[EL - J7] Kaunas 106-110 (a2p.) Pau : le TOP16 bien en vue?

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didier labrit-badie
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Message par didier labrit-badie »

pascal64lons a écrit :Möttöla sera absent demain soir d'après les propos du coach intérimaire sur EL.net.
Ça compensera un peu l'absence de CC.
ça ressemble à de l'intox ça non?
Sinon Le Mans perd ce soir de 3 points (76-79) alors qu'ils étaient à -14 à 4 minutes du terme! Vitoria s'est retrouvé fébrile et les manceaux ont envoyé des contre-attaques après des rebonds propres. Dommage pour eux car ils étaient à 2 doigts de réaliser et un hold-up et une sacrée performance.
Sinon je peste encore contre le manque de respect du corps arbitral. Certes, ce n'est pas ça qui décide du sort du match mais quand Bogavac se fait couper la route seul en contre-attaque par Prigioni et que rien n'est sifflé je ne suis pas d'accord. De même Weelher qui lâche une balle sur le dos de son défenseur, qui la récupère après rebond au sol et qu'on lui siffle marché je dis non. La semaine dernière, au plus fort de la domination de Pau face à Trévise, sur un +6 de l'élan, Britton Johnsen est magnifiquement servi par Ricardo Greer dans la raquette pour un panier facile sauf que Britton est retenu par le maillot, du coup il a du retard sur la balle qu'il touche du bout des doigts et file en touche. Balle perdue pour Pau.
Voilà, il y a tout un tas de petites choses qui tombent toujours du même côté. Comme on laisse les "gros" parlementer avec les arbitres alors que nous petits français n'avons pas le droit à la parole...
Je le répète, ce n'est pas ça qui décide des sorts des matchs mais à la longue c'est frustrant.
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garçouille
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Message par garçouille »

est ce que qqun sait a quelle heure le match est retransmis sur sport +?
sur lnb.fr c est a 22h30, sur sport+.fr c est a 22h15 et jai egalement entendu dire que c etait a 21h45...
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Message par ben wallace »

21h45 en différé sur sport+
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didier labrit-badie
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Message par didier labrit-badie »

ben wallace a écrit :21h45 en différé sur sport+
c'est ce que disait le commentateur à la fin du match hier soir. Je pense que c'est lui qui a la bonne info mais c'est vrai que ça change tout le temps! :x
visiteur
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Message par visiteur »

garçouille a écrit :est ce que qqun sait a quelle heure le match est retransmis sur sport +?
sur lnb.fr c est a 22h30, sur sport+.fr c est a 22h15 et jai egalement entendu dire que c etait a 21h45...
21H45, confirmé sur leur site ce jour, après le match de hand
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Message par philip_pau »

[center]Image[/center]





[updown][center]EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007Image[/center][/updown]



[center]Image[/center]


[updown][center]ImageEUROLEAGUE : SAISON 2006/2007[/center][/updown]







[center]7e JOURNEE : 1er PHASE[/center]






ImageZALGIRIS KAUNAS


[center]/[/center]


[right]Image ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/right]





[center]Image.FR[/center]



" Euroligue messieurs - Kaunas-Pau-Orthez: pour un solde positif "


Pau-Orthez se rend à Kaunas, en Lituanie, avec l'ambition de terminer la phase aller de l'Euroligue de basket-ball avec un bilan positif pour la première fois de son histoire, jeudi lors de la 7e journée.

Avec une quatrième victoire en sept matches, les Palois s'offriraient leur plus beau début de saison en douze participations et optimiseraient leurs chances d'atteindre le Top 16. Deux victoires supplémentaires lors des sept dernières journées pourraient alors suffire pour se qualifier.

Déjà victorieux deux fois loin de leurs bases cette saison, ils y croient, à l'image de Cédric Ferchaud, responsabilisé en l'absence de CC Harrison (entorse genou) et qui, avec 22 points, a établi son record personnel dimanche en ProA contre Besançon.

"On se rend en Lituanie pour gagner, martèle l'ailier palois. La confiance est là et nous l'avons déjà montré dans des salles difficiles, à Istanbul et Naples."

