Elan-Gravelines: au bal des maudits
Si ce n’est le bal des éclopés, c’est au moins celui des maudits…Au hit parade des malheurs Béarnais et Nordistes ont battu tous les records, ces derniers temps… On pense en premier lieu à ce rendez-vous dont rêvaient Brooks Sales et Tyson Wheleer, non pas que le pivot de l’Elan et le meneur de Gravelines aient prévu d’en découdre singulièrement, mais simplement de se retrouver, comme les deux vrais bons potes qu’ils sont devenus sous les couleurs de Téramo, en Italie la saison dernière. C’est bien simple, lors du dernier All Star game à Bercy, le grand Brooks avait bénéficié de l’invitation à laquelle a droit chaque sélectionné…
En guise de quoi, c’est par secteur hospitalier interposés qu’ils vont communiquer, Tyson Wheleer s’étant rompu le tendon d’Achille, alors que Sales était opéré ce jeudi en début d’après midi de sa cheville cassée…
Les deux clubs ont perdu gros, très gros et si Wheleer a été remplacé à Gravelines, l’Elan restait lui dans l’attente de dénicher son joker médical…
Mais ce n’est pas tout, les infirmeries respectives des deux clubs ne désemplissent pas. Dubos, Owens, Jonhson côté Gravelines ne sont pas partants certains pas plus que Thierry Gadou ou Jeff Varem dont les poignets, le gauche notamment, ont beaucoup souffert lors du dernier match de coupe de France.
Partant du principe que l’on jouent toujours avec les valides, les coaches n’apprécient pas particulièrement de s’étendre ou de se lamenter sur leurs absents… C’est à leurs yeux, un manque de respect de ceux qui vont avoir à mettre les bouchées double, de prouver qu’un groupe est toujours plus fort qu’une individualité.
La notion du collectif n’aura donc jamais aussi bien portée son nom que ce vendredi soir (20 heures) dans un match qui n’est pas sans évoquer quelques grands moments, comme cette finale 2004 où l’Elan atomisa les nordistes pour son 9ème titre, comme cette victoire au Sportica le 12 novembre dernier, et qui reste la seule autorisée à un visiteur cette saison, ou encore la dernière défaite de l’Elan ,chez lui, sur le plan national. C’était le 18 décembre 2004, Gravelines l’emportant 89-78. Depuis, ce bonheur a été interdit aux 23 visiteurs suivants…
La citadelle du Palais reste donc imprenable quand bien même, de l’intérieur subit-elle la loi du destin, celle qui l’aura, désormais empêché de se présenter au complet une seule fois cette saison… C’est dire si l’Elan conserve des vertus et des qualités qui vont au-delà de ses individualités. Il conviendra de les cultiver pour sortir sans dommages du bal des maudits… rendre
le 30 / 3 / 2006
Source : http://www.elan-bearnais.fr
[25eme Journée PRO A] Elan 77 - 73 Gravelines
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Michel_D
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Re: <25ième Journée PRO A> ELAN-GRAVELINES
bien sur j'approuve sur toute la ligne... place et respect à ceux qui seront presents... La victoire de l'un ou de l'autre ne sera pas due aux absents, mais bel et bien aux presents sur le parquet.... Croire qu'un joueur absent renforce l'equipe adverse, est une tres courte vue... Bon retablissement aux absents, et bon match à ceux qui pourront y assister....VIGUIER a écrit :Elan-Gravelines: au bal des maudits
Mais ce n’est pas tout, les infirmeries respectives des deux clubs ne désemplissent pas. Dubos, Owens, Jonhson côté Gravelines ne sont pas partants certains pas plus que Thierry Gadou ou Jeff Varem dont les poignets, le gauche notamment, ont beaucoup souffert lors du dernier match de coupe de France.
Partant du principe que l’on jouent toujours avec les valides, les coaches n’apprécient pas particulièrement de s’étendre ou de se lamenter sur leurs absents… C’est à leurs yeux, un manque de respect de ceux qui vont avoir à mettre les bouchées double, de prouver qu’un groupe est toujours plus fort qu’une individualité.
La notion du collectif n’aura donc jamais aussi bien portée son nom que ce vendredi soir (20 heures) dans un match qui n’est pas sans évoquer quelques grands moments, comme cette finale 2004 où l’Elan atomisa les nordistes pour son 9ème titre, comme cette victoire au Sportica le 12 novembre dernier, et qui reste la seule autorisée à un visiteur cette saison, ou encore la dernière défaite de l’Elan ,chez lui, sur le plan national. C’était le 18 décembre 2004, Gravelines l’emportant 89-78. Depuis, ce bonheur a été interdit aux 23 visiteurs suivants…
le 30 / 3 / 2006
Source : http://www.elan-bearnais.fr
Michel_D Allez le BCM Gravelines
http://membres.lycos.fr/bcmgravelinesdk/index.php
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philip_pau
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[scroll]" 25e Journée de Pro A , 
Elan Béarnais Pau-Orthez (1er) / 
BCM Gravelines (6e) "[/scroll]
[center]
25e Journée Pro A [/center]
" Foirest passé au crible "
Laurent Foirest se remet doucement de sa blessure et prend avec philosophie tout le travail qu'il lui reste à faire pour revenir au top. Le numéro 7 le plus connu de France se confie et évoque ses souvenirs pour Sport24.com. Interview.
Longtemps blessé, Laurent Foirest revient petit à petit à son meilleur niveau.
Sport24.com : Pau a gagné contre l'ASVEL d'un petit point en Coupe de France. Est ce un objectif du club ou est-ce juste bon pour la confiance ?
