[EL-J5] Naples 84 - 96 EBPO

Espace de discussions dont le sujet principal est le basket-ball et plus particulièrement l'actualité de l'Élan Béarnais.

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alien64
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[EL-J5] Naples 84 - 96 EBPO

Message par alien64 »

Un mauvaise nouvelle pour nous (enfin surtout une bonne pour Naples):

http://www.euroleague.net/news/i/3808/1 ... rone-ellis
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didier labrit-badie
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Re: [EL-J5] Naples - EBPO

Message par didier labrit-badie »

alien64 a écrit :Un mauvaise nouvelle pour nous (enfin surtout une bonne pour Naples):

http://www.euroleague.net/news/i/3808/1 ... rone-ellis
ouep. Apparemment il va y avoir un chantier sur le meneur Tierre Brown et plus généralement sur les lignes arrières avec Jay, Jeff Trepagnier et donc Tyrone Ellis. Ricardo et CC vont avoir de l'opposition!
Et dessous Wright va avoir affaire à des joueurs rudes. Il faudra un bon passage de Ian pour soulager notre pivot numéro 1.
nico
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Re: [EL-J5] Naples - EBPO

Message par nico »

didier labrit-badie a écrit :
Et dessous Wright va avoir affaire à des joueurs rudes. Il faudra un bon passage de Ian pour soulager notre pivot numéro 1.
S'il réédite ses performences de Moscou et Salonique, on peut y croire! Il a bien assuré au relais de Wright sur ces deux matches...Franchement je le trouve déjà très bien pour son âge, meilleur que Petro dans le ressenti du jeu...Il faut q'il s'accroche dans ce sens et évite aussi bien évidemmment les fautes de "concentration" je dirai..

Ce que j'espère aussi c'est que Wright aura plus de champ libre, car les grecs l'avait très bien scouté semble-t-il (Et puis c'était hyper laxiste au niveau de la défense, les pivots grecs se sont régalés à lui arracher les bras de partout sous l'oeil indifférent des arbitres...)...Or on a besoin d'un Wright niveau Istanbul et Moscou, c'est notre gros plus dans ce monde de brutes des raquettes d'Euroligue..
gfive
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Re: [EL-J5] Naples - EBPO

Message par gfive »

nico a écrit :
S'il réédite ses performences de Moscou et Salonique, on peut y croire! Il a bien assuré au relais de Wright sur ces deux matches...Franchement je le trouve déjà très bien pour son âge, meilleur que Petro dans le ressenti du jeu...Il faut q'il s'accroche dans ce sens et évite aussi bien évidemmment les fautes de "concentration" je dirai..
Je trouve surtout qu'il est bien meilleur que Pétro dans l'attitude. Malgré le peu de temps de jeu que lui donne Herbert, il a l'air motivé!
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Nix
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Re: [EL-J5] Naples - EBPO

Message par Nix »

gfive a écrit :Je trouve surtout qu'il est bien meilleur que Pétro dans l'attitude. Malgré le peu de temps de jeu que lui donne Herbert, il a l'air motivé!
+1

j'ai eu un premier échange verbal avec Ian à l'ASVEL cette saison est le prmeier sentiment est que le mec a, sur le terrain, pas mal de trucs à travailler, mais a, hors du terrain, déjà assimilé bien plus que Pétro ...

Ian fait vraiment le mec cool, zen, pas prise de tête ... Johan m'avait laissé une impression moins "cool" ...

m'enfin ça, c'est peut-être une question de personalités tout simplement ...
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gfive
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Message par gfive »

Il a fumé, Gérard Bouscarel : il annonce la retransmission de Naples/Elan pour ce soir! :)
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philip_pau
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Message par philip_pau »

" Morandais : " C'est étrange " "


Ignoré dans son pays, l'ailier français de Naples ne s'explique pas sa situation. D'ou une motivation décuplée.


Né comme les Piétrus aux Abymes, sur le territoire guadeloupéen, Michel Morandais, sorti du club de Levallois, ne bénéficie pas (encore) de la notoriété des deux frangins formés à l'Elan.
A 27 ans, cet ailier athlétique de 1,95m, formé au moule du basket universitaire américain et que l'Elan retrouvera jeudi soir, gagne pourtant à être connu. All Star de la Lega italienne en 2005-2006 désormais régulier aux tirs (14 points de moyenne à 44,5% aux tirs), il a d'ailleurs eu les honneurs de la pré-sélection nationale dans le cadre de la préparation au Mondial japonais. Toujours méconnu en France, Morandais, qui souffre d'une lésion à l'épaule, aimerait voir sa situation évoluer.

La République des Pyrénées : " Après une carrière universitaire pourtant brillante, à Colorado State, pourquoi as-tu été ignoré par les clubs français ?
Michel Morandais : J'avoue ne pas comprendre les raisons mais, aujourd'hui, je ne veux plus nourrir la moindre rancune à ce sujet. Mais je ressens encore de la frustration, ce qui n'est pas la même chose, car c'est quand même étrange d'être plus connu à l'étranger que dans son propre pays. J'aimerai gagner la reconnaissance de mes compatriotes. Peut-être que je ne connais pas la bonne méthode pour m'y prendre ou alors est-ce parce que j'ai choisi la filière américaine. Des gens ont cru alors que j'avais la grosse tête, que je snobais la basket français. Rien à voir .