Les Palois, logiquement dominés à domicile la semaine dernière par les Italiens de Trévise (73-86), savent que leur salut passera une nouvelle fois par la défense, la septième de l'Euroligue. "Même si nous avons encore du mal à tuer les matches, à cause d'un relâchement souvent inconscient, on est capables de défendre dur", note Ferchaud.

Un coup de vis en défense devrait être suffisant pour dominer une équipe en plein doute en ce moment. Avec cinq défaites lors des six premières journées, Kaunas a déjà presque dit adieu au Top 16 et la défaite contre le grand rival national Vilnius (93-78.), le week-end dernier en Ligue baltique, a provoqué la démission de l'entraîneur letton Ainars Bagatskis.

Jeudi, l'intérim sera assuré par son assistant Rimantas Grigas, qui dit craindre la vitesse et les qualités athlétiques des Palois.

Ceux-ci n'ont plus croisé la route du club lituanien depuis 1999. Cette année-là, Kaunas était devenu, à la surprise générale, champion d'Europe, alors que Pau-Orthez poussait l'aventure jusqu'en quarts de finale.

Cette saison, Kaunas ne sera, sauf cataclysme, pas champion d'Europe. Avec un succès, Pau-Orthez ne serait en revanche plus très loin de renouer avec le faste d'antan.


(Source : http://www.lnb.fr)










[center]Image[/center]



" Basket - Euroligue - (H) : Pau peut y croire "

Le Top 16 n'est peut-être pas si loin. Pau-Orthez, qui se rend jeudi à Kaunas (Lituanie) dans le cadre de la 7e journée de l'Euroligue (19h45) sera à la recherche de son quatrième succès en sept matches, dans cette compétition.



Et pour éviter un terrible coup de froid, les Palois abordent cette rencontre avec un mental de vainqueur, avec l'envie aussi de rééditer les succès obtenus à Fenerbahce (68-66) et à Naples (96-84 ap). Un exploit en terre lituanienne, permettrait aux Béarnais de voir venir et de, peut-être,de ne pouvoir se contenter que de deux succès lors des sept prochaines journées.

Solidité défensive
C'est donc en toute confiance que Pau-Orthez aborde ce nouveau rendez-vous européen. «On se rend en Lituanie pour gagner, assure Cédric Ferchaud l'ailier palois. la confiance est là et nous l'avons déjà prouvé dans des salles hostiles, comme à Istanbul ou Naples». Reste à Pau-Orthez à mettre ces bonnes dispositions en application et surtout à se montrer solide en défense, face à une équipe de Kaunas qui doute terriblement.

Battus à cinq reprises lors des six premières journées, le club lituanien a de plus perdu en championnat national, la semaine passée, face à son grand rival Vilnius. Une défaite qui a provoqué le départ d'Ainars Bagatskis, l'entraîneur qui a remis sa démission. Pau-Orthez devra donc se méfier d'un sursaut d'orgueil des Lituaniens.



(Source : http://www.lequipe.fr)







[center]Image.NET[/center]



" GAME PREVIEW : Zalgiris vs. Pau-Orthez "


http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=82


(Source : http://www.euroleague.net)








[center]Image[/center]



" La foi selon Ferchaud "


Arrivé à Pau à l'intersaison, l'arrière français veut s'y imposer, persuadé d'y vivre de belles choses.



A L'INTERSAISON, la venue en Béarn de Cédric Ferchaud, shooteur en série choletais, à la demande express de Pierre Seillant, avait raidi les sceptiques. Le coach lui-même s'était interrogé. " Quand je suis arrivé, il y avait des joueurs sous contrat, j'ai dû faire avec. J'admets que, au début, je n'étais pas totalement rassuré ", explique très honnêtement Gordon Herbert.
Cédric Ferchaud (1,94m, 26 ans) fut donc un peu chauté, même s'il balaie cette histoire : " Par rapport à tout ce qui s'est dit et ce qui s'est passé, je ne me suis pas pris la tête ", dit-il, fièrement. Très vite, le directeur exécutif est venu à son secours et le coach lui-même l'a finalement adopté. " Il m'a confirmé qu'il comptait sur moi. Il n'y a donc pas de souci ", raconte le pupille choletais, passé par Prissé en Nationale 1 puis Mulhouse en Pro B.

