" Istanbul invaincu "
Battu à Salonique en ouverture de l'Euroligue, Ulker-Fernerbahce Istanbul n'a par contyre toujours ps été battu en championnat.
Les adversaires des Palois ont enregistré à Darrussafaka, autre équipe stambouliote, leur quatrième succès samedi soir (85-64) et noté non sans plaisir la défaite à Besiktas d eleur grand rival d'Efes.
Mené de 3 points après dix minutes, les hommes de Aydin Ors ont fait parler leur collectif (4 joueurs à plus de points) pour en compter jusqu'à 23 d'avance à la demi-heure de jeu.
(Source : La République des Pyrénées)
Ce week-end, en allant gagner à Darussafaka (85-64), les Stanbouliotes ont signé leur quatrième victoire de rang dans la Turkish League, où ils sont invaincus et leaders, juste devant Besiktas qui a battu Efes Pilsen (74-65, avec 2 pts d'un certain Brooks Sales).
A Darussafaka, c'est le pivot Letton Kaspars Kambala (15 pts) qui a dominé, bien soutenu par l'ailier Ira Clark (15 pts) et l'arrière Omer Onan (11). Les dix joueurs de Fenerbahce-Ulker ont marqué dans un match plié dès la fin du troisième quart-temps (68-45).
(Source : http://www.sudouest.com)
[2e J. d'EUROLEAGUE] Fernerbahçe: 66 / Pau-Orthez: 68
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philip_pau
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[2e J. d'EUROLEAGUE] Fernerbahçe: 66 / Pau-Orthez: 68
Modifié en dernier par philip_pau le 01 nov. 2006 21:13, modifié 4 fois.
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philip_pau
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" Euroligue: huit sur huit... "
Les huit clubs de la poule C d’Euroligue ont tous connu la victoire dans leur pays ce week-end ! Ainsi les Barcelonais revigorés par leur prestation en Béarn ont-ils dominé de la tête et des épaules le derby de catalogne face au voisin et ambitieux Gérone…94-67 : si les Géronais n’étaient pas encore tombés une seule fois, la première de leur chute a été sans appel et côté Barça c’est encore ce diable de Navarro qui a frappé fort (30 d’évaluation) bien épaulé par un Basile des grands soirs (21 points) tandis que Lakovic est resté bien en dedans : 1 sur 6 à trois points et moins 1 d’évaluation…
Au rayon des gros cartons, Kaunas n’a pas fait de détail face à Siaulaï (109-76) tandis que pour son entré en coupe de Russie le CSKA s’est contenté de gérer face à Ural Great Perm (91-82).
En Grèce l’ARIS continue de ne pas encaisser beaucoup de points : 54 face à Karali dimanche, ce qui fait qu’avec ses 10 de plus il signe un succès sans problème et reste à une longueur du surprenant leader Panionios.
En Italie, Trévise et Naples restent dans le camp de ceux qui ont plus gagné que perdu (3victoires pour 2 défaites) mais rien n’a été facile ni pour l’un ni pour l’autre ; 70-61 pouir Trévise face à Montegranaro le promu et 87-80 pour les napolitains de Morandais face à Air Avellino.
En fin en Turquie l’évènement est venu de la chute d’Efes Pilsen battu face au Besiktas de Books Sales et anciennement de Michael Wright, si bien que pour la première fois de puis des lustres le club du grand brasseur ne partage plus le fauteuil de leader celui-ci revenant au duo Fenerbahce-Ulker et Tur Telkom Ankara…
Ulker chez qui l’Elan se rendra dès ce mardi matin a eu la main ferme face à Darussafaka, club d’un quartier d’Istanbul : 85-64 en se servant surtout de ses intérieurs (Kambala 16 pts, Clark 15) mais en prenant soin de faire participer tout le monde comme le souligne la marque à laquelle prennent part les 10 joueurs… Menés 14-17 au terme des 10 premières minutes les partenaires de Kutluay ont mis les 20 minutes suivantes à profit pour se mettre à l’abri (54-28.) se contentant ensuite de dérouler….
Les points d’Ulker :
Kambala 16, Clark 15, Onan 11, Kutluay 10, Mrsic 9, Solomon 8, Erden 6, Savas 4, Turcsan 3, Mutaf 3.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
Les huit clubs de la poule C d’Euroligue ont tous connu la victoire dans leur pays ce week-end ! Ainsi les Barcelonais revigorés par leur prestation en Béarn ont-ils dominé de la tête et des épaules le derby de catalogne face au voisin et ambitieux Gérone…94-67 : si les Géronais n’étaient pas encore tombés une seule fois, la première de leur chute a été sans appel et côté Barça c’est encore ce diable de Navarro qui a frappé fort (30 d’évaluation) bien épaulé par un Basile des grands soirs (21 points) tandis que Lakovic est resté bien en dedans : 1 sur 6 à trois points et moins 1 d’évaluation…
Au rayon des gros cartons, Kaunas n’a pas fait de détail face à Siaulaï (109-76) tandis que pour son entré en coupe de Russie le CSKA s’est contenté de gérer face à Ural Great Perm (91-82).
En Grèce l’ARIS continue de ne pas encaisser beaucoup de points : 54 face à Karali dimanche, ce qui fait qu’avec ses 10 de plus il signe un succès sans problème et reste à une longueur du surprenant leader Panionios.
En Italie, Trévise et Naples restent dans le camp de ceux qui ont plus gagné que perdu (3victoires pour 2 défaites) mais rien n’a été facile ni pour l’un ni pour l’autre ; 70-61 pouir Trévise face à Montegranaro le promu et 87-80 pour les napolitains de Morandais face à Air Avellino.
En fin en Turquie l’évènement est venu de la chute d’Efes Pilsen battu face au Besiktas de Books Sales et anciennement de Michael Wright, si bien que pour la première fois de puis des lustres le club du grand brasseur ne partage plus le fauteuil de leader celui-ci revenant au duo Fenerbahce-Ulker et Tur Telkom Ankara…
Ulker chez qui l’Elan se rendra dès ce mardi matin a eu la main ferme face à Darussafaka, club d’un quartier d’Istanbul : 85-64 en se servant surtout de ses intérieurs (Kambala 16 pts, Clark 15) mais en prenant soin de faire participer tout le monde comme le souligne la marque à laquelle prennent part les 10 joueurs… Menés 14-17 au terme des 10 premières minutes les partenaires de Kutluay ont mis les 20 minutes suivantes à profit pour se mettre à l’abri (54-28.) se contentant ensuite de dérouler….
Les points d’Ulker :
Kambala 16, Clark 15, Onan 11, Kutluay 10, Mrsic 9, Solomon 8, Erden 6, Savas 4, Turcsan 3, Mutaf 3.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
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Monstertruck64
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Voilà le deuxiéme match d'Euroleague qui se profile pour l'Elan.
Un Elan qui je pense peut et va nous faire un truc en Turquie.
Cette équipe turque à de la gueule sur le papier mais on sait tous que ce genre d'équipe est capable du meilleur comme du pire.
C'est un peu tout ou rien. On avait pu le constater à l'époque (pas si éloignée) de l'Ulker, ou l'on passait de match gagné facilement grâce à la combinaison magique turque : 3 points (Kutluay...) + rebonds (Turksan...)...tout ceci à gogo ! Mais aussi à de beaux naufrages (dans les memes secteurs d'ailleurs, surtout à 3 points).
C'est une équipe instable avec laquelle on ne sait jamais vraiment à quoi s'attendre.
Moi j'y crois, à condition de poser une défense comme contre le Barça et de "se lacher" un peu.
Rendez-vous donc demain à 19h45 devant la TV ...(ou la-bas pour les supers veinards !!!)
Un Elan qui je pense peut et va nous faire un truc en Turquie.
Cette équipe turque à de la gueule sur le papier mais on sait tous que ce genre d'équipe est capable du meilleur comme du pire.
C'est un peu tout ou rien. On avait pu le constater à l'époque (pas si éloignée) de l'Ulker, ou l'on passait de match gagné facilement grâce à la combinaison magique turque : 3 points (Kutluay...) + rebonds (Turksan...)...tout ceci à gogo ! Mais aussi à de beaux naufrages (dans les memes secteurs d'ailleurs, surtout à 3 points).
C'est une équipe instable avec laquelle on ne sait jamais vraiment à quoi s'attendre.
Moi j'y crois, à condition de poser une défense comme contre le Barça et de "se lacher" un peu.
Rendez-vous donc demain à 19h45 devant la TV ...(ou la-bas pour les supers veinards !!!)
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Karamasof
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La seconde rencontre comptant pour l'Euroleague opposant l'Elan Béarnais à l'Ulker d'Istanbul sera diffusée en direct sur Sport + Mercredi 1er Novembre 2006 à partir de 19 H 45.
Cete rencontre est également à suivre sur FRance Bleu 102.5 en compagnie de Jean Pierre Daucé, en direct à partir de 19 H 45.
(source : http://www.elan-bearnais.fr/).
Cete rencontre est également à suivre sur FRance Bleu 102.5 en compagnie de Jean Pierre Daucé, en direct à partir de 19 H 45.
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didier labrit-badie
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au pire il ne faudra pas prendre un éclat pour préserver le goal average général(et peut-être particulier) en haussant le niveau de jeu défensif car la grêle peut tomber tout d'un coup là-bas.
Par contre l'acceuil sera trés trés chaud puisque les turcs n'ont pas du tout apprécié, et c'est un euphémisme, la reconnaissance du génocide arménien par le parlement français(en fait le négationisme de celui-ci), ça nous éloigne du sujet mais ça risque de faire monter l'ambiance qui sera déjà chaude....
Par contre l'acceuil sera trés trés chaud puisque les turcs n'ont pas du tout apprécié, et c'est un euphémisme, la reconnaissance du génocide arménien par le parlement français(en fait le négationisme de celui-ci), ça nous éloigne du sujet mais ça risque de faire monter l'ambiance qui sera déjà chaude....
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Monstertruck64
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Pour faire dans la politique, parlons de l'entrée de la Turquie dans l'Union Européene...didier labrit-badie a écrit :au pire il ne faudra pas prendre un éclat pour préserver le goal average général(et peut-être particulier) en haussant le niveau de jeu défensif car la grêle peut tomber tout d'un coup là-bas.
Par contre l'acceuil sera trés trés chaud puisque les turcs n'ont pas du tout apprécié, et c'est un euphémisme, la reconnaissance du génocide arménien par le parlement français(en fait le négationisme de celui-ci), ça nous éloigne du sujet mais ça risque de faire monter l'ambiance qui sera déjà chaude....
mais aussi la flambée du cours du Kebab Turc, de plus en plus boycoté au dépend du Libanais... 
Non amis c'est sur que l'ambiance va etre chaude...
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Karamasof
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Un an après, jour pour jour ou presque, l’Elan a retrouvé Istanbul et son trafic ininterrompu rythmé par les coups de klaxons incessants. Seule la pluie fine et froide qui a accueilli la délégation béarnaise ne faisait pas partie du décor habituel sur les bords du Bosphore.
Un an après l’Elan, la tête pleine d’un souvenir cuisant, revient donc défier Ulker ou peu s’en faut puisque sous le nom de Fenerbahce, nouveau venu à la compétition, se cache tout simplement l’équipe du géant de la petite confiserie.
L’acte de décès du club qui n’avait guère qu’Efes Pilsen comme rival déclaré sur le territoire, n’a effectivement tenu qu’un demi été. Aussitôt que l’Euroligue accorda à Fenerbahce la seconde licence turque, le puisant chocolatier renaissait de ses cendres pour accoler sa pub sur le fameux maillot jaune et bleu de l’heureux élu, plus reconnu jusque là par le milieu du football.
