[1/2 Finale Aller des Playoffs] Le Mans: 75 / Pau-Orthez: 66

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philip_pau
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Message par philip_pau »

[center]Image1/2 FINALE DES PLAYOFFS DE LA LFBImage[/center]









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" 1/2 Finale ALLER des PLAYOFFS, Image Le Mans (5e) / Image Elan Béarnais Pau-Orthez (1er) "
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[center]ImageImage 1/2 FINALE ALLER ImageImage[/center]












" Le Mans / Pau-Orthez "


Dans la seconde demi-finale, le coach manceau Vincent Collet a prévenu que le match aller serait primordial. Une défaite des Sarthois les obligerait en effet à s’imposer eux aussi deux fois de suite à Pau. Yannick Bokolo et Pape-Philippe Amagou vont devoir surveiller de près l’arrière palois C.C. Harrison en défense tandis que les Béarnais devront contenir l’intérieur manceau Alain Koffi dans la raquette.


(Source : http://www.lnb.fr)











" Le Mans face à son destin "


Même son de cloche pour Vincent Collet, l’entraineur du Mans, dans les colonnes de Sud-Ouest : « On joue très gros sur ce premier match. Pour nous, c'est déjà une finale. Gagner ne garantit rien, mais c'est la condition nécessaire pour continuer à exister. Je ne me fais aucune illusion sur nos chances si on venait à perdre cette première manche. En Play-offs, le match 1 conditionne beaucoup de choses. On a payé pour le savoir il y a deux ans, en demi-finale, contre Gravelines : on passe de peu à côté de la victoire au Sportica, on gagne de 35 pts le match 2 à Antarès et on perd la belle chez nous de quatre points... » Comme dans l’autre affiche de la rencontre, le favori reste le mieux classé de la saison régulière, Pau, le leader. Les Béarnais ont en plus rencontré et battu à 3 reprises les partenaires de Jermaine Guice, le MVP de l’an passé, 2 fois en championnat dont une à Antarès, plus en Coupe de France. Mais les hommes du président Seillant doivent se méfier. Après une entrée mitigée dans ces Play-offs face à Bourg-en-Bresse (2-1), les Sarthois ont étrillé l’ASVEL en quarts de finale (2-0) et semblent sur la pente ascendante, tandis que les Béarnais avaient toutes les peines du monde dans le même temps pour se débarrasser de Cholet (2-1). Dans cette affrontement de style entre la meilleure défense de la saison régulière, Pau, et la 3e attaque, Le Mans, Didier Gadou pourra compter sur son virevoltant duo d’Américains Lonnie Cooper-CC Harrison, ainsi que sur un «Lolo» Foirest revenu à son meilleur niveau après sa longue absence (tendon rotulien). Mais en face, les jumpers fous Amagou, Bokolo et Koffi ne l’entendent certainement pas de cette oreille.


(Source : http://www.sport24.com)












" Le Mans - Pau Orthez "

Il est «essentiel», pour l'entraîneur manceau Vincent Collet, de s'imposer d'entrée à domicile. «Ensuite, notre adversaire sera dos au mur lors de la deuxième manche. Il faudra donc être très consistants dans le registre défensif et sur la durée, comme on avait bien su le faire face à l'ASVEL. Mais attention, les Palois disposent d'un gros potentiel en terme de tireurs à longue distance». A noter, ce premier acte joué face aux Palois sera aussi le dernier match à domicile du capitaine manceau J.D. Jackson. A 37 ans, le Franco-Canadien a en effet décidé de mettre un terme à sa carrière.

De son côté l'Elan Béarnais, se présentera soulagé d'avoir décroché son billet pour disputer «au moins une année d'Euroligue», a expliqué l'entraîneur Didier Gadou qui pourra disposer d'un effectif complet. Seul Demetrius Alexander, qui soigne un genou encore douloureux, sera absent à l'appel du côté des Palois qui n'ont plus perdu en demi-finale depuis 2000 et qui restent sur trois victoires face aux Sarthois cette saison dont un cinglant 80-63 début mai à Antarés. «On retrouve de la fraîcheur dans notre jeu en cette fin de saison et nous revenons à un niveau intéressant même si ce sera difficile à l'intérieur. Mais cela, on le savait depuis les blessures de Sales et de Fuller», a souligné Gadou.