Cédric Ferchaud peut désormais apparier son aventure paloise et ses ambitions. L'ancien galonné en équipe de France A' n'en manque pas, qui a rogné sur son temps de jeu. Sur son égo aussi : " Quand on vient à Pau, on sacrifie un peu de soi-même pour avoir des titres ", convient-il.
Le début de saison lui a surtout donné l'émoi enfantin de ses premiers pas en Euroligue. " C'était des joueurs que je voyais à la télé et, quand j'ai entendu la musique de l'Euroligue et que je me suis vu sur le terrain, j'ai eu des frissons ", s'emballe-t-il.

[center]" Je n'ai pas volé ma place "[/center]

Sur le parquet en revanche, Cédric fait peu avec le quart d'heure qui lui est alloué (3,6 pts à 29% et 1,2 rbds en Euroligue) et le collectif palois est lunatique. Il a ce joli diagnostic. " On n'est pas des tueurs. On se met au niveau des équipes que l'on joue. J'ai parfois l'impression que, si on jouait une équipe NBA, on la jouerait les yeux dans les yeux. Mais ce serait la même chose face à une équipe de Nationale 1 ! ".
Toutefois, l'Elan secrète trop de pierres précieuses pour ne pas êtrer iche. " Quand je vois comment on bosse à l'entraînement, les joueurs qui m'entourent, ce n'est pas possible autrement : on va revenir en force ", lâche-t-il.
Son retour à lui, il l'a vécu dimanche dernier face à Besançon. Propulsé sur l'avant-scène par la blessure de C.C Harrison, Ferchaud (22 pts à 8 sur 18 aux tirs) a souvent pris les commandes et évité à l'Elan une défaite indécente. " Voir mes coéquipiers avoir confiance en moi, me chercher tout le match, ça faut du bien ", savouret-il. Gordon Herbert a apprécié. " Parfois, des joueurs saisissent les opportunités que les blessures peuvent apporter. Depuis deux mois, Cédric travaille dur, joue dans le bon sens. Il mérite d'avoir cette opportunité ".

Ce soir, l'occasion est encore à saisir. " Mais je ne dois pas me dire : C.C (Harrison) n'est pas là, il faut que je le remplace. Là, je vais me planter. Je dois juste faire du Cédric ". Un rôle délicat, celui d'un shotteur attelé aux tâches défensives.

Un rôle qu'il estime pouvoir tenir. " Toutes les étapes de ma carrière sont inscrites dans une suite logique. Je n'ai rien volé du tout ", clame-t-il, haut et fort.
Et derrière un sourire ravi, il glisse : " La NBA, j'ai faut une croix dessus depuis que j'ai six ans, mais l'équipe de France, c'est un objectif évidemment ".








" Mottola incertain "


VOILA ENCORE un rendez-vous gonflé d'incertitudes pour l'Elan Béarnais.
Il y a quinze jours, on le pensait enfin relancé. Et puis, la semaine passée, les démons se sont réveillés. Face à Trévise, à domicile, l'Elan a manqué une belle occasion , puis a dû batailler quarante-cinq minutes en Championnat pour vaincre de valeureux Bisontins.
Pire : Pau a perdu pour deux semaines une fixation extérieure capitale avec l'entorse à un genou de C.C Harrison.

Le Zalgiris Kaunas, lui non plus, n'est pas bien fringant en ce moment. Le coach letton, Ainars Bagatskis, vient de jeter l'éponge après une défaite face à l'ennemi intime le Lietuvos Rytas Vilnius. Son adjoint Rimantas Rigas a récupéré un bébé agité, mais costaud sur son axe meneur-pivot.
La colonne vertébrale Marko Popovic (14,3 pts et 4,5 rbds) - Tanoka Beard (12 pts, 9,7 rbds) est capable de faire très mal. Outre le déménageur Beard, Kaunas dispose d'un autre pylône avec Hanno Mottola, et de quelques bras capables de vite armer à l'extérieur.
Mais, blessé à une cheville en match en retard de Championnat en début de semaine, le pivot finlandais est incertain. Pau devra cependant être grand pour ramener un troisième succès à l'extérieur en Euroligue.


(Source : L'EQUIPE)








[center]Image .COM[/center]



" Ian Mahinmi attend le rebond "


KAUNAS - PAU-ORTHEZ. Le pivot palois est dans le doute.