Il y avait bien eu une tentative de percée du basket à Fenerbahce, et le regretté Conrad Mc Rae avait été de l’aventure faite de grand noms mais elle était restée lettre morte ou presque…
Avec le transfert des six joueurs sous contrat, du staff et d’une grande partie de l’équipe dirigeante, c’est donc bel et bien un Ulker renaissant que l’Elan retrouve sur sa route. Il n’est qu’à évoquer les noms d’ Ibrahim Kutluay, le bel Ibo, de Mirsad Turcsan, le gentil fou qui reste le plus grand gobeur de rebonds du circuit européen (23 prises sur un match, 19 la semaine dernière à l’Aris), Omer Onan, l’homme qui n’a jamais fait de cadeau à l’Elan, Ogus Savas, fort comme le turc qu’il est, Kaspar Kambala, le monolithique pivot dont Cyril Julian pourrait parler des heures, pour se persuader que l’Elan est en pays connu.
Connu et redouté ! Car ce n’est pas l’arrivée de Willie Solomon (Maccabi) , ou la présence de l’inoxydable Damir Mrsic (36 ans) et celle de l’athlétique Ira Clark qui assombrit l’horizon de cet Ulker là…
Quand bien même reste t-elle depuis deux ans en rade complète lors du Top 16, cette équipe est formatée pour y accéder… Toute autre issue aurait pour les hommes d’Aydin 0rs la couleur de l’échec et qui sait si, alors le confiseur ne décéderait pas une deuxième fois…
Dans ce contexte, l’Elan ne peut rien ignorer du danger qui le guette pour ses débuts à l’extérieur dans une compétition qui ne l’a pas gâtée –question d’habitude- mais qui de surcroît lui a ménagé un calendrier des plus périlleux…
Le chantier annoncé est celui du rebond où Kambala-Turcsan peuvent faire des ravages, celui de la périphérie où l’axe Solomon- Kutluay- Mrsic n’est pas le premier venu.
Le doute n’est donc pas permis sur la difficulté du challenge proposé aux hommes d’Herbert et de Mopsus. Il est donc heureux que l’Elan affronte le défi d’Abdi Ipekci, cette salle de 12000 places dont la moitié sera, comme de coutume, occupée par les enfants des collèges ramassés dès la sortie des cours, avec une formation dont les dernières prestations ont été encourageantes…
Un Elan aux mêmes dispositions que lors de son entrée face au Barça serait même la meilleure garantie pour jouer la gagne jusqu’au bout, c’est au demeurant, la condition sine qua nun de ne pas le voir être dépassé par l’événement. Intensité, rigueur, solidarité, patience et nerfs d’acier sont les maîtres mots pour exister en Europe. Un seul maillon manquant et c’est la certitude de vivre une mauvaise soirée en Turquie comme ailleurs…
Qu’ensuite, par exemple, CC Harrison confirme ses dispositions de shooteur retrouvé, que Briton Johnsen se soit refait un plein de santé, ou que Michael Wright se souvienne que la saison passée il fut ici même la grande révélation de la saison, ne serait qu’un plus. Dont l’Elan aura de toute façon bien besoin. Pour poursuivre sa construction et confirmer qu’il est sur la bonne voie…
(source : http://www.elan-bearnais.fr/)
Un an après l’Elan, la tête pleine d’un souvenir cuisant, revient donc défier Ulker ou peu s’en faut puisque sous le nom de Fenerbahce, nouveau venu à la compétition, se cache tout simplement l’équipe du géant de la petite confiserie.
L’acte de décès du club qui n’avait guère qu’Efes Pilsen comme rival déclaré sur le territoire, n’a effectivement tenu qu’un demi été. Aussitôt que l’Euroligue accorda à Fenerbahce la seconde licence turque, le puisant chocolatier renaissait de ses cendres pour accoler sa pub sur le fameux maillot jaune et bleu de l’heureux élu, plus reconnu jusque là par le milieu du football.
Il y avait bien eu une tentative de percée du basket à Fenerbahce, et le regretté Conrad Mc Rae avait été de l’aventure faite de grand noms mais elle était restée lettre morte ou presque…
Avec le transfert des six joueurs sous contrat, du staff et d’une grande partie de l’équipe dirigeante, c’est donc bel et bien un Ulker renaissant que l’Elan retrouve sur sa route. Il n’est qu’à évoquer les noms d’ Ibrahim Kutluay, le bel Ibo, de Mirsad Turcsan, le gentil fou qui reste le plus grand gobeur de rebonds du circuit européen (23 prises sur un match, 19 la semaine dernière à l’Aris), Omer Onan, l’homme qui n’a jamais fait de cadeau à l’Elan, Ogus Savas, fort comme le turc qu’il est, Kaspar Kambala, le monolithique pivot dont Cyril Julian pourrait parler des heures, pour se persuader que l’Elan est en pays connu.
Connu et redouté ! Car ce n’est pas l’arrivée de Willie Solomon (Maccabi) , ou la présence de l’inoxydable Damir Mrsic (36 ans) et celle de l’athlétique Ira Clark qui assombrit l’horizon de cet Ulker là…
Quand bien même reste t-elle depuis deux ans en rade complète lors du Top 16, cette équipe est formatée pour y accéder… Toute autre issue aurait pour les hommes d’Aydin 0rs la couleur de l’échec et qui sait si, alors le confiseur ne décéderait pas une deuxième fois…
Dans ce contexte, l’Elan ne peut rien ignorer du danger qui le guette pour ses débuts à l’extérieur dans une compétition qui ne l’a pas gâtée –question d’habitude- mais qui de surcroît lui a ménagé un calendrier des plus périlleux…
Le chantier annoncé est celui du rebond où Kambala-Turcsan peuvent faire des ravages, celui de la périphérie où l’axe Solomon- Kutluay- Mrsic n’est pas le premier venu.
Le doute n’est donc pas permis sur la difficulté du challenge proposé aux hommes d’Herbert et de Mopsus. Il est donc heureux que l’Elan affronte le défi d’Abdi Ipekci, cette salle de 12000 places dont la moitié sera, comme de coutume, occupée par les enfants des collèges ramassés dès la sortie des cours, avec une formation dont les dernières prestations ont été encourageantes…
Un Elan aux mêmes dispositions que lors de son entrée face au Barça serait même la meilleure garantie pour jouer la gagne jusqu’au bout, c’est au demeurant, la condition sine qua nun de ne pas le voir être dépassé par l’événement. Intensité, rigueur, solidarité, patience et nerfs d’acier sont les maîtres mots pour exister en Europe. Un seul maillon manquant et c’est la certitude de vivre une mauvaise soirée en Turquie comme ailleurs…
Qu’ensuite, par exemple, CC Harrison confirme ses dispositions de shooteur retrouvé, que Briton Johnsen se soit refait un plein de santé, ou que Michael Wright se souvienne que la saison passée il fut ici même la grande révélation de la saison, ne serait qu’un plus. Dont l’Elan aura de toute façon bien besoin. Pour poursuivre sa construction et confirmer qu’il est sur la bonne voie…
(source : http://www.elan-bearnais.fr/)
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the answer64
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En direct d' Istanbul
Longue journée - Les béarnais ayant quitté Pau ce mardi matin à 6h40
pour rejoindre la Turquie, via Paris, en milieu d'après midi ont vécu une longue journée puisque leur créneau d'entraînement était fixé de 20 à 22 heures. Compte tenu du contexte ils se sont surtout livrés à une séance de décrassage et de révision des systèmes.
Il n'empêche qu'à l'heure du dîner personne n'a traîné à table... Et pour cause ce mercredi la salle leur ait réservée à 10h30, heure locale, pour une petit heure de shooting...
20h15 le coup d'envoi - Contrairement aux informations qui ont pu circuler ici et là c'est bien à 20h15 heure locale, c'est à dire 19h15 en France que le coup d'envoi de la rencontre sera donnée.
Sans Vaty – Victime d’une entorse de la cheville à 10 secondes de la fin du match des Espoirs samedi dernier face à Orléans, Ludovic Vaty n’est pas du déplacement à Istanbul. Ce sont donc 11 joueurs que l’Elan a déplacé en Turquie.
Le jeune champion d’Europe sera également forfait pour le voyage à Hyères-Toulon samedi (match dimanche 15 heures), mais les béarnais seront 12 au départ puisque Alexis Ajinca effectuera ses débuts, en espoir c’est une certitude, sous le maillot de l’Elan. Revenu des championnats d’Europe junior avec une tendinite rotulienne le jeune stéphanois de 2m 13 a reçu le feu vert médical pour reprendre la compétition.
Thierry Gadou au micro – Un autre béarnais effectuera son retour dans la salle d’Istanbul, Thierry Gadou sera en effet aux côtés de Bruno Poulain pour commenter le match sur Sports Plus. Si l’ancien intérieur de l’Elan a effectué une répétition grandeur nature lors du match de Barcelone, il n’en reste pas moins que ce Fenerbahce - Elan constitue son véritable baptême du feu en tant que consultant pour la télé.
Fenerbahce le numéro 1 – Autant Ulker, « une société pas un club » nous a dit le guide de l’Elan avait un mal fou à fédérer un public derrière lui, autant en rejoignant la bannière de Fenerbahce, s’est-il doté d’un parterre de partisans dès plus respectables.
C’est que Fenerbahce, club situé issu de la partie asiatique de la capitale turque, est le numéro 1 au nombre des supporters dans le pays. Près de 20 millions de fans nous assure-t-on ici pour le numéro 1 du football turc qui s’est fait éliminé lors du tour préliminaire de la champion’s league. Les deux autres mammouths du sport turc sont Galatasaray et Besiktas, clubs omnisports, tous deux situés dans les quartiers européens d’Istanbul.
Ambiance – L’immense salle Abdi Ipecksi n’accueillera, pour la rencontre, que la moitié des spectateurs qu’elle peut normalement compter. A l’aide d’immenses rideaux gris qui longent la coursive séparant les deux niveaux, elle a été coupée en deux ce qui la limite à 6000 spectateurs et l’assurance d’être pleine à craquer comme aux plus belles heures du basket truc…
Six sur onze – Ils seront six sur onze les joueurs de l’Elan à ne pas être surpris par l’ambiance de cette salle dont le nom est celui d’un journaliste sportif décédé lors d’une manifestation du 1er mai : Fauthoux, Harrisson, d’Almeida, Ferchaud, Rupert et bien entendu Wright ont tous foulé son parquet. Deux autres béarnais ont joué en Turquie mais jamais dans cette salle : Greer et Johnsen, ce qui fait qu’ils sont trois à véritablement découvrir la ville aux mille mosquées : Bauer, Miles et Mahinmi.
Wright - Johnsen – Si l’Elan disputait il y a un an un match d’Euroligue à Istanbul, ils sont deux à se souvenir aussi de cette date… Le 31 octobre 2005, la rencontre de coupe ULEB opposant Besiktas à Alicante, n’opposa-t-elle pas Johnsen à Wright… ? Le blond intérieur de l’Elan portait casaque espagnole et l’avait emporté sur le fil après prolongations face aux turcs dont Michael Wright était l’une des pièces angulaires.…
Brooks Sales aussi – Les béarnais devraient logiquement recevoir la visite de Brooks Sales ce mercredi soir. L’intérieur qui avait été blessé en fin de saison dernière à l’Elan a signé cette saison à Besisktas et il jouait ce mardi soir, à Istanbul, en coupe Uleb face aux Lettons de Ventspils…
(source : http://www.elan-bearnais.fr/)
Longue journée - Les béarnais ayant quitté Pau ce mardi matin à 6h40
pour rejoindre la Turquie, via Paris, en milieu d'après midi ont vécu une longue journée puisque leur créneau d'entraînement était fixé de 20 à 22 heures. Compte tenu du contexte ils se sont surtout livrés à une séance de décrassage et de révision des systèmes.