(Source : http://www.lequipe.fr)










" Trois questions à Thierry Rupert "


Alain Koffi, Eric Campbell, Husayin Besok: si le danger manceau ne se résume pas au secteur intérieur, le chantier reste impressionnant, les deux premiers ayant désormais pris le pas sur le géant turc ce qui n’est pas peu dire…
Il va donc y avoir du pain sur la planche dans la peinture. Thierry Rupert qui sera l’un des acteurs de cet espace réservé aux costauds ou aux échassiers pense même que ça peut-être la clé de la série entre béarnais et sarthois.

L’Elan mène actuellement 3-0 face au Mans jusque là: est-ce un avantage ou un inconvénient ?C’est un avantage puisque ça veut tout de même dire qu’on est capable de les battre… Mais il faut oublier, c’est une autre compétition qui recommence. On sait de toute façon qu’eux n’ont pas oublié et qu’ils seront revanchards par rapport à ça aussi… »

Que craignez-vous le plus chez votre adversaire ?
Justement cet esprit de revanche… Et puis le fait que depuis quelques années ils font des play-off malheureux alors que chaque année ils visent le titre.
Sinon, c’est une grosse équipe, athlétique qui défend dur, qui court aussi… Il faudra être prêt tout le temps car le défi athlétique qui nous est proposé ne sera pas de tout repos.»


Sur quoi peut se jouer cette série ?
« On a l’avantage du terrain c’est indéniable… Mais le Mans a été le numéro un des succès à l’extérieur cette année… Donc ? Je ne pense pas que l’on se dirige vers des oppositions très offensives. A partir de là ce sont tous les détails qui vont compter jusqu’aux plus petits. Celui qui va le mieux contrôler son rebond aura les meilleures chances même si en basket il y a tant de choses qui peuvent se produire







" L'Elan au défi d'Antares... "

Est-ce le calme qui précède la tempête ? Et si oui de quel côté soufflera-t-elle ? Du palais des Sports pas plus que d’Antares n’ont filtré la moindre info, ce qui en est une, puisqu’il n’y en n’eut pas de mauvaises.
C’est dire si les béarnais et les sarthois ont œuvré et peaufiné dans le calme et la sérénité leur 4ème rendez-vous de la saison, de loin le plus important d’entre tous dès lors que les uns ou les autres sont désormais à 80 ou 120 minutes de Bercy. Avec 10 jours plein pour des manceaux expéditifs face à l’ASVEL, et deux de moins pour l’Elan poussé à une belle par de braves choletais.
Ce qui, in fine, renforce l’énigme qui plane au dessus de cette série et repose l’éternelle question du calendrier de fin de saison : vaut-il mieux, à l’heure où l’été se dessine timidement mais sûrement, prolonger les plages de travail ou bien enchaîner les matches ?
Le voile, un partie au moins, va se lever ce samedi soir (20h) dans une salle où l’Elan ne devra plus compter que sur lui même, quand bien une quarantaine de valeureux Péones, ont effectué le voyage pour le soutenir. Antares est en effet annoncé chaud bouillant même si le prélude au 24 heures auto bat son plein et dilue l’événement dans une ville toujours éventrée par les travaux du futur tramway, et les manceaux, en quête de gloire et d’Euroligue très rebelles et vengeurs. Bref, toutes choses qui enrobent naturellement une demi-finale. Et qui ne devraient pas surprendre outre mesure des béarnais rompus à l’exercice depuis des lustres.
Non le défi qu’ils ont à relever reste celui de la qualité fort logiquement prêtée à des sarthois, et remise en lumière depuis que Jermaine Guice et Husayin Besok ont été replacés en réserve du cinq de départ. Au profit d’Alain Koffi , Yannick Bokolo sans compter Eric Campbell qui sont aujourd’hui au Mans ce que Marquis et Wilson étaient à Cholet, de vraies locomotives.
En quatre manches, les deux dernières contre Bourg et les deux suivantes face à Villeurbanne, les manceaux ont retrouvé l’élégance et l’efficacité de l’escouade victorieuse du tournoi des As en février. C’est dire si de l’état de crise à celui de l’extase, il y a bien peu…
L’adversaire a donc des jambes de feu, et de la qualité en réserve.
L’Elan n’ pas débarqué dans la Sarthe, vendredi en milieu d’après midi, les pieds nus et les mains vides… Il y a d’abord cette formule (quel débat là encore) qui met incontestablement les locaux dans l’obligation de s’imposer dans la mesure ou battre deux fois l’Elan dans son antre leur paraît être une mission bien audacieuse, même si le récent accroc choletais est de nature à donner des idées…
Et puis, on touche du bois, la porte de l’infirmerie est restée fermée cette semaine, hors ordinaire s’entend. La petite alerte née du genou d’Alexander récalcitrant lundi matin ayant été déclarée nulle et non avenue dès mercredi matin. Le joker médical de Brooks Sales, si précieux le 5 mai dernier ici même, s’est donc remis à l’ouvrage comme si de rien n’était.
Enfin et malgré son état de reconstruction quasi permanente, l’Elan retrouve peu à peu des couleurs et une assise collective qui lui a valu de battre un Cholet dont il continue de penser qu’il avait un vrai label play-off…
Huit jours de répétition supplémentaire, d’un travail qui fut parfois physique parfois de minutie, devront sans conteste avoir favorisée une montée en pression collective. De façon à pouvoir défier le nouvel ogre du championnat les yeux dans les yeux.
Quand bien même sur le coup de 22 heures, il n’y aura jamais que 1-0 pour le vainqueur, 1-0 et la certitude d’avoir aiguisé la rancoeur du vaincu… Si l’on veut bien admettre qu’entre les deux rivaux, ça devrait se jouer sur peu de choses…



