Modérateurs : Joruus, Modérateurs
Oui je pense que c'est plutôt hors sujet mais il n'a jamais pu le lire : problèmes de langues et de traductiongfive a écrit :Il venait?Nix a écrit : je sais bien que Gordy ne vient plus ici
'tain, le pauvre....Lire ce qu'il a pu lire ici sur son compte, ça a pas dû aider. :/
Pro A (6e journée) : SLUC - Pau/Orthez, ce soir (20h) à Gentilly
L'occasion est belle
Le SLUC n'a jamais reçu Pau, neuf fois champion de France, avec un costume de favori aussi large. Et la perspective de décrocher un sixième succès.
NANCY. _ Les basketteurs du SLUC vivraient-ils dans une espèce de bulle où règne en maître l'esprit de contradiction ? Samedi dernier, à l'heure du petit-déjeuner, la France entière du basket a failli renverser son café en découvrant le score du match Pau - ASVEL. 60 à 104 ! Un tremblement de terre en Béarn, une date historique pour le basket français. En tout cas, la sensation de ce début de saison. Et qu'entend-on dans les couloirs de Gentilly ? -44 ! Trop gros pour être vrai, ou plutôt trop exceptionnel pour être riche en enseignements.
Un exemple, un seul, celui de Jean-Luc Monschau qui résume parfaitement l'état d'esprit général du groupe : « ce résultat est exceptionnel, face à une équipe de Villeurbanne elle aussi exceptionnelle. Nous avons vu la vidéo de ce match, mais nous avons également vu celles où Pau a fait un bon match au Mans et à Orléans. En déplacement, Pau tient la route ». Le contraire nous eut franchement surpris...
Plus sérieusement, il ne fallait pas s'attendre à ce que les Nancéiens sifflotent en annonçant qu'ils allaient coller la même claque que l'ASVEL aux Palois ce soir. Prudence est mère de sûreté. Et puis, le sport et en particulier le basket, est fait de phénomènes étranges, d'exemples défiant toute logique. Tant mieux, d'ailleurs. Souvenons-nous de cette drôle de défaite contre Le Havre à Gentilly, en janvier 2005. Le SLUC menait 33-10 après dix minutes et s'était finalement incliné de deux points. Tout est possible.
« Il n'y a pas d'euphorie »
Toujours est-il que, même si Pau a effectivement touché le fond vendredi dernier sur son parquet, rien ne permet aujourd'hui d'écarter la possibilité d'une victoire béarnaise à Gentilly.
Donc Nancy, qui n'a pourtant jamais accueilli le club aux neuf titres de champion avec un costume de favori aussi large, la joue humble et profil bas. Attentif et concentré à l'heure d'une nouvelle confrontation avec une équipe en difficulté (après Strasbourg et Dijon).
« Contre Strasbourg, nous avons vu que rien n'était jamais gagné d'avance », confirme Jean-Luc Monschau, « là, c'est pareil. On reçoit une équipe qui reste sur quatre défaites d'affilée, mais qui reste une équipe très complète à mon sens. On ne va pas la prendre à la légère. Le fait de gagner des matches nous apporte de la confiance, mais il n'y a pas d'euphorie. Nous restons très critiques par rapport à ce que nous faisons pour essayer d'avancer encore ».
Il est de bon ton de ne pas tirer sur une ambulance. Pourtant jusqu'ici, le SLUC ne s'est pas laissé apitoyer par le teint pâlot des cadors qu'il a croisé. On voit mal pourquoi il en serait autrement ce soir. On a bien entendu le message sur la prudence et on connaît le refrain de la bête blessée. Mais l'occasion est belle de décrocher un sixième succès. Reçu cinq sur cinq après sa victoire à Dijon, le SLUC avait déjà réussi une performance historique. Mais on ne s'en lasse pas...
Thomas SIMON
est republicain
Un contre un avec : Cyril Julian
« Ce score n'est représentatif de rien »
- Après Strasbourg et Dijon, vous allez croiser Pau/Orthez, une autre équipe qui n'est pas au mieux en ce début de saison. Ces rencontres sont-elles difficiles à aborder ?
- Il fait rester vigilant. Ce sont des équipes qui ont besoin de réagir, de se refaire une santé. Nous, nous voulons faire en sorte qu'elles réagissent la semaine suivante... N'oublions pas que Pau est plus en difficulté à domicile qu'à l'extérieur depuis le début de la saison.
- Qu'avez vous pensé de la claque subie par Pau face à Villeurbanne la semaine dernière ?
- Pour moi, ce score n'est représentatif de rien. Pau avait beaucoup de pression à domicile et ils ont joué face à une équipe de Villeurbanne animée par un esprit de revanche, face à l'ennemi historique. Pau a un vrai potentiel, mais ils n'arrivent pas encore à le canaliser. Mais après une telle défaite, ils sont obligés de réagir.
- Vous avez été champion de France à deux reprises avec l'Elan Béarnais (en 2003 et 2004). Que vous inspire la situation actuelle du club ?