Laurent Foirest : Effectivement, la Coupe de France est un réel objectif du club. Nous souhaitons aller le plus loin possible cette année.
Sport24.com : Malheureusement vous perdez encore un joueur sur blessure. Est-ce que Pau cette année arrivera à jouer avec l'équipe au complet ?
Laurent Foirest : Il faut croire que non puisque Brook (Sales) est indisponible deux-trois mois et devrait être remplacé. C’est un handicap pour le titre et pour la cohésion de l'équipe de n'avoir jamais pu jouer au complet, mais cela fait partie du haut niveau.
Sport24.com : Justement à l'approche des play-offs, comment sentez-vous votre équipe ?
Laurent Foirest : Nous ne pensons pas encore aux play-offs, nous prenons match après match. Le retour de Thierry Gadou va nous faire du bien puis l'arrivée de l'Américain pour remplacer Brook Sales va nous apporter un plus.
Sport24.com : Personnellement, comment vous sentez-vous après votre grave blessure ?
Laurent Foirest : J'ai un peu de mal physiquement. C'est normal après la blessure que j'ai eue. J'ai encore beaucoup de boulot pour revenir en pleine forme. J'ai arrêté huit mois, je ne peux pas revenir au top du jour au lendemain.
Sport24.com : Est-ce que cela vous énerve de vous sentir diminué ?
Laurent Foirest : Oui, c'est énervant de ne pas avoir l'énergie suffisante. Mais je reste positif. Je n'ai jamais eu de blessure grave de toute ma carrière, cela m'arrive seulement maintenant. Il y a des joueurs qui ont des blessures graves dès leur premier pas en professionnel… Il faut relativiser, et puis je n'ai pas le choix.
Sport24.com : Comment est Laurent Foirest à la maison ?
Laurent Foirest : Je suis quelqu'un de très tranquille qui aime passer des moments en famille ou avec ses copains. Comme on voyage beaucoup et qu'on bouge tout le temps, je reste souvent à la maison quand je suis de repos. On fait des repas et des bonnes grillades entre pote.
Sport24.com : Qu'est ce qui pourrait mettre Laurent Foirest en colère ?
Laurent Foirest : Il faut vraiment qu'on me pousse à bout pour que je me mette en colère, je suis quelqu'un de calme. Je prends la vie avec philosophie.
Sport24.com : Quel est le meilleur souvenir sportif de votre carrière ?
Laurent Foirest : Le premier titre reste toujours le meilleur, même si j'ai toujours vécu de belles choses. Je retiendrai donc le titre avec Antibes en 95. Dans l'équipe, il y avait Rivers, Domon, Arsène Ade Mensah… Une équipe avec une bonne ambiance comme il n’en existe plus.
Sport24.com : Pourquoi portez-vous le numéro 7 ?
Laurent Foirest : Il n'y a pas de raisons particulières. Jacques Monclar me l'avait légué quand j'étais à Antibes. Le 7, c'est son numéro fétiche. Je l'ai gardé par la suite. Il y a des numéros qui vont bien aux biens joueurs… Si je me souviens mon premier match pro, je portais le numéro 11 et lorsque j'étais petit j'avais plus souvent le 5.
Sport24.com : Qu'avez vous fait avec votre premier salaire ?
Laurent Foirest : Je l'avais mis sur mon compte en banque pour économiser et m'acheter un appartement.
Sport24.com : Vous n'aviez même pas fait une folie : une voiture, une télévision ou un bijou…
Laurent Foirest : J'ai peut-être acheté une voiture. Je me souviens, c'était une Golf 2.
Sport24.com : Elle vous a servi à faire des courses de voitures après les entraînements ou des dérapages derrière le gymnase…
Laurent Foirest : (rires) Non, je ne suis pas comme ça, mais je me souviens qu'il y avait des fois de bonnes courses.
Sport24.com : Dans quels pubs ou quelles discothèques peut-on trouver Laurent Foirest à Pau ?
Laurent Foirest : Maintenant, je ne sors plus trop, surtout depuis ma blessure. Mais avant nous allions souvent au «Béarnais» avec Fred Fauthoux.
Sport24.com : Et à Juan-les-Pins, alliez-vous au Casino?
Laurent Foirest : Non, je n'ai jamais été trop attiré par les jeux d’argent. Nous allions au Madison. C'est marrant, parce qu'aujourd'hui, le Béarnais et le Madisson sont fermés.
Sport24.com : Quelle émission regardez-vous souvent ?
Laurent Foirest : Bonne question, je regarde souvent la télévision, mais pas une émission en particulier. En ce moment, on regarde beaucoup les dessins animés (Rires)… pour mes petites filles. Sinon je regarde le football.
Sport24.com : Surtout Marseille ?
Laurent Foirest : Et oui ! Je suis allé quelques fois au Vélodrome. Sinon, quand j'étais à Antibes, nous allions voir jouer les volleyeuses ou le foot à Monaco. On connaissait bien Luc Sonor.
Sport24.com : À un rendez-vous, vous êtes plutôt en avance ou en retard ?
Laurent Foirest : Je suis souvent en avance. C'est très rare que j'arrive en retard.
Sport24.com : Quand vous étiez jeune et avant de rencontrer votre femme, vous aimiez draguer ou vous faire draguer ?
Laurent Foirest : Je n'ai jamais été un bon dragueur. Je suis plutôt quelqu'un de timide.
Sport24.com : Pour terminer, un mot sur la retraite ?