Il n'empêche qu'à l'heure du dîner personne n'a traîné à table... Et pour cause ce mercredi la salle leur ait réservée à 10h30, heure locale, pour une petit heure de shooting...
20h15 le coup d'envoi - Contrairement aux informations qui ont pu circuler ici et là c'est bien à 20h15 heure locale, c'est à dire 19h15 en France que le coup d'envoi de la rencontre sera donnée.
Sans Vaty – Victime d’une entorse de la cheville à 10 secondes de la fin du match des Espoirs samedi dernier face à Orléans, Ludovic Vaty n’est pas du déplacement à Istanbul. Ce sont donc 11 joueurs que l’Elan a déplacé en Turquie.
Le jeune champion d’Europe sera également forfait pour le voyage à Hyères-Toulon samedi (match dimanche 15 heures), mais les béarnais seront 12 au départ puisque Alexis Ajinca effectuera ses débuts, en espoir c’est une certitude, sous le maillot de l’Elan. Revenu des championnats d’Europe junior avec une tendinite rotulienne le jeune stéphanois de 2m 13 a reçu le feu vert médical pour reprendre la compétition.
Thierry Gadou au micro – Un autre béarnais effectuera son retour dans la salle d’Istanbul, Thierry Gadou sera en effet aux côtés de Bruno Poulain pour commenter le match sur Sports Plus. Si l’ancien intérieur de l’Elan a effectué une répétition grandeur nature lors du match de Barcelone, il n’en reste pas moins que ce Fenerbahce - Elan constitue son véritable baptême du feu en tant que consultant pour la télé.
Fenerbahce le numéro 1 – Autant Ulker, « une société pas un club » nous a dit le guide de l’Elan avait un mal fou à fédérer un public derrière lui, autant en rejoignant la bannière de Fenerbahce, s’est-il doté d’un parterre de partisans dès plus respectables.
C’est que Fenerbahce, club situé issu de la partie asiatique de la capitale turque, est le numéro 1 au nombre des supporters dans le pays. Près de 20 millions de fans nous assure-t-on ici pour le numéro 1 du football turc qui s’est fait éliminé lors du tour préliminaire de la champion’s league. Les deux autres mammouths du sport turc sont Galatasaray et Besiktas, clubs omnisports, tous deux situés dans les quartiers européens d’Istanbul.
Ambiance – L’immense salle Abdi Ipecksi n’accueillera, pour la rencontre, que la moitié des spectateurs qu’elle peut normalement compter. A l’aide d’immenses rideaux gris qui longent la coursive séparant les deux niveaux, elle a été coupée en deux ce qui la limite à 6000 spectateurs et l’assurance d’être pleine à craquer comme aux plus belles heures du basket truc…
Six sur onze – Ils seront six sur onze les joueurs de l’Elan à ne pas être surpris par l’ambiance de cette salle dont le nom est celui d’un journaliste sportif décédé lors d’une manifestation du 1er mai : Fauthoux, Harrisson, d’Almeida, Ferchaud, Rupert et bien entendu Wright ont tous foulé son parquet. Deux autres béarnais ont joué en Turquie mais jamais dans cette salle : Greer et Johnsen, ce qui fait qu’ils sont trois à véritablement découvrir la ville aux mille mosquées : Bauer, Miles et Mahinmi.
Wright - Johnsen – Si l’Elan disputait il y a un an un match d’Euroligue à Istanbul, ils sont deux à se souvenir aussi de cette date… Le 31 octobre 2005, la rencontre de coupe ULEB opposant Besiktas à Alicante, n’opposa-t-elle pas Johnsen à Wright… ? Le blond intérieur de l’Elan portait casaque espagnole et l’avait emporté sur le fil après prolongations face aux turcs dont Michael Wright était l’une des pièces angulaires.…
Brooks Sales aussi – Les béarnais devraient logiquement recevoir la visite de Brooks Sales ce mercredi soir. L’intérieur qui avait été blessé en fin de saison dernière à l’Elan a signé cette saison à Besisktas et il jouait ce mardi soir, à Istanbul, en coupe Uleb face aux Lettons de Ventspils…
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[img]http://img207.imageshack.us/img207/294/raposoev9.jpg[/img]
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pascal64lons
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re
Donc, attention tout le monde!!!
LE MATCH EST A 19H15!!!!!
LE MATCH EST A 19H15!!!!!
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Elan Forever
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Re: re
Et la diffusion sur SPORT+? Toujours à 19H45?pascal64lons a écrit :Donc, attention tout le monde!!!
LE MATCH EST A 19H15!!!!!
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the answer64
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Re: re
Ben a priori ils le retransmettent en direct non ?Elan Forever a écrit :Et la diffusion sur SPORT+? Toujours à 19H45?pascal64lons a écrit :Donc, attention tout le monde!!!
LE MATCH EST A 19H15!!!!!
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didier labrit-badie
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http://www.sport-plus.fr/pid170.htm&DAY ... 2&tra=4#jo
apparemment pour eux c'est 19h45 en direct!!
A moins que ce soit 19h45 dans les conditions du direct!
Je pense que leur grille de programme sur le site est valable...
apparemment pour eux c'est 19h45 en direct!!
A moins que ce soit 19h45 dans les conditions du direct!
Je pense que leur grille de programme sur le site est valable...
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philip_pau
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didier labrit-badie
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philip_pau
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[updown][center]EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007
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[updown][center]EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
[center]2er JOURNEE : 1er PHASE[/center]
FENERBAHCE ISTANBUL
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ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/right]
" Prendre de l'élan "
Battu dans sa salle la semaine dernière par Barcelone, Pau se rend à Istanbul pour défier Fenerbahçe. Un autre gros morceau pour les Béarnais qui chercheront tout de même à glaner leur premier succès dans la compétition.
Aaron Miles et Pau en quête d'un premier succès.
Une défaite encourageante
Il n’a pas manqué grand chose à Pau la semaine dernière face à Barcelone. Une poignée de minutes tout au plus a suffi pour voir s’évaporer une avance de 12 points et finalement s’incliner de six longueurs (66-72). Alors évidemment, sur le plan comptable, une défaite à domicile n’est pas la meilleure façon de démarrer en Euroligue. Pourtant, les Palois, auteurs d’un début de saison poussif en Pro A, ont montré de belles choses ce soir-là et laissé espérer à leurs fans un tout autre parcours que l’an dernier dans la compétition reine (4 victoires, 10 défaites). «L’équipe se construit, ce soir elle est à féliciter avec son staff , elle a été digne de l’Euroligue», se réjouissait Pierre Seillant après ce match face au Barça de Navarro. Depuis, Pau s’est relancé en championnat (10e après son succès 84-69 contre Orléans) et ses deux dernières recrues américaines, Aaron Miles et Michael Wright, ont poursuivi leur intégration au sein du groupe. Arrivé après son compatriote, ce dernier semble s’adapter plus vite à sa nouvelle équipe. Après ses 14 points contre Barcelone, le pivot US a compilé 12 points et 7 rebonds contre Orléans. Une bonne nouvelle pour Gordon Herbert qui aura besoin, comme à chaque fois en Euroligue, d’intérieurs solides et expérimentés pour éviter de connaître un naufrage similaire à celui de l’an dernier. Complètement absents des débats, les Béarnais s’étaient inclinés (55-87), concédant la deuxième plus lourde défaite de leur longue histoire européenne.
La menace turque
Mercredi soir, l’adversaire ne sera pas tout à fait le même. L’Ulker Istanbul a en effet disparu en tant que tel et le sponsor a racheté Fenerbahçe. Sur le parquet, c’est un mix des deux équipes qui compose aujourd’hui la formation stambouliote. Les Palois retrouveront donc sur leur route la redoutable paire Ibrahim Kutluay - Mirsad Turksan (18 points pour le premier, 14 rebonds pour le second lors de la première journée). Comme Pau, les Turcs ont raté leur entrée dans la compétition la semaine dernière en s’inclinant dans la salle de l’Aris Salonique (58-66) et ont à cœur d’effacer cette défaite, concédée, qui plus est, chez «l’ennemi» grec. « Nous avons fait un mauvais match contre l’Aris et nous avons une bonne occasion de se faire pardonner en battant Pau à la maison », indique Mirsad Turkcan, résumant ainsi parfaitement l’état d’esprit de son équipe. Avec huit joueurs de plus de 28 ans et une salle toute acquise à sa cause, la formation d’Aydin Ors partira avec un double avantage sur le papier. Mais Pau a déjà surpris en tenant tête au Barça. «Au départ sur le papier l’écart est plus grand qu’à la fin du match», rappelait Pierre Seillant. Alors qui sait…
(Source : http://www.sport24.com)
" Euroligue messieurs - Fenerbahçe-Pau-Orthez: rebondir en terre hostile "
Après son échec en ouverture contre Barcelone, Pau-Orthez vise à rebondir face aux Turcs de Fenerbahçe, mercredi lors de la deuxième journée de l'Euroligue de basket-ball, sur un parquet où il s'était totalement noyé la saison dernière.
A l'époque, les Béarnais avaient concédé le deuxième plus large revers de leur très longue histoire européenne (55-87) face à Ulker Istanbul.
Aujourd'hui, c'est un adversaire légèrement différent, né de la fusion entre les clubs de Fenerbahçe et Ulker Istanbul, qui leur est proposé, mais les éléments cadres sont restés les mêmes (Kutluay, Turkçan).
"Ce sont tous des joueurs bien rôdés à l'Euroligue. Pour tenter un coup, on aura donc intérêt à retrouver l'intensité qui nous animait contre Barcelone (66-72) et même faire mieux en défense comme au rebond", commente l'entraîneur palois Gordon Herbert, agacé par les atermoiements de son équipe samedi en ProA contre le promu Orléans, battu 84-69.
"On n'a pas oublié ce qui nous est arrivé là-bas la saison dernière. Cela va servir de base de travail même si notre équipe a beaucoup changé depuis", souligne le deuxième meneur Xane d'Almeida, un des quatre survivants du naufrage avec le capitaine Frédéric Fauthoux, CC Harrison et Thierry Rupert.
Après avoir pris du retard cet été en termes de construction d'équipe, les Palois ont pu poursuivre ces derniers jours l'intégration de leurs deux nouveaux Américains, le meneur Aaron Miles et l'intérieur Michael Wright.
Avec ses cinq Américains
Ce dernier était arrivé quelques heures seulement avant le match contre Barcelone et a depuis été engagé jusqu'à la fin de saison (période d'essai jusqu'au 5 novembre).
Après des débuts prometteurs, le duo devrait encore monter en régime, même si Xane d'Almeida demande un peu de temps. "Notre axe meneur-pivot vient d'être refait et tous les niveaux de forme ne sont pas identiques au sein de l'équipe, insiste-t-il. Mais ça va venir."
Si l'ensemble est encore en chantier, les Palois pourront cependant aligner mercredi leurs cinq Américains, puisque les règlements de l'Euroligue ne fixent aucune limite, contrairement à la Ligue nationale qui n'autorise que quatre joueurs extra-communautaires.