EUROLIGUE (7e JOURNEE)
Imaginez la situation. A quelques jours de passer le baccalauréat, vous tirez le gros lot au Loto avec la promesse d'un chèque à six chiffres dans deux ans avant d'avoir commencé à travailler. De quoi faire tourner la tête...
Transposée dans le milieu du basket, c'est un peu l'histoire que vit Ian Mahinmi. Drafté au premier tour (28e) par les Spurs de San Antonio de Tony Parker en juin 2005 (avec Turiaf, Petro et Gelabale), le jeune (20 ans, 2,06 m) pivot est en transit cette saison à Pau-Orthez avant un départ programmé, l'été prochain, pour la NBA.
En revanche, il était moins prévu que le Havrais peine à soutenir le rythme d'un club engagé à la fois dans la reconquête du titre de champion de France et dans une compétition aussi exigeante que l'Euroligue. L'Elan béarnais qui avait osé le pari de l'introniser pivot numéro 1 en début de saison a d'ailleurs rapidement rectifié le tir en recrutant Michael Wright pour muscler sa raquette, quelques heures avant l'entrée en scène européenne contre Barcelone.


[center]Image
Le jeune Français est encore en phase d'apprentissage du poste de pivot.[/center]


Derrière Wright. L'Américain donnant satisfaction (10e meilleur marqueur de l'Euroligue avec 15,8 points de moyenne), Mahinmi est passé dans l'ombre avec un temps de jeu forcément réduit (4,2 pts et 3,2 rebonds en 10 min 30 s de moyenne). Rien d'étonnant, après tout, pour un si jeune joueur à un poste qui demande autant de talent que de roublardise. Mais Mahinmi avoue avoir « pris un coup au moral » avec sa rétrogradation sur le banc. « Je ne suis pas satisfait de mon début de saison, j'espérais mieux. Je sortais d'un gros été avec les Spurs et une blessure à mon arrivée à Pau m'a empêché de travailler avec l'équipe en pré-saison. J'ai un peu perdu le contrôle de la situation. Wright est bon, il est normal que je passe au second plan. »
Il n'est pas en situation d'échec mais la trajectoire de sa carrière, rectiligne depuis ses débuts récents (six saisons) dans le basket, subit un léger fléchissement : « C'est la première fois que je suis en perte de confiance », reconnaît-il avec franchise. « Le fait que le poste de pivot titulaire soit un peu trop lourd pour ses épaules, l'arrivée de Wright et un arbitrage parfois sévère à son égard ont retardé son adaptation, confirme Laurent Mopsus, l'assistant du coach Gordon Herbert. Jouer moins a pu nourrir chez lui un sentiment d'inutilité mais on commence à entrevoir des séquences intéressantes. Il est en train de rebondir. »
« J'ai dû me ressaisir, reprendre le travail à la base : les courses, le rebond, la lecture du jeu », dit l'intéressé. « Je suis encore en apprentissage, je dois acquérir de l'expérience. Pivot, c'est du métier. »


L'oeil des Spurs. San Antonio n'attend pas mieux. Les Spurs ont fondé beaucoup d'espoir dans ce « project », n'hésitant pas à déléguer un préparateur physique à l'année en Béarn pour façonner sa silhouette aux coude à coude musclés de la NBA. La tutelle s'arrête là. « Ils suivent mes performances mais ne sont pas tout le temps derrière moi. Ce n'est pas leur rôle de s'impliquer. J'ai un contact hebdomadaire avec Sam Presti (NDLR : coach adjoint), sans plus. » Jusqu'au moment où les Texans, qui prospectent de plus en plus loin et de plus en plus jeune, prendront la décision d'exploiter le filon. Une échéance à laquelle le jeune Français « essaie de ne pas trop penser. »
« Mon souci, aujourd'hui, c'est d'être productif dès mon entrée sur le parquet. C'est le meilleur moyen de rester plus longtemps sur le terrain. » Le bon moyen, aussi, de grandir encore avant de réaliser son rêve américain.