Laurent Foirest : On y pense. On en discute même de temps en temps avec Fred (Fauthoux). J'en parle aussi avec Antoine (Rigaudeau) et Yann (Bonato). Yann, le terrain ne lui manque pas. Ils ont réussi à faire la part des choses. Je serais peut-être entraîneur. Pour mes diplômes, j'ai coaché une équipe de fille et je peux vous dire que je suis moins calme ! Mais heureusement que je suis en fin de carrière, parce qu'on s'amusait beaucoup plus avant.
(Source : http://www.sport24.com)
" Courcier dans l'incertitude "
LA DERNIERE DEFAITE à domicile de Pau contre un club français remonte au 18 décembre 2004. C'était aussi le premier match en Pro A de Fabrice Courcier. Quinze mois plus tard, juste avant de se déplacer à Pau, après avoir offert au BCM une finale du Championnat (perdue devant Pau) et un premier titre dans l'histoire du club en Coupe de France, le coach du BCM Fabrice Courcier ne sait toujours rien de son avenir. Pire, il a appris par la bande qu'une proposition avait été faite à Frédéric Sarre, le coach de Bourg-en-Bresse.
" Je suis extrèmement déçu par mes dirigeants, non pas dans le fond - je suis en fin de contrat avec le BCM -, mais dans la forme, explique Courcier.
En fin de saison dernière, après la victoire en Coupe de France, j'ai souhaité une prolongation de un an pour batir un vrai projet avec des hommes comme Adomaitis ou Turner qui venaient de signer pour deux ans. A l'issue de notre qualification à la Semaine des As, le rendez-vous pour une prolongation de contrat a encore été repoussé avec des objectifs fixés : un titre ou une place dans les quatre-cinq premiers de la première phase. Pendant ce temps-là, d'autres sont contactés. Je trouve qu'il n'y a pas beaucoup de respect et de franchise par rapport à mon investissement dans le club(...) ".
Entre le directeur exécutif du club Hervé Beddeleem et son entraineur, le fil se dénoua en fin de saison dernière lorsque que Courcier et Laurent Sciarra firent cause commune. Peut-il se renouer ? Hervé Beddeleem, le directeur exécutif, qui a fixé comme échéance le 14 mai, confirme les contacts avec Erman Kunter, Gordon Herbert et surtout Frédéric Sarre, mais vit difficilement la situation. " Il est normal que nous prenions des contacts. C'est la loi du genre mais pour l'avenir je ne peux rien préjuger. Le BCM peut encore finir dans les quatre ou cinq équipes de tete. Fabrice Courcier peut encore etre l'entraineur l'an prochain " . Coté effectif, André Owens s'est entrainé normalement durant la semaine et fait son retour dans l'effectif nordiste. En revanche, Kevin Jonhson (double entorse) ne s'est pas entrainé et fera un essai juste avant la rencontre. Sa participation est peu probable. Enfin, Fabien Dubos ( fissure sur le tendon d'Achille) est toujours en arret jusqu'au 13 avril prochain. C'est sans remplaçant de Brooks Sales (opéré hier de la cheville) et toujours sans Thierry Gadou (tendon d'Achille) que Pau-Orthez reçoit Gravelines en match avancé pour cause de Coupe Davis dans huit jours (France- Russie).
(Source : Le Journal L'Equipe)
" Elan-Gravelines: au bal des maudits "
Si ce n’est le bal des éclopés, c’est au moins celui des maudits…Au hit parade des malheurs Béarnais et Nordistes ont battu tous les records, ces derniers temps… On pense en premier lieu à ce rendez-vous dont rêvaient Brooks Sales et Tyson Wheleer, non pas que le pivot de l’Elan et le meneur de Gravelines aient prévu d’en découdre singulièrement, mais simplement de se retrouver, comme les deux vrais bons potes qu’ils sont devenus sous les couleurs de Téramo, en Italie la saison dernière. C’est bien simple, lors du dernier All Star game à Bercy, le grand Brooks avait bénéficié de l’invitation à laquelle a droit chaque sélectionné…
En guise de quoi, c’est par secteur hospitalier interposés qu’ils vont communiquer, Tyson Wheleer s’étant rompu le tendon d’Achille, alors que Sales était opéré ce jeudi en début d’après midi de sa cheville cassée…
Les deux clubs ont perdu gros, très gros et si Wheleer a été remplacé à Gravelines, l’Elan restait lui dans l’attente de dénicher son joker médical…
Mais ce n’est pas tout, les infirmeries respectives des deux clubs ne désemplissent pas. Dubos, Owens, Jonhson côté Gravelines ne sont pas partants certains pas plus que Thierry Gadou ou Jeff Varem dont les poignets, le gauche notamment, ont beaucoup souffert lors du dernier match de coupe de France.
Partant du principe que l’on jouent toujours avec les valides, les coaches n’apprécient pas particulièrement de s’étendre ou de se lamenter sur leurs absents… C’est à leurs yeux, un manque de respect de ceux qui vont avoir à mettre les bouchées double, de prouver qu’un groupe est toujours plus fort qu’une individualité.
La notion du collectif n’aura donc jamais aussi bien portée son nom que ce vendredi soir (20 heures) dans un match qui n’est pas sans évoquer quelques grands moments, comme cette finale 2004 où l’Elan atomisa les nordistes pour son 9ème titre, comme cette victoire au Sportica le 12 novembre dernier, et qui reste la seule autorisée à un visiteur cette saison, ou encore la dernière défaite de l’Elan ,chez lui, sur le plan national. C’était le 18 décembre 2004, Gravelines l’emportant 89-78. Depuis, ce bonheur a été interdit aux 23 visiteurs suivants…
La citadelle du Palais reste donc imprenable quand bien même, de l’intérieur subit-elle la loi du destin, celle qui l’aura, désormais empêché de se présenter au complet une seule fois cette saison… C’est dire si l’Elan conserve des vertus et des qualités qui vont au-delà de ses individualités. Il conviendra de les cultiver pour sortir sans dommages du bal des maudits…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Plaies et bosses "
PAU-ORTHEZ - GRAVELINES. Les Palois, sans Brooks Sales, affrontent des Nordistes eux aussi diminués.
