[center]
[/center]
[updown][center]
PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
[scroll][center]
[/center][/scroll]
[updown][center]
PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
[center]
12eme JOURNEE : Match ALLER[/center]
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ
[center]
/[/center]
[right]
LE MANS[/right]
" Pau-Orthez (4-7) – Le Mans (5-6) "
Plutôt bien parties en Euroleague, ces deux équipes connaissent un début de championnat assez catastrophique. Si les Manceaux restent sur un succès face à Strasbourg, Pau-Orthez s’est par contre incliné à Paris la semaine dernière et pointe en position de relégable. Le sursaut pourrait venir des jeunes joueurs tels que Yannick Bokolo pour le MSB ou Xane D’Almeida pour l’Élan Béarnais.
(Source :
http://www.lnb.fr)
" Pour lancer la saison "
Conquérant sur la scène européenne, Pau-Orthez accueille le champion manceau avec la volonté de lancer enfin sa saison en Pro A.
Battus à Paris, Greer et les Palois doivent rebondir contre Le Mans.
Le choc de la journée :
Brillant en Euroligue, poussif en championnat. Jusqu’au week-end dernier, ce constat pouvait aussi bien concerner Pau-Orthez que Le Mans. Ce n’est plus vraiment le cas. Vainqueur de Strasbourg avec la manière (63-55) samedi dernier, les Sarthois ont coulé sur le parquet du Dynamo Moscou en milieu de semaine (74-57). A l’inverse, Paris a réalisé un gros coup en s’imposant à Naples jeudi (84-96), quatre jours après avoir subi un 3e revers consécutif en Pro A sur le parquet de Paris (83-77). La venue des Manceaux au Palais des Sports dimanche sera l’occasion de redorer leur blason en championnat pour des Palois capables de tenir la dragée haute, voire de dominer, des grands d’Europe (CSKA Moscou, Fenerbahçe) avant de sombrer à Hyères ou Bourg. «On doit absolument mettre la même énergie et le même sens du combat en championnat de France», confie Gordon Herbert sur le site du club. Même son de cloche du côté de Britton Johnsen qui promet la rédemption. «
On a besoin de tous nos fans dimanche… Je sais qu’on les déçoit beaucoup en championnat mais cette fois c’est fini, on va jouer dur chez nous aussi, je le leur promets.»
Avant de satisfaire enfin son public, l’ancien ailier des Hornets devra dominer le champion de France manceau. Des Sarthois qui restent sur deux succès consécutifs en Pro A mais sur une déroute en Russie en Euroligue. Les coéquipiers de Yannick Bokolo auraient sans doute préféré un autre match que ce déplacement dans le Béarn pour se refaire la cerise. «
Nous serons attendus et ce ne sera pas facile. Mais nous devrons aborder cette rencontre comme nos premières en Euroligue. Nous sommes arrivés dans cette compétition sur la pointe des pieds. Avec des craintes mais ça nous a sublimés. Quand ces craintes disparaissent, nous redevenons une équipe vulnérable face à des adversaires qui sont la plupart du temps «surarmées» », explique Vincent Collet dans les colonnes de Ouest-France. Rendre visite au club neuf fois champion de France devrait suffire à maintenir la crainte soulignée par le coach du MSB.
(Source :
http://www.sport24.com)
" Un parfum d'Euroligue "
LES DEUX EQUIPES d'Euroligue, Pau et Le Mans, se retreouvent cet après-midi alors qu'elles sont mal en point en Pro A (avec respectivement 4 et 5 victoires en 11 journées), laissant Nancy et Roanne disputer le match au sommet.
-
EB Pau-Orthez : Rentrés tardivement de Naples vendredi soir avec en poche leur troisième succès européen, les Palois se sont entraînés hier matin au complet mais devront comme chaque semaine se passer d'un Américain, en l'occurence Mike Bauer, comme ces dernières semaines en Championnat.
-
Le Mans SB : Au lendemain de son sèvère revers moscovite, Le Mans n'aura pas le temps de tergiverser. Vincent Collet ne sera pas surpris par la réaction attendue en Pro A de Béarnais revigorés par leur victoire à Naples. "
Finalement, ça peut nous permettre de rebondir tout de suite dans un contexte délicat. La bonne nouvelle, c'est aussi le retour d'Alain Koffi en Russie ", estime le coach.
Les Manceaux compteront sur les appréciables séquences toniques de leur intérieur. Le Serbe Nebojsa Bogavac, qui ne devrait plus tarder à rejouer, sera du voyage, mais il est peu probable qu'il soit appelé sur le terrain.