(Source : http://www.sudouest.com)











[center]Image.FR[/center]



" En direct de Kaunas "

Anniversaires – Le plus beau cadeau d’anniversaire dont ils pouvaient rêver en arrivant à Kaunas hier à la nuit tombée, c’est bien entendu d’un troisième succès européen à l’extérieur… En attendant Laurent Mopsus, l’assistant coach et Freddy Fauthoux, tous deux nés le 6 décembre 1972 et à un quart d’heure d’intervalle ont eu droit à un « bon anniversaire » très matinal en arrivant à l’aéroport de Pau…

Bagages - Les aléas des transferts de bagages ont une fois encore frappés les béarnais lors de leur déplacement en Lituanie. Et si contrairement au voyage à Salonique où tous les sacs avaient été déclarés manquants, la majorité des équipements avaient cette fois suivi, le coach Gordon Herbert a vainement attendu les siens à Vilnius terminus du voyage aérien…
L’Elan s’étant embarqué, mercredi matin, pour une expédition qui ne le ramènera en Béarn qu’après le crochet par Nancy tout était mis en oeuvre pour que le bagage arrive à bon port dans la nuit…


Chassé-croisé - Lorsque les béarnais rentreront de Kaunas vendredi en début d’après midi, leurs adversaires nancéens s’apprêteront, à leur tour, à boucler leurs valises pour la Lituanie. Dès le lendemain du match de championnat de France il se rendront en effet à Vilnius dans le cadre de la coupe ULEB…C’est ce qui s’appelle un vrai chassé croisé !

Doux hiver – La douceur climatique de cet hiver qui tarde à se déclarer frappe aussi la Lituanie. Et si le bonnet et la parka n’étaient pas de trop à la descente de l’avion, si la nuit tombe plu tôt que chez nous , la neige reste la grande absente dans un pays où d’ordinaire elle fait son apparition dès la mi-novembre…

Zalgiris – Le club que préside Arvidas Sabonis, tire son nom de l’une des plus grandes batailles du peuple Lituanien. Elle eut lieu en 1410 face à l’envahisseur allemand. Kaunas est aujourd’hui la deuxième ville du pays avec 361000 habitants mais veut rester la première en matière de basket d’où la mise en chantier dès le mois de mai prochain d’une salle privée de 16000 places dont une firme française, Bouygues s’est vu confier la responsabilité du chantier.

Différé – C’est en différé que le match de ce jeudi sera retransmis par Sports Plus. David Cozette et Laurent Pluvy les envoyés spéciaux de la chaîne prendront l’antenne à 22h30. Pour les amateurs de direct rendez-vous sur France Bleue Béarn et les commentaires de Jean Pierre Daucé.
11-0 - Si Kaunas n’est pas au mieux ni en Euroligue (1victoire pour 5 défaites) ni en championnat national (défaite contre le rival intime Lietuvos Rytas Vilnius samedi) la ligue balte qu’il dispute en compagnie des clubs estoniens et lettons lui a permis de renouer avec le succès. Lundi soir Jalgiris s’est en effet promené face aux lettons de Lacplesa inscrivant la bagatelle de 102 points…








" Que cache ce Kaunas là ? "