La République des Pyrénées : Quel est aujourd'hui ton statut dans le championnat italien que tu as découvert en 2005 avec Cantu ?
Michel Morandais : Disons que je pense avoir gagné une forme de respect. Je le vois par exemple à travers le comportement des arbitres. Maintenant, je peux leur parler, demander des choses alors que, au départ, ils ne connaissaient même pas mon nom. Idem pour les entraîneurs des équipes que nous rencontrons. Souvent, ils me mettent dessus leur meilleur défenseur extérieur. C'est une marque.....d'attention " particulière " !

La République des Pyrénées : Sans être sûr d'évoluer pour cause de blessure avec Naples, qui découvre l'Euroligue cette saison et va recevoir Pau, quelles sont vos ambitions européennes ?
Michel Morandais : Dès le début de saison, notre président a été très clair? Il a mis de gros moyens sur la table, notamment pourr ecruter nos Américains.
On a donc un collectif plutôt talentueux, capable en tout cas de réussir quelque chose
(1 victoires - 3 défaites après 4 journées). Collectivement, nous développons un jeu cohérent mais il faut voir sur la durée ".


(Source : La République des Pyrénées)
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didier labrit-badie
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Re: [EL-J5] Naples - EBPO

Message par didier labrit-badie »

nico a écrit :S'il réédite ses performences de Moscou et Salonique, on peut y croire! Il a bien assuré au relais de Wright sur ces deux matches...
c'est un truc dont je voulais parler ça: vous avez vu les rebonds pris par Ian face au Cska?? Trés propres, imposant sa masse aux russes et ne lachant pas la balle alors qu'à Salonique il en laisse un offensif s'échapper alors que Castel surgit et du coup fait faute sur le meneur, ses fameuses fautes bêtes.
gom jabbar
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Message par gom jabbar »

40-23 pour le Dynamo moscou à la mi-temps contre le MSB
pascal64lons
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re

Message par pascal64lons »

74/57 au final après être revenus à -4 dans le 3QT!!
Bon passage de Koffi sur le peu que j'en ai vu!!
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Strasbourgeois !
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Message par Strasbourgeois ! »

Victoire de Efes Pilsen sur l'Olympiacos. Dernier quart : 39-17 pour les locaux. :shock: :shock: :shock:

Quelqu'un sait ce qui s'est passé ?
philip_pau
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Message par philip_pau »

[center]Image[/center]





[updown][center]EUROLEAGUE : SAISON 2006/2007Image[/center][/updown]



[center]Image[/center]


[updown][center]ImageEUROLEAGUE : SAISON 2006/2007[/center][/updown]







[center]5e JOURNEE : 1er PHASE[/center]






Image ELDO BASKET NAPLES


[center]/[/center]


[right]Image ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ[/right]










" Euroligue messieurs - Session de rattrapage pour Pau-Orthez à Naples "


Une semaine après avoir dilapidé un succès tout fait à Salonique, Pau-Orthez enchaîne sur un deuxième déplacement dans ses cordes, à Naples, jeudi lors de la 5e journée de l'Euroligue de basket-ball.

Avec onze points d'avance à cinq minutes de la fin, les Palois étaient sur le point de faire une excellente opération en Grèce, avant d'être rattrapés sur le fil (72-74) et d'encaisser une inutile deuxième défaite en quatre matches.

"On a perdu une grosse occasion de faire la différence au classement face à un autre rival direct, déplore toujours le meneur palois Xane d'Almeida. Cela prouve aussi que nous sommes tombés dans une poule plus homogène qu'on pouvait le penser mais nous avons quand même donné le match aux Grecs."

"A Naples, il ne faudra pas commettre pareille erreur et être plus dur en défense car ce match nous offre une autre possibilité de marquer deux points", ajoute le meneur palois, qui espère que le laxisme affiché en championnat (80 points concédés en moyenne) ne se répète pas en Euroligue, où l'Elan possède pour l'instant la quatrième meilleure défense (69,7 pts).

Ce voyage en Italie s'effectue toujours avec l'ailier-fort américain Mike Bauer, que l'entraîneur Gordon Herbert souhaite prêter, mais que Pierre Seillant, directeur exécutif du club béarnais, envisage de "conserver jusqu'à la fin de la première phase de l'Euroligue".

L'Elan a déjà affronté à plus de cinquante reprises des clubs italiens en Coupe d'Europe, mais n'avait jamais encore croisé la route du Eldo Napoli, où évolue Michel Morandais, vu cet été en équipe de France mais incertain pour jeudi.

Nouveau venu en Euroligue, Naples doit son ascension à Andrea Mazzon, coach des Napolitains pendant trois ans et qui aujourd'hui dirige... l'Aris Salonique.