(Source : http://www.elan-bearnais.fr)










" La gloire et la fortune "


Quiétude à Pau. Seule équipe assurée, à ce jour, de disputer l'Euroligue la saison prochaine, l'Elan Béarnais monte à l'assaut du Mans avec une étonnante tranquilité, en " outsider " ose même son direx, le rusé Pierre Seillant , qui sait mieux que personne qu'une place en finale offre aux Palois, dans tout les cas de figure, le sésame de trois ans en Euroligue !
Après un quart copieux face à Cholet, l'Elan a levé les coeurs. Mais son physique a été sollicité et son secteur intérieur, recomposé, bredouille encore parfois. Thierry Rupert " pige " au poste cinq, Josh Asselin apporte de la mobilité et Demetrius Alexander aime le jeu au large. " On est effectivement un peu déficients dos au panier mais on a des atouts à l'extérieur. On monte doucement en régime ", dit posément Didier Gadou, qui sait que Le Mans devra venir s'imposer au moins une fois en Béarn, ce qu'il n'a pas fait depuis le 25 mars 1984. C'était à la Moutète et Le Mans l'avait emporté...d'un point (84-83) ! Il a noté aussi que cette saison, en trois confrontations, Pau a systhématiquement dominé le MSB. Enfin, la dernière fois que les deux équipes ont croisé le fer en playoffs, c'était déjà en demi-finale, en 2000-2001, et Pau l'avait emporté deux manches à zéro.
Mais depuis quinze jours, l'air au Mans est à nouveau léger et le MSB se retrouve porté par le souffle de l'ambition. Pesante et tendue, la fin de saison régulière est enfouie sous les mouchoirs. Jermaine Guice et Vincent Collet ne sont pas forcément tombés d'accord sur tout mais ils luttent ensemble. " Au bout du compte, on veut tout les deux gagner ", résume l'arrière US manceau. Dès ce soir, Le Mans va sans doute monter les barricades, sonner le toscin défensif, dans le sillage de ses deux généraux, Kenny Gregory et Alain Koffi.
" Gagner à Antarès, c'est la condition nécessaire pour espérer se qualifier. Il faudra défendre très dur et proposer une vraie alternance en attaque face à l'équipe la plus physique de Pro A. Il faudra les faire bouger ", explique le coach manceau, Vincent Collet, dont les troupes semblent à nouveau sur le chemin de la révolte...










" La mue du Mans "

Moribond à l'ouverture des playoffs, le vainqueur des As a repris vie depuis quatre matches. A confirmer face à Pau.