Où donc l’Elan a-t-il posé le pied ce mercredi en fin d’après midi ? Dans la tanière d’un ours blessé, peut-être même gravement malade au point d’avoir perdu son coach et d’appeler son second pour se pencher à son chevet ? Dans l’antre d’une formation ayant tout bonnement mangé son pain noir et désormais convaincue de son retour aux affaires?
Le Jalgiris de Kaunas n’a pas, au premier examen, la mine du bien portant. En échouant samedi dernier à 15 longueurs (75-98.) de l’ennemi public numéro 1, le Lietuvos Rytas de Vilnius, seul rival ouvertement déclaré en Ligue Lituanienne comme en Ligue Baltique, il a même provoqué l’ire de ses plus irréductibles supporters et un sacré remue ménage interne.
Il a aussi le visage pâle sur le front de la grande Europe, celle dont il fut le roi en 99 et pour lequel le président de la république en personne s’était alors déplacé. Un seul succès à son actif (Naples) le place sur le fil d’une élimination quasi-certaine en cas d’échec face aux béarnais…
D’ordinaire, c’est au Top 16 que Kaunas cale. Pas l’once d’une victoire lors des deux dernières éditions (0 sur 12). Oui mais, la première marche ne pose pas de problèmes aux hommes du président Sabonis.
Peut-être le moment est-il venu d’y regarder de plus près. Histoire de vérifier qu’il n’y a rien de véritablement cassé dans la grande maison verte. Que son seul pêché capital est en fait d’avoir subi les foudres du …CSKA de Moscou (autre ennemi privilégié ici) et de Barcelone… Est-ce là un préjudice insurmontable ? D’autres et en grand nombre ne paieront-ils pas le même prix à la visite des deux leaders incontestables ?
Pour le reste, le Jalgiris qui n’a certes plus le pouvoir de jadis, s’est incliné partout où il est allé, c’est vrai. Sans y laisser cependant l’espoir de renverser le point avérage : moins 9 à Ulker, moins 7 à Salonique, voire moins 13 à Trévise, ce en sont, sommes toutes, pas des écarts rédhibitoires.
L’Elan s’inscrit aujourd’hui au premier rang de la liste des quatre clubs à devoir affronter la chaude salle Darius et Girenas, celle la même dans laquelle il a échoué à deux reprises. En 87, alors qu’il était venu chercher un ticket pour la finale de Lausanne, puis en 99.
Kaunas n’est pas au mieux et on ne sait ce que cache le coup de trafalgar lié au départ de l’entraîneur, mais il n’est pas non plus à l’article de la mort. Un carton plein chez lui, plus un succès à l’extérieur, le plan de marche est tracé, la voie serait réouverte… C’est celui que les béarnais auraient imaginé s’ils n’avaient eu le bon goût, en ce qui les concerne, de signer déjà deux exploits…
Le troisième est-il à l’horizon ? Sur la lancée de la semaine qui le vit hardi et armé (Naples, Le Mans) on aurait volontiers misé une piecette quand bien même l’axe Popovic-Beard est des plus solides et les relais Mottola, Jankunas de taille. Sur la dernière impression, davantage celle de Besançon que celle de Trévise d’ailleurs, la perplexité revient d’actualité.
Il a de surcroît laissé CC Harrison à la maison, histoire de remettre son genou d’aplomb et c’est une fixation extérieure de poids qui va lui manquer. Et il débarque en Lituanie de nouveau en proie aux incertitudes relatives à sa faculté de trouver un véritable équilibre, une véritable constance, pour ne pas dire une assise…
Il a souvent plaidé la difficulté à enchaîner les matches, le besoin d’adrénaline et de cette fameuse peur qui face, aux échéances les plus abruptes, entraîne une solidarité presque naturelle. Sur ce point, au moins, on ne peut lui donner tort, son parcours en Euroligue est jusque là des plus honorables et sur un plan comptable et sur son comportement.
Ce jeudi soir à Kaunas, l’Elan serait bien inspiré de remette au goût du jour toutes ses composantes qui lui ont été de si bon conseils avant de servir sa réussite…
Car il est bel et bien en droit de redouter ce Jalgiris là, celui que l’on soupçonne de fomenter toutes les revanches, toutes les révoltes, puisque c’est autant que son match du rachat, celui de sa dernière chance. Sans oublier le fameux choc psychologique qui suit souvent, dit-on, le départ du coach…



(Source : http://www.elan-bearnais.fr)











[center]LA REPUBLIQUE DES PYRENEES[/center]





" Difficile mais pas impossible "


Victorieux en Lituanie, l'Elan ne serait pas loin du compte. Laurent Mopsus, qui a decrypté le jeu de Kaunas, y croit.



Même sans C.C Harrison, l'affaire paraît jouable. S'il veut valider un peu plus son billet pour le Top 16, l'Elan se doit de tenter un coup, ce soir, dans la salle de Kaunas à l'occasion du dernier rendez-vous de la phase aller.
Lanterne rouge de la poule C, le club Lituanien, champion d'Europe il y a 7 ans, est aujourd'hui en crise et " cela ressemble déjà pour lui au match de la dernière chance ", souffle Laurent Mopsus.
L'assistant de Gordon Herbert a beaucoup travaillé à la préparation d ecette rencontre charnière. Il trace la feuille de route d'un Elan plutôt à son aise sur les chemins d'Europe.