(Source : L'EQUIPE)
" Gordon Herbert : " Se mettre en gagner " "
PAU-ORTHEZ - LE MANS. Les Palois, rentrés de Naples avec une nouvelle victoire en Euroligue, chasseront-ils enfin les fantômes qui les hantent en championnat ? Le souhait du coach Gordon Herbert.
PRO A (12e JOURNEE)
:
" Pourquoi votre équipe a-t-elle autant de difficultés à reproduire en Pro A le basket qu'elle joue en Euroligue ?
:
C'est une somme de petites raisons. Primo, nous avons entamé la saison avec beaucoup de retard. C'est un peu de ma faute puisque j'étais avec la sélection de Géorgie cet été. En revenant, j'ai voulu rattraper le temps perdu et j'ai fait travailler les gars de façon très intense. Trop peut-être pour jouer deux matchs par semaine. On a sans doute perdu quelques matchs en Pro A à cause de ça, alors que l'équipe s'était montrée performante, deux jours plus tôt en Euroligue. Le constat que j'ai fait après ces défaites, c'est qu'on n'était pas prêts physiquement. Puis Aaron Miles et Michael Wright sont arrivés hors de forme puisqu'ils relevaient tous deux de blessure. Alors on s'est entraînés encore plus. C'est ma « mentalité hockey ». En Finlande, quand tu perds un match, l'entraînement suivant est dur, toujours plus dur.
:
Ce n'était pas le cas mercredi, à Naples, où vous avez dirigé une séance très légère la veille du match ?
:
Oui, on a fait beaucoup de petits jeux, des concours de shoots pour amener du plaisir, de la joie, de la vie, tout en conservant une notion de compétition. Un entraînement court parce qu'on a senti chez les joueurs le besoin de se libérer l'esprit. Et aussi parce qu'on a remarqué que l'énergie dont ils faisaient preuve lors des entraînements de fin de semaine manquait au moment des matchs le samedi.
[center]
Coach.
Gordon Herbert sait que son équipe n'a pas le choix en championnat. Aujourd'hui contre Le Mans et dans son Palais il faudra gagner.[/center]
:
Le Mans est aussi une équipe d'Euroligue. C'est plutôt bon signe ?
:
Ils ont connu les mêmes soucis que nous : un meneur (NDLR : Tyson Wheeler)
arrivé en cours de route, du mal à passer de l'Euroligue à la Pro A. On ne se rend pas compte, mais se déplacer à l'autre bout de l'Europe en milieu de semaine, c'est usant mentalement et physiquement. Cela pompe beaucoup d'énergie.
:
Que redoutez-vous chez les Sarthois ?
:
C'est l'un des effectifs les plus athlétiques de Pro A et on a vu contre Le Havre, Paris et Roanne que ce genre d'équipe nous pose beaucoup de problèmes. Le basket pratiqué en Euroligue n'est pas aussi athlétique que celui joué dans la ligue française. Sinon, Vincent Collet a mis en place un programme remarquable. Développer des jeunes joueurs dans une équipe de haut niveau c'est la chose la plus difficile qui soit pour un coach. J'ai connu ça à Francfort et j'ai le plus grand respect pour ce que construit Collet au Mans.
:
C'est un match clé pour l'Elan ?
:
Dans notre salle, devant notre public, nous n'avons pas d'autre option que de nous imposer. Le championnat ne se jouera pas là. Le titre ne se gagne pas en novembre ni en décembre mais au printemps. Mais dans la situation où nous sommes, nous n'avons pas le choix. Il faut se mettre à gagner.
:
Qu'en est-il de la situation de Mike Bauer ? Cherchez-vous toujours un autre joueur ?
:
Le problème, ce n'est pas Mike Bauer, c'est que l'on a cinq joueurs américains et que l'on ne peut en aligner que quatre en Pro A. Je n'ai rien de personnel contre Mike qui est un équipier précieux, un basketteur doté d'une grosse énergie, des qualités qui nous ont fait gagner des matchs cette année. Mais en tant que coach, je dois prendre les bonnes décisions pour que cette équipe soit en mesure de gagner le championnat, même si ces décisions ne plaisent pas à tout le monde.
On sait qu'il nous reste la possibilité d'opérer un changement, mais aujourd'hui, on n'envisage pas cette option. Je travaille à stabiliser cette équipe, Mike est là et on ne changera aucun autre joueur (NDLR : Aaron Miles, le jeune meneur américain au rendement décevant, a été l'objet de nombreuses critiques).