Thierry Rupert. Auteur d'un sans-faute en attaque face à l'ASVEL, l'intérieur tentera de pallier l'absence de Sales sous les cercles.
PRO A (25e JOURNEE)
Cela restera la statistique de la saison 2005-2006 de Pau-Orthez : depuis le match d'ouvertre contre Reims, l'Elan n'aura pas évolué une seule fois au complet. Sur un effectif de douze joueurs, deux seulement (Artur Drozdov et Thierry Rupert) ont échappé au séjour à l'infirmerie... et doivent aujourd'hui fairebrûler des cierges. « Ca ne nous empêche pas de gagner des matches », glissait dernièrement Didier Gadou, le coach palois qui refuse de se lamenter sur les blessures en cascade qui ont frappé son effectif.
Quel joker ? Dernier avatar en date donc, la mauvaise chute de Brooks Sales, face à Villeurbanne. Opéré hier d'une fracture de la malléole au pied gauche, l'intérieur a fini sa saison. Et le staff palois est reparti en chasse d'un joker médical. « On cherche, mais ce n'est pas simple, car il ne faut pas se tromper, avoue Didier Gadou. Nous étudions plusieurs dossiers parmi la multitude de joueurs qui nous sont proposés. On ne veut pas se précipiter. On a défini un profil et il faut être sûr que le joueur que l'on va prendre corresponde à ce qu'on attend. »
Pau cherche donc le clone de Sales. « Un gars qui puisse jouer aux côtés d'Hiram Fuller, mais également sans Fuller », précise Gadou. Un intérieur donc, avec un bon shoot à la périphérie de la raquette, des capacités de rebondeur et un physique lui permettant de glisser au poste de pivot.
Si les Palois ont connu beaucoup de malheurs cette saison, ils ne pourront pas se plaindre auprès des Gravelinois, encore plus malchanceux qu'eux avec la perte du meneur Tyson Wheeler, dépositaire du jeu des Nordistes et qui pesait 15,2 points et 6,2 passes. Une énorme tuile venant après le départ précipité de Marc Salyers, la blessure de Kevin Johnson, puis celles plus récentes de Fabien Dubos (fissure d'un tendon d'achille), André Owens (déchirure)... et à nouveau de Kevin Johnson (entorse de la cheville à Bourg), qui ne sera pas aligné ce soir à Pau. Le coach Fabrice Courcier souhaite, en effet, le ménager en vue des deux chocs programmés au Sportica, la semaine prochaine, contre Chalon et Villeurbanne.
Série en cours. Même si le BCM a déjà intégré le joker de Wheeler David Bailey qui arrive de Perth et a assuré un intérim au Mans la saison dernière , Courcier n'aura que sept joueurs pros à sa disposition ce soir, ce qui risque d'être insuffisant face à des Palois qui, même sans Sales, ont les moyens de défendre leur première place et d'ajouter une unité à leur série de 23 victoires au Palais des sports, face à ses rivaux français. Une période d'invincibilité débutée le 18 décembre 2004, au lendemain d'une défaite devant... Gravelines.
(Source : http://www.sudouest.com)
Ce soir à 20h, au Palais des Sports de Pau, l'Elan Béarnais Pau-Orthez reçoit le BCM Gravelines .
Arbitres : MM. Viator, Graffin et Greva.
Elan Béarnais Pau-Orthez (1er) / BCM Gravelines (6e) "[/scroll][center]
25e Journée Pro A [/center]" Foirest passé au crible "
Laurent Foirest se remet doucement de sa blessure et prend avec philosophie tout le travail qu'il lui reste à faire pour revenir au top. Le numéro 7 le plus connu de France se confie et évoque ses souvenirs pour Sport24.com. Interview.
Longtemps blessé, Laurent Foirest revient petit à petit à son meilleur niveau.
Sport24.com : Pau a gagné contre l'ASVEL d'un petit point en Coupe de France. Est ce un objectif du club ou est-ce juste bon pour la confiance ?
Laurent Foirest : Effectivement, la Coupe de France est un réel objectif du club. Nous souhaitons aller le plus loin possible cette année.
Sport24.com : Malheureusement vous perdez encore un joueur sur blessure. Est-ce que Pau cette année arrivera à jouer avec l'équipe au complet ?
Laurent Foirest : Il faut croire que non puisque Brook (Sales) est indisponible deux-trois mois et devrait être remplacé. C’est un handicap pour le titre et pour la cohésion de l'équipe de n'avoir jamais pu jouer au complet, mais cela fait partie du haut niveau.
Sport24.com : Justement à l'approche des play-offs, comment sentez-vous votre équipe ?
Laurent Foirest : Nous ne pensons pas encore aux play-offs, nous prenons match après match. Le retour de Thierry Gadou va nous faire du bien puis l'arrivée de l'Américain pour remplacer Brook Sales va nous apporter un plus.
Sport24.com : Personnellement, comment vous sentez-vous après votre grave blessure ?
Laurent Foirest : J'ai un peu de mal physiquement. C'est normal après la blessure que j'ai eue. J'ai encore beaucoup de boulot pour revenir en pleine forme. J'ai arrêté huit mois, je ne peux pas revenir au top du jour au lendemain.