L'enjeu. Capitaliser les succès tout en sachant que la pahse retour offre une bonne marge de manoeuvre avec quatre rencontres sur sept prévues au Palais des Sports. Dans ce groupe très homogène, l'accès au Top 16 devrait se négocier à hauteur de six, voire cinq victoires. L'Elan a donc déjà fait à peu près la moitié du chemin et dispose en plus de paniers-average favorables sur la plupart de ses rivaux directs. Enfin, il a l'occasion de virer à la mi-parcours avec un bilan positif et ce serait une grande première après 12 années d'Euroligue.

[center]" Au bord de la crise de nerfs "[/center]

Le contexte. Plusieurs joueurs expérimentés, une salle chaude mais des résultats décevants qui viennent tout juste de propulser l'assistant Rimantas Grigas en première ligne : Kaunas est aujourd'hui au bord de la crise de nerfs. Symbole vivant d'une formation dont il est le propriétaire, Arvydas Sabonis s'est vigoureusement emparé du dossier et exige une deuxième victoire européenne.
Entre grandeur et décadence, le Zalgiris, également chahuté par les rivaux de Vilnius en Ligue Baltique, ne compte qu'un succès au compteur. Or, l'Elan a déjà fait deux fois mieux loin de sesbases, à Naples et Istanbul, cédant d'un souffle seulement à Salonique. La preuve par trois est attendue ce soir.

L'adversaire. " C'est avant tout un gros cinq majeur ", annonce Laurent Mopsus " qui s'appuie sur des formes de jeu assez simple mais exploitées à fond. Ces gars shootent souvent très vite, et quand l'adresse est au rendez-vous cela peut faire des dégâts ".
Même si le Zalgiris n'aligne aucun scoreur dans le Top 10 de la compétition, contrairement à l'Elan avec Michael Wright (15,8 pts de moyenne), Beard au pivot et le meneur Popovic, capable d'être efficace à la distribution (4,5 passes/match), quand son égoisme ne prend pas le dessus, assurent l'essentiel des tâches offensives.
Deuxième meilleur rebondeur de l'Euroligue, l'Américain (9,6 prises) se sert aussi de son physique afin de contrôler le trafic aérien.
Pour le reste, outre l'ailier fort finlandais Mottola, la jeune garde lituianienne a encore du mal à se hisser au niveau.

Le match vu par Laurent Mopsus. " Kaunas est une équipe très pressante en terme de défense, mais dure au mal et combattante. Pour nous, les objectifs seront multiples. Il s'agira d'abord de contenir Popovic, qui prend beaucoup de tirs, et de couper l'axe meneur-pivot vers Beard.
On devra aussi faire attention à Jankunas, le principal joueur lituanien qui, mine de rien, est un élément clé. Enfin, l'idéal serait que nous parvenons à défendre fort et longtemps pour que, ensuite, il ait moins de ressources au moment de développer son jeu rapide en attaque
".






" Trois questions à........... "


Mike Bauer : " Je suis frustré " .




Il devrait rester Palois jusqu'à la fin de la saison d'Euroligue.
Normalement. Mais, en fait, plus grand-monde ne voit très clair dans la situation de Mike Bauer, américain surnuméraire en Pro A (1), pas franchement désiré par son coach, et en même temps bouche-trou de luxe quand des blessures surviennent. Sans se départir de son sourire, l'intéressé explique pourquoi il a refusé un prêt à Francfort. Et aussi ce qu'il attend d'une situation un brin ubuesque.



LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : " Mike, pourquoi avoir refusé de partir à Francfort quand le coach a lanifesté le souhait de ne plus te conserver ?
Image Mike Bauer : Parce que cela ne correspondait pas aux conditions du contrat garanti que j'ai avec Pau. La situation aurait été moins intéressante en Allemagne. Nous avon une bonne équipe ici et je ne voulais pas m'en aller, tout en sachant que j'allais devenir une roue de secours...sauf en cas de blessure comme en ce moment avec C.C. On en est là, à moins que je trouve un bon contrat ailleurs.
Si je dois partir après l'Euroligue, mon souhait est d'aller en Espagne puis....de revenir à Pau la saison prochaine. Mais, pour cela, il faudra qu'il y ait du changement
.

LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Mais, au quotidien, comment vis-tu cette situation ?
Image Mike Bauer : Je suis bien sûr frustré. Je ne m'attendais pas à cela en venant à l'Elan Béarnais, je pense être capable de jouer et de tenir un rôle plus important. C'est vrai que je ne suis peut-être pas le joueur le plus flashy de la terre mais je crois savoir faire un certain nombre de choses correctement. Hélas, on ne croit pas en moi et je n'ai pas de pouvoir là-dessus.

LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Avant Nancy dimanche, que t'inspires le premier déplacement d'une semaine délicate , ce soir à Kaunas ?
Image : Mike Bauer : On a déjà vu les Lituaniens, pendant la préparation, au tournoi de Brest. Cette équipe n'a pas encore gagné beaucoup de matches. Pourtant, j'ai senti du potentiel chez elle, elle est capable de jouer dur. Nous allons la rencontrer dans un contexte un peu particulier mais on voyage pas trop mal en Euroligue ".


(Source : La République des Pyrénées)













Au Darius and Girenas Sports Center Image, ce soir :








[updown][center]Image à 21h45 (en différé) ZALGIRIS KAUNAS vs ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/center] [/updown]




Rencontre à suivre également à la radio via le net sur Image http://www.tv-radio.com/player/mini.php ... &RM=1&QT=1, avec au micro J.P Daucé et sur le site de l'Euroligue, via son " live " sur http://www.euroleague.net







Image ZALGIRIS KAUNAS : 4. V.GINEVICIUS (LIT, 1,94), 6. T.BEARD (US, 2,06m), 7. V.PECIUKAS (LIT, 1,99m), 8. J.MACIULIS (LIT, 1,98m), 9. M.KALNIETIS (LIT, 1,95m), 10. V.JASIKEVICIUS (LIT, 1,87m), 12. A.MILAKNIS (LIT, 1,95m), 13. P.JANKUNAS (LIT, 2,03), 14. D.SILINSKIS (LIT, 2,16), 20. K.PENNEY (NZD, 1,95m), 24. M.POPOVIC (CRO, 1,85m), 25. H.MOTTOLA (FIN, 2,08m, incertain), 31. V.STIMAC (SEM, 2,10m)

Entraîneur : Mr R.GRIGAS (LIT)








ImageELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 8. R.GREER (DOM 1,96m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 2,03m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).


Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)
KINDER64
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Message par KINDER64 »

Petit détail amusant, c'est à Besançon que Tanoka Beard s'est fait connaître ...
Beard/Wright, ça va être un duel de costaud :o

C'est le 4ème match en 1 semaine pour Kaunas (euroligue, championnat Lituanien, ligue, euroligue) ça peut peut-être jouer ...

Leur joueur Brésilien n'est pas blessé ?
philip_pau
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Message par philip_pau »

Oui il est blessé et remplacé par Penney.
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BOZO
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Message par BOZO »

Que l'ambiance est calme sur le forum, aujourd'hui...

:?????:
philip_pau
Joueur de banc de l'Elan
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Message par philip_pau »

A noter que le brésilien Machado joue bien ce soir alors qu'il devait être out mais que Mottola est bien absent.
Nad
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Message par Nad »

Ouè !! par contre à Kaunas c'est le feu !!! :x

J'espère que les pompiers béarnais vont éteindre tout ça !!!!

Alle l'Elan !!!!!!!!!!!!!!!!
philip_pau
Joueur de banc de l'Elan
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Message par philip_pau »

Fin du 1er quart-temps : Zalgiris Kaunas : 26 / Pau-Orthez : 12 :bravo:
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bobbylaguepe
Joueur majeur de l'Elan
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Message par bobbylaguepe »

Nad a écrit :Ouè !! par contre à Kaunas c'est le feu !!! :x

J'espère que les pompiers béarnais vont éteindre tout ça !!!!

Alle l'Elan !!!!!!!!!!!!!!!!
Superbe...on prend 26/12 à la fin du premier quart temps...quelle belle soirée en perspective! :x :x :x
Du bon son!! http://www.myspace.com/jmfjemenfoutiste
Ludovic
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Message par Ludovic »

Eh ben, la salle à l'air tres tres chaude là bas :?
philip_pau
Joueur de banc de l'Elan
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Message par philip_pau »

A la mi-temps, Zalgiris Kaunas : 51 / Pau-Orthez : 37 :bravo: :bravo:
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