- Cela fait bizarre de voir une équipe qui a dominé à ce point le championnat de France dans cet état. Mais c'est passager. ça va revenir. A mon époque, nous avions une très grosse masse salariale et nous gagnions tous nos matches avec un écart moyen de 16 ou 17 points. Aujourd'hui, Pau est en pleine reconstruction. C'est un virage à négocier. Je sais que cette mauvaise période est difficile à vivre. L'un des dirigeants palois est le parrain de ma fille.
- Cinq victoires en cinq matches : le SLUC est euphorique en ce début de saison ?
- Pas du tout. On ne pense pas en permanence cinq sur cinq, six sur six... On s'entraîne sérieusement, on essaye de faire des choses justes et, pour l'instant, ça fonctionne. On cherche le joueur le plus en forme et, depuis le début de saison, on s'aperçoit que ce n'est jamais le même. Je pense qu'on a une équipe difficile à contrôler.
Propos recueillis par T.S.
est republicain
Au complet
NANCY. _ « La gastro ? ça va mieux ! ». En français dans le texte, Mike Bauer confirmait hier qu'il en avait terminé avec ses ennuis gastriques. A priori, il n'y a plus aucun risque de contagion et l'ancien Palois sera bien sûr la feuille ce soir, même s'il ne s'est quasiment pas entraîné cette semaine. L'autre sujet d'inquiétude concernait Victor Samnick. Sa douleur à l'aine ne l'a pas empêché de s'entraîner normalement hier. Le SLUC affichera donc complet ce soir.
• ESPOIRS. C'est demain, à 16h à Gentilly, qu'aura lieu la rencontre SLUC - Pau espoirs. Après s'être inclinés d'un rien à Dijon, les Nancéiens tenteront de décrocher leur quatrième succès de la saison.
est republicain
Cyril Julian : « Restons prudents ! »
Le meilleur joueur français des deux dernières saisons comprend mal la descente aux enfers de Pau-Orthez. Mais il est loin de condamner son ancien club. Cyril Julian avant ce duel des extrêmes qui aurait pu être un match au sommet...
• Une rencontre bizarre finalement, entre un Sluc étonnant et un Pau-Orthez extrêmement décevant... ! « Que dire de ce match ? Pas grand-chose ! Nous avons tout gagné, Pau reste sur quatre revers. Mais s'il y a un rappel à faire : ce match ne sera pas aussi évident qu'on ne le croit ! »
• C'est-à-dire ? « Pau se comporte beaucoup mieux à l'extérieur qu'à domicile. Les joueurs ont une revanche à prendre après leur débâcle face à Villeurbanne (revers de 44 points !) envers leurs supporters et leurs clubs. Alors, ne tombons pas dans la facilité. »
• Les mauvais résultats des Béarnais, avec qui vous avez évolué, ne vous surprennent-ils pas ? « Si mais c'est aussi le lot des équipes qui sont en grande partie reconstruites. Cela peut être tout bon ou alors ça prend du temps. Nous, au Sluc, nous avons de la chance que le collectif se soit mis immédiatement en place. A Pau, l'affaire prendra davantage de temps. En plus, ils ont des jeunes. En ce sens, c'est bien pour leur avenir. »
• Quand même, voir ce multiple champion de France à la traîne ! « OK mais leur objectif est d'abord le maintien. Donc... »
• En revanche, tout semble vous sourire. Le Sluc est l'opposé de votre adversaire de ce soir. « Dès la reprise, nous avons su que cela fonctionnerait. En août, lors de la préparation, la machine tournait déjà. On a simplement continué dans ce sens-là. »
• Quelle est la différence avec l'équipe nancéienne de la saison précédente ? « Plus de dangers à tous les postes. Nous sommes super complets. On ne peut pas prétendre que le Sluc est fort dans tel ou tel domaine, à l'intérieur ou ailleurs. On peut se montrer dangereux partout. »
• Au sein de ce leader invaincu, il y a les nouveaux mais aussi l'ancien ! Cyril Julian est reparti sur d'excellentes bases. « Oui... Le mieux que je puisse faire surtout, est de donner confiance aux jeunes et à ceux qui arrivent dans l'équipe. Mon but, maintenant, est de rendre un maximum de services. »
• Le triple meilleur joueur de l'hexagone n'est-il pas trop modeste ? « Non ! Parfois, il faut faire comme d'habitude, aller au four et au moulin. J'aime ça. »
• L'Europe (coupe ULEB) arrive mardi. Allez-vous poursuivre votre série de succès ? « Justement, pour moi, ce sera le test. Pourra-t-on enchaîner la coupe d'Europe et le championnat ? Aura-t-on une baisse de régime ? J'espère que l'on va adapter les entraînements, les soins et la récupération en ce sens car notre groupe se donne à fond et tout le temps pour obtenir ces résultats. »
Alain THIÉBAUT.