Le club italien s'est renforcé cette semaine en signant l'Américain Tyrone Ellis, élu meilleur défenseur l'an dernier de la Ligue turque avec Besiktas et vieille connaissance de Gordon Herbert qui l'a dirigé à Francfort. Pau-Orthez avait un moment songé à recruter cet arrière expérimenté, avant de reculer devant le tarif.

De quoi donner quelques raisons supplémentaires pour gagner un match qui pourrait compter double dans l'optique du Top 16.


(Source : http://www.lnb.fr)













" Basket - Euroligue (H) : Pau vise la victoire "

Pau-Orthez se déplace chez les Italiens de Naples jeudi (20h45) lors la cinquième journée de l'Euroligue. Après avoir réussi un authentique exploit en battant le tenant du titre, le CSK Moscou (73-67) il y a quinze jours, les Palois ont chuté la semaine dernière sur le parquet de l'Aris Salonique (74-72). Les hommes de Gordan Herbert, qui comptent deux victoires pour deux défaites depuis le début de l'épreuve, viseront donc un troisième succès face à cette formation transalpine, largement à leur portée.



«En Grèce, on a perdu une grosse occasion de faire la différence au classement face à un autre rival direct, déplore le meneur palois Xane d'Almeida. Cela prouve aussi que nous sommes tombés dans une poule plus homogène qu'on pouvait le penser mais nous avons quand même donné le match aux Grecs

«A Naples, il ne faudra pas commettre pareille erreur et être plus dur en défense car ce match nous offre une autre possibilité de marquer deux points», ajoute le meneur palois. Pour ce déplacement en Italie, l'ailier-fort américain Mike Bauer sera présent. Herbert souhaite le prêter, mais Pierre Seillant, le directeur exécutif du club béarnais, préfére le «conserver jusqu'à la fin de la première phase de l'Euroligue».

L'Elan a déjà rencontré à plus de cinquante reprises des clubs italiens en Coupe d'Europe, mais n'avait jamais encore affronté le Eldo Napoli, où joue Michel Morandais, vu cet été en équipe de France mais qui reste incertain pour jeudi.


(Source : http://www.lequipe.fr)













" Retrouver l’Elan "

Après trois revers consécutifs toutes compétitions confondues, Pau tentera de se relancer jeudi à Naples lors de la 5e journée d’Euroligue. Un adversaire largement à la portée des Béarnais. A condition de ne pas présenter le visage qu’ils montrent en Pro A.


Image
Ricardo Greer espère remettre Pau sur les rails du succès.



Une spirale négative
L’exploit face au CSKA Moscou semble bien loin. Et pourtant, c’était il y a deux semaines seulement. Mais depuis sa victoire contre le champion d’Europe russe (73-67), l’Elan Béarnais a perdu… son élan, justement. Les hommes de Gordon Herbert se sont d’abord inclinés à domicile face à Roanne (81-94), avant de perdre sur le fil à Salonique face à l’Aris (72-74), pour terminer par un nouveau revers en Pro A à Paris (77-83). Résultat : le club cher à Pierre Seillant se retrouve aujourd’hui relégable en championnat mais 3e de son groupe d’Euroligue. Une compétition qui apparaît dès lors comme la meilleure bouffée d’oxygène possible. Ou l’arbre qui cache la forêt, c’est selon. A l’heure de se rendre à Naples, parfait contraire des Béarnais, à la peine en Europe (1 victoire et 3 défaites) mais bien placé en championnat (5e de la Lega), les Palois veulent retrouver le chemin de la victoire. «Nous allons à Naples pour gagner mais aussi pour oublier notre situation en championnat», explique le jeune pivot palois Ian Mahinmi avant d’avouer que «l’Euroligue nous procure une excitation particulière

Une équipe de coups
Tout le problème de l’Elan tient dans ces quelques mots de l’ancien Havrais. Et en deux statistiques frappantes : avec 80 points encaissés en moyenne, Pau est avant-dernier au classement des meilleures défenses de Pro A (seul Besançon est derrière) alors qu’en Euroligue, les Béarnais présentent la 4e défense la plus imperméable (69,7 points) ! «En Euroligue, les joueurs ont peur et se donnent plus. Pas en championnat», résumait Pierre Seillant dimanche sur TPS Star. CC Harrison et ses partenaires auront-ils peur de Naples ce jeudi ? En tout cas, ils devront se méfier de l’équipe de Michel Morandais, incertain en raison d’une blessure à l’épaule. Les Napolitains ont, certes, été corrigés à Barcelone la semaine dernière (71-91) mais ils viennent d’enregistrer l’arrivée de Tyron Ellis. Un renfort de poids pour les Transalpins puisque l’Américain avait inscrit 21,6 points de moyenne en sept matches d’Euroligue en 2004-2005 avec Francfort (alors dirigé par… Gordon Herbert) et qu’il a été élu meilleur défenseur du championnat turc l’an dernier sous les couleurs de Besiktas ! «Vu notre calendrier, ce serait important pour nous d’obtenir un résultat positif et d’oublier la grande déception de Salonique», déclare Gordon Herbert. «Mais gagner à l’extérieur est toujours un gros défi en Euroligue.» Cela tombe bien, Pau semble aimer les challenges difficiles cette saison.


