Je comprends mieux.Guitou a écrit :Eito est originaire du sud-ouest et a été formé à Cognac, ce qui explique sûrement son bon goût
[ProA - J2] ASVEL 92-75 Elan Béarnais
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Reconquête
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Ulysses Everett McGill
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Source : http://www.asvel.com
Une affiche sur papier jauni
Pierre Grall et Claude Bergeaud viennent d’accéder à leur fonction de Directeur Exécutif. Tous deux issus du terrain, anciens coaches de Pro A, ils ouvrent la voie d’une nouvelle génération de dirigeants, celle des anciens basketteurs. Asvel.com s’est livré avec eux au jeu de l’interview croisé en prévision du clasico de vendredi.
L’affiche ASVEL/Pau, on l’imagine plus spontanément sur du papier un peu jauni que sur un de ces supports numériques dernières générations. Comment expliquer que ce qui fut un sommet des années 2000 mettent finalement aux prises deux clubs qui traversent ou ont traversé des turbulences ? Et s’agit-il des mêmes maux que ceux qui ont frappé Limoges et Antibes, forteresse des années 90 ?
Claude Bergeaud : Tout cela est peut être la conséquence de la volonté du Basket français de faire émerger de nouvelles équipes. La formule sportive de ces play-offs raccourcis a facilité l’éclosion de Roanne, Nancy et peut-être Orléans demain. C’est rafraîchissant mais cela a déstabilisé les places fortes. En plus, les clubs de pointe subissent inévitablement les effets de l’usure du temps, de la vulgarisation des résultats. Mais si l’affiche est jaunie, je pense que l’ASVEL est sur la voie de revenir vers les sommets. Et on s’emploie pour qu’il en soit de même pour Pau.
Pierre Grall : si l’affiche est jaunie, c’est par la richesse, pour ne pas dire le poids de l’histoire des deux clubs. Mais cela reste un match de ProA entre deux clubs qui gardent des perspectives d’avenir indiscutables. L’histoire est pesante mais c’est le futur qui est décisif.
CB : évidemment. Le futur se construit avec une vision. Sur ce point l’ASVEL est un modèle. Pour Pau. Pour le Basket français. Voilà un club qui s’est dotée d’une vision, d’une capacié de projection et donc d’un projet en correspondance. Si la notion de derby s’effrite un peu, c’est peut être aussi que du respect s’est installé entre les deux clubs en dehors du terrain. On n’a plus d’énergie à dépenser à nourrir des rivalités stériles. La rivalité demeure sur le terrain, mais en dehors on est dans l’obligation de se liguer. De travailler ensemble.
PG : Ce qu’on peut regretter dans les deux clubs, c’est de ne pas avoir fait coïncider les moments où nous étions au plus haut avec les moments où on se dotait d’une vision. Quand on est en haut, on croit naïvement qu’on va y rester. Or c’est dans ces moments là qu’il faut anticiper sur les évolutions des environnements locaux, nationaux et internationaux. C’est peut être ce qu’on n’a pas su faire.
CB : Il est évident que si la vision de l’ASVEL correspondait avec une période faste sportivement, elle serait plus volontiers partagée par le plus grand nombre.
Il est frappant de relever que les deux clubs ont en partie suivi le même chemin pour entamer leur phase de reconstruction. Valorisation du patrimoine historique, repositionnement du club au cœur de son environnement, réactivation de la formation. Qu’est-ce qui a guidé vos pas sur ces chemins ?
PG : De notre point de vue, la prise en compte de la culture spécifique du club est un élément central quand on avance vers l’avenir. Le basket villeurbannais a toujours été un basket esthétique. Parfois au détriment des vertus de combat. C’est un élément de culture fort qu’on ne peut pas ignorer. Sinon on ne parviendra pas à mobiliser. Et c’est dans ce sens que nous travaillons aussi sur la formation du joueur. Culture locale, histoire et formation sont donc étroitement liés.
CB : Je vais exprimer différemment les mêmes principes. D’un point de vue philosophique, je crois à la génétique. Et à la génétique des clubs. Les deux clubs se sont construits sur une culture du jeu, ont une carte génétique bien affirmée. Le jeu avant le merchandising. Il faut revenir à nos cultures. Quand l’ASVEL a voulu faire différemment en 2002, ça n’a pas fonctionné. Encore moins pour Pau avec son équipe d’américains qui a été rejetée.
PG : Puisque tu parles de 2002, j’en profite pour souligner que structurer ne passe finalement pas tant par les résultats que par la façon dont on respecte le modèle de jeu historique. Avoir le souci du respect du modèle de jeu, c’est lancer une passerelle entre le structurel et le sportif. C’est créer le lien entre ces deux pans de la vie d’un club, nécessairement complémentaires.
