CC se blesse encore... j'espère que c'est pas trop grave mais ça commence sérieusement à devenir lourd !!!


Edit by Gégé : suppr des doubles posts, et ce n'est pas un bug que tu n'aies pas pu les supprimer, la fonction a été retirée, décision des admins
gfive
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Message par gfive »

ben...match un peu soporifique, joué sur un rythme bizarre.
Le début de match de l'élan est excellent, avec un très bon Rup's, de l'envie, du jeu de passe, tout ça...Et puis les Italiens commencent à shooter, et là, ça fait mal.
Ils ont eu une réussite de malade! Même Goree fait un 2/3 à 3 pts!
Et effectivement, en face, Wright est en dedans en 1° mi-temps (il la finit à 2/9, je crois), donc, il shootent, et ça rentre pas, ou peu.
Et de leur côté, quand les italiens ratent, ils ont des rebonds long qui leur retombent dans les mains!

Bon, la défense y est sans doute pour qqchose. Le manque de réussite aussi. Mais sinon, j'ai surtout trouvé les joueurs manquant d'envie! Et la sortie de CC sur (manifestement, mais j'espère me tromper) une blessure au genou ou à la cheville du même côté que l'an dernier, a fait très mal : ça a déstabilisé l'équipe à un moment où elle était pas mal.

Après, mon fils pleurait, donc, j'ai pas suivi assez attentivement pour donner un avis sur chaque joueur.

Sinon, complètement par ailleurs, allez voir les stats du match du Maccabi, ça vaut le coup d'oeil....Vujcic a fait un mignon ... 46 d'éval, avec 27pts/10rebs/10 passes! :shock:
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
gfive
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Message par gfive »

Et sinon, n'en déplaise à certains, Miles a été bon
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Nix
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Message par Nix »

Gio a écrit :Ils ont 50 shoots ouverts à 3 points dans le match et nous punissent, on défend comme des m***** et c'est vraiment énervant à voir !!! Et nous, quand on est ouverts, on met rien dedans !!! En plus, CC se blesse encore... j'espère que c'est pas trop grave mais ça commence sérieusement à devenir lourd !!!


Edit by Gégé : suppr des doubles posts, et ce n'est pas un bug que tu n'aies pas pu les supprimer, la fonction a été retirée, décision des admins
rien à ajouter ...

on se précipite comme des mouches sur une merde vers le ballon, résultat le gars qui pénètre a 5 gars sur le dos, 1 ou 2 mecs sont libres à 3 points, ils ont le temps de signer 3 autographes et badaboum 3 points ...

mais il faut avouer que trevise etait bien en place en face ... on a perdu contre plus fort, un écart qui aurait pu être amoindri par une meilleure défense ...
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bobbylaguepe
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Message par bobbylaguepe »

Gfive a dit que Miles a fait un bon match, vous confirmez?
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Message par Nix »

bobbylaguepe a écrit :Gfive a dit que Miles a fait un bon match, vous confirmez?
yes :jap:

rien de forcé, un ou deux shoots à moitié ouverts refusés, à la rigueur je préfère ça plutôt qu'il tente ... et il a quand même mis un 3 points :jap:
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Message par gfive »

bobbylaguepe a écrit :Gfive a dit que Miles a fait un bon match, vous confirmez?
Pour aller un peu plus loin : très bonne tenue de balle, très bonne défense...S'il mettait 6~8 pts de plus, ça serait parfait.

Un shoot à 3pts en première intention qui rentre...Après les 2 de la semaine dernière, ça commence à ressmbler à qqchose.

stats : 0/1 à 2pts, 1/1 à 3pts, 2/2 aux LF, 3 rebs, 5 passes, 3 steals, 0balles perdues, en 31 minutes.

Le seul aspect critiquable, c'est le scoring. Mais avec CC/Greer/Bauer/Johnsen et Wright, dans 80% des cas, ça ne doit pas être un problème.
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Message par Gio »

bobbylaguepe a écrit :Gfive a dit que Miles a fait un bon match, vous confirmez?
Un match correct oui, mais il devrait atteindre la barre des dix points pour qu'on puisse dire que c'était vraiment un bon match, c'est trop juste en attaque encore...
Sinon, je voulais ajouter une chose, c'est que j'espère que Fauthoux va reprendre un peu de temps de jeu à d'Almeida, ce serait bien !!!
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