(Source : http://www.sport24.com)














" GAME PREVIEW : Eldo Napoli vs Pau-Orthez "

http://www.euroleague.net/main/results/ ... amecode=57


(Source : http://www.euroleague.net)














" Miles, pas dans le mille "


Le jeune meneur américain a du mal à avoir un gros impact avec Pau, qui a un coup à jouer ce soir à Naples.


IL EST ARRIVE, au coeur du mois d'octobre, presque en portant la flamme. Quand il a mis le pied en Béarn, Pau s'est dit qu'il allait enfin décacheter tous les trésors, recroquevillés, scellés commes des papillotes. Aaron Miles, meneur ex-étoile NCAA à Kansas, faiseur de jeu reconnu, réputé, salué aux Etats-Unis, allait faire briller la fonte paloise. A vingt-trois ans, malgrè dix-neuf petits matches en NBA avec Mickael Pietrus à Golden State la saison passée, il était de la graine de leader. Ce petit bout d'homme aux traits lisses, au regard doux, était capable de pousser des cris de rassembleur. Il avait un charisme, une couenne de révolté. Il sortait de trois semaines de blessure à une cheville. Une meurtrissure, un rêve NBA (Portland) écrabouillé dans les straps. Il n'aurait que plus faim encore. Pau avait trouvé son homme....

Un mois plus tard, les chiffres sont secs et les langues paloises déjà bien pendues. Quelques " avisés " jettent déjà un oeil sur le marché des meneurs, histoire de voir. 5,8 points et 4,8 passes (troisième passeur del'Euroligue quand même !) en 32 minutes en moyenne dans la compétition continentale, ça ne remplit pas la panse d'un ours. Aaron Miles n'a pas mis dans le mille, il le sait. C'est avec un calme et une lucidité confondants qu'il fait le tour de la question, end eux phrases et vingt secondes : " Je suis forcément déçu par mon jeu, par les résultats de l'équipe. Je me suis mis un peu trop de pression en arrivant ici. Je ne joue pas bien, je ne shoote pas bien (8 sur 33 aux tirs !), je ne crée pas bien. Je peux toucher le fond mais je ne désespère pas. Je vais remonter, ça va venir ".

[center]" Entraînement avec les Espoirs ! "[/center]

Gordon Herbert l'y aidera. Le technicien palois balaie prestement les rumeurs et coupe les signaux d'alarme : " Le problème, ce n'est pas Aaron Miles, c'est l'équipe. Aaron est neuf en Europe, il a besoin d'un peu de temps pour comprendre le jeu ici. Il peut être meilleur, il doit être plus constant, apporter plus d'énergie en défense, mais il fait attention à la balle, il a le souci du bon choix. Pour moi il peut être l'un des tout meilleurs meneurs en Europe. Puis c'est un très bon garçon ", analyse le coach de l'Elan Béarnais.

Aaron Miles est donc bien assis, protégé par son coach, entouré par des joueurs " qui m'encouragent, qui me soutiennent ", raconte-t-il, soudain rasséréné par cette seule pensée.
" Cette équipe a tellement de talent que je sais qu'un jour on va réussir à bien jouer ensemble. Pour l'instant, on n'a pas toujours la bonne attitude, l'énergie qu'il faut. On a eu l'énergie défensive contre Moscou, on ne l'a pas eue à Salonique. Il faut qu'on trouve cette constance. L'équipe ne lâche pas ", commente Miles, qui enchaîne les séances d'entraînement jusqu'à se joindre aux Espoirs du club lundi, au retour de Paris !

Ce soir, à naples, Pau et Miles trouveront sur leur chemin une équipe tout aussi peu sereine. L'arrière US Tyron Ellis, espéré un temps à Pau, vient de débarquer, son compère Jeff Trepagnier ne devrait pas faire de vieux os dans la baie et l'arrière-ailier français, l'international Michel Morandais, blessé au mollet droit il y a dix jours, sera vraisemblablement forfait. " C'est une équipe qui a de bons athlètes, très talentueuse. Il faudra d'abord qu'on amène la balle sur Michael Wright pour ouvrir le jeu ", prédit Herbert. Aaron Miles, lui, continuera à assumer les ballons chauds, ce qu'il fait quasi systématiquement, sans trop de réussite depuis qu'il est en place. " Je n'ai pas peur de prendre les shoots décisifs? Les situations font qu'ils me reviennent mais si Ricardo (Greer) ou " C.C " (Harrison) ont la balle à ce moment, ils la joueront aussi ", se défend Miles, pas égoiste pour un sou. Il est meneur de jeu, il est là pour faire jouer. C'est bien là son premier grand défi.


(Source : L'EQUIPE)












" Bauer : la mission continue "

NAPLES - PAU-ORTHEZ. Annoncé partant pour Francfort la semaine dernière, l'Américain Mike Bauer est toujours palois. Et l'Elan aura encore besoin de son énergie, ce soir, au pied du Vésuve.