Paru le : 02-11-2007
republicain lorrain
Seillant : « Nous serons attentifs à la manière »
En plein doute après la déroute historique infligée sur son parquet par l'ASVEL la semaine dernière (60-104), Pau-Orthez jouera le match de la rédemption. Mais les Béarnais devront de nouveau se passer du meneur argentin Maximiliano Stanic, qui se ressent toujours d'un hématome à une cuisse. L'Elan espère le récupérer la semaine prochaine pour ses débuts en Coupe ULEB contre le club allemand d'Artland. Pau-Orthez, reste sur une série inédite de quatre défaites consécutives. Le président historique de l'Elan Pierre Seillant a mis ses joueurs dos au mur : « Les joueurs ont baissé la tête contre Villeurbanne mais cela n'arrivera pas une seconde fois, ou alors ils devront rendre des comptes. Il est difficile de leur demander un résultat positif à Nancy, mais nous serons attentifs à la manière » a-t-il prévenu. Pau retrouvera pour l'occasion deux de ses anciens hommes forts : Ricardo Greer et Mike Bauer. L'intérieur est plutôt prudent ; « Si on n'est pas concentré, si on n'affiche pas de l'intensité à chaque instant, on n'est à l'abri face à aucune équipe ».
republicain lorrain
http://www.sudouest.com/021107/sport.asp?Article=021107aP1069805.xml a écrit :
NANCY - PAU-ORTHEZ. --Ferchaud espère voir l'Elan rebondir
Il avait eu des mots forts et justes, la semaine dernière en quittant le parquet du Palais des sports après la déroute de l'Elan contre Villeurbanne : « J'ai honte, j'ai super-honte. Etre dominé de cette façon devant son public, c'est terrible », avait reconnu Cédric Ferchaud.
Cette défaite historique (60-104), le nouveau capitaine de Pau-Orthez ne l'oubliera pas. Mais il ne veut pas non plus entretenir le traumatisme. « Maintenant, il faut oublier et se remettre en mémoire ce qu'on avait fait de bien avant à Orléans et au Mans où, malgré la défaite, il y avait eu de bonnes choses ».
Un débriefing « hard ». Le cataclysme villeurbannais a cependant provoqué une explication, lundi soir, dans le vestiaire des Palois, juste à la fin de leur entraînement. Un débriefing hard, selon les mots du directeur général de l'Elan, Pierre Seillant, qui a prévenu les joueurs qu'en cas de nouvelle démission collective, des sanctions seraient prises.
« On a écouté le « prési » et ensuite on s'est retrouvés entre nous, confie Cédric Ferchaud. On avait des choses à se dire. Cette discussion a permis de crever l'abcès». Paradoxalement, c'est sur son parquet, devant son public que l'équipe d'Olivier Cousin a montré son plus mauvais visage, si l'on excepte un premier match plein d'envie face à Roanne.
En attendant d'y revenir, la semaine prochaine devant Vichy, les Béarnais iront donc chercher leur rédemption à Nancy, ce soir. Cédric Ferchaud est bien conscient que Gentilly n'est sans doute pas l'endroit le mieux indiqué pour se refaire une santé. Quoique? Strasbourg, venu vierge de toute victoire, y avait défié le SLUC les yeux dans les yeux, il y a deux semaines (69-63 pour les Nancéens).
En Lorraine, Ferchaud croisera sur le parquet deux de ses anciens équipiers : Ricardo Greer et Mike Bauer, mais c'est surtout Jeff Greer qu'il devrait retrouver le plus souvent en face de lui pour un duel de shooteurs qu'il serait bon de remporter. Mais pour s'en sortir, il faudra d'autres arguments. Notamment prendre le contrôle de la raquette, ce que les Palois avaient su faire à Antarès pendant une mi-temps, avant de faiblir. « Si on joue le même basket qu'au Mans, où l'on n'est pas loin de gagner, si l'on affiche quelques progrès, on peut espérer faire un coup à Nancy », glisse l'arrière palois. Une victoire de l'Elan chez le leader invaincu, ce serait même un très gros coup.
Ben ... moi je lui ai parlé 100% français, et il m'a répondu 100% français, pas à côté de la plaque, et surement avec un meilleur français que l'anglais de la majorité de ses détracteurs ...jack bauer a écrit :Oui je pense que c'est plutôt hors sujet mais il n'a jamais pu le lire : problèmes de langues et de traductiongfive a écrit :Il venait?Nix a écrit : je sais bien que Gordy ne vient plus ici
'tain, le pauvre....Lire ce qu'il a pu lire ici sur son compte, ça a pas dû aider. :/
Ben moi j'lui parlais anglais, il me répondais en anglais et tout allait bien...Nix a écrit :Ben ... moi je lui ai parlé 100% français, et il m'a répondu 100% français, pas à côté de la plaque, et surement avec un meilleur français que l'anglais de la majorité de ses détracteurs ...jack bauer a écrit :Oui je pense que c'est plutôt hors sujet mais il n'a jamais pu le lire : problèmes de langues et de traductiongfive a écrit :
Il venait?
'tain, le pauvre....Lire ce qu'il a pu lire ici sur son compte, ça a pas dû aider. :/
Pour ce qui est de la venue de Gordy ici, prof a apporté la réponse.
Apparemment le match va débuter avec 15 minutes de retard suite à une grève arbitrale...jack bauer a écrit :idem iciElan Forever a écrit :Heu, j'arrive pas à accéder au live depuis le site de la ligue... Ca marche chez tout le monde et pas chez moi ou bien?
(voir ici) 