A un moment où le basket français affiche des difficultés qu’on ne peut nier plus longtemps, ou de profonds débats agitent le basket européen, quels sont à vos yeux les pistes à explorer pour se sortir de l’ornière ?
PG : deux pistes me viennent à l’esprit. Pour reprendre le terme employé par Claude un peu plus tôt, il devient urgent de se « liguer », de travailler ensemble, de partager. Est-ce d’ailleurs une coïncidence si notre instance s’appelle la Ligue de Basket ? On est en tout cas trop souvent dispersés. Enfin il faut mettre l’accent sur la formation du joueur.
CB : Le basket français traverse avant tout une grosse crise d’identité. Même si cette hypothèse est réfutée par certains de nos dirigeants. Il y a urgence à se redonner une identité puis à la faire valoir. En France d’abord face aux autres disciplines. En Europe ensuite. Interrogeons nous sur ce qu’on pourra dire de notre basket dans 15 ans. Quelle histoire, quelles histoires voulons nous raconter dans 15 ans ? L’histoire qu’écriront les joueurs avant tout. C’est aux joueurs que tout cela appartient. Et aux joueurs français évidemment en priorité. Je recommande donc qu’on réduise le nombre d’étrangers à 3, bosman compris, pour donner la chance aux français de ré-écrire l’histoire. Quitte à s’affaiblir sur la scène internationale pendant 5 ou 7 ans. Mais en écrivant une histoire, en restaurant notre identité, on reviendra vers le haut à un moment ou à un autre.
Que vous souhaitez-vous l’un l’autre à l’ouverture de cette saison ?
CB : Je souhaite que l’ASVEL obtienne la patience de l’environnement lyonnais. Le club s’est inscrit dans un développement dans la durée. Il faut éviter de porter des jugements hâtifs mais attendre l’achèvement du cycle initié avant de juger. Je vos souhaite donc tolérance et patience.
PG : Je nous souhaite de parvenir à travailler ensemble pour le bien de notre Basket. Nous avons des points communs à façonner. Et je suis sûr qu’on va encore écrire de belles pages d’histoire dans le futur et vivre de belles finales en cinq manches qui feront vibrer tout le public français.
Une affiche sur papier jauni
Pierre Grall et Claude Bergeaud viennent d’accéder à leur fonction de Directeur Exécutif. Tous deux issus du terrain, anciens coaches de Pro A, ils ouvrent la voie d’une nouvelle génération de dirigeants, celle des anciens basketteurs. Asvel.com s’est livré avec eux au jeu de l’interview croisé en prévision du clasico de vendredi.
L’affiche ASVEL/Pau, on l’imagine plus spontanément sur du papier un peu jauni que sur un de ces supports numériques dernières générations. Comment expliquer que ce qui fut un sommet des années 2000 mettent finalement aux prises deux clubs qui traversent ou ont traversé des turbulences ? Et s’agit-il des mêmes maux que ceux qui ont frappé Limoges et Antibes, forteresse des années 90 ?
Claude Bergeaud : Tout cela est peut être la conséquence de la volonté du Basket français de faire émerger de nouvelles équipes. La formule sportive de ces play-offs raccourcis a facilité l’éclosion de Roanne, Nancy et peut-être Orléans demain. C’est rafraîchissant mais cela a déstabilisé les places fortes. En plus, les clubs de pointe subissent inévitablement les effets de l’usure du temps, de la vulgarisation des résultats. Mais si l’affiche est jaunie, je pense que l’ASVEL est sur la voie de revenir vers les sommets. Et on s’emploie pour qu’il en soit de même pour Pau.
Pierre Grall : si l’affiche est jaunie, c’est par la richesse, pour ne pas dire le poids de l’histoire des deux clubs. Mais cela reste un match de ProA entre deux clubs qui gardent des perspectives d’avenir indiscutables. L’histoire est pesante mais c’est le futur qui est décisif.
CB : évidemment. Le futur se construit avec une vision. Sur ce point l’ASVEL est un modèle. Pour Pau. Pour le Basket français. Voilà un club qui s’est dotée d’une vision, d’une capacié de projection et donc d’un projet en correspondance. Si la notion de derby s’effrite un peu, c’est peut être aussi que du respect s’est installé entre les deux clubs en dehors du terrain. On n’a plus d’énergie à dépenser à nourrir des rivalités stériles. La rivalité demeure sur le terrain, mais en dehors on est dans l’obligation de se liguer. De travailler ensemble.