Image
Mike Bauer, un volcan qui ne programme pas ses explosions.



EUROLIGUE (5e JOURNEE)
Pendant quelques heures, la semaine dernière, Mike Bauer aura été un Skyliner. Virtuellement seulement puisque son prêt à Francfort, officialisé par le staff palois le mardi soir, était mis au conditionnel le mercredi puis entre parenthèses les jours suivants, avant de tomber à l'eau ce lundi. « Les conditions n'étaient pas bonnes, explique le joueur. A Pau, j'ai un contrat garanti dans une bonne équipe et je ne voulais pas perdre cela pour quelque chose de moins bien. »
Le deal passé avec le « Prési » Pierre Seillant et son coach, Gordon Herbert, lui convient mieux : « Je reste pour l'Euroligue et comme solution de secours en championnat, en cas de blessure (1), et je ne quitterais l'Elan que si je trouve un bon contrat en Espagne ou ailleurs. »


L'homme du président. La mission de Bauer est désormais clairement établie « la semaine passée, j'ai dit quatre fois au revoir aux gars et le lendemain matin, j'étais toujours là », rigole-t-il et même si elle ne satisfait pas totalement le compétiteur qu'il est, il se dit prêt à l'assumer : « Quand j'ai signé à l'Elan, je pensais pouvoir jouer un rôle important. Aujourd'hui, ce n'est pas ça et je suis frustré. Au départ, beaucoup ne croyaient pas en moi et je crois avoir prouvé que je pouvais jouer. Mais je n'ai aucun contrôle sur les décisions qui ont été prises. »
Au cours de cette semaine difficile, l'homme des terres froides du Minnesota a compté ses appuis. Parmi lesquels son rival le plus direct, Britton Johnsen, et le directeur exécutif Pierre Seillant. Car, comme son homonyme de la série « 24 heures », Bauer est l'homme du président qui dit de lui : « C'est un battant, un guerrier, il apporte de l'énergie et de l'enthousiasme. Je l'adore. Et s'il doit partir, soyez sûr qu'il reviendra. »


Volcan. Pour l'heure, Mike Bauer est toujours là. Et se régale à l'avance de l'ambiance sulfureuse qui l'attend, ce soir, dans le Pala Barbuto de Naples. « J'aime quand c'est chaud, c'est dans ce genre de situation que je suis le meilleur », assure-t-il.
Mike est comme le Vésuve qui domine la baie napolitaine : un volcan qui ne programme pas ses explosions. Libre, imprévisible, parfois brouillon mais toujours généreux, joueur d'instinct dont le tir à trois points, en première intention, demeure l'arme favorite. « Je ne suis pas le basketteur le plus esthétique de la terre, je ne fais rien de génial mais je sais bien faire tout un tas de choses, expose-t-il. J'ai toujours joué comme ça. Avec mes trois frères, on passait des heures sur les terrains autour de notre maison. Jamais de télé ou de jeux vidéos mais du foot américain, du base-ball, du basket, tous les sports. Ca a développé mon côté compétiteur et bagarreur. » La preuve que les familles nombreuses n'enfantent pas que des enfants de choeur.

(1) En Pro A, Pau-Orthez n'est autorisé à aligner que quatre de ses cinq joueurs américains.


(Source : http://www.sudouest.com)














" En direct de Naples "

Fauthoux aux commandes – C’est aux premières loges que Fred Fauthoux a effectué le vol Paris-Naples ce mercredi matin… Il était en effet l’invité du commandant de bord dans le cockpit. Il faut dire que, palois et très au fait de la vie de l’Elan, le pilote d’Air France partage avec le capitaine de l’Elan la même passion pour le jeu des fléchettes. C’est d’ailleurs à l’occasion de parties acharnées que les deux hommes se sont connus à Pau, lors des soirées au Béarnais …
Bénéficiant d’un temps très clair, Fred Fauthoux s’est déclaré bluffé d’avoir profité de ces instants privilégiés, avouant aussi en avoir pris plein les yeux « notamment lors du survol de la chaîne des Alpes. »

Naples sous la pluie – Dans cette ville de Naples où les klaxons semblent coincés à jamais, où les antennes de télévision fleurissent comme des champignons et où les éboueurs semblent en grève éternelle, l’hôtel où sont logés les béarnais apparaît comme une oasis de paix . Au sommet d’une colline, avec vue sur le port, dans un parc où les palmiers témoignent de la clémence du temps, leur quartier général est un lieu de repos idéal même si le charme en a été quelque peu rompu vu que c’est sous la pluie que la délégation est arrivée en toute fin de matinée.

Au Pala Barbuto – C’est bel et bien dans sa salle, le Pala Barbuto que Naples dispute l’Euroligue après que l’instance de la compétition ait envisagé, en septembre, de faire jouer les Napolitains à Caserte la cité voisine de 50 kilomètres… Pour obtenir l’autorisation de rester chez eux, les gens d’Eldo, le sponsor du club qui œuvre dans l’électroménager, ont du mettre leurs installations en conformité avec le cahier des charges de la compétition . Il ont donc du porter de 4000 à 5500 le nombre des places assises… Ce qu’ils ont réussi en moins d’un mois. Il faut dire que la structure toute métallique de l’installation a favorisé le rehaussement des deux tribunes centrales. Mais c’est au niveau des vestiaires et autres locaux indispensables (salle de presse, médicale, VIP, vestaires) que le club s’est doté d’un véritable outil européen.

