[EL-J5] Naples 84 - 96 EBPO

[Légendaire8]

Comme tout le monde, ravi de la victoire, d'autant qu'au 3ème quart-temps je voyais un match à notre portée s'échapper à grands pas. Bon retour, bon travail du cinq, de Ferchaud et Ruppert. Bon mental aussi, après avoir eu le match presque gagné puis gaché par un 2/4 aux derniers Lancers francs, eh bien l'équipe est repartie à fond en prolongations sans Johnsen et Wright pour éclater la prolongation

Deux points quand même sur lesquels il faut travailler:
- les pertes de balle (18 hier, 15 à Salonique, 15 à Paris), c'est vraiment beaucoup
- les 18 rebonds offensifs de Naples

[didier labrit-badie]

quelle belle victoire hier soir car emportée dans la douleur. La douleur de passer à -8 après avoir été à +13 et la douleur d'être rejoint au buzzer pour aller en prolongations.
J'en connais des équipes de l'Elan qui auraient lachées après ces 2 coups de bambous mais, comme le dit joliment le journaliste de l'Equipe, Pau est fait d'un bois dont personne ne connaît à ce jour les propriétés et les joueurs n'ont rien laché.
Vous allez voir que bientôt à -20 on va se dire qu'ils vont revenir, qu'il n'y a pas à s'inquiéter!!
Par contre il faut être extrémement zen devant son écran car à l'image de l'équipe les joueurs passent par tout les états aussi: Wright admirablement servi en début de 3ème 1/4 rate 3 shoots à la suite mais il en marque 2 en fin de match à 3 mètres du panier pas faciles à mettre et il fait 2/2 aux lancers pour repasser devant, Miles débute par du grand n'importe quoi puis dirige bien la manoeuvre ensuite, etc etc...
Et ces sautes d'humeur ne rendent l'équipe que plus sympathique.
Par contre je crois qu'Herbert a testé et trouvé la solution pour reproduire en ProA le boost amené par Bauer en EL: Il présente un 5 Miles, CC, Johnsen, le Rup' et Wright et se garde Ricardo dans le rôle du petit(gros!) plus sur le banc...
J'aimerais bien que cette équipe aille loin car elle a beaucoup de marge de progression et offre à Herbert une foultitude de possibilités de jeu.
Pour terminer 2 choses: je n'ai pas mémoire à l'Elan de l'utilisation d'une press sur remise en jeu utilisée au moins 1 fois par match. Ca fait un peu NCAA mais on a les joueurs pour le faire. 2ème chose, on lache la balle, on ne cherche pas à gérer un +2 ou +4, on tente plus alors que par le passé c'est ces dernières actions que l'on ne savait pas gérer en allant à la limite des 24s et prenant des shoots casse-croûtes. Certes ça coute des balles perdues et hier on a eu notre lot mais ça permet aussi de marquer plus de points "faciles" qui nous mettent à l'abri, la prolongation à partir de 84-84 en est la preuve.
Pourvu que ça dure...

[matt64]

Enorme victoire qui fait du bien c'est sur. J'ai bien aimé les pas de danse de CC et Aaron a la fin sur cette magnifique ruse et passe de Ricardo qui montre un bel état d'esprit. Maintenant la question est de savoir si on va confirmer dimanche, ce que l'on est pas capable de faire après un gros match d'EL. Britton Johnsen a annoncé hier soir qu'il atendait beaucoup de ses fans dimanche contre Le Mans et a promi que le mauvais visage du championnat était terminé... Donc RDV dimanche pour l'occasion de confirmer, en esperant que les supporters répondent présent et une grosse ambiance au Palais, et surtout de tenir parole !!

[alien64]

J'ai trouvé la solution pour gagner dimanche !

Il faut faire croire aux joueurs que l'on joue en euroligue (avec chance ils ne remarqueront pas que les Manceaux ne sont pas dans le même groupe).