Cela permettra à l'ailier fort Britton Johnsen, resté en civil samedi en ProA, de reprendre sa place dans une rotation plutôt fournie, qui cherchera à éviter une deuxième noyade aux bords du Bosphore.
(Source : http://www.lnb.fr)
" Basket - Euroligue (H) : Pau doit réagir "
Après avoir subi une première défaite en ouverture de l'Euroligue contre Barcelone (66-72) la semaine dernière, Pau-Orthez va tenter de rebondir face aux Turcs de Fenerbahçe, mercredi (19h15) lors de la deuxième journée. «Ce sont tous des joueurs bien rôdés à l'Euroligue. Pour tenter un coup, on aura donc intérêt à retrouver l'intensité qui nous animait contre Barcelone et même faire mieux en défense comme au rebond», commente l'entraîneur palois Gordon Herbert, qui n'a pas digéré les difficultés de son équipe samedi en Pro A contre le promu Orléans, battu (84-69).
«On n'a pas oublié ce qui nous est arrivé là-bas la saison dernière. Cela va servir de base de travail même si notre équipe a beaucoup changé depuis», souligne le deuxième meneur Xane d'Almeida, un des quatre survivants du naufrage avec le capitaine Frédéric Fauthoux, CC Harrison et Thierry Rupert. Les Palois s'étaient en effet lourdement inclinés l'an dernier encaissant le deuxième plus large revers de leur très longue histoire européenne (55-87) face aux Turcs.
Pour ce déplacement périlleux, les hommes de Herbert comptent bien s'appuyer sur leurs deux nouveaux Américains, le meneur Aaron Miles et l'intérieur Michael Wright. Après des débuts prometteurs, le duo commence à monter en régime. «Notre axe meneur-pivot vient d'être refait et tous les niveaux de forme ne sont pas identiques au sein de l'équipe, insiste Herbert. Mais ça va venir.»
(Source : http://www.lequipe.fr)
" GAME PREVIEW : Fenerbahce Ulker vs Pau-Orthez "
http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=23
(Source : http://www.euroleague.net)
" Bauer en mission "
Mis au rancart au départ de la saison, l'ailier-fort américain veut prouver qu'il peut jouer en Euroligue.
SA CARRIERE ne fut jamais une voie royale avec déroulé du tapis rouge. " J'ai été dans une grande université (Minnesota), mais j'ai toujours joué un rôle secondaire derrière Rick Rickert et Kris Humphries. A Ronne, j'étais un peu derrière Dewarick Spencer et Aaron Herper pour le scoring , mais j'ai pu montrer ce que je savais faire ", rapelle Mike bauer (2,03m, 25 ans), qui fut une des révélations de la dernière saison avec la Chorale (5e évaluation de Pro A, 13,2 pts, 7,2 rbds, 1,5 ctre) après être passé par les Championnats....luxembourgeois et néo-zélandais.
" C'était un honneur d'être au All-Star Game. Je suis venu à Pau, car c'est le top en France ", assure-t-il encore. Mais, en Béarn, ses premiers pas ont été plutôt difficiles.
Gordon Herbert, qui n'était pas encore au club quand il a signé pour deux ans, ne lui faisait pas confiance et ne lui a offert que huit minutes de moyenne sur les quatre premiers matches de Championnat avec même une partie sans fouler le parquet. L'ex-Roannais s'est retrouvé en concurrence avec Britton Johnsen, un ailier-fort au profil un peu sipilaire mais au pedigree plus brillant (26 matches en NBA avec Orlando et Indiana, des ligues d'été à foison, un passage à Alicante, en Espagne).
" Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. J'ai continué à travailler dur et à attendre l'occasion. Cela est arrivé contre Reims à domicile. Je n'ai pas joué de tout pendant les vingt-huit premières minutes, puis j'ai marqué 14 points sur les douze dernières ", confie Mike Bauer, qui a ensuite confirmé en étant le grand homme (24 points) du succès fondateur sur le parquet de l'Astroballe, contre l'Asvel.
Face au Barça, pour son premier match d'Euroligue mercredi dernier, l'ancien de l'université de Minnesota a apporté du punch en attaque (meilleur marqueur palois avec 17 points) dans un registre un peu atypique d'intérieur voltigeur.
" Il n'y a pas beaucoup de joueurs comme moi aux Etats-Unis. Quelqu'un a dit quand j'étais en collège : " C'est rare de voir un joueur être à la fois meilleur contreur et le meilleur tireur à 3 points de son équipe ". Je fais beaucoup de choses bien...mais aucune très bien...".
[center]" Herbert : " De l'énergie en venant du banc " " [/center]
Depuis trois semaines, Mike Bauer a remonté la pente avec une grosse efficacité offensive (17,5 pts en 21 minutes de moyenne sur les quatre dernières parties) sans garder apparemment trop de rancune contre son utilisation initiale limitée. " Mike nous apporte de l'énergie en venant du banc. C'est un très bon shooteur. Il nous donne un coup de fouet en rentrant, concède Gordon Herbert, qui doit écarter un de ses cinq Américains en Pro A. Je dois prendre une décision chaque semaine pour la ligue française. Bauer jouait très bien ces dernières semaines et j'ai laissé Johnsen sur la touche, car je voulais voir aussi Michael Wright ".
Toujours très enthousiaste et concerné, l'ex-Roannais plonge avec gourmandise dans la compétition phare et devrait croiser à Istanbul l'effervescent Mirsad Turkçan.
" J'ai toujours joué avec passion. J'étais comme cela très jeune. Je veux prouver que je peux bien jouer en Euroligue, une épreuve que je n'avais vu jusqu'ici qu'à la télé ".
Pour s'affirmer dans un collectif béarnais en formation, Mike Bauer va aussi devoir hausser son niveau défensif sous la férule d'un coach réputé exigeant dans ce domaine.
" Je suis parfois un peu lent, en raison de nombreuses blessures à une cheville dans le passé ", se justifie-t-il.
Parti de Roanne pour un bon contrat et l'expérience de l'Euroligue, Mike Bauer en a gardé un excellent souvenir et suit toujours de près la Chorale, coleader de la Pro A. " Je suis encore proche d'eux et très heureux pour eux. Je parle souvent avec le coach Jean-Denys Choulet. Dewarick Spencer me surprend. Il a beaucoup de talent et il est plus installé que lors de sa première année en Europe ".
Et cette année, dans la Loire, on suit de près les aventures d'un certain Mike Bauer aux quatre coins du Vieux Continent.
" Pau pour un coup "
BATTU POUR SON ENTAME en Béarn par le Barça (66-72), l'Elan vient tenter un coup à Istanbul face à Fenerbahçe avant de recevoir mercredi prochain le champion d'Europe en titre, le CSKA Moscou.
Les deux équipes sont en appel puisque les Stambouliotes se sont, eux, inclinés à Salonique face à l'Atis (58-66).
Ayant récupéré le sponsor (Ulker) et les deux stars turques (Turkçan, Kutluay) du désormais défunt club d'Istanbul présent ces dernières saisons en Euroligue, les " Jaunes et Noir ", dirigés par le coach vétéran Aydin Ors (ancien d'EP Istanbul), possèdent un cinq de bon niveau mais a priori un banc plus léger (5 points au total la semaine passée).
" C'est un match important, mais cela sera le cas toutes les semaines. Nous devons essayer de ravir une victoire à l'extérieur, estime le coach, Gordon Herbert. Fenerbahçe a de bons étrangers et deux des meilleurs Turcs. Nous devons leur enlever la contre-attaque, neutraliser Kambala à l'intérieur et bien défendre sur Solomon à l'extérieur ".
Privé de son espoir Ludovic Vaty (entorse de la cheville) mais récupèrant Britton Johnsen sur la touche en Pro A le week-end dernier, Pau-Orthez voudra cette fois tenir la distance, notamment dans la concentration défensive. La performance du nouvel intérieur Michael Wright, vu la saison pasée à Istanbul avec Besiktas, sera particulièrement suivie puisqu'il est encore en période d'essai jusqu'à dimanche.
(Source : L'EQUIPE)
" Harrison, l'âge de raison "
FENERBAHCE-ULKER - PAU-ORTHEZ. Auprès de Gordon Herbert, le coach qui lui a permis de se révéler tardivement sous le maillot de Paris, l'Américain CC Harrison cultive la patience.
Face au FC Barcelone la semaine dernière, CC Harrison et les Palois avaient bien failli créer l'exploit.
EUROLIGUE (2e JOURNEE)
Il a 30 ans, plus que l'âge de raison, celui de la maturité. « J'en suis à un point de ma carrière où je ne me fixe plus d'objectifs personnels, assure Clint Cotis Harrison. Je ne suis pas comme ces jeunes qui arrivent en Europe et doivent faire leurs preuves, assurer leurs statistiques. L'important, c'est que l'équipe gagne, avec ou sans moi. »
Depuis le début de la saison officielle, quand l'Elan gagnait, c'était plutôt sans Harrison. Sur les sept premiers matches officiels, l'ailier américain a plafonné à 10 pts de moyenne et seulement 38 % de réussite au shoot. La raison ? « J'ai manqué toute la préparation et connu des problèmes de dos. J'étais frustré mais je savais que Gordy ne m'enlèverai pas sa confiance. »
Complices. Entre Gordon Herbert, le coach palois, et CC Harrison, existe un lien solide, tendu entre Cologne, où les deux hommes se sont connus, et Paris, où le Canadien a révélé le talent de cet ailier sous-coté jusqu'alors. « La rencontre avec Gordy est la meilleure chose qui me soit arrivé dans ma carrière », assure celui qu'à Pau tout le monde appelle CC.
La traversée du désert est moins pénible quand on n'est pas seul. « Le shoot, c'est quelque chose de spécial, expose Harrison. Tu ne sais jamais pourquoi il s'en va et quand il reviendra. Il faut garder la confiance, continuer à bosser. Mais quand tu ramènes un 2/10 et que tu es censé être le shooteur de l'équipe, ça te travaille, forcément. »
Samedi, devant Orléans, les cercles sont subitement devenus plus larges et plus accueillants pour le natif de Reidsville, en Caroline du Nord : 18 pts à 70 % de réussite. « L'équipe a mieux travaillé pour lui offrir de bonnes positions de shoot et c'est dans ce sens qu'il faut aller », a commenté sobrement Herbert.
Leader. Que son ailier score ou pas, le Canadien le laissera de toutes façons sur le parquet. Pour sa défense, son expérience, son leadership. « Je ne suis pas un leader vocal, Freddy (Fauthoux) l'est davantage que moi, avoue Harrison. Je suis plus un leader par l'exemple parce que je suis quelqu'un de très exigeant. Je sais très exactement comment Gordy veut que l'on joue. On se comprend, on a la même conception du basket et je pense qu'il compte sur moi pour faire passer le message auprès de cette équipe qui est neuve, avec beaucoup de jeunes joueurs qui sont arrivés cet été. »
Un rôle de « papa » qui ne dure que le temps des matches. « CC, parfois, on dirait qu'il a 12 ans », souriait, hier, Freddy Fauthoux, en voyant l'ailier s'esclaffer et prendre en photo Aaron Miles, en vrac sur son siège dans l'avion qui emmenait les Palois vers Istanbul, très tôt le matin. Mais ce soir, c'est l'autre visage de CC Harrison que verront les Stambouliotes. Ce masque dur, impassible et tendu, d'un joueur qui ne fait pas de cadeau.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Pour exister en Turquie "
Un an après, jour pour jour ou presque, l’Elan a retrouvé Istanbul et son trafic ininterrompu rythmé par les coups de klaxons incessants. Seule la pluie fine et froide qui a accueilli la délégation béarnaise ne faisait pas partie du décor habituel sur les bords du Bosphore.