Sport24.com : Est-ce que cela vous énerve de vous sentir diminué ?
Laurent Foirest : Oui, c'est énervant de ne pas avoir l'énergie suffisante. Mais je reste positif. Je n'ai jamais eu de blessure grave de toute ma carrière, cela m'arrive seulement maintenant. Il y a des joueurs qui ont des blessures graves dès leur premier pas en professionnel… Il faut relativiser, et puis je n'ai pas le choix.
Sport24.com : Comment est Laurent Foirest à la maison ?
Laurent Foirest : Je suis quelqu'un de très tranquille qui aime passer des moments en famille ou avec ses copains. Comme on voyage beaucoup et qu'on bouge tout le temps, je reste souvent à la maison quand je suis de repos. On fait des repas et des bonnes grillades entre pote.
Sport24.com : Qu'est ce qui pourrait mettre Laurent Foirest en colère ?
Laurent Foirest : Il faut vraiment qu'on me pousse à bout pour que je me mette en colère, je suis quelqu'un de calme. Je prends la vie avec philosophie.
Sport24.com : Quel est le meilleur souvenir sportif de votre carrière ?
Laurent Foirest : Le premier titre reste toujours le meilleur, même si j'ai toujours vécu de belles choses. Je retiendrai donc le titre avec Antibes en 95. Dans l'équipe, il y avait Rivers, Domon, Arsène Ade Mensah… Une équipe avec une bonne ambiance comme il n’en existe plus.
Sport24.com : Pourquoi portez-vous le numéro 7 ?
Laurent Foirest : Il n'y a pas de raisons particulières. Jacques Monclar me l'avait légué quand j'étais à Antibes. Le 7, c'est son numéro fétiche. Je l'ai gardé par la suite. Il y a des numéros qui vont bien aux biens joueurs… Si je me souviens mon premier match pro, je portais le numéro 11 et lorsque j'étais petit j'avais plus souvent le 5.
Sport24.com : Qu'avez vous fait avec votre premier salaire ?
Laurent Foirest : Je l'avais mis sur mon compte en banque pour économiser et m'acheter un appartement.
Sport24.com : Vous n'aviez même pas fait une folie : une voiture, une télévision ou un bijou…
Laurent Foirest : J'ai peut-être acheté une voiture. Je me souviens, c'était une Golf 2.
Sport24.com : Elle vous a servi à faire des courses de voitures après les entraînements ou des dérapages derrière le gymnase…
Laurent Foirest : (rires) Non, je ne suis pas comme ça, mais je me souviens qu'il y avait des fois de bonnes courses.
Sport24.com : Dans quels pubs ou quelles discothèques peut-on trouver Laurent Foirest à Pau ?
Laurent Foirest : Maintenant, je ne sors plus trop, surtout depuis ma blessure. Mais avant nous allions souvent au «Béarnais» avec Fred Fauthoux.
Sport24.com : Et à Juan-les-Pins, alliez-vous au Casino?
Laurent Foirest : Non, je n'ai jamais été trop attiré par les jeux d’argent. Nous allions au Madison. C'est marrant, parce qu'aujourd'hui, le Béarnais et le Madisson sont fermés.
Sport24.com : Quelle émission regardez-vous souvent ?
Laurent Foirest : Bonne question, je regarde souvent la télévision, mais pas une émission en particulier. En ce moment, on regarde beaucoup les dessins animés (Rires)… pour mes petites filles. Sinon je regarde le football.
Sport24.com : Surtout Marseille ?
Laurent Foirest : Et oui ! Je suis allé quelques fois au Vélodrome. Sinon, quand j'étais à Antibes, nous allions voir jouer les volleyeuses ou le foot à Monaco. On connaissait bien Luc Sonor.
Sport24.com : À un rendez-vous, vous êtes plutôt en avance ou en retard ?
Laurent Foirest : Je suis souvent en avance. C'est très rare que j'arrive en retard.
Sport24.com : Quand vous étiez jeune et avant de rencontrer votre femme, vous aimiez draguer ou vous faire draguer ?
Laurent Foirest : Je n'ai jamais été un bon dragueur. Je suis plutôt quelqu'un de timide.
Sport24.com : Pour terminer, un mot sur la retraite ?
Laurent Foirest : On y pense. On en discute même de temps en temps avec Fred (Fauthoux). J'en parle aussi avec Antoine (Rigaudeau) et Yann (Bonato). Yann, le terrain ne lui manque pas. Ils ont réussi à faire la part des choses. Je serais peut-être entraîneur. Pour mes diplômes, j'ai coaché une équipe de fille et je peux vous dire que je suis moins calme ! Mais heureusement que je suis en fin de carrière, parce qu'on s'amusait beaucoup plus avant.
(Source : http://www.sport24.com)
" Courcier dans l'incertitude "
LA DERNIERE DEFAITE à domicile de Pau contre un club français remonte au 18 décembre 2004. C'était aussi le premier match en Pro A de Fabrice Courcier. Quinze mois plus tard, juste avant de se déplacer à Pau, après avoir offert au BCM une finale du Championnat (perdue devant Pau) et un premier titre dans l'histoire du club en Coupe de France, le coach du BCM Fabrice Courcier ne sait toujours rien de son avenir. Pire, il a appris par la bande qu'une proposition avait été faite à Frédéric Sarre, le coach de Bourg-en-Bresse.
" Je suis extrèmement déçu par mes dirigeants, non pas dans le fond - je suis en fin de contrat avec le BCM -, mais dans la forme, explique Courcier.