QUAND ON LUI A PARLE de la résurrection du Mans dans les coursives d'Anatrès, le visage de Pape-Philippe Amagou s'est éclairé, presque moqueur. " Une résurrection, carrément ! s'est esclaffé le meneur français. Ca veut dire qu'on était mort avant ? " Non, évidemment. Mais à l'entame des phases finales, le collectif du MSB n'en menait plus très large. Pour avoir mal fagoté sa fin de saison régulière - cinq défaites sur les huit derniers matches - , l'équipe dirigée par Vincent Collet s'était même retrouvée en danger lors du tour préliminaire après sa défaite inaugurale à Bourg.
Pourtant, la formation sarthoise a ressaisi le fil ténu du succès et ne lâche plus depuis deux tours et quatre matches de playoffs. Résultat, après avoir lessivé Villeurbanne en deux manches sèches, c'est une équipe reviviscente qui s'attaque aujourd'hui à un ours palois, forcément affamé après une saison vierge de tout titre.
Le secret de cette transformation subite se trouve sans conteste dans les dossiers de Vincent Collet qui n'a oas hésité à modifier en profondeur le cinq majeur : exit ses deux joueurs d'impact, Jermaine Guice (33 ans) et l'international turc Huseyin Besok (31 ans), priés de se rasseoir sur le banc. " Mon rôle n'a pas changé pourtant, plaide l'arrière américain. Dès qu'une opportunité se présente , je rentre sur le terrain. la victoire de l'équipe est plus importante que mon statut. Les gens m'observent beaucoup , car j'ai été élu MVP du Championnat l'an passé. Mais c'était au Havre ou j'avais beaucoup la balle. Au Mans, les joueurs capables de faire la différence sont plus nombreux ".

Autour des deux américains , Kenny Gregory et Eric Campbell, gambadent donc désomrais un trio de jeunes Français qui se connaissent bien : Yannick Bokolo, Alain Koffi et Pape-Philippe Amagou. " Il fallait changer, explique ce dernier, fidèle au maillot tango et violet depuis ses débuts en Pro A, il y a cinq saisons déjà. Nous étions moins bien et nous avions du mal à trouver les bonnes réponses à nos questions ".
La nouvelle formule marche, du moins tant que les " stars " jouent le jeu. " Mais regardez Jermaine (Guice) contre l'ASVEL, sans lui, on ne gagne pas ! ", reprend Amagou.
Remplaçants ou titulaires, Collet balaie lui aussi toutes ces notions d'un revers de la main. " Je veux que les joueurs n'oublient pas ou on était encore il y a trois semaines, martèle celui qui n'a plus coaché contre Pau en playoffs depuis sa première saison sur le banc manceau, en 2000-2001. Je veux que l'on conserve cette même envie de prouver à tous. Que l'on garde en mémoire, aussi, ce match du 5 mai dernier quand Pau est venu nous humilier à domicile (63-80). Mon message est simple: je veux inoculer la rage à ce groupe ! En éliminant l'ASVEL en quart, on a simplement gommé notre mauvaise fin de saison. Si on atteint la finale du Championnat, alors seulement on pourra parler de résurrection ". Quitte à faire rire Amagou.


(Source : Le Journal L'Equipe)











" Antarès, terre de vérité "

LE MANS - PAU-ORTHEZ. Coup d'envoi du duel entre Manceaux et Palois, -- ce soir, dans la Sarthe. Un premier match qui pourrait dicter la suite de cette série.


Image
Laurent Foirest. Trois jours après avoir appris son retour chez les Bleus, l'ailier sera l'une des armes de l'Elan, ce soir au Mans.



PRO A (DEMI-FINALE)

Un quart de finale en 1998, une demie en 2001 : Pau-Orthez et le Mans ne se sont pas souvent croisés sur la route du play-off. De ces deux duels, les Palois gardent un souvenir au goût sucré, puisqu'ils avaient marqué une étape décisive vers la conquête de leur cinquième et septième titres de champions de France.
Souvent pressentis sur le podium depuis leur retour au sommet, au début des années 2000, les Sarthois ont toujours dérapé dans le virage précédant la ligne d'arrivée. Premiers de la phase régulière en 2004 et 2005, ils avaient fini dans le décor devant Gravelines en demi-finale et Nancy en quarts. Deux éliminations traumatisantes puisque vécues sur le parquet d'Antarès.


