moiso

[Légendaire8]

En EDF, ce qui lui avait été reproché, c'est entre autres d'avoir préparé le match pour la 3ème place (qualificatif pour les JOs d'Athènes) au Mc Do !
En ce qui concerne, sa carrière NBA, il a accumulé les clubs sans jamais convaincre.
Premier club: Boston, coach Rick Pitino, ça colle pas - excusable vu le tempérament de Pitino
Deuxième club Charlotte: je connais bien, j'y ai habité deux ans et je suivais l'équipe (Hornets) de près. Il y avait déjà le coach Paul Silas mais pas encore Moiso. Silas est un coach qui aime beacuoup ses joueurs, l'inverse de Pitino qui casse les joueurs pour qu'ils rentrent dans son système. Silas lui a réellement donné sa chance et à part quelques actions d'éclat à gauche et à droite (des contres par exemple), il est allé de déception en déception et a fini par laisser Moiso sur le banc.
Puis Toronto, puis des contrats de 10 jours, puis l'équipe de France, puis Rome
Toujours un soft player, qui joue quand il en a envie et qui ne se remet jamais en question. Après toutes ces années, il continue à dire qu'il ne comprend pas. Une fois OK, mais à force.... Il pense qu'il est un super joueur (ce qu'il peut être) mais qu'on ne le comprend pas. Pourtant, on le lui a dit et redit (Silas en particulier) et sur tous les tons. Eh bien il y a un moment où tout le monde se décourage. Ajoutez un caractère qui ne le pousse pas à s'intégrer à l'équipe.
Effectivement, l'anti-Turiaf sur le plan du comportement.
Donc Moiso, sauf miracle et prise de confiance, je n'y crois plus depuis longtemps.

Je vais peut-être pas être populaire sur ce coup-ci, mais par certains côtés (je suis le meilleur mais on ne me comprend pas), j'ai parfois la trouille que Johan Petro aille aussi sur cette voie. Cf. son championnat du monde 2006, genre "je suis un pivot dominant mais le coach...", un joueur assez soft aussi et qui a du mal à se faire mal. J'espère me tromper mais pour se faire une vraie place en NBA, il faut aussi se cracher dans les mains

[Monstertruck64]

En EDF, ce qui lui avait été reproché, c'est entre autres d'avoir préparé le match pour la 3ème place (qualificatif pour les JOs d'Athènes) au Mc Do !
En ce qui concerne, sa carrière NBA, il a accumulé les clubs sans jamais convaincre.
Premier club: Boston, coach Rick Pitino, ça colle pas - excusable vu le tempérament de Pitino
Deuxième club Charlotte: je connais bien, j'y ai habité deux ans et je suivais l'équipe (Hornets) de près. Il y avait déjà le coach Paul Silas mais pas encore Moiso. Silas est un coach qui aime beacuoup ses joueurs, l'inverse de Pitino qui casse les joueurs pour qu'ils rentrent dans son système. Silas lui a réellement donné sa chance et à part quelques actions d'éclat à gauche et à droite (des contres par exemple), il est allé de déception en déception et a fini par laisser Moiso sur le banc.
Puis Toronto, puis des contrats de 10 jours, puis l'équipe de France, puis Rome
Toujours un soft player, qui joue quand il en a envie et qui ne se remet jamais en question. Après toutes ces années, il continue à dire qu'il ne comprend pas. Une fois OK, mais à force.... Il pense qu'il est un super joueur (ce qu'il peut être) mais qu'on ne le comprend pas. Pourtant, on le lui a dit et redit (Silas en particulier) et sur tous les tons. Eh bien il y a un moment où tout le monde se décourage. Ajoutez un caractère qui ne le pousse pas à s'intégrer à l'équipe.
Effectivement, l'anti-Turiaf sur le plan du comportement.
Donc Moiso, sauf miracle et prise de confiance, je n'y crois plus depuis longtemps.

Je vais peut-être pas être populaire sur ce coup-ci, mais par certains côtés (je suis le meilleur mais on ne me comprend pas), j'ai parfois la trouille que Johan Petro aille aussi sur cette voie. Cf. son championnat du monde 2006, genre "je suis un pivot dominant mais le coach...", un joueur assez soft aussi et qui a du mal à se faire mal. J'espère me tromper mais pour se faire une vraie place en NBA, il faut aussi se cracher dans les mains

T'as tout dit !

[gfive]

[plein de trucs...]

..avec lesquels je suis d'accord, mais il n'en reste pas moins que je pensais que ce retour en europe pouvait être gagnant : j'ai cru que ça pmontrait un changement de comportement du bonhomme....Faut croire que non.

Je vais peut-être pas être populaire sur ce coup-ci, mais par certains côtés (je suis le meilleur mais on ne me comprend pas), j'ai parfois la trouille que Johan Petro aille aussi sur cette voie. Cf. son championnat du monde 2006, genre "je suis un pivot dominant mais le coach...", un joueur assez soft aussi et qui a du mal à se faire mal. J'espère me tromper mais pour se faire une vraie place en NBA, il faut aussi se cracher dans les mains

ben je suis pas populaire avec toi, alors : Johan, même quand il jouait à Pau, j'ai jamais accroché : trop de hype, trop de paillettes...Enfin..