il faut savoir que les nouveaux acheteurs du PBR, "pilotés à distance" par Marc Fleisher, l'agent de Tony Parker (celui-ci va devenir la figure de proue de la communication du PBR, présenté un peu partout comme "le club de TP"), ont déclaré qu'ils veulent faire du PBR un très grand d'Europe, l'égal du CSKA Moscou, en 3 ans
mais depuis quelques jours les problemes avec Laurent Sciarra ont commencés:
Vu dans le Parisien.fr:
Paris ne veut plus de Sciarra
LE PARIS BASKET RACING tente de se séparer de Laurent Sciarra. Encore lié pour une année au club de son coeur, le capitaine parisien n'entre pas dans les plans des repreneurs américains. Cette rumeur enfle depuis plus d'un mois, mais le club l'a signifié seulement en début de semaine et oralement au joueur.
Selon certaines sources, une transaction a été engagée par les deux parties, puis a été suspendue. Les deux positions restent très éloignées. Et la volonté du joueur est de demeurer dans la capitale pour des raisons sportives et familiales. « On ne fait pas de mystère que Laurent Sciarra est un grand joueur, mais les engagements financiers pris par les anciens propriétaires sont tels qu'il est de l'intérêt de tout le monde de trouver une solution, confirmait hier Arnaud Péricard, avocat du PBR. Son salaire représente 20 % du budget total. » Voilà pour la version policée des choses.
Ce dossier peut se révéler dévastateur Hier, ce dossier électrique est monté en température. Le meilleur marqueur de la dernière finale olympique a appris, par lettre recommandée, qu'il reprenait l'entraînement aujourd'hui (le samedi 7 aout). Soit bien avant la date officielle du 16 août. Une façon singulière de traiter le meilleur joueur français de Pro A des deux dernières saisons. Gérant seul ses intérêts sportifs, Laurent Sciarra a été approché par de grands clubs européens, aiguillés vers lui par de mystérieux intermédiaires. Or, faut-il le rappeler, le nouvel actionnaire majoritaire du PBR, la société américaine Entersport, est une agence internationale de joueurs disposant d'un bureau aux Etats-Unis et d'officines sur le Vieux Continent. Une drôle de coïncidence. Selon un agent exerçant en France, un agent russe propose actuellement l'ancien capitaine de l'équipe de France dans toute l'Europe. Sans mandat du joueur. Le PBR entend abaisser le prix de la transaction en trouvant un point de chute à Laurent Sciarra. D'autre part, le n o 7 parisien attend encore son salaire de juillet et une prime de participation à une Coupe d'Europe. Très attentive, la mairie de Paris a pourtant conseillé aux propriétaires de soigner les formes avec le joueur... « On essaie de dépassionner les choses », avoue Arnaud Péricard. En terme d'image, ce dossier peut se révéler dévastateur pour Paris, d'autant que le club a déjà commis une première faute de carre. Pour mémoire, le PBR s'était inscrit en Coupe d'Europe Uleb. Sans en référer ni à la Fédération française ni à la Ligue nationale.
personnellement, je trouve que virer un bon joueur français comme ça alors qu'ils ont besoin de 6 français sur 12, au minimum, c'est vraiment une erreur, sans meme parler de la méthode, totalement irrespectueuseSciarra - PBR : l'épreuve de force
LE CONFLIT qui oppose le Paris Basket Racing (PBR) à son ex-capitaine Laurent Sciarra prend un tour nouveau. Désireux de se séparer de lui, le club parisien l'a convoqué, samedi matin, pour une reprise anticipée de l'entraînement. L'ex-international disposait d'une exemption médicale.
Mais il était représenté par un huissier, et celui-ci a pu constater que l'entraînement n'a pas eu lieu, car le stade Pierre-de-Coubertin est... fermé jusqu'au 16 août ! Aucun des joueurs attendus n'était d'ailleurs présent. Plus drôle, le PBR a convoqué Eric Micoud et William Gradit. Or, ces deux joueurs ne font plus partie de son effectif. Le premier s'est engagé avec Dijon (Pro A), le second avec Rueil (Pro B).
en plus, 20% du budget total ça doit fait 800000 ou 900000 euros non? ça m'etonnerais que Sciarra demande autant quand meme
pendant ce temps là, Sciarra faisait les fetes de Bayonne :D
en plus, Igor Perica, longtemps présenti à Paris, aurait signé à Split