Clé. Cela n'arrivera pas cette année : nø 5 dans le tableau du play-off, le MSB n'a bénéficié de l'avantage du terrain qu'en barrages, devant Bourg (2-1). S'il veut aller en finale, il lui faudra donc rééditer son exploit des quarts, quand il est allé chercher sa qualification à l'Astroballe, au terme d'un partie bien maîtrisée (61-70). Mais pour Vincent Collet, la clé dans ces séries demeure le premier match : « Pour nous, la venue de Pau-Orthez, c'est déjà une finale. Je ne me fais aucune illusion sur nos chances de qualification si nous perdons cette première rencontre », avoue le coach sarthois.
A Pau, Laurent Foirest assure lui aussi que « le moindre faux pas ne pardonnera pas », ce qui donne le ton d'un duel qu'on n'attend pas autrement que cadenassé, hyperdéfensif, intense et aussi indécis que l'ont été deux des trois précédents cette saison (66-64, 60-57 et 80-63 pour l'Elan). « Le fait de les avoir déjà battus trois fois nous donne un petit ascendant psychologique mais ce ne sera pas si simple », prévient l'ailier dont la présence dans ce play-off a convaincu Claude Bergeaud, le sélectionneur national, de l'intégrer à la liste des douze pour le Mondial au Japon, fin août.
Pas si simple car, Foirest le sait bien, les Manceaux ont retrouvé la sérénité qui les avait quittés le temps que dura la discorde entre Vincent Collet et l'arrière Jermaine Guice. « Ca ne sera pas la même équipe du Mans que lors de notre dernière victoire à Antarès, début mai, glisse-t-il. Ils sont aujourd'hui sur une bonne dynamique. Gagner à Villeurbanne comme ils l'ont fait, c'est fort ! »


Défense de fer. Incontestablement, Le Mans a les armes pour dominer Pau-Orthez : deux vrais pivots complémentaires, l'aérien Alain Koffi et le massif turc Huseyin Besok (2,12 m); des extérieurs aux qualités athlétiques impressionnantes (Bokolo, Campbell, Amagou); un clutch-player, Jermaine Guice, capable de mettre le tir décisif.
« Ils ont des joueurs excellents à tous les postes et un jeu très physique, observe Artur Drozdov, mais on les a déjà battus trois fois et je ne vois pas pourquoi on ne serait pas capables de le refaire. » Précieux contre Cholet dans la conquête du rebond, au soutien d'un secteur intérieur fragile, l'ailier ukrainien pose une condition : « Etre prêt au combat. » Car entre la meilleure défense de la saison régulière (Pau avec 69,8 pts) et celle du play-off (Le Mans avec 64 pts), les barbelés seront encore de sortie, ce soir à Antarès.


(Source : http://www.sudouest.com)












" L'Elan , outsider pas ordinaire "

Les Palois, invaincus en demi-finales depuis 2001, abandonnent aux Manceaux la place de favoris. Pour mieux les croquer ?


La phrase, spontanée, a pu surprendre. Depuis, elle prête à sourire chez ceux qui connaissent le savoir-faire palois en matière de phases finales. " Nous seont outsiders face au Mans ", lançait en effet Pierre Seillant si tôt la qualification.
Info ou intox ? Le " prési " faisait allusion aux réels dommages causés à l'intérieur par les blessures conjuguées de Brooks Sales et Hiram Fuller. " Sincèrement, je crois que ce sera difficile face au Mans car on ne s'est toujours pas bien remis de la perte de nos deux tours jumelles ", estime-t-il encore aujourd'hui avant de retrouver le club sarthois pour la première fois en playoff depuis une demi-finale gagnée (2 manches à 0) en 2001.
Mais cela fait-il pour autant de l'Elan, déjà titulaire de 12 finales du playoff et invaincu à ce stade de la compétition depuis son duel avec Limoges en 2000, un outsider ordinaire ? Un invité surprise contraint à l'exploit pour connaître enfin la joie de jouer le titre sous les sunlights de Bercy ?

[center]L'humiliation d'Antarès[/center]