En fin de saison dernière, après la victoire en Coupe de France, j'ai souhaité une prolongation de un an pour batir un vrai projet avec des hommes comme Adomaitis ou Turner qui venaient de signer pour deux ans. A l'issue de notre qualification à la Semaine des As, le rendez-vous pour une prolongation de contrat a encore été repoussé avec des objectifs fixés : un titre ou une place dans les quatre-cinq premiers de la première phase. Pendant ce temps-là, d'autres sont contactés. Je trouve qu'il n'y a pas beaucoup de respect et de franchise par rapport à mon investissement dans le club(...) ".
Entre le directeur exécutif du club Hervé Beddeleem et son entraineur, le fil se dénoua en fin de saison dernière lorsque que Courcier et Laurent Sciarra firent cause commune. Peut-il se renouer ? Hervé Beddeleem, le directeur exécutif, qui a fixé comme échéance le 14 mai, confirme les contacts avec Erman Kunter, Gordon Herbert et surtout Frédéric Sarre, mais vit difficilement la situation. " Il est normal que nous prenions des contacts. C'est la loi du genre mais pour l'avenir je ne peux rien préjuger. Le BCM peut encore finir dans les quatre ou cinq équipes de tete. Fabrice Courcier peut encore etre l'entraineur l'an prochain " . Coté effectif, André Owens s'est entrainé normalement durant la semaine et fait son retour dans l'effectif nordiste. En revanche, Kevin Jonhson (double entorse) ne s'est pas entrainé et fera un essai juste avant la rencontre. Sa participation est peu probable. Enfin, Fabien Dubos ( fissure sur le tendon d'Achille) est toujours en arret jusqu'au 13 avril prochain. C'est sans remplaçant de Brooks Sales (opéré hier de la cheville) et toujours sans Thierry Gadou (tendon d'Achille) que Pau-Orthez reçoit Gravelines en match avancé pour cause de Coupe Davis dans huit jours (France- Russie).
(Source : Le Journal L'Equipe)
" Elan-Gravelines: au bal des maudits "
Si ce n’est le bal des éclopés, c’est au moins celui des maudits…Au hit parade des malheurs Béarnais et Nordistes ont battu tous les records, ces derniers temps… On pense en premier lieu à ce rendez-vous dont rêvaient Brooks Sales et Tyson Wheleer, non pas que le pivot de l’Elan et le meneur de Gravelines aient prévu d’en découdre singulièrement, mais simplement de se retrouver, comme les deux vrais bons potes qu’ils sont devenus sous les couleurs de Téramo, en Italie la saison dernière. C’est bien simple, lors du dernier All Star game à Bercy, le grand Brooks avait bénéficié de l’invitation à laquelle a droit chaque sélectionné…
En guise de quoi, c’est par secteur hospitalier interposés qu’ils vont communiquer, Tyson Wheleer s’étant rompu le tendon d’Achille, alors que Sales était opéré ce jeudi en début d’après midi de sa cheville cassée…
Les deux clubs ont perdu gros, très gros et si Wheleer a été remplacé à Gravelines, l’Elan restait lui dans l’attente de dénicher son joker médical…
Mais ce n’est pas tout, les infirmeries respectives des deux clubs ne désemplissent pas. Dubos, Owens, Jonhson côté Gravelines ne sont pas partants certains pas plus que Thierry Gadou ou Jeff Varem dont les poignets, le gauche notamment, ont beaucoup souffert lors du dernier match de coupe de France.
Partant du principe que l’on jouent toujours avec les valides, les coaches n’apprécient pas particulièrement de s’étendre ou de se lamenter sur leurs absents… C’est à leurs yeux, un manque de respect de ceux qui vont avoir à mettre les bouchées double, de prouver qu’un groupe est toujours plus fort qu’une individualité.
La notion du collectif n’aura donc jamais aussi bien portée son nom que ce vendredi soir (20 heures) dans un match qui n’est pas sans évoquer quelques grands moments, comme cette finale 2004 où l’Elan atomisa les nordistes pour son 9ème titre, comme cette victoire au Sportica le 12 novembre dernier, et qui reste la seule autorisée à un visiteur cette saison, ou encore la dernière défaite de l’Elan ,chez lui, sur le plan national. C’était le 18 décembre 2004, Gravelines l’emportant 89-78. Depuis, ce bonheur a été interdit aux 23 visiteurs suivants…
La citadelle du Palais reste donc imprenable quand bien même, de l’intérieur subit-elle la loi du destin, celle qui l’aura, désormais empêché de se présenter au complet une seule fois cette saison… C’est dire si l’Elan conserve des vertus et des qualités qui vont au-delà de ses individualités. Il conviendra de les cultiver pour sortir sans dommages du bal des maudits…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Plaies et bosses "
PAU-ORTHEZ - GRAVELINES. Les Palois, sans Brooks Sales, affrontent des Nordistes eux aussi diminués.
Thierry Rupert. Auteur d'un sans-faute en attaque face à l'ASVEL, l'intérieur tentera de pallier l'absence de Sales sous les cercles.
PRO A (25e JOURNEE)
Cela restera la statistique de la saison 2005-2006 de Pau-Orthez : depuis le match d'ouvertre contre Reims, l'Elan n'aura pas évolué une seule fois au complet. Sur un effectif de douze joueurs, deux seulement (Artur Drozdov et Thierry Rupert) ont échappé au séjour à l'infirmerie... et doivent aujourd'hui fairebrûler des cierges. « Ca ne nous empêche pas de gagner des matches », glissait dernièrement Didier Gadou, le coach palois qui refuse de se lamenter sur les blessures en cascade qui ont frappé son effectif.