On le leur a dit pour qu'ils se sentent en sécurité et ne passent pas leur temps à regarder par-dessus leur épaule ce qui se trame. J'ai un bon groupe et je veux le garder " .
(Source :
http://www.sudouest.com)
" Il y a urgence de points... "
Quoi de neuf sous le ciel du championnat de France ? La question est partout qui suit les béarnais à longueur de voyages. Ainsi à Naples, pas un joueur qui ne se soit, à chaud, plu à saluer le succès européen sans immédiatement ajouter qu’il faudrait transposer « cette énergie et cet esprit de combat », selon le propos de coach Herbert, aux joutes du week-end…
Le plus virulent dans l’affaire restait Britton Johnsen qui tournait immédiatement la page napolitaine, sans s’y attarder le moins du monde, pour promettre « aux fans du palais que s’en était terminé de cet Elan à deux vitesses et qu’on allait voir ce qu’on allait voir… ».
Délicat par les temps qui courent d’accorder un crédit illimité aux belles intentions des béarnais puisqu’elles n’ont pas, jusque là, été suivies du moindre effet.
Mais c’est vrai que le mal pour être chronique ne doit pas être aussi profond que cela, c’est vrai aussi que l’on reste sur un air d’Euroligue avec la venue des Manceaux et puis, surtout, l’urgence de la situation n’échappe plus à personne…
Alors dans un match qui ressemble à un sommet mais qui n’en n’est plus un compte tenu de la situation des uns et des autres, les résolutions des joueurs béarnais dans les vestiaires de Naples ont-elles sonnées comme celles d’un radical changement d’attitude ?
Et la peur dont on dit qu’elle est l’une des sources de cette belle application en Euroligue serait-elle ce dimanche après midi le meilleur allié des partenaires de Johnsen ?
Car ce match est aussi celui de la peur pour l’Elan, la peur de rester figer dans le bas du classement, la peur de ce que le mal s’enracine, la peur de ce que la suite ne devienne de véritables travaux d’Hercule.
L’adversaire n’est pas non plus un monstre de régularité, son parcours auquel on peut associer celui des Strasbourgeois, témoigne certes de la difficulté à enchaîner des matches, à les préparer comme le souligne, en expert, Grégor Beugnot. Le coach de Chalon qui sait de quoi il parle disait en substance, « il faut deux trois jours pour préparer un match d’Euroligue et ensuite vous n’avez plus qu’un jour pour préparer le suivant. » C’est ce qui est arrivé à l’Elan au retour de Naples vendredi en toute fin de soirée : il n’ a eu qu’une séance d’entraînement collectif (samedi ) pour se mettre au point, et encore, les moyens modernes dont disposent les staff aujourd’hui leur permettent le scouting et le montage des vidéos à la moindre attente dans les aéroports…
Les Sarthois ne sont guère mieux lotis, même s’ils ont joué avec 24 heures d’avance sur les béarnais. Ils étaient à Moscou, mercredi et l’on sait que c’est là toute une expédition dont on ne se remet pas aussi facilement…
L’heure n’est pas aux lamentations, les deux formations ne sont pas au bout de leur parcours puisque l’Euroligue les conduira minimum jusqu’à la fin janvier, et elles ont l’ambition toutes deux de renouveler leur bail en atteignant le Top 16…
Il leur faut donc assumer un statut dans un championnat relevé certes mais où elles ne sont ni l’une ni l’autre à leur place…
Plus encore pour l’Elan dès lors qu’il est à domicile, qu’il compte un point de retard sur son adversaire du jour. Un Elan qui connaîtra, à l’heure du coup d’envoi , les résultats de Strasbourg, Besançon, Cholet ses compagnons d’infortune qui reçoivent eux aussi…
Autant de paramètres qui confirment qu’il y a urgence de succès. Mais puisque Johnsen et les autres l’ont promis…
(Source :
http://www.elan-bearnais.fr)
" CC Harrison : " Dimanche, c'est Euroligue ! " "
Vainqueur à Naples, l'Elan de CC Harrison livre, aujourd'hui face aux Champions de France manceaux, un autre duel de niveau européen.
Premier scoreur (22 points), crédité de la meilleure évaluation avec l'athlétique Ricardo Greer qui a quitté Naples sur un " double-double " (16 points - 10 rebonds), CC Harrison s'est révélé l'un des artisans majeurs du succès palois, jeudi 96-84, en terre napolitaine.