Un an après l’Elan, la tête pleine d’un souvenir cuisant, revient donc défier Ulker ou peu s’en faut puisque sous le nom de Fenerbahce, nouveau venu à la compétition, se cache tout simplement l’équipe du géant de la petite confiserie.
L’acte de décès du club qui n’avait guère qu’Efes Pilsen comme rival déclaré sur le territoire, n’a effectivement tenu qu’un demi été. Aussitôt que l’Euroligue accorda à Fenerbahce la seconde licence turque, le puisant chocolatier renaissait de ses cendres pour accoler sa pub sur le fameux maillot jaune et bleu de l’heureux élu, plus reconnu jusque là par le milieu du football.
Il y avait bien eu une tentative de percée du basket à Fenerbahce, et le regretté Conrad Mc Rae avait été de l’aventure faite de grand noms mais elle était restée lettre morte ou presque…
Avec le transfert des six joueurs sous contrat, du staff et d’une grande partie de l’équipe dirigeante, c’est donc bel et bien un Ulker renaissant que l’Elan retrouve sur sa route. Il n’est qu’à évoquer les noms d’ Ibrahim Kutluay, le bel Ibo, de Mirsad Turcsan, le gentil fou qui reste le plus grand gobeur de rebonds du circuit européen (23 prises sur un match, 19 la semaine dernière à l’Aris), Omer Onan, l’homme qui n’a jamais fait de cadeau à l’Elan, Ogus Savas, fort comme le turc qu’il est, Kaspar Kambala, le monolithique pivot dont Cyril Julian pourrait parler des heures, pour se persuader que l’Elan est en pays connu.
Connu et redouté ! Car ce n’est pas l’arrivée de Willie Solomon (Maccabi) , ou la présence de l’inoxydable Damir Mrsic (36 ans) et celle de l’athlétique Ira Clark qui assombrit l’horizon de cet Ulker là…
Quand bien même reste t-elle depuis deux ans en rade complète lors du Top 16, cette équipe est formatée pour y accéder… Toute autre issue aurait pour les hommes d’Aydin 0rs la couleur de l’échec et qui sait si, alors le confiseur ne décéderait pas une deuxième fois…
Dans ce contexte, l’Elan ne peut rien ignorer du danger qui le guette pour ses débuts à l’extérieur dans une compétition qui ne l’a pas gâtée –question d’habitude- mais qui de surcroît lui a ménagé un calendrier des plus périlleux…
Le chantier annoncé est celui du rebond où Kambala-Turcsan peuvent faire des ravages, celui de la périphérie où l’axe Solomon- Kutluay- Mrsic n’est pas le premier venu.
Le doute n’est donc pas permis sur la difficulté du challenge proposé aux hommes d’Herbert et de Mopsus. Il est donc heureux que l’Elan affronte le défi d’Abdi Ipekci, cette salle de 12000 places dont la moitié sera, comme de coutume, occupée par les enfants des collèges ramassés dès la sortie des cours, avec une formation dont les dernières prestations ont été encourageantes…
Un Elan aux mêmes dispositions que lors de son entrée face au Barça serait même la meilleure garantie pour jouer la gagne jusqu’au bout, c’est au demeurant, la condition sine qua nun de ne pas le voir être dépassé par l’événement. Intensité, rigueur, solidarité, patience et nerfs d’acier sont les maîtres mots pour exister en Europe. Un seul maillon manquant et c’est la certitude de vivre une mauvaise soirée en Turquie comme ailleurs…
Qu’ensuite, par exemple, CC Harrison confirme ses dispositions de shooteur retrouvé, que Briton Johnsen se soit refait un plein de santé, ou que Michael Wright se souvienne que la saison passée il fut ici même la grande révélation de la saison, ne serait qu’un plus. Dont l’Elan aura de toute façon bien besoin. Pour poursuivre sa construction et confirmer qu’il est sur la bonne voie…
" En direct d' Istanbul "
Longue journée - Les béarnais ayant quitté Pau ce mardi matin à 6h40 pour rejoindre la Turquie, via Paris, en milieu d'après midi ont vécu une longue journée puisque leur créneau d'entraînement était fixé de 20 à 22 heures. Compte tenu du contexte ils se sont surtout livrés à une séance de décrassage et de révision des systèmes.
Il n'empêche qu'à l'heure du dîner personne n'a traîné à table... Et pour cause ce mercredi la salle leur ait réservée à 10h30, heure locale, pour une petit heure de shooting...
20h15 le coup d'envoi - Contrairement aux informations qui ont pu circuler ici et là c'est bien à 20h15 heure locale, c'est à dire 19h15 en France que le coup d'envoi de la rencontre sera donnée.
Sans Vaty – Victime d’une entorse de la cheville à 10 secondes de la fin du match des Espoirs samedi dernier face à Orléans, Ludovic Vaty n’est pas du déplacement à Istanbul. Ce sont donc 11 joueurs que l’Elan a déplacé en Turquie.
Le jeune champion d’Europe sera également forfait pour le voyage à Hyères-Toulon samedi (match dimanche 15 heures), mais les béarnais seront 12 au départ puisque Alexis Ajinca effectuera ses débuts, en espoir c’est une certitude, sous le maillot de l’Elan. Revenu des championnats d’Europe junior avec une tendinite rotulienne le jeune stéphanois de 2m 13 a reçu le feu vert médical pour reprendre la compétition.
Thierry Gadou au micro – Un autre béarnais effectuera son retour dans la salle d’Istanbul, Thierry Gadou sera en effet aux côtés de Bruno Poulain pour commenter le match sur Sports Plus. Si l’ancien intérieur de l’Elan a effectué une répétition grandeur nature lors du match de Barcelone, il n’en reste pas moins que ce Fenerbahce - Elan constitue son véritable baptême du feu en tant que consultant pour la télé.
Fenerbahce le numéro 1 – Autant Ulker, « une société pas un club » nous a dit le guide de l’Elan avait un mal fou à fédérer un public derrière lui, autant en rejoignant la bannière de Fenerbahce, s’est-il doté d’un parterre de partisans dès plus respectables.
C’est que Fenerbahce, club situé issu de la partie asiatique de la capitale turque, est le numéro 1 au nombre des supporters dans le pays. Près de 20 millions de fans nous assure-t-on ici pour le numéro 1 du football turc qui s’est fait éliminé lors du tour préliminaire de la champion’s league. Les deux autres mammouths du sport turc sont Galatasaray et Besiktas, clubs omnisports, tous deux situés dans les quartiers européens d’Istanbul.
Ambiance – L’immense salle Abdi Ipecksi n’accueillera, pour la rencontre, que la moitié des spectateurs qu’elle peut normalement compter. A l’aide d’immenses rideaux gris qui longent la coursive séparant les deux niveaux, elle a été coupée en deux ce qui la limite à 6000 spectateurs et l’assurance d’être pleine à craquer comme aux plus belles heures du basket truc…
Six sur onze – Ils seront six sur onze les joueurs de l’Elan à ne pas être surpris par l’ambiance de cette salle dont le nom est celui d’un journaliste sportif décédé lors d’une manifestation du 1er mai : Fauthoux, Harrisson, d’Almeida, Ferchaud, Rupert et bien entendu Wright ont tous foulé son parquet. Deux autres béarnais ont joué en Turquie mais jamais dans cette salle : Greer et Johnsen, ce qui fait qu’ils sont trois à véritablement découvrir la ville aux mille mosquées : Bauer, Miles et Mahinmi.
Wright - Johnsen – Si l’Elan disputait il y a un an un match d’Euroligue à Istanbul, ils sont deux à se souvenir aussi de cette date… Le 31 octobre 2005, la rencontre de coupe ULEB opposant Besiktas à Alicante, n’opposa-t-elle pas Johnsen à Wright… ? Le blond intérieur de l’Elan portait casaque espagnole et l’avait emporté sur le fil après prolongations face aux turcs dont Michael Wright était l’une des pièces angulaires.…
Brooks Sales aussi – Les béarnais devraient logiquement recevoir la visite de Brooks Sales ce mercredi soir. L’intérieur qui avait été blessé en fin de saison dernière à l’Elan a signé cette saison à Besisktas et il jouait ce mardi soir, à Istanbul, en coupe Uleb face aux Lettons de Ventspils…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Saisir la moindre occasion "
Sur les rives du Bosphore, les Palois, rassurés par leurs dernières prestations, n'ont rien à perdre face à une équipe locale très expérimentée.
Fenerbahce. Si vous pensez que ce club turc est le petit nouveau dans le concert de l'Euroligue 2006-2007, qui découvre la compétition les yeux grands écarquillés en espérant grapiller une victoire ici ou là, vous commettez une grave méprise.
Le club turc, du nom d'un quartier très populaire d'Istanbul, longtemps dans l'ombre d'Efes Pilsen et Ulker, les deux immuables représentants trucs dans la compétition européenne reine, est, cet été, revenu sous les feux des projecteurs.
De façon très simple. L'entreprise de confiseries Ulker après avoir décidé de lâcher le club stambouliote qu'elle soutenait depuis des années, s'est tournée quelques semaines plus tard vers Fenerbahce en prenant soin d'amener dans ses valises quelques cadres (Clark, Kutluay, Onan, Turkçan).
Voilà comment par un tour de passe-passe ingénieux, le petit club de Fenerbahce se retrouve tout joufflu, un billet d'Euroligue dans les fouilles, huit ans après avoir déjà croisé la route de l'Elan.
En 1998 déjà, les Turcs qui pensaient s'être construits une armada irresistible (Kutluay, l'ancien palois Conrad McRae, Abdul Rauf, Milic...) s'était lamentablement fracassés, encaissant notamment un terrible camouflet au Palais des Sports (73-48.).
[center]" Ulker, repaire de " vieux " "[/center]
Cette saison, l'Ulker new-look essaie de faire du neuf avec de l'ancien puisque la moyenne d'âge de l'équipe, 28 ans, est un signe évident d'expérience, à l'image de ce bon Damir Mrsic (36 ans), toujours fringant (18,4 points de moyenne l'an passé). L'effectif du Spor Kulubu cumule vingt-trois ans de vécu en Euroligue contre dix seulement pour les Palois dont six pour le seul Fred Fauthoux utilisé au compte-gouttes par Gordon Herbert.
Dans de telles conditions, à quoi doivent s'attendre les Béarnais, qui quittent Pau ce matin à l'aube (hier matin), dans l'immense salle au charme suranné de l'Abdi Ipekci Stadium ? A tout et son contraire. Le coach Aydin Ors, au club depuis 2004 après avoir fait les beaux jours d'Efes Pilsen huit saisons, ne se pose guère de questions : " L'objectif majeur est d'atteindre les quarts de finale avant de viser le Final Four ".
Et ben voyons. En tout cas, ce n'est pas la première défaite concédée dans la salle de l'Aris Salonique 66-58 qui a rassuré l'entraîneur. Les 18 points et 4 passes d'Ibrahim Kutluay, doublés des 10 points et 14 rebonds de l'inusable Mirsad Turkçan, ex meilleur rebondeur de la compète, n'ont pas suffi pour franchir la barre des 60 points marqués et surtout lancer positivement la saison. Inutile de préciser que demain soir ( ce soir) la pression est sur les épaules des Turcs qui ne doivent absolument pas s'incliner une seconde fois de rang contre une formation paloise a priori plus faible.