PG : Ce qu’on peut regretter dans les deux clubs, c’est de ne pas avoir fait coïncider les moments où nous étions au plus haut avec les moments où on se dotait d’une vision. Quand on est en haut, on croit naïvement qu’on va y rester. Or c’est dans ces moments là qu’il faut anticiper sur les évolutions des environnements locaux, nationaux et internationaux. C’est peut être ce qu’on n’a pas su faire.
CB : Il est évident que si la vision de l’ASVEL correspondait avec une période faste sportivement, elle serait plus volontiers partagée par le plus grand nombre.
Il est frappant de relever que les deux clubs ont en partie suivi le même chemin pour entamer leur phase de reconstruction. Valorisation du patrimoine historique, repositionnement du club au cœur de son environnement, réactivation de la formation. Qu’est-ce qui a guidé vos pas sur ces chemins ?
PG : De notre point de vue, la prise en compte de la culture spécifique du club est un élément central quand on avance vers l’avenir. Le basket villeurbannais a toujours été un basket esthétique. Parfois au détriment des vertus de combat. C’est un élément de culture fort qu’on ne peut pas ignorer. Sinon on ne parviendra pas à mobiliser. Et c’est dans ce sens que nous travaillons aussi sur la formation du joueur. Culture locale, histoire et formation sont donc étroitement liés.
CB : Je vais exprimer différemment les mêmes principes. D’un point de vue philosophique, je crois à la génétique. Et à la génétique des clubs. Les deux clubs se sont construits sur une culture du jeu, ont une carte génétique bien affirmée. Le jeu avant le merchandising. Il faut revenir à nos cultures. Quand l’ASVEL a voulu faire différemment en 2002, ça n’a pas fonctionné. Encore moins pour Pau avec son équipe d’américains qui a été rejetée.
PG : Puisque tu parles de 2002, j’en profite pour souligner que structurer ne passe finalement pas tant par les résultats que par la façon dont on respecte le modèle de jeu historique. Avoir le souci du respect du modèle de jeu, c’est lancer une passerelle entre le structurel et le sportif. C’est créer le lien entre ces deux pans de la vie d’un club, nécessairement complémentaires.
A un moment où le basket français affiche des difficultés qu’on ne peut nier plus longtemps, ou de profonds débats agitent le basket européen, quels sont à vos yeux les pistes à explorer pour se sortir de l’ornière ?
PG : deux pistes me viennent à l’esprit. Pour reprendre le terme employé par Claude un peu plus tôt, il devient urgent de se « liguer », de travailler ensemble, de partager. Est-ce d’ailleurs une coïncidence si notre instance s’appelle la Ligue de Basket ? On est en tout cas trop souvent dispersés. Enfin il faut mettre l’accent sur la formation du joueur.
CB : Le basket français traverse avant tout une grosse crise d’identité. Même si cette hypothèse est réfutée par certains de nos dirigeants. Il y a urgence à se redonner une identité puis à la faire valoir. En France d’abord face aux autres disciplines. En Europe ensuite. Interrogeons nous sur ce qu’on pourra dire de notre basket dans 15 ans. Quelle histoire, quelles histoires voulons nous raconter dans 15 ans ? L’histoire qu’écriront les joueurs avant tout. C’est aux joueurs que tout cela appartient. Et aux joueurs français évidemment en priorité. Je recommande donc qu’on réduise le nombre d’étrangers à 3, bosman compris, pour donner la chance aux français de ré-écrire l’histoire. Quitte à s’affaiblir sur la scène internationale pendant 5 ou 7 ans. Mais en écrivant une histoire, en restaurant notre identité, on reviendra vers le haut à un moment ou à un autre.
Que vous souhaitez-vous l’un l’autre à l’ouverture de cette saison ?
CB : Je souhaite que l’ASVEL obtienne la patience de l’environnement lyonnais. Le club s’est inscrit dans un développement dans la durée. Il faut éviter de porter des jugements hâtifs mais attendre l’achèvement du cycle initié avant de juger. Je vos souhaite donc tolérance et patience.
PG : Je nous souhaite de parvenir à travailler ensemble pour le bien de notre Basket. Nous avons des points communs à façonner. Et je suis sûr qu’on va encore écrire de belles pages d’histoire dans le futur et vivre de belles finales en cinq manches qui feront vibrer tout le public français.
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Strasbourgeois !
- Joueur historique de l'Elan
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- Enregistré le : 01 nov. 2004 0:18
- Localisation : Entre Nice et Strasbourg
Exact. Lors de sa première saison à Paris, Parker avait 17 ans. Il n'était pas titulaire, à cause d'un certain Sciarra aux manettes, mais dès sa 2e saison (à 18 ans, donc...) il en est quand même à 14,7 pts et 5,6 passes...Pablo a écrit :Attention, on parlait d'être titualire à 19 ans... je faisais référence aux Spurs, pas au PébéhèreReconquête a écrit :3.9pts, 0.9rbs et 1.7pds en 10min et sur 23 matchs.jack a écrit : c'était quoi ses stats à parker sur la premiere année ?