[philip_pau]

" L'Elan et ses départs européens "

En signant jeudi soir à Naples sa seconde victoire à l’extérieur en Euroligue, l’Elan est redevenu positif en terme comptable et si ce n’est ni un titre de gloire ni un passeport pour l’avenir (Trévise sera un gros morceau jeudi prochain), il s’agit tout de même de l’un des meilleurs départ du club dans la compétition reine. A telle enseigne qu’il ne s’est produit qu’à deux reprises lors des onze dernières éditions.
Retour sur les départs de l’Elan au plan européen.
96-97 : 3 victoires deux défaites. Séville, Efes Pilsen et Bologne avaient été les victimes des béarnais.
97-98 : 2 victoires, 3 défaites. Si l’Elan dominait le Kinder Bologne et l’Hapoel Jérusalem, il s’inclinait face à Barcelone, Ulker et le Partizan.
98-99 : 2 victoires, 3 défaites.
99-00 : 2 victoires , 3 défaites, l’Elan avait même début par un doublé avant d’enchaîner par huit matches sans succès.
00-01 : 2 victoires , 3défaites. C’était l’année de la Suproligue avec les deux succès sur Luléa et Pésaro.
00-02 : 2 victoires, 3 défaites. L’Elan battait le CSKA et Zadar mais le Pana, le Réal et Podgorica lui coupaient l’herbe sous le pied.
02-03 : 3 victoires, 2 défaites. L’Elan venait à bout de l’AEK Athènes, Bologne et du Cibona.
03-04 : 2 victoires, 3 défaites. L’Elan démarrait par un 0-3 avant de dominer l’AEK et le Partizan.
04-05 : 1 victoire, 4 défaites. Pour un succès en Turquie (Ulker) l’Elan subissait la loi de Frankfort, Vitoria, Malaga et du CSKA.
05-06 : 1 victoire , 4 défaites. Après son exploit à Belgrade, le Réal, Ulker, le CSKA et Sienne brisaient ne la série et il fallut même attendre la première journée des matches retour pour doubler la mise.

Reste que bon ou mauvais départ ne présage en rien de l’avenir dans une compétition de longue haleine et aux hivers toujours délicats à négocier au niveau des voyages notamment…
Ainsi chaque fois qu’il fut positif après 5 journées (96-97 et 02-03), l’Elan resta à quai et vit partir le train de la seconde phase sans lui.
En revanche en 97-98 comme en 03-04, malgré son départ poussif il allait atteindre les quarts de finale (face au Kinder de Rigaudeau puis le Top 16)…
C’est peu dire que c’est au match le match que les béarnais de Gordon Herbert devront gérer leur parcours et surtout penser qu’entre les échéances européennes il y a aussi le championnat. Là ou mieux vaut pour l’heure ne pas s’attarder sur leur départ.


(Source : http://www.elan-bearnais.fr)

[JC]

Eh bé oui! Un super bravo à tous (on va finir par s'y habituer et ce serait dommage).
A la vidéo, j'ai constaté que Ferchaud défendait dur, poitrine contre poitrine, au point de faire rater les passes de son adversaire, alors que Greer excellent par ailleurs, se contentait de lever les bras à 2m de l'adversaire qui shootait à 3 pts sur sa tête. Même remarque pour Bauer qui défend de trop loin.
Quand arrêterons nous d'oublier notre adversaire direct pour suivre bêtement le porteur du ballon. C'est là que se créent les décalages qui s'ajoutent à ceux des systèmes adverses. La plupart des 3 pts ont été tirés dans un fauteuil, ce qui a permis à Cosette de faire ses blagues habituelles. ("Il avait le temps de téléphoner à ses parents...", etc.)
Lorsque ces défauts seront corrigés, avec un Miles qui prend régulièrement sur lui de rameuter son groupe pour des mises au point rapides et qui semble prendre conscience de ses limites, l'Elan sera peut-être comme le disait l'excellent Laurent PLuvy, injouable...
S'il pouvait dire vrai

[Nos]