Chouchou des Napolitains - Il faut dire que le basket a volé la vedette au football et dieu sait que ce n’était pas écrit si l’on se rappelle des heure dorées du soccer ici, c’était l’époque où Naples s’offrait Diégo Maradona qui arrivait au stade en hélicoptère pour éviter l’émeute…
Le basket n’existait pratiquement pas sinon en Léga 2… C’est en 2003 que la tendance a commencé à s’inverser avec les déboires du foot qui retomba jusqu’en troisième division (il est aujourd’hui en seconde) et l’accession du basket en Léga… Aujourd’hui, la troisième place d’Eldo Napoli l’an passé et sa victoire en Tim Cup (notre semaine des As) en début de saison fait de la balle au panier le sport numéro 1 de la ville. Ils étaient ainsi 4000 dans la salle lors de la demi-finale 2006 et… 10.000 devant l’écran géant installé sur les parkings extérieurs…

Sans passeport – C’est sans leur passeport que les béarnais rentreront vendredi à Pau… Ceux-ci resteront en effet à Paris pour être déposé dès lundi à l’ambassade de Russie en vue de la délivrance des visas nécessaires à leur séjour à Moscou du… 2 au 4 janvier de l’année prochaine… C’est qu’entre leurs prochains périples européens et les vacances d’hiver des services consulaires, ils ne disposaient pas d’une autre tranche pour les soumettre aux formalités indispensables à l’entrée sur le sol russe…









" Naples, label euroligue obligatoire "

Ainsi la tournée des salles chaudes se poursuivrait. Dans le genre, il y eut d’abord la Turquie renouant avec la tradition, puis la Grèce où là les coutumes sont entretenues avec beaucoup de soins. Et voilà qu’aujourd’hui on promet un accueil pas piqué des hannetons dans ce pala Barbuto où 5500 tifosis vont se presser puisque le basket fait désormais le plein et la fierté des Napolitains en disgrâce avec leur équipe de football…
« C’est toujours très chaud, il y a une ambiance terrible » nous disait le gardien des lieux pas peu heureux de se souvenir des rudiments d’une langue française apprise à l’école…
Mais n’est-ce pas justement de cette ambiance hostile et pesante dont l’Elan aurait besoin pour se montrer sous son meilleur jour ? Pour se concentrer quarante minutes sur son devoir défensif ? Pour obtenir des résultats qui jusque là le maintiennent, en Europe, au dessus de la ligne de flottaison… ?
L’exploit d’Istanbul et le presque exploit de Salonique en font foi, c’est dans l’adversité la plus féroce de la saison que les hommes de Gordon Herbert et Laurent Mopsus ont trouvé le terrain d’expression le plus favorable à leur dépouillement.
On ne viendrait donc presque, à souhaiter que ces napolitains là soient effectivement d’une vraie véhémence, qu’ils crachent le feu, puisque nous sommes ici à l’ombre du Vésuve, et qu’il fassent enfin jaillir dans les corps béarnais « cette petite boule qui étreint le ventre et qui fait mal ». Qu’ils soient contraints de se serrer les coudes au point de ne faire qu’un, un « vrai team » selon l’expression si chère à Michael Bauer qui retrouve de nouveau son numéro 15 à l’occasion de la 371ème sortie européenne de l’Elan, mais sa première en Napoli.
Il en va de son avenir dans la compétition qui, si elle n’a pas bouclé son premier tiers, lui propose un prochain programme suffisamment lourd pour le confirmer dans ses espoirs ou pour le renvoyer à ses chères études nationales, là où il n’a pas vraiment bonne mine…
Des trois déplacements lors des quatre prochaines échéances, celui de Naples apparaît, comme ça du moins, le moins périlleux puisque cet Eldo Napoli est un néophyte de la compétition et qu’il n’y est pas rentré en intimidant ses rivaux : un succès sur le fil face à l’Aris, le seul de ses quatre premières sorties, marquées par ailleurs par ses difficultés à voyager (moins 18 à Kaunas et moins 20 à Barcelone).
Une situation qui a entraîné l’arrivée de Tyron Ellis en début de semaine, et ce n’est pas là, la meilleure nouvelle qui guettait l’Elan puisque l’arrière, bien connu de Gordon Herbert, n’était autre, sous les couleurs de Frankfort, que le meilleur marqueur de la dernière Euroligue avant sa blessure… Brown, Larranaga, celui de l’ASVEL et Paris, Trépagnier, Morandais que le coach espère rétabli, plus Ellis, voilà un back-up des plus redoutables, auquelm il faut ajouter Seasy, un quatre au gros volume et les deux intérieurs nationaux, Rocca et Cittadini qui ont jusque là plutôt bien tenu le rebond italien.
De l’avis de son coach, Pier Bucchi, Naples jouera « un match crucial pour son futur» et on le croit volontiers si tant est qu’à 1 succès pour 4 échecs, l’avenir s’assombrirait sérieusement.
C’est dire si l’Elan devra donner dans la résistance et la solidarité… Pour, à la fois, confirmer ses chances d’exister dans cette poule et entretenir son label Euroligue sans lequel il n’a pour l’instant pas de grandes références…
Et à trois jours de recevoir Le Mans, il faut bien avouer qu’il n’a pas d’autre choix !