Comme ses camarades, le vice-capitaine de l'Elan a donc particulièrement goûté la rafale de bières servies à table par Gordon Herbert lui-même. Mais dès hier matin, Clint Cotis, préoccupé par la situation très précaire de son club en Pro A (7 échecs en 11 journées), était déjà tourné vers le grand rendez-vous dominical.
Car avec la venue des Manceaux, tenants du titre, c'est aussi un duel entre les deux représentants français en Euroligue qui se profile.
: "
Le coach a particulièrement apprécié la tenue de l'équipe jeudi soir. Quel est ton avis là-dessus ?
:
On a effectivement fait du très bon boulot, pendant 38 minutes. J'ai senti les gars bien ensemble, soudés. Notre atttaque était concerné et il y avait de la solidarité en défense. Tout cela a permis d'offrir la possibilité de paniers plus faciles pour Ricardo, Britton ou Michael (Wright) en fin de match.
:
Ta prestation personnelle a également pesé sur le résultat, non ?
:
Disons que je reviens bien. J'ai eu besoin d'un peu de temps mais dans ma tête, maintenant, c'est OK. Je fais encore un peu de " up and down " en attaque (7 sur 10 aux tirs tout de même)
mais je me sens bien en défense. Et, avec des résultats comme celui-là, tout ne pourra aller que de mieux en mieux.
:
Tu viens d'évoquer la difficulté d'être régulier. Pourquoi, à ton avis, l'Elan que l'on voit en Euroligue est-il aussi différent le week-end en championnat de France ?
:
En Pro A, CC Harrison et Pau-Orthez ne surprennent plus personne. Et nous sommes toujours l'équipe à battre. Quand on joue l'Euroligue, chacun de nous a des choses à prouver, la concentration se fait plus facilement. Et puis, c'est vrai, on a peut-être, inconsciemment, pris le début de la saison nationale un peu à la légère. Mais, maintenant, ce n'est plus une excuse.
:
Face au Mans, l'autre club français d'Euroligue, il faut s'attendre à voir l'Elan montrer quel visage cet après-midi ?
:
Dimanche (aujourd'hui),
c'est Euroligue, et nous jouerons en plus à domicile. On a donc tout intérêt à se préparer comme pour une rencontre de Coupe d'Europe car, sans dire que j'ai peur du Mans, nous avons beaucoup de respect pour ce club. Actuellement, Grégory et Campbell m'impressionnent vraiment et puis des gars comme Bokolo, Amagou ou Koffi qui revient tout juste et bien sûr Nicevic ne sont pas mal du tout.
:
Après deux mois de compétition, comment vois-tu évoluer l'Elan qui manie la paradoxe ?
:
Pour moi, c'est clair : je pense toujours que nous avons les moyens d'être Champion de France. On a encore des réglages défensifs à faire, toutefois l'équipe a l'air d'être partie dans le bonne direction. J'espère aussi que ce match de Naples marque le début d'une vraie série....mais je préfère encore attendre un peu avant d'en être complètement sûr ! "
(Source : La République des Pyrénées)
Au
Palais des Sports 
,
cet après-midi :
[updown][center]
à 15h, ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ vs LE MANS[/center] [/updown]
Les arbitres de la rencontre seront
MM :
Castano, Chambon et Bissang.
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ :
(4-6) :
4.
F.FAUTHOUX (FR, 1,80m) ,
5.
CC HARRISON (US, 1,94m),
6.
X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m),
7.
R.GREER (DOM 1,96m),
8.
B.JOHNSEN (US, 2,06m),
9.
C.FERCHAUD (FR, 1,96m),
11.
A.MILES (US, 1,86m),
12.
T.RUPERT (FR, 2m),
13.
A.AJINCA (FR, 2,13m),
14.
I.MAHINMI (FR, 2,06m),
18.
M.WRIGHT (US, 2,03m).
Entraîneur :
Mr G.HERBERT(CAN)
LE MANS :
4.
BOGAVAC (SEM, 1,99m),
5.
GREGORY (US, 1,96m),
6.
AMAGOU (FR, 1,85m),
7.
KOFFI (FR, 2,05m),
8.
BATUM (FR, 1,99m),
9.
BOKOLO (FR, 1,88m),
10.
NICEVIC (CRO, 2,10m),
11.
ADJIWANOU ( FR, 2,05m),
12.
CEL (FR, 2,04m),
13.
CAMPBELL (US, 1,94m),
16.
WHEELER (US, 1,79m).
Entraîneur :
Mr COLLET (FR)
, il doit venir "scouter" Ajinca et Vaty car il y est à chaque fois).