Quelques petites reflexions après cette victoire qui fait grand bien mais qui ne doit pas occulter l'énorme chantier qui nous attend en championnat de France....
- Bauer : je pense qu'il ne devrait pas tarder à faire ses valises... Primo parce qu'il n'est pas dans les petits papiers d'Herbert, qu'il ne va plus jouer en Championnat de France et que ça ira de mal en pis... Ca m'étonnerait qu'il supporte cette situation longtemps. L'autre problème, c'est que c'est un numéro 4 qui joue vraiment très extérieur... Le bilan actuel est : Euroleague 24 tirs à 3pts tentés pour 16 à 2pts et CdF : 26 tirs à 3pts pour 18 à 2pts. C'est bien d'avoir un 4 capable de shooter extérieur mais là, ça fait quand même beaucoup...
- Miles : je ne sais pas si vous vous souvenez d'une série d'articles parus dans Basket News l'an dernier style 'brèves de comptoir' entre Bergeaud et Beugnot. Y'a un truc qui m'avait marqué, c'est le constat fait par les deux entraineurs qu'ils étaient obligés de former les ricains arrivant en Europe, la NCAA se contentant de former quelques joueurs pour la NBA et pour le jeu NBA. Je pense que c'est ce qui se passe actuellement avec Miles... Il apprend, match après match. J'ai l'impression qu'il progresse. Il suffit d'être patient... (c'est dûr de l'être en ce moment...).

[visiteur]

- Miles : je ne sais pas si vous vous souvenez d'une série d'articles parus dans Basket News l'an dernier style 'brèves de comptoir' entre Bergeaud et Beugnot. Y'a un truc qui m'avait marqué, c'est le constat fait par les deux entraineurs qu'ils étaient obligés de former les ricains arrivant en Europe, la NCAA se contentant de former quelques joueurs pour la NBA et pour le jeu NBA. Je pense que c'est ce qui se passe actuellement avec Miles... Il apprend, match après match. J'ai l'impression qu'il progresse. Il suffit d'être patient... (c'est dûr de l'être en ce moment...).

Moui, c'est peut être vrai de bcp d'Américains venant en Pro A, mais dans le cas présent, Aaron Miles sort de Kansas et je ne suis pas sûr qu'on puisse dire qu'il soit mal formé en sortant de ce genre de fac qui est l'un des meilleurs programmes du pays.

[philip_pau]

" « Un pas vers le Top 16 » "

APRÈS NAPLES - PAU-ORTHEZ. Les Palois ont empoché en Italie un deuxième succès à l?extérieur qui leur permet de faire la course en tête dans le Groupe C.



CC Harrison auteur de 22 points jeudi soir.


Sports Béarn
La montagne était haute, mais l'Elan l'a gravie. Au tiers de la première phase de l'Euroligue, Pau-Orthez a pris place dans la cordée de tête du Groupe C (1). On ne l'y attendait pas forcément vu son programme, plutôt délicat, qui l'envoyait jouer trois fois hors de chez lui et recevoir deux favoris, Barcelone, toujours invaincu après cinq journées, et le CSKA Moscou, second avec une seule défaite, devant Pau-Orthez justement.
Trois victoires, deux revers donc : les Palois sont dans les bons temps de passage pour rallier le Top 16. « C'est bien mais l'on pourrait être en meilleure position encore si nous avions ramené la victoire de Salonique où l'on ne doit pas perdre », souligne CC Harrison, témoignant de l?ambition du groupe.
Si le succès obtenu à Naples, jeudi soir (84-96 après prolongation) n'a pas complètement effacé cet accroc, il a néanmoins confirmé les capacités de l?Elan à exister en Euroligue, ce qui n'avait pas été le cas, ou seulement par intermittence, ces deux dernières saisons.