Ce serait faire peu de cas de l'avantage du terrain dont les Béarnais, sortis du championnat régulier avec le dossard de numéro 1, bénéficieront encore la semaine prochaine, mardi puis samedi si besoin.
Ce serait aussi tenir pour quantité négligeable le fait que l'équipe de Didier Gadou s'est déchargée d'un poids en assurant déjà, pour un an au moins, la prolongation de son bail en Euroligue (1).
" Il y a un peu plus de fraîcheur dans notre jeu et on revient en cette fin de saison à un niveau intéressant " , admettait d'ailleurs l'entraîneur palois après avoir vu Cholet rendre son dernier souffle.
Comblé par la réaction de ses joueurs, il n'ignore pas que Le Mans, encore jamais venu s'imposer au Palais des Sports et humilié à Antarès début mai, 63-80, nourrit maintenant un légitime sentiment de revanche.
Vincent Collet n'en fait aucun mystère ( lire par ailleurs) et, à ses yeux, les trois succès palois déjà engrangés cette saison contre le MSB (2) constituent avant tout une excellente source de motivation. Expéditif en quart de finale contre l'ASVEL, le technicien sarthois, porté par 4 victoires consécutives, sait aussi que l'effectif, mis cette année à sa disposition, a rarement été aussi complet et séduisant.
3e meilleure attaque du championnat, et 4e défense, son équipe, dangereuse à tous les postes, fait de plus un effort sensible pour protéger sa raquette depuis le début de la phase finale.
Avec seulement 63 points concédés en moyenne contre Bourg puis Villeurbanne, elle a même abaissé sa moyenne défensive de 20 unités ! Et , jusqu'à preuve du contraire, la défense a souvent constitué le meilleur des arguments pour tailler la route le plus loin possible en playoff.
Ces nouvelles dispositions font-elles pour autant du Mans, vu à la peine en fin de saison régulière, le favori de la série de matches qui s'annoncent ?
Rien n'est moins sûr. Régulier au plus haut niveau depuis 3 ou 4 ans, ce club, dont le dernier titre commence à dater un peu (1982, sans compter la Coupe 2004), connaît des difficultés chroniques au moment de conclure.
Le genre de faiblesse que l'Elan, un peu à l'étroit dans son costume inhabituel d'outsider, pardonne rarement.

(1). En cas d'élimination face au Mans, les 3 années garanties d'Euroligue passeraient par une victoire de Nancy en finale.
(2). Victorieux au Mans, l'Elan s'était aussi imposé 66-64 sur son terrain et 60-57 en quarts de la Coupe de France.













" Trois questions à Vincent Collet, entraîneur du Mans "

La République des Pyrénées : " Avant le résultat du match d'appui Pau-Cholet, vous faisiez part de votre souhait de retrouver l'Elan en demi-finale. Alors, comblé ?
Vincent Collet : Ce n'était pas de l'humour car, pour nous, Cholet représente toujours plus ou moins un derby. 'est moins facile à gérer. Avec Pau, je me retrouve dans une approche de match comparable à la situation vécue en quarts contre l'ASVEL, et cela nous a réussi. Là encore, nous n'avons pas l'avantage du terrain mais je sais qu'il y a un sentiment de revanche chez mes joueurs. Car si nous avons déjà perdu 3 fois face à l'Elan, dont une à domicile, il y a aussi eu cette défaite un peu injuste au Palais des Sports (66-64) au mois de janvier, et en plus l'élimination en Coupe de France. Cela fait beaucoup.

La République des Pyrénées : On a le sentiment que vos échecs répétés en playoffs après avoir dominé les saison régulières 2004 et 2005, vous ont rendu plus dur. Quelles leçons en avez-vous tiré ?
Vincent Collet : La première fois, on avait vraiment dominé le championnat, ce qui a moins été le cas en 2005. Je garde donc toujours de gros regrets par rapport à la première année, car là, nous devions être champions. L'an passé ( élimination en quart), je pense qu'il y avait moins d'écart entre les prétendants au titre. La leçon retenue est que, en playoffs, il faut savoir se transcender en défense comme en attaque. Or, nous étions trop limités en attaque. Voilà pourquoi on a construit une équipe au potentiel offensif plus important.

La République des Pyrénées : Donc l'objectif, c'est le titre ?
Vincent Collet : Oui, mais en sachant que tout se joue sur un coup de dés dans les dernières semaines. Le playoff, c'est vraiment une autre compétition et on a déjà eu du mal à se maintenir dans le haut du tableau en fin de saison régulière. Maintenant, c'est vraiment chaud ! Il faut répondre présent dans les momenst clés, franchir un cap mentalement, sans régresser sur ce qui a fait notre force : la régularité ".