Quel joker ? Dernier avatar en date donc, la mauvaise chute de Brooks Sales, face à Villeurbanne. Opéré hier d'une fracture de la malléole au pied gauche, l'intérieur a fini sa saison. Et le staff palois est reparti en chasse d'un joker médical. « On cherche, mais ce n'est pas simple, car il ne faut pas se tromper, avoue Didier Gadou. Nous étudions plusieurs dossiers parmi la multitude de joueurs qui nous sont proposés. On ne veut pas se précipiter. On a défini un profil et il faut être sûr que le joueur que l'on va prendre corresponde à ce qu'on attend. »
Pau cherche donc le clone de Sales. « Un gars qui puisse jouer aux côtés d'Hiram Fuller, mais également sans Fuller », précise Gadou. Un intérieur donc, avec un bon shoot à la périphérie de la raquette, des capacités de rebondeur et un physique lui permettant de glisser au poste de pivot.
Si les Palois ont connu beaucoup de malheurs cette saison, ils ne pourront pas se plaindre auprès des Gravelinois, encore plus malchanceux qu'eux avec la perte du meneur Tyson Wheeler, dépositaire du jeu des Nordistes et qui pesait 15,2 points et 6,2 passes. Une énorme tuile venant après le départ précipité de Marc Salyers, la blessure de Kevin Johnson, puis celles plus récentes de Fabien Dubos (fissure d'un tendon d'achille), André Owens (déchirure)... et à nouveau de Kevin Johnson (entorse de la cheville à Bourg), qui ne sera pas aligné ce soir à Pau. Le coach Fabrice Courcier souhaite, en effet, le ménager en vue des deux chocs programmés au Sportica, la semaine prochaine, contre Chalon et Villeurbanne.
Série en cours. Même si le BCM a déjà intégré le joker de Wheeler David Bailey qui arrive de Perth et a assuré un intérim au Mans la saison dernière , Courcier n'aura que sept joueurs pros à sa disposition ce soir, ce qui risque d'être insuffisant face à des Palois qui, même sans Sales, ont les moyens de défendre leur première place et d'ajouter une unité à leur série de 23 victoires au Palais des sports, face à ses rivaux français. Une période d'invincibilité débutée le 18 décembre 2004, au lendemain d'une défaite devant... Gravelines.
(Source : http://www.sudouest.com)
Ce soir à 20h, au Palais des Sports de Pau, l'Elan Béarnais Pau-Orthez reçoit le BCM Gravelines .
Arbitres : MM. Viator, Graffin et Greva.
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L. Cooper rappelé aux USA
C’est également privé des services de Lonnie Cooper que l’Elan recevra Gravelines ce vendredi soir (20 heures au palais des sports ).
Le meneur américain a du rentrer précipitamment aux Etats-Unis pour se rendre au chevet de son épouse dont la grossesse venait de subir quelques complications.
Terriblement affecté par la nouvelle Lonnie Cooper a bien entendu obtenu l’autorisation du club de rejoindre, par le premier avion, la Louisiane où son épouse venait d’être hospitalisée.
Inutile de dire que l’Elan formulait très fort le vœu de recevoir, dans la soirée, des nouvelles rassurantes sur l’état de santé de Mme Cooper qui devait, à la fin du mois, rejoindre Lonnie en France.
le 30 / 3 / 2006
Source : http://www.elan-bearnais.fr
C’est également privé des services de Lonnie Cooper que l’Elan recevra Gravelines ce vendredi soir (20 heures au palais des sports ).
Le meneur américain a du rentrer précipitamment aux Etats-Unis pour se rendre au chevet de son épouse dont la grossesse venait de subir quelques complications.
Terriblement affecté par la nouvelle Lonnie Cooper a bien entendu obtenu l’autorisation du club de rejoindre, par le premier avion, la Louisiane où son épouse venait d’être hospitalisée.
Inutile de dire que l’Elan formulait très fort le vœu de recevoir, dans la soirée, des nouvelles rassurantes sur l’état de santé de Mme Cooper qui devait, à la fin du mois, rejoindre Lonnie en France.
le 30 / 3 / 2006
Source : http://www.elan-bearnais.fr
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Oui, sans Cooper, sans Sales, sans Thierry Gadou, ça change la donne, même si l'effectif est encore copieux.Steve Cox a écrit :quand ca va pas, ca va pas !
sans cooper, c'est pas la meme musique, surtout contre Gravelines.
Esperons qu'on s'en sorte bien mais surtout bien sur, que la femme a Cooper aille mieux.
Il sera intéressant de voir Fuller jouer sans Cooper (qui lui a permis de briller contre l'ASVEL).
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Dans l'antre de l'ogre
Vainqueur de son premier match à l'extérieur en 2006 à Bourg samedi
dernier, le BCM passera un véritable test sur sa capacité à voyager. Ce
vendredi, c'est le Palais des Sports de Pau qui attend les maritimes.
Une salle dans laquelle l'Elan Béarnais est invaincu depuis le 18
décembre 2004. Ce soir là, Pau était tombé 78-89 ... face au BCM
emmené par grand Zelly Wesson. Nul doute que les maritimes
aimeraient rééditer la même performance. Mais ce serait oublier que
Pau/Orthez est redevenu l'ogre de la ProA, dont il est le leader
incontestable. Et ce en dépit de nombreuses blessures qui, comme au
BCM, ont touché les cadres de l'effectif (Foirest, CC Harrison, Thierry
Gadou). Même privé de Brooke Sales, out pour 3 mois, Pau/Orthez
demeure un adversaire redoutable, et redouté. Le seul à être parvenu
à s'imposer au Sportica cette saison.