(Source : http://www.elan-bearnais.fr)













" Les voyages initiatiques de Ferchaud "

A 26 ans, le Choletais découvre enfin l'Euroligue, du bout des lèvres, au sein d'une équipe paloise qui manie le paradoxe.


" Pau a la plus belle vue de terre comme Naples a la plus belle vue de mer ".
Sensible aux charmes de la Cité Royale, Cédric Ferchaud, venu de Cholet pour les trois prochaines saisons, a lu récemment cette fameuse phrase de Lamartine.
Il s'en est bien sûr souvenu en débarquant, hier, sur les bords de la grande baie du sud italien noyée par la pluie. Mais, à la veille d'un premier duel historique avec la formation napolitaine, l'Elan et son numéro 9 ne sont pas en villégiature sur les pentes du Vésuve emprisonné par les nuages.
L'entraînement programmé dès l'après-midi par l'austère Gordon Herbert est d'ailleurs très vite venu le leur rappeler.
" Ce sont les charmes de l'Euroligue ", sourit notre homme qui, sollicité à doses homéopathiques depuis le début de la compétition (9 min 30 et 3 points de moyenne), ne se plaint pourtant pas de son sort. " En signant à l'Elan, je savais que j'allais être un joueur de rotation ", poursuit Cédric. " Peu importe. Moi, je suis là pour donner le meilleur de moi-même et, vu le standing du club, je peux bien sacrifier un peu d emon égo ".

[center]" On a dépassé notre quota d'erreurs "[/center]

" Par contre, la situation actuelle me faitc...car on bosse vraiment beaucoup mais je crois que nous manquons de " tueurs " dans cette équipe. Le doute s'est installé, on réfléchit trop et, à chaque fois, nous nous mettons au niveau de nos adversaires. Je crois d'ailleurs que même une équipe de Pro B pourrait nous jouer les yeux dans les yeux ", analyse l'arrière international en évoquant le troublant paradoxe palois plus que jamais à l'odre du jour cette semaine puisque, après Naples, Le Mans s'invitera dimanche au Palais.
La Pro B, Cédric Ferchau connaît. Prêté à Mulhouse , l'enfant des Mauges y a passé deux ans au moment ou Cholet, son club formateur, vivait une brève liaison avec l'Euroligue. Le coup avait été rude à encaisser pour celui qui ressent la nécessité d'un contexte rassurant afin de s'exprimer au mieux. " J'ai besoin de connaître mon rôle ", admet l'intéressé.
" Le fait d'être souvent catalogué comme shooteur ne me gêne pas car, après tout, il n'y en a plus beaucoup en France. Par contre, je peux être agacé en entendant dire que Ferchaud ne sait pas défendre alors que je bosse comme un fou sur le sujet depuis trois ans ", ajoute-t-il avant de mettre au défi, ce soir, l'attaque napolitaine qui est la plus faible du Groupe C (67,7 points par match).

Actuellement seul shooteur patenté de l'Elan en attendant peut-être l'arrivée d'un joueur communautaire, Ferchaud mettre d'autant plus de coeur à l'ouvrage qu'il vient de clarifier sa situation avec Herbert. " J'avais signé à Pau avant lui mais " Gordy " m'a assuré qu'il désirait ma présence dans l'équipe. Il fallait que je l'entende me dire cela ", soupire Ferchaud.
L'engagement du coach à l'air sincère si on en juge par les propos que tenait encore hier le Canadien vis-à-vis de son joueur : " C'est vrai que Cédric ne figurait pas parmi mes choix au départ mais je suis content de lui. Il a progressé et, en sortant du banc, nous apporte ses qualités de shooteur. On l'a vu contre Moscou " (9 points à 3 sur 4 aux tirs, soit son record en Euroligue).

C'est donc l'esprit libre que, après deux saisons en Coupe ULEB et une en FIBA Cup, le faux jumeau de Fred Fauthoux va pouvoir poursuivre son voyage initiatique à la table des grands d'Europe, " dans une compétition ou tout est plus fort, plus rapide, et ou la moindre erreur se paie cash. Or, en matière d'erreurs, je crois qu'on a déjà atteint, voire dépassé notre quota pour l'année. Cela ne peut plus durer ". Parole de Choletais.