Capitaliser à domicile. Avec deux victoires obtenues loin du Palais des sports et le bonus empoché devant le CSKA _ on peut penser que les Moscovites, déjà vainqueurs à Naples et Kaunas, ne seront pas loin de faire le plein en déplacement _, les Palois ont mis leurs actions bien à l'abri. Il leur reste désormais à capitaliser à domicile. D'abord contre Trévise, la semaine prochaine, puis lors de la phase retour lorsqu'ils recevront leurs rivaux directs : Fenerbahce, Aris, Naples et Kaunas.
Avec comme objectif d'atteindre le plus rapidement possible le quota de septs victoires _ voire même six avec le point-average _ nécessaire pour valider le billet pour le Top 16.
« Rien n'est fait et personne ne peut dire ce qui va se passer maintenant, prévient cependant Michael Wright, le pivot palois. Ce qu'il faut, c'est continuer à construire pour atteindre le Top 16, mais il est encore trop tôt pour prétendre qu'on est en position favorable ». « Le temps des célébrations n'est pas encore venu, appuie Aaron Miles. C'est une belle victoire que nous venons de signer à Naples. L'Euroligue est une compétition difficile et quand on est en position de gagner à l'extérieur, il ne faut pas laisser passer cette chance. Mais il reste encore beaucoup de matchs et il va falloir rester concentrés sur ce qui reste à faire ».


Succès d'équipe. Le plus enthousiaste de tous était peut-être Gordon Herbert, ce qui peut surprendre quand on connaît la retenue habituelle du coach canadien. « C'est une victoire importante dans une salle difficile, soulignait-il. Excepté le troisième quart-temps, où nous avons commis beaucoup d'erreurs, nous avons combattu d'un bout à l'autre du match. C'est un vrai succès d'équipe dans lequel dix joueurs se sont investis. Et nous avons accompli un pas important vers le Top 16. Avec cette deuxième victoire à l'extérieur, nous nous sommes vraiment rapprochés du Top 16 ».
Un sentiment que l'Elan devra confirmer, la semaine prochaine face à Trévise, qui vient d'étriller l'Aris Salonique dans un match horrible en terme de qualité offensive (64-42), où le capitaine italien Matteo Soragna (19 pts) et l'intérieur de l'Aris Jeremiah Massey (12 pts, 10 rbds), l'homme qui fit tomber l'Elan à Salonique, furent les seuls à produire un basket digne de l'Euroligue. Quant à la même heure à Naples, Pau-Orthez étalait un arsenal conséquent avec cinq joueurs (Harrison, Wright, Greer, Johnsen et Miles) à douze points et plus.
(1) Le classement : 1. Barcelone (5v-0d), 2. CSKA Moscou (4v-1d) ; 3. Trévise, Pau-Orthez (3v-2d), 5. Aris (2v-3d), 6. Kaunas, Fenerbahce, Naples (1v-4d).


(Source : http://www.sudouest.com)














" Le pourquoi d'un paradoxe "

A son affaire en Euroligue, Pau-Orthez n'est pas ç sa place en Pro A. Tentatives d'explications.

- L'approche mentale. Pour Gordon Herbert, il n'y a aucun doute : les joueurs ne préparent pas les deux compétitions de la même façon.
" En Coupe d'Europe, je sens chez eux cette peur qui fait avancer, assure le coach. Ils ont cette peur de prendre 20 points, de ne pas être à la hauteur. A partir de là, ils se motivent tous seuls ".
On l'a particulièrement vérifié lors de l'exploit face au CSKA Moscou ou encore la semaine dernière, quand l'équipe a joué au Dr Jekyll et Mister Hyde en montrant deux visages si différents de Salonique à Paris. La remarque vaut aussi pour jeudi soir à Naples avec 35 minutes d'excellente facture.

- La fatigue. A prendre en compte, d'autant que Herbert ne profite pas pleinement de la longueur du banc palois en fermant de plus en plus les rotations même si, en Italie, dix hommes ont été sollicités. Par ailleurs, de tout temps à jamais, il n'est pas simple de remttre le métier sur l'ouvrage 48 ou 72 heures après un combat européen face à des adversaires sui, reposés et vidéo à l'appui, se sont appliqués à décortiquer votre jeu. Voilà pourquoi, le niveau général de la Pro A ayant été nivelé par l'arrivée massive d'étrangers, il ne faut pas s'étonner de voir Roanne (1e), Chalon (2e), voire Le Havre (5e) tenir les premiers rôles. Ces clubs ne disputent pas d'épreuves européennes.