[center]" Miles encore perfectible "[/center]
L'Elan, lui, a de nouveau enclenché la marche avant depuis son probant succès sur le parquet de Villeurbanne il y a dix jours. Il a encore haussé le ton malgrè la défaite concédée mercredi dernier en ouverture contre Barcelone (72-66). Samedi , il a fait le nécessaire, notamment dans un dernier quart enlevé, pour s'imposer avec une marge de 15 points face à Orléans.
Point commun à ce regain de forme, l'apparition du meneur Aaron Miles depuis trois matches et celle du pivot Michael Wright depuis deux.
Si le premier peine toujours à trouver la mire (11 sur 34 aux tirs) malgrè un vrai souci d'organiser le jeu de son équipe, le second, à peine " tombé " de l'avion, prouve que sa patte gauche et ses gros biscottos sont indispensables à la bonne marche de l'édifice intérieur palois.
" Il faudra toutefois mieux jouer encore que contre Barcelone, surtout en défense et au rebond ", prévient Herbert. " Les joueurs de Fenerbahce sont depuis des années rodés à l'Euroligue ".
Xane d'Almeida, vu à son avantage samedi, appuie sur la corde de l'esprit de revanche pour ne pas revenir bredouille de ce long périple : " La défaite de 32 points l'an dernier à l'Ulker est encore dans nos têtes. Ce qui s'était passé là-bas, on va essayer de s'en servir. Je crois aussi que notre axe meneur-pivot va devenir de plus en plus efficace au fil des sorties ".
Une aubaine pour les ailiers palois, CC Harrison en tête, qui pourront ainsi s'exprimer sans la pression que le jeu repose intégralement sur leurs épaules.
Avec un groupe de nouveau équipé de Britton Johnsen, l'Elan n'a en tout cas aucun complexe à nourrir, dans une enceinte, qui hormis l'an dernier, lui a souvent porté bonheur.
(Source : La République des Pyrénées)
Au Abdi Ipekci Arena
, ce soir :
[updown][center]
à 19h15 FENERBAHCE ULKER vs ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/center] [/updown]
FENERBAHCE ULKER ISTANBUL : 5. SALOMON (US, 1,87m), 6. TURKCAN (TUR, 2,06m), 7. ONAN (TUR, 1,94m), 8. BASAK (TUR, 2,02m), 9. ERDEN (TUR, 2,10m), 10. KUTLUAY (TUR, 1,98m), 11. SAVAS (TUR, 2,13m), 12. MRSIC (BOS-HER, 1,91m), 13. CLARK (US, 2,03m), 14. GULAY (TUR, 2,05m), 15. KAMBALA (LET, 2,05m).
Entraîneur : Mr Aydin ORS (TUR).
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m) , 5. CC HARRISON (US, 1,94m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. R.GREER (DOM 1,96m), 8. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 2,03m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).
Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)
[/center][updown][center]EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007
[/center][/updown][center]
[/center][updown][center]
EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007[/center][/updown][center]2er JOURNEE : 1er PHASE[/center]
FENERBAHCE ISTANBUL [center]/[/center]
[right]
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/right]" Prendre de l'élan "
Battu dans sa salle la semaine dernière par Barcelone, Pau se rend à Istanbul pour défier Fenerbahçe. Un autre gros morceau pour les Béarnais qui chercheront tout de même à glaner leur premier succès dans la compétition.
Aaron Miles et Pau en quête d'un premier succès.
Une défaite encourageante
Il n’a pas manqué grand chose à Pau la semaine dernière face à Barcelone. Une poignée de minutes tout au plus a suffi pour voir s’évaporer une avance de 12 points et finalement s’incliner de six longueurs (66-72). Alors évidemment, sur le plan comptable, une défaite à domicile n’est pas la meilleure façon de démarrer en Euroligue. Pourtant, les Palois, auteurs d’un début de saison poussif en Pro A, ont montré de belles choses ce soir-là et laissé espérer à leurs fans un tout autre parcours que l’an dernier dans la compétition reine (4 victoires, 10 défaites). «L’équipe se construit, ce soir elle est à féliciter avec son staff , elle a été digne de l’Euroligue», se réjouissait Pierre Seillant après ce match face au Barça de Navarro. Depuis, Pau s’est relancé en championnat (10e après son succès 84-69 contre Orléans) et ses deux dernières recrues américaines, Aaron Miles et Michael Wright, ont poursuivi leur intégration au sein du groupe. Arrivé après son compatriote, ce dernier semble s’adapter plus vite à sa nouvelle équipe. Après ses 14 points contre Barcelone, le pivot US a compilé 12 points et 7 rebonds contre Orléans. Une bonne nouvelle pour Gordon Herbert qui aura besoin, comme à chaque fois en Euroligue, d’intérieurs solides et expérimentés pour éviter de connaître un naufrage similaire à celui de l’an dernier. Complètement absents des débats, les Béarnais s’étaient inclinés (55-87), concédant la deuxième plus lourde défaite de leur longue histoire européenne.
La menace turque
Mercredi soir, l’adversaire ne sera pas tout à fait le même. L’Ulker Istanbul a en effet disparu en tant que tel et le sponsor a racheté Fenerbahçe. Sur le parquet, c’est un mix des deux équipes qui compose aujourd’hui la formation stambouliote. Les Palois retrouveront donc sur leur route la redoutable paire Ibrahim Kutluay - Mirsad Turksan (18 points pour le premier, 14 rebonds pour le second lors de la première journée). Comme Pau, les Turcs ont raté leur entrée dans la compétition la semaine dernière en s’inclinant dans la salle de l’Aris Salonique (58-66) et ont à cœur d’effacer cette défaite, concédée, qui plus est, chez «l’ennemi» grec. « Nous avons fait un mauvais match contre l’Aris et nous avons une bonne occasion de se faire pardonner en battant Pau à la maison », indique Mirsad Turkcan, résumant ainsi parfaitement l’état d’esprit de son équipe. Avec huit joueurs de plus de 28 ans et une salle toute acquise à sa cause, la formation d’Aydin Ors partira avec un double avantage sur le papier. Mais Pau a déjà surpris en tenant tête au Barça. «Au départ sur le papier l’écart est plus grand qu’à la fin du match», rappelait Pierre Seillant. Alors qui sait…
(Source : http://www.sport24.com)
" Euroligue messieurs - Fenerbahçe-Pau-Orthez: rebondir en terre hostile "
Après son échec en ouverture contre Barcelone, Pau-Orthez vise à rebondir face aux Turcs de Fenerbahçe, mercredi lors de la deuxième journée de l'Euroligue de basket-ball, sur un parquet où il s'était totalement noyé la saison dernière.
A l'époque, les Béarnais avaient concédé le deuxième plus large revers de leur très longue histoire européenne (55-87) face à Ulker Istanbul.
Aujourd'hui, c'est un adversaire légèrement différent, né de la fusion entre les clubs de Fenerbahçe et Ulker Istanbul, qui leur est proposé, mais les éléments cadres sont restés les mêmes (Kutluay, Turkçan).
"Ce sont tous des joueurs bien rôdés à l'Euroligue. Pour tenter un coup, on aura donc intérêt à retrouver l'intensité qui nous animait contre Barcelone (66-72) et même faire mieux en défense comme au rebond", commente l'entraîneur palois Gordon Herbert, agacé par les atermoiements de son équipe samedi en ProA contre le promu Orléans, battu 84-69.
"On n'a pas oublié ce qui nous est arrivé là-bas la saison dernière. Cela va servir de base de travail même si notre équipe a beaucoup changé depuis", souligne le deuxième meneur Xane d'Almeida, un des quatre survivants du naufrage avec le capitaine Frédéric Fauthoux, CC Harrison et Thierry Rupert.
Après avoir pris du retard cet été en termes de construction d'équipe, les Palois ont pu poursuivre ces derniers jours l'intégration de leurs deux nouveaux Américains, le meneur Aaron Miles et l'intérieur Michael Wright.
Avec ses cinq Américains
Ce dernier était arrivé quelques heures seulement avant le match contre Barcelone et a depuis été engagé jusqu'à la fin de saison (période d'essai jusqu'au 5 novembre).
Après des débuts prometteurs, le duo devrait encore monter en régime, même si Xane d'Almeida demande un peu de temps. "Notre axe meneur-pivot vient d'être refait et tous les niveaux de forme ne sont pas identiques au sein de l'équipe, insiste-t-il. Mais ça va venir."
Si l'ensemble est encore en chantier, les Palois pourront cependant aligner mercredi leurs cinq Américains, puisque les règlements de l'Euroligue ne fixent aucune limite, contrairement à la Ligue nationale qui n'autorise que quatre joueurs extra-communautaires.
Cela permettra à l'ailier fort Britton Johnsen, resté en civil samedi en ProA, de reprendre sa place dans une rotation plutôt fournie, qui cherchera à éviter une deuxième noyade aux bords du Bosphore.
(Source : http://www.lnb.fr)
" Basket - Euroligue (H) : Pau doit réagir "
Après avoir subi une première défaite en ouverture de l'Euroligue contre Barcelone (66-72) la semaine dernière, Pau-Orthez va tenter de rebondir face aux Turcs de Fenerbahçe, mercredi (19h15) lors de la deuxième journée. «Ce sont tous des joueurs bien rôdés à l'Euroligue. Pour tenter un coup, on aura donc intérêt à retrouver l'intensité qui nous animait contre Barcelone et même faire mieux en défense comme au rebond», commente l'entraîneur palois Gordon Herbert, qui n'a pas digéré les difficultés de son équipe samedi en Pro A contre le promu Orléans, battu (84-69).
«On n'a pas oublié ce qui nous est arrivé là-bas la saison dernière. Cela va servir de base de travail même si notre équipe a beaucoup changé depuis», souligne le deuxième meneur Xane d'Almeida, un des quatre survivants du naufrage avec le capitaine Frédéric Fauthoux, CC Harrison et Thierry Rupert. Les Palois s'étaient en effet lourdement inclinés l'an dernier encaissant le deuxième plus large revers de leur très longue histoire européenne (55-87) face aux Turcs.
Pour ce déplacement périlleux, les hommes de Herbert comptent bien s'appuyer sur leurs deux nouveaux Américains, le meneur Aaron Miles et l'intérieur Michael Wright. Après des débuts prometteurs, le duo commence à monter en régime. «Notre axe meneur-pivot vient d'être refait et tous les niveaux de forme ne sont pas identiques au sein de l'équipe, insiste Herbert. Mais ça va venir.»
(Source : http://www.lequipe.fr)
" GAME PREVIEW : Fenerbahce Ulker vs Pau-Orthez "
http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=23
(Source : http://www.euroleague.net)
" Bauer en mission "
Mis au rancart au départ de la saison, l'ailier-fort américain veut prouver qu'il peut jouer en Euroligue.
SA CARRIERE ne fut jamais une voie royale avec déroulé du tapis rouge. " J'ai été dans une grande université (Minnesota), mais j'ai toujours joué un rôle secondaire derrière Rick Rickert et Kris Humphries. A Ronne, j'étais un peu derrière Dewarick Spencer et Aaron Herper pour le scoring , mais j'ai pu montrer ce que je savais faire ", rapelle Mike bauer (2,03m, 25 ans), qui fut une des révélations de la dernière saison avec la Chorale (5e évaluation de Pro A, 13,2 pts, 7,2 rbds, 1,5 ctre) après être passé par les Championnats....luxembourgeois et néo-zélandais.