" L'adversaire des Palois : Un rookie ambitieux "


Ne surtout pas se fier aux premières impressions. Naples découvre l'Euroligue mais n'a pas franchement le profil d'un débutant facile à croquer. Ce club monté en flèche, demi-finaliste du précédent play-off, ne compte qu'une coupe d'Italie au palmarès.
Et, à l'entendre, le coach napolitain, serait à la tête d'une équipe en guenilles. " Ce sera très dur pour nous car seulement deux joueurs de mon effectif ont déjà participé à l'Euroligue. Quand on connaît le poids de l'expérience das cette compétition, c'est un handicap majeur ", soupire Pier-Luigi Bucchi, successeur d'Andrea Mazzon passé depuis à l'Aris Salonique.
Pourtant, l'adversaire des Palois, hébergé dans le superbe Pala Barbuto (5500 places), n'est pas exactement ce qu'il se plait à faire croire. On en veut pour preuve, la plus récente, l'engagement d'une grosse pointure européenne en la personne de Tyrone Ellis (1,93m, 29 ans).
Cet arrière US expérimenté, meilleur défenseur de la Ligue turque avec Besiktas Istanbul la saison passée, a déjà sévi en Euroligue, sous le maillot de Francfort (2003-2004), pour le compte de....Gordon Herbert. Ses nouveaux partenaires de jeu ont notamment pour noms l'imposant Sesay, intérieur très prolixe et fort rebondeur, l'ailier Trepagnier (1e intercepteur de l'Euroligue) déjà vu avec Istanbul l'an dernier, ou le shooteur irlandais Larranaga passé par Villeurbanne.
Tout ce beau monde joue sous la baguette de Tierre Brown, un garçon jamais capable d'aller au-delà de piges ponctuelles en NBA (Lakers, Golden State), mais qui se refait une santé en Italie.
Actuellemnt 5e de la difficile Lega, le Eldo Napoli fait bien mieux que l'Elan sur son territoire.
Raison de plus pour ne pas se fier aux apparences.


(Source : La République des Pyrénées)













Au Pala Barbuto Arena Image, ce soir :








[updown][center]Image à 20h45 ELDO BASKET NAPLES vs ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ [/center] [/updown]








Image ELDO BASKET NAPLES : 4. A.SESAY (US, 2,03m), 5. M.MORANDAIS (FRA, 1,95m, incertain), 6. J.LARRANAGA (US, 1,94m), 7. 8. M.MALAVENTURA (ITA, 1,96m) 9. V.SPINELLI (ITA, 1,85m), 10. A.CITTADINI (ITA, 2,07m), 11. G.PIGNALOSA (ITA, 1,90m), 12. R.ROCCA (ITA, 2,04m), 13. T.BROWN (US, 1,88m), 14. S.FLAMINI (ITA, 2,04m), 15. J.TREPAGNIER (US, 1,95m), /. T.ELLIS (GEO, 1,93m).


Entraîneur : Mr P.L BUCCHI (ITA).








ImageELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m) , 5. CC HARRISON (US, 1,94m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. R.GREER (DOM 1,96m), 8. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 2,03m), 16. L.VATY (FR, 2,05m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).


Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)
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Message par visiteur »

Strasbourgeois ! a écrit :Victoire de Efes Pilsen sur l'Olympiacos. Dernier quart : 39-17 pour les locaux. :shock: :shock: :shock:

Quelqu'un sait ce qui s'est passé ?
A priori, l'Efes aurait balancé.... 11 tirs à 3 pts sur 12 tentés dans ce quart!!!! :shock: :shock: :shock: :shock:
rayane_ray
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Message par rayane_ray »

Pour le match de ce soir je pense qu'on va perdre!j'ai jamais vu jouer naple mais il ont l'air d'avoir une superbe equipe enfin sur le papier il me font peur!
Ca fait chi.. quand meme ont est encore tomber dans une poule de fou quand je vois les autre poules par exemple la poule du mans c'est vraiment plus facile pour eux!
Enfin j'espere que je me trompe mais je pense que l'ont va pas gagner ce soir!
gfive
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Message par gfive »

rayane_ray a écrit :Pour le match de ce soir je pense qu'on va perdre!j'ai jamais vu jouer naple mais il ont l'air d'avoir une superbe equipe enfin sur le papier il me font peur!
Ca fait chi.. quand meme ont est encore tomber dans une poule de fou quand je vois les autre poules par exemple la poule du mans c'est vraiment plus facile pour eux!
Enfin j'espere que je me trompe mais je pense que l'ont va pas gagner ce soir!
Faut pas déconner, non plus!
Naples, sur le papier, c'est pas plus fort que l'Ulker, hein. La signature de Tyrone Ellis change un peu la donne, mais pas fondamentalement!
Et le Zalgiris, ou l'AEK, c'est pas non plus des foudres de guerre, hein!

Franchemernt, sur le papier, le roster de l'Ulker, avec Solomon - Turkcan - Kutluay - Kambala fait plus peur que celui de Naples!

Et dans la poule du Mans, quand tu vois que Bologne est à 0/5 avec Tyus Edney, Mancinelli, Belinelli, Bluthenthal, et Schumpert, plus ceux que je connais pas, ben c'est pas ce que j'appellerai une poule plus faible que celle de l'élan.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
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