" Le Mans fanny à Pau "

L'Elan a joué 426 fois en rencontres officielles ( toutes compétitions confondues) depuis la création du Palais des Sports. il s'est incliné moins d'une vingtaine de fois sur son parquet fétiche dans le cadre du championnat régulier. Ses tombeurs dans la Cité royale se comptent au nombre de dix et il est à noter que Le Mans n'en fait pas encore partie à ce jour.
Les auteurs de ces perfs sont : l'ASVEL et Cholet (4 fois chacun), Gravelines (3), Limoges et Strasbourg (2), Dijon, Antibes, Paris, Chalon et Reims.
Les Manceaux se sont totuefois imposés à Orthez, en 1984, quelques jours après la victoire béarnaise en Coupe Koarc.


(Source : le Journal la République des Pyrénées)






Ce soir, à 20 h, au Mans, salle d'Antarès, Le Mans reçoit l' Elan Béarnais Pau-Orthez.


Arbitres : MM. Castano, Bretagne et Chambon.


Match à suivre sur le live de la Ligue, http://www.lnb.fr et à la radio, sur France Bleu Béarn (102.5)
Modifié en dernier par philip_pau le 05 juin 2006 22:44, modifié 2 fois.
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Karamasof
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Message par Karamasof »

Quand philip se déchaine... :lol:
Tu peux laisser un peu de place pour nous?
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Message par philip_pau »

Karamasof a écrit :Quand philip se déchaine... :lol:
Tu peux laisser un peu de place pour nous?

Oui, sans problème :o
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Message par Invité »

Bonjour, je viens de découvrir ce forum il y a quelques jours, donc pourquoi pas y intervenir étant un fan de l'ebpo.
Ce soir, c'est le gros match a ne pas rater!
C'est une grande marche vers la finale pour le titre de champion mais aussi pour ce ranking de 3 ans que l'asvel et nancy peuvent encore nous piquer.
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Message par Karamasof »

michel a écrit :Bonjour, je viens de découvrir ce forum il y a quelques jours, donc pourquoi pas y intervenir étant un fan de l'ebpo.
Ce soir, c'est le gros match a ne pas rater!
C'est une grande marche vers la finale pour le titre de champion mais aussi pour ce ranking de 3 ans que l'asvel et nancy peuvent encore nous piquer.
FAUTE ! C'est Strasbourg et Le Mans qui peuvent nous le prendre...
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Message par Invité »

Oups!!!!Autant pour moi, en plus je le savais.
Je commence a perdre la tête moi. :(
Moi je vois bien une victoire a l'arrachée de l'élan.
Et brook Sales? on a une chance de le revoir en playoffs?
Il s'était blessé en mars pour 3 mois.
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Message par Invité »

mon cher michel, sache que Brook ne reviendra pas pour cette année et comme je ne pense pas qu'on le garde l'année prochaine, on ne le reverra pas jouer sous les couleurs paloises. A moins que...
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Message par Karamasof »

Bon sinon, coup d'envoi dans 10 petites minutes. La pression monte...
(je dis ça parce qu'on à pas l'impression d'être à 10 minutes d'une demi finale... A croire que tout le monde est au grand prix de Pau :o ).
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Message par Invité »

Le grand prix de pau, ça perd un peu en popularité!!!!!!!!!!!!!!!
Allez l'élan, j'espère que josh va assurer dessous.
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number7
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Message par number7 »

Bonne entrée en matière pour l'instant... ils ne sont pas trop rouillés

8-15 : 3 pd de Lonnie et 100 % de réussite pour Harrison, Alexander, Drozdov... C'est bien... et Alexander démarre

et Strabourg qui passe devant sur un 3 pts de Linehan à la 36e alors qu'ils ont été mené quasiment tout le match.
Modifié en dernier par number7 le 03 juin 2006 20:11, modifié 1 fois.
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Message par Karamasof »

17-12 pour PAU, bon début...
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bobbylaguepe
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Message par bobbylaguepe »

-2 pour Nancy avec deux lancers de Zianveni à suivre.... 39eme
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Karamasof
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Message par Karamasof »

C'est serré entre NANCY et SRASBOURG! 76-76
Modifié en dernier par Karamasof le 03 juin 2006 20:15, modifié 1 fois.
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Message par Invité »

pour le moment, on est en place... c'est bien, continuons comme ça!
Modifié en dernier par Invité le 03 juin 2006 20:16, modifié 1 fois.
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bobbylaguepe
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Message par bobbylaguepe »

76 partout c chaud à Starsbourg!
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