- Des joueurs en question. On ne reviendra pas sur le cas de Michael Bauer, otage bien involontaire d'une sorte de bars de fer entre l'entraîneur et la direction du club. Désormais, et en principe pas au-delà de la première phase d'Euroligue, son énergie sera utilisée uniquement en semaine. Plus de Pro A donc pour l'ancien Roannais victime aussi du règlement de la Ligue Nationale, jusqu'à nouvel ordre. A moins que l'arrivée, improbable, vu le tarif, d'Alain Digbeu ou d'un meneur communautaire ne permette de contourner le problème en sa faveur. En effet, Aaron Miles a du mal dans le money-time. Irrégulier aux tirs (5/11 à Naples), il ne pèse pas assez sur le jeu dans les moments immédiat, Pierre Seillant avait d'ailleurs admis en début de semaine " s'être remis à l'écoute du marché ". En Italie, Miles a toutefois essayé d'apporter d'autres choses, du rebond par exemple (8 prises).

- La défense. Une catastrophe. Dernière de Pro A, la défense paloise a concédé.......89 points en moyenne lors de ses trois plus récentes sorties nationales ! A contrario, les Manceaux alignent le troisième plus solide rempart de la division mais disposent surtout d'une véritable phalange d'athlètes susceptibles de détruire n'importe quel adversaire. Ils l'ont encore démontré le week-end dernier en tenant Strasbourg sous la barre des 60 points. " Sur la durée, nous avons un effectif suffisant pour gagner des matches en championnat ", essaie de se convaincre Pierre Seillant en s'appuyant sur la vérité des chiffres (1) pour démontrer que, finalement, le fauteuil de leader en saison régulière ne sert plus à grand-chose par la suite.
Certes, mais avec déjà trois succès de retard par rapport au trio de tête il ne faudrait plus trop traîner en route.

(1) Depuis la saison 2002-2003, le vainqueur du championnat régulier ne parvient même pas en finale des play-offs.


(Source : La République des Pyrénées)

[Reiiel]

Des joueurs en question Plus de Pro A donc pour l'ancien Roannais victime aussi du règlement de la Ligue Nationale, jusqu'à nouvel ordre. A moins que l'arrivée, improbable, vu le tarif, d'Alain Digbeu ou d'un meneur communautaire ne permette de contourner le problème en sa faveur. En effet, Aaron Miles a du mal dans le money-time. Irrégulier aux tirs (5/11 à Naples), il ne pèse pas assez sur le jeu dans les moments immédiat, Pierre Seillant avait d'ailleurs admis en début de semaine " s'être remis à l'écoute du marché ".

Encore une fois, on sous-entend que l'arrivée de Digbeu libérera une place pour Bauer....
Et comme le dit Philip dans l'autre topic, un petit briefing au niveau de la communication au sujet de Miles pourrait être nécessaire entre Herbert et Seillant.

[Jerome]

Des joueurs en question. On ne reviendra pas sur le cas de Michael Bauer, otage bien involontaire d'une sorte de bars de fer entre l'entraîneur et la direction du club. Désormais, et en principe pas au-delà de la première phase d'Euroligue, son énergie sera utilisée uniquement en semaine. Plus de Pro A donc pour l'ancien Roannais victime aussi du règlement de la Ligue Nationale, jusqu'à nouvel ordre. A moins que l'arrivée, improbable, vu le tarif, d'Alain Digbeu ou d'un meneur communautaire ne permette de contourner le problème en sa faveur. En effet, Aaron Miles a du mal dans le money-time. Irrégulier aux tirs (5/11 à Naples), il ne pèse pas assez sur le jeu dans les moments immédiat, Pierre Seillant avait d'ailleurs admis en début de semaine " s'être remis à l'écoute du marché ". En Italie, Miles a toutefois essayé d'apporter d'autres choses, du rebond par exemple (8 prises).
(Source : La République des Pyrénées)

A lire La Rep depuis quelques temps, je crois qu’ils ont choisi le camps de la direction, si tant est qu’il y ait réellement deux camps. Analyse comme ça en passant...