" C'était un honneur d'être au All-Star Game. Je suis venu à Pau, car c'est le top en France ", assure-t-il encore. Mais, en Béarn, ses premiers pas ont été plutôt difficiles.
Gordon Herbert, qui n'était pas encore au club quand il a signé pour deux ans, ne lui faisait pas confiance et ne lui a offert que huit minutes de moyenne sur les quatre premiers matches de Championnat avec même une partie sans fouler le parquet. L'ex-Roannais s'est retrouvé en concurrence avec Britton Johnsen, un ailier-fort au profil un peu sipilaire mais au pedigree plus brillant (26 matches en NBA avec Orlando et Indiana, des ligues d'été à foison, un passage à Alicante, en Espagne).
" Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. J'ai continué à travailler dur et à attendre l'occasion. Cela est arrivé contre Reims à domicile. Je n'ai pas joué de tout pendant les vingt-huit premières minutes, puis j'ai marqué 14 points sur les douze dernières ", confie Mike Bauer, qui a ensuite confirmé en étant le grand homme (24 points) du succès fondateur sur le parquet de l'Astroballe, contre l'Asvel.
Face au Barça, pour son premier match d'Euroligue mercredi dernier, l'ancien de l'université de Minnesota a apporté du punch en attaque (meilleur marqueur palois avec 17 points) dans un registre un peu atypique d'intérieur voltigeur.
" Il n'y a pas beaucoup de joueurs comme moi aux Etats-Unis. Quelqu'un a dit quand j'étais en collège : " C'est rare de voir un joueur être à la fois meilleur contreur et le meilleur tireur à 3 points de son équipe ". Je fais beaucoup de choses bien...mais aucune très bien...".
[center]" Herbert : " De l'énergie en venant du banc " " [/center]
Depuis trois semaines, Mike Bauer a remonté la pente avec une grosse efficacité offensive (17,5 pts en 21 minutes de moyenne sur les quatre dernières parties) sans garder apparemment trop de rancune contre son utilisation initiale limitée. " Mike nous apporte de l'énergie en venant du banc. C'est un très bon shooteur. Il nous donne un coup de fouet en rentrant, concède Gordon Herbert, qui doit écarter un de ses cinq Américains en Pro A. Je dois prendre une décision chaque semaine pour la ligue française. Bauer jouait très bien ces dernières semaines et j'ai laissé Johnsen sur la touche, car je voulais voir aussi Michael Wright ".
Toujours très enthousiaste et concerné, l'ex-Roannais plonge avec gourmandise dans la compétition phare et devrait croiser à Istanbul l'effervescent Mirsad Turkçan.
" J'ai toujours joué avec passion. J'étais comme cela très jeune. Je veux prouver que je peux bien jouer en Euroligue, une épreuve que je n'avais vu jusqu'ici qu'à la télé ".
Pour s'affirmer dans un collectif béarnais en formation, Mike Bauer va aussi devoir hausser son niveau défensif sous la férule d'un coach réputé exigeant dans ce domaine.
" Je suis parfois un peu lent, en raison de nombreuses blessures à une cheville dans le passé ", se justifie-t-il.
Parti de Roanne pour un bon contrat et l'expérience de l'Euroligue, Mike Bauer en a gardé un excellent souvenir et suit toujours de près la Chorale, coleader de la Pro A. " Je suis encore proche d'eux et très heureux pour eux. Je parle souvent avec le coach Jean-Denys Choulet. Dewarick Spencer me surprend. Il a beaucoup de talent et il est plus installé que lors de sa première année en Europe ".
Et cette année, dans la Loire, on suit de près les aventures d'un certain Mike Bauer aux quatre coins du Vieux Continent.
" Pau pour un coup "
BATTU POUR SON ENTAME en Béarn par le Barça (66-72), l'Elan vient tenter un coup à Istanbul face à Fenerbahçe avant de recevoir mercredi prochain le champion d'Europe en titre, le CSKA Moscou.
Les deux équipes sont en appel puisque les Stambouliotes se sont, eux, inclinés à Salonique face à l'Atis (58-66).
Ayant récupéré le sponsor (Ulker) et les deux stars turques (Turkçan, Kutluay) du désormais défunt club d'Istanbul présent ces dernières saisons en Euroligue, les " Jaunes et Noir ", dirigés par le coach vétéran Aydin Ors (ancien d'EP Istanbul), possèdent un cinq de bon niveau mais a priori un banc plus léger (5 points au total la semaine passée).
" C'est un match important, mais cela sera le cas toutes les semaines. Nous devons essayer de ravir une victoire à l'extérieur, estime le coach, Gordon Herbert. Fenerbahçe a de bons étrangers et deux des meilleurs Turcs. Nous devons leur enlever la contre-attaque, neutraliser Kambala à l'intérieur et bien défendre sur Solomon à l'extérieur ".
Privé de son espoir Ludovic Vaty (entorse de la cheville) mais récupèrant Britton Johnsen sur la touche en Pro A le week-end dernier, Pau-Orthez voudra cette fois tenir la distance, notamment dans la concentration défensive. La performance du nouvel intérieur Michael Wright, vu la saison pasée à Istanbul avec Besiktas, sera particulièrement suivie puisqu'il est encore en période d'essai jusqu'à dimanche.
(Source : L'EQUIPE)
" Harrison, l'âge de raison "
FENERBAHCE-ULKER - PAU-ORTHEZ. Auprès de Gordon Herbert, le coach qui lui a permis de se révéler tardivement sous le maillot de Paris, l'Américain CC Harrison cultive la patience.
Face au FC Barcelone la semaine dernière, CC Harrison et les Palois avaient bien failli créer l'exploit.
EUROLIGUE (2e JOURNEE)
Il a 30 ans, plus que l'âge de raison, celui de la maturité. « J'en suis à un point de ma carrière où je ne me fixe plus d'objectifs personnels, assure Clint Cotis Harrison. Je ne suis pas comme ces jeunes qui arrivent en Europe et doivent faire leurs preuves, assurer leurs statistiques. L'important, c'est que l'équipe gagne, avec ou sans moi. »
Depuis le début de la saison officielle, quand l'Elan gagnait, c'était plutôt sans Harrison. Sur les sept premiers matches officiels, l'ailier américain a plafonné à 10 pts de moyenne et seulement 38 % de réussite au shoot. La raison ? « J'ai manqué toute la préparation et connu des problèmes de dos. J'étais frustré mais je savais que Gordy ne m'enlèverai pas sa confiance. »
Complices. Entre Gordon Herbert, le coach palois, et CC Harrison, existe un lien solide, tendu entre Cologne, où les deux hommes se sont connus, et Paris, où le Canadien a révélé le talent de cet ailier sous-coté jusqu'alors. « La rencontre avec Gordy est la meilleure chose qui me soit arrivé dans ma carrière », assure celui qu'à Pau tout le monde appelle CC.
La traversée du désert est moins pénible quand on n'est pas seul. « Le shoot, c'est quelque chose de spécial, expose Harrison. Tu ne sais jamais pourquoi il s'en va et quand il reviendra. Il faut garder la confiance, continuer à bosser. Mais quand tu ramènes un 2/10 et que tu es censé être le shooteur de l'équipe, ça te travaille, forcément. »
Samedi, devant Orléans, les cercles sont subitement devenus plus larges et plus accueillants pour le natif de Reidsville, en Caroline du Nord : 18 pts à 70 % de réussite. « L'équipe a mieux travaillé pour lui offrir de bonnes positions de shoot et c'est dans ce sens qu'il faut aller », a commenté sobrement Herbert.
Leader. Que son ailier score ou pas, le Canadien le laissera de toutes façons sur le parquet. Pour sa défense, son expérience, son leadership. « Je ne suis pas un leader vocal, Freddy (Fauthoux) l'est davantage que moi, avoue Harrison. Je suis plus un leader par l'exemple parce que je suis quelqu'un de très exigeant. Je sais très exactement comment Gordy veut que l'on joue. On se comprend, on a la même conception du basket et je pense qu'il compte sur moi pour faire passer le message auprès de cette équipe qui est neuve, avec beaucoup de jeunes joueurs qui sont arrivés cet été. »
Un rôle de « papa » qui ne dure que le temps des matches. « CC, parfois, on dirait qu'il a 12 ans », souriait, hier, Freddy Fauthoux, en voyant l'ailier s'esclaffer et prendre en photo Aaron Miles, en vrac sur son siège dans l'avion qui emmenait les Palois vers Istanbul, très tôt le matin. Mais ce soir, c'est l'autre visage de CC Harrison que verront les Stambouliotes. Ce masque dur, impassible et tendu, d'un joueur qui ne fait pas de cadeau.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Pour exister en Turquie "
Un an après, jour pour jour ou presque, l’Elan a retrouvé Istanbul et son trafic ininterrompu rythmé par les coups de klaxons incessants. Seule la pluie fine et froide qui a accueilli la délégation béarnaise ne faisait pas partie du décor habituel sur les bords du Bosphore.
Un an après l’Elan, la tête pleine d’un souvenir cuisant, revient donc défier Ulker ou peu s’en faut puisque sous le nom de Fenerbahce, nouveau venu à la compétition, se cache tout simplement l’équipe du géant de la petite confiserie.
L’acte de décès du club qui n’avait guère qu’Efes Pilsen comme rival déclaré sur le territoire, n’a effectivement tenu qu’un demi été. Aussitôt que l’Euroligue accorda à Fenerbahce la seconde licence turque, le puisant chocolatier renaissait de ses cendres pour accoler sa pub sur le fameux maillot jaune et bleu de l’heureux élu, plus reconnu jusque là par le milieu du football.
Il y avait bien eu une tentative de percée du basket à Fenerbahce, et le regretté Conrad Mc Rae avait été de l’aventure faite de grand noms mais elle était restée lettre morte ou presque…
Avec le transfert des six joueurs sous contrat, du staff et d’une grande partie de l’équipe dirigeante, c’est donc bel et bien un Ulker renaissant que l’Elan retrouve sur sa route. Il n’est qu’à évoquer les noms d’ Ibrahim Kutluay, le bel Ibo, de Mirsad Turcsan, le gentil fou qui reste le plus grand gobeur de rebonds du circuit européen (23 prises sur un match, 19 la semaine dernière à l’Aris), Omer Onan, l’homme qui n’a jamais fait de cadeau à l’Elan, Ogus Savas, fort comme le turc qu’il est, Kaspar Kambala, le monolithique pivot dont Cyril Julian pourrait parler des heures, pour se persuader que l’Elan est en pays connu.
Connu et redouté ! Car ce n’est pas l’arrivée de Willie Solomon (Maccabi) , ou la présence de l’inoxydable Damir Mrsic (36 ans) et celle de l’athlétique Ira Clark qui assombrit l’horizon de cet Ulker là…
Quand bien même reste t-elle depuis deux ans en rade complète lors du Top 16, cette équipe est formatée pour y accéder… Toute autre issue aurait pour les hommes d’Aydin 0rs la couleur de l’échec et qui sait si, alors le confiseur ne décéderait pas une deuxième fois…
Dans ce contexte, l’Elan ne peut rien ignorer du danger qui le guette pour ses débuts à l’extérieur dans une compétition qui ne l’a pas gâtée –question d’habitude- mais qui de surcroît lui a ménagé un calendrier des plus périlleux…
Le chantier annoncé est celui du rebond où Kambala-Turcsan peuvent faire des ravages, celui de la périphérie où l’axe Solomon- Kutluay- Mrsic n’est pas le premier venu.