Kevin Johnson probablement forfait
29 Mars 2006, Equipes PROA - PROB - Gravelines
Kevin Johnson a vécu une drôle de soirée à Bourg en Bresse. Victime d'une légère entorse en première mi-temps, l'intérieur nordiste était contraint de quitter définitivement le parquet à la fin du 3e quart-temps, victime d'une entorse bien plus sérieuse à l'autre pied (!). Mis au repos depuis samedi, KJ avait programmé un test aujourd'hui. Un essai infructueux puisque le n°14 du BCM a finalement quitté prématurément l'entrainement dirigé par Fabrice Courcier. Laissant ainsi planer un gros doute sur sa participation à la rencontre de vendredi soir face à l'Elan Béarnais. Il n'est d'ailleurs pas acquis que Kevin Johnson s'envole demain pour Pau en compagnie de ses coéquipiers, de manière à le ménager pour les 2 matchs (Chalon et ASVEL) prévus la semaine prochaine au Sportica.
Pau/Orthez - BCM
Vendredi 31 Mars 2006 - 20h
25e journée du championnat ProA
Source : http://www.bcmgravelines.com
Vainqueur de son premier match à l'extérieur en 2006 à Bourg samedi
dernier, le BCM passera un véritable test sur sa capacité à voyager. Ce
vendredi, c'est le Palais des Sports de Pau qui attend les maritimes.
Une salle dans laquelle l'Elan Béarnais est invaincu depuis le 18
décembre 2004. Ce soir là, Pau était tombé 78-89 ... face au BCM
emmené par grand Zelly Wesson. Nul doute que les maritimes
aimeraient rééditer la même performance. Mais ce serait oublier que
Pau/Orthez est redevenu l'ogre de la ProA, dont il est le leader
incontestable. Et ce en dépit de nombreuses blessures qui, comme au
BCM, ont touché les cadres de l'effectif (Foirest, CC Harrison, Thierry
Gadou). Même privé de Brooke Sales, out pour 3 mois, Pau/Orthez
demeure un adversaire redoutable, et redouté. Le seul à être parvenu
à s'imposer au Sportica cette saison.
Kevin Johnson probablement forfait
29 Mars 2006, Equipes PROA - PROB - Gravelines
Kevin Johnson a vécu une drôle de soirée à Bourg en Bresse. Victime d'une légère entorse en première mi-temps, l'intérieur nordiste était contraint de quitter définitivement le parquet à la fin du 3e quart-temps, victime d'une entorse bien plus sérieuse à l'autre pied (!). Mis au repos depuis samedi, KJ avait programmé un test aujourd'hui. Un essai infructueux puisque le n°14 du BCM a finalement quitté prématurément l'entrainement dirigé par Fabrice Courcier. Laissant ainsi planer un gros doute sur sa participation à la rencontre de vendredi soir face à l'Elan Béarnais. Il n'est d'ailleurs pas acquis que Kevin Johnson s'envole demain pour Pau en compagnie de ses coéquipiers, de manière à le ménager pour les 2 matchs (Chalon et ASVEL) prévus la semaine prochaine au Sportica.
Pau/Orthez - BCM
Vendredi 31 Mars 2006 - 20h
25e journée du championnat ProA
Source : http://www.bcmgravelines.com
Heureusement qu'on est pas le 1er Avril sinon j'y aurais pas cruVIGUIER a écrit :L. Cooper rappelé aux USA ....
Il va bien falloir gérer les fautes et la fatigue ce soir !!!
La bonne nouvelle c'est qu'ils n'ont rien dit de plus sur les poignets de Jeff Varem... donc je suppose qu'il devrait tenir sa place ?
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pascal64lons
- Au Hall of Fame du Palais des Sports
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- Enregistré le : 09 mai 2003 10:35
- Localisation : lons
re
Elles arrivent quand les nouvelles rassurantes depuis la Louisiane????
Car les matchs sans Loonie n'ont pas laissé de bons souvenirs jusqu'à présent!!
Manquerait plus qu'on soit obligé de partir à la recherche d'un meneur en plus!!
Quand va-t-on réussir à tuer ce chat noir???
Car les matchs sans Loonie n'ont pas laissé de bons souvenirs jusqu'à présent!!
Manquerait plus qu'on soit obligé de partir à la recherche d'un meneur en plus!!
Quand va-t-on réussir à tuer ce chat noir???
Pour info, si vous voulez suivre le match sur une radio ouèbçienne : France Bleu Nord s'y colle..
Hum, VO a perdu en 1/2 Finale du F4 Roligue...
Hum, VO a perdu en 1/2 Finale du F4 Roligue...
Ne faites rien, mais faites le bien..!
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Matt
- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
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- Enregistré le : 29 août 2003 0:14
- Localisation : Ch'ti exilé à Rennes
Peut etre qu'on y entendra Chirac trancher entre les pro-EPBO et les pro-BCMpol a écrit :Pour info, si vous voulez suivre le match sur une radio ouèbçienne : France Bleu Nord s'y colle..
Ouais, j'ai suivi ça...Hum, VO a perdu en 1/2 Finale du F4 Roligue...
Mais boudiou quel club quand même! Bravo VO et son public, qui s'était encore déplacé en bus et en nombre à Brno.
Si france bleu nord ne retransmet pas en intégralité (souvent c'est par flash), je pense que vous pouvez essayez sur Delta: http://www.delta-media.net/ et cliquez en haut à droite.