Le doute n’est donc pas permis sur la difficulté du challenge proposé aux hommes d’Herbert et de Mopsus. Il est donc heureux que l’Elan affronte le défi d’Abdi Ipekci, cette salle de 12000 places dont la moitié sera, comme de coutume, occupée par les enfants des collèges ramassés dès la sortie des cours, avec une formation dont les dernières prestations ont été encourageantes…
Un Elan aux mêmes dispositions que lors de son entrée face au Barça serait même la meilleure garantie pour jouer la gagne jusqu’au bout, c’est au demeurant, la condition sine qua nun de ne pas le voir être dépassé par l’événement. Intensité, rigueur, solidarité, patience et nerfs d’acier sont les maîtres mots pour exister en Europe. Un seul maillon manquant et c’est la certitude de vivre une mauvaise soirée en Turquie comme ailleurs…
Qu’ensuite, par exemple, CC Harrison confirme ses dispositions de shooteur retrouvé, que Briton Johnsen se soit refait un plein de santé, ou que Michael Wright se souvienne que la saison passée il fut ici même la grande révélation de la saison, ne serait qu’un plus. Dont l’Elan aura de toute façon bien besoin. Pour poursuivre sa construction et confirmer qu’il est sur la bonne voie…
" En direct d' Istanbul "
Longue journée - Les béarnais ayant quitté Pau ce mardi matin à 6h40 pour rejoindre la Turquie, via Paris, en milieu d'après midi ont vécu une longue journée puisque leur créneau d'entraînement était fixé de 20 à 22 heures. Compte tenu du contexte ils se sont surtout livrés à une séance de décrassage et de révision des systèmes.
Il n'empêche qu'à l'heure du dîner personne n'a traîné à table... Et pour cause ce mercredi la salle leur ait réservée à 10h30, heure locale, pour une petit heure de shooting...
20h15 le coup d'envoi - Contrairement aux informations qui ont pu circuler ici et là c'est bien à 20h15 heure locale, c'est à dire 19h15 en France que le coup d'envoi de la rencontre sera donnée.
Sans Vaty – Victime d’une entorse de la cheville à 10 secondes de la fin du match des Espoirs samedi dernier face à Orléans, Ludovic Vaty n’est pas du déplacement à Istanbul. Ce sont donc 11 joueurs que l’Elan a déplacé en Turquie.
Le jeune champion d’Europe sera également forfait pour le voyage à Hyères-Toulon samedi (match dimanche 15 heures), mais les béarnais seront 12 au départ puisque Alexis Ajinca effectuera ses débuts, en espoir c’est une certitude, sous le maillot de l’Elan. Revenu des championnats d’Europe junior avec une tendinite rotulienne le jeune stéphanois de 2m 13 a reçu le feu vert médical pour reprendre la compétition.
Thierry Gadou au micro – Un autre béarnais effectuera son retour dans la salle d’Istanbul, Thierry Gadou sera en effet aux côtés de Bruno Poulain pour commenter le match sur Sports Plus. Si l’ancien intérieur de l’Elan a effectué une répétition grandeur nature lors du match de Barcelone, il n’en reste pas moins que ce Fenerbahce - Elan constitue son véritable baptême du feu en tant que consultant pour la télé.
Fenerbahce le numéro 1 – Autant Ulker, « une société pas un club » nous a dit le guide de l’Elan avait un mal fou à fédérer un public derrière lui, autant en rejoignant la bannière de Fenerbahce, s’est-il doté d’un parterre de partisans dès plus respectables.
C’est que Fenerbahce, club situé issu de la partie asiatique de la capitale turque, est le numéro 1 au nombre des supporters dans le pays. Près de 20 millions de fans nous assure-t-on ici pour le numéro 1 du football turc qui s’est fait éliminé lors du tour préliminaire de la champion’s league. Les deux autres mammouths du sport turc sont Galatasaray et Besiktas, clubs omnisports, tous deux situés dans les quartiers européens d’Istanbul.
Ambiance – L’immense salle Abdi Ipecksi n’accueillera, pour la rencontre, que la moitié des spectateurs qu’elle peut normalement compter. A l’aide d’immenses rideaux gris qui longent la coursive séparant les deux niveaux, elle a été coupée en deux ce qui la limite à 6000 spectateurs et l’assurance d’être pleine à craquer comme aux plus belles heures du basket truc…
Six sur onze – Ils seront six sur onze les joueurs de l’Elan à ne pas être surpris par l’ambiance de cette salle dont le nom est celui d’un journaliste sportif décédé lors d’une manifestation du 1er mai : Fauthoux, Harrisson, d’Almeida, Ferchaud, Rupert et bien entendu Wright ont tous foulé son parquet. Deux autres béarnais ont joué en Turquie mais jamais dans cette salle : Greer et Johnsen, ce qui fait qu’ils sont trois à véritablement découvrir la ville aux mille mosquées : Bauer, Miles et Mahinmi.
Wright - Johnsen – Si l’Elan disputait il y a un an un match d’Euroligue à Istanbul, ils sont deux à se souvenir aussi de cette date… Le 31 octobre 2005, la rencontre de coupe ULEB opposant Besiktas à Alicante, n’opposa-t-elle pas Johnsen à Wright… ? Le blond intérieur de l’Elan portait casaque espagnole et l’avait emporté sur le fil après prolongations face aux turcs dont Michael Wright était l’une des pièces angulaires.…
Brooks Sales aussi – Les béarnais devraient logiquement recevoir la visite de Brooks Sales ce mercredi soir. L’intérieur qui avait été blessé en fin de saison dernière à l’Elan a signé cette saison à Besisktas et il jouait ce mardi soir, à Istanbul, en coupe Uleb face aux Lettons de Ventspils…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Saisir la moindre occasion "
Sur les rives du Bosphore, les Palois, rassurés par leurs dernières prestations, n'ont rien à perdre face à une équipe locale très expérimentée.
Fenerbahce. Si vous pensez que ce club turc est le petit nouveau dans le concert de l'Euroligue 2006-2007, qui découvre la compétition les yeux grands écarquillés en espérant grapiller une victoire ici ou là, vous commettez une grave méprise.
Le club turc, du nom d'un quartier très populaire d'Istanbul, longtemps dans l'ombre d'Efes Pilsen et Ulker, les deux immuables représentants trucs dans la compétition européenne reine, est, cet été, revenu sous les feux des projecteurs.
De façon très simple. L'entreprise de confiseries Ulker après avoir décidé de lâcher le club stambouliote qu'elle soutenait depuis des années, s'est tournée quelques semaines plus tard vers Fenerbahce en prenant soin d'amener dans ses valises quelques cadres (Clark, Kutluay, Onan, Turkçan).
Voilà comment par un tour de passe-passe ingénieux, le petit club de Fenerbahce se retrouve tout joufflu, un billet d'Euroligue dans les fouilles, huit ans après avoir déjà croisé la route de l'Elan.
En 1998 déjà, les Turcs qui pensaient s'être construits une armada irresistible (Kutluay, l'ancien palois Conrad McRae, Abdul Rauf, Milic...) s'était lamentablement fracassés, encaissant notamment un terrible camouflet au Palais des Sports (73-48.).
[center]" Ulker, repaire de " vieux " "[/center]
Cette saison, l'Ulker new-look essaie de faire du neuf avec de l'ancien puisque la moyenne d'âge de l'équipe, 28 ans, est un signe évident d'expérience, à l'image de ce bon Damir Mrsic (36 ans), toujours fringant (18,4 points de moyenne l'an passé). L'effectif du Spor Kulubu cumule vingt-trois ans de vécu en Euroligue contre dix seulement pour les Palois dont six pour le seul Fred Fauthoux utilisé au compte-gouttes par Gordon Herbert.
Dans de telles conditions, à quoi doivent s'attendre les Béarnais, qui quittent Pau ce matin à l'aube (hier matin), dans l'immense salle au charme suranné de l'Abdi Ipekci Stadium ? A tout et son contraire. Le coach Aydin Ors, au club depuis 2004 après avoir fait les beaux jours d'Efes Pilsen huit saisons, ne se pose guère de questions : " L'objectif majeur est d'atteindre les quarts de finale avant de viser le Final Four ".
Et ben voyons. En tout cas, ce n'est pas la première défaite concédée dans la salle de l'Aris Salonique 66-58 qui a rassuré l'entraîneur. Les 18 points et 4 passes d'Ibrahim Kutluay, doublés des 10 points et 14 rebonds de l'inusable Mirsad Turkçan, ex meilleur rebondeur de la compète, n'ont pas suffi pour franchir la barre des 60 points marqués et surtout lancer positivement la saison. Inutile de préciser que demain soir ( ce soir) la pression est sur les épaules des Turcs qui ne doivent absolument pas s'incliner une seconde fois de rang contre une formation paloise a priori plus faible.
[center]" Miles encore perfectible "[/center]
L'Elan, lui, a de nouveau enclenché la marche avant depuis son probant succès sur le parquet de Villeurbanne il y a dix jours. Il a encore haussé le ton malgrè la défaite concédée mercredi dernier en ouverture contre Barcelone (72-66). Samedi , il a fait le nécessaire, notamment dans un dernier quart enlevé, pour s'imposer avec une marge de 15 points face à Orléans.
Point commun à ce regain de forme, l'apparition du meneur Aaron Miles depuis trois matches et celle du pivot Michael Wright depuis deux.
Si le premier peine toujours à trouver la mire (11 sur 34 aux tirs) malgrè un vrai souci d'organiser le jeu de son équipe, le second, à peine " tombé " de l'avion, prouve que sa patte gauche et ses gros biscottos sont indispensables à la bonne marche de l'édifice intérieur palois.
" Il faudra toutefois mieux jouer encore que contre Barcelone, surtout en défense et au rebond ", prévient Herbert. " Les joueurs de Fenerbahce sont depuis des années rodés à l'Euroligue ".
Xane d'Almeida, vu à son avantage samedi, appuie sur la corde de l'esprit de revanche pour ne pas revenir bredouille de ce long périple : " La défaite de 32 points l'an dernier à l'Ulker est encore dans nos têtes. Ce qui s'était passé là-bas, on va essayer de s'en servir. Je crois aussi que notre axe meneur-pivot va devenir de plus en plus efficace au fil des sorties ".
Une aubaine pour les ailiers palois, CC Harrison en tête, qui pourront ainsi s'exprimer sans la pression que le jeu repose intégralement sur leurs épaules.
Avec un groupe de nouveau équipé de Britton Johnsen, l'Elan n'a en tout cas aucun complexe à nourrir, dans une enceinte, qui hormis l'an dernier, lui a souvent porté bonheur.
(Source : La République des Pyrénées)
Au Abdi Ipekci Arena
, ce soir :[updown][center]
à 19h15 FENERBAHCE ULKER vs ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/center] [/updown] FENERBAHCE ULKER ISTANBUL : 5. SALOMON (US, 1,87m), 6. TURKCAN (TUR, 2,06m), 7. ONAN (TUR, 1,94m), 8. BASAK (TUR, 2,02m), 9. ERDEN (TUR, 2,10m), 10. KUTLUAY (TUR, 1,98m), 11. SAVAS (TUR, 2,13m), 12. MRSIC (BOS-HER, 1,91m), 13. CLARK (US, 2,03m), 14. GULAY (TUR, 2,05m), 15. KAMBALA (LET, 2,05m).Entraîneur : Mr Aydin ORS (TUR).
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m) , 5. CC HARRISON (US, 1,94m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. R.GREER (DOM 1,96m), 8. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 2,03m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)