A 19 ans, il est donc aux spurs, et devient titulaire dans l'année. Pas convaincu que Heurtel puisse mieux faire !
Ah mais si tu veux m'entendre me lamenter sur la SIG, je peux le faire sur des pages et des pages !Guitou a écrit :Je trouve que tu la ramènes beaucoup pour un Strasbourgeois, t'as pas assez à t'occuper avec Essart/DarrigandStrasbourgeois a écrit :Comme Besançon, par exemple...KINDER64 a écrit : On est pas mauvais, on est moins fort que Villeurbanne et les autres favoris du championnat.
Cela dit, j'aurais tendance à penser, dans un élan d'optimisme, que Strasbourg est mieux armé que Pau - et par ailleurs, comme souvent en début de saison, Darrigand a été très bon samedi dernier !!
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bobbylaguepe
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- Localisation : Un béarnais a Bordeaux
Son père, Hubert Eïto, à longtemps fait les beaux jours de Cognac à la fin des années 80.Reconquête a écrit :Je comprends mieux.Guitou a écrit :Eito est originaire du sud-ouest et a été formé à Cognac, ce qui explique sûrement son bon goût
Il avait même été élu meilleur joueur français de Pro B à cette époque là.
Mais des problèmes de dos ont accéléré sa fin de carrière, il ne pouvait plus s'entrainer tous les jours.
N'empêche, c'était un superbe ailier, avec des cannes de folie, un gros physique et d'excellents fondamentaux. Il avait fait un entrainement avec mon équipe d'alors, c'était un monstre...
Le fils est plus fin physiquement.
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Reconquête
- Joueur majeur de l'Elan
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- Enregistré le : 19 déc. 2007 18:26
A l'Elan???BOZO a écrit :Son père, Hubert Eïto, à longtemps fait les beaux jours de Cognac à la fin des années 80.Reconquête a écrit :Je comprends mieux.Guitou a écrit :Eito est originaire du sud-ouest et a été formé à Cognac, ce qui explique sûrement son bon goût
Il avait même été élu meilleur joueur français de Pro B à cette époque là.
Mais des problèmes de dos ont accéléré sa fin de carrière, il ne pouvait plus s'entrainer tous les jours.
N'empêche, c'était un superbe ailier, avec des cannes de folie, un gros physique et d'excellents fondamentaux. Il avait fait un entrainement avec mon équipe d'alors, c'était un monstre...
Le fils est plus fin physiquement.
Non, faut être sérieux...Reconquête a écrit :A l'Elan???Son père, Hubert Eïto, à longtemps fait les beaux jours de Cognac à la fin des années 80.
Il avait même été élu meilleur joueur français de Pro B à cette époque là.
Mais des problèmes de dos ont accéléré sa fin de carrière, il ne pouvait plus s'entrainer tous les jours.
N'empêche, c'était un superbe ailier, avec des cannes de folie, un gros physique et d'excellents fondamentaux. Il avait fait un entrainement avec mon équipe d'alors, c'était un monstre...
Le fils est plus fin physiquement.
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Reconquête
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Je n'ai pas précisé à quel Elan...BOZO a écrit :Non, faut être sérieux...Reconquête a écrit :A l'Elan???
Son père, Hubert Eïto, à longtemps fait les beaux jours de Cognac à la fin des années 80.
Il avait même été élu meilleur joueur français de Pro B à cette époque là.
Mais des problèmes de dos ont accéléré sa fin de carrière, il ne pouvait plus s'entrainer tous les jours.
N'empêche, c'était un superbe ailier, avec des cannes de folie, un gros physique et d'excellents fondamentaux. Il avait fait un entrainement avec mon équipe d'alors, c'était un monstre...
Le fils est plus fin physiquement.
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Reconquête
- Joueur majeur de l'Elan
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- Enregistré le : 19 déc. 2007 18:26
Ouais. La dernière phrase est très claire (et en plus, elle est en grands caractères!). Curry n'est pas partant mais s'il veut rester, il va devoir sortir un gros match demain soir (un match comme celui de Graves à l'Astroballe serait parfait).JCVD a écrit :Wahou !!!!!!!!!!!!
Ca chauffe terrible sur le site off !!!
allez voir la dernière news et notamment la dernière phrase...
Pas content apparemment des confrère de l'équipe and Co.
Mais indique quand même qu'il passe un test décisif donc bon...
Reculer pour mieux sauter je pense...
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jack
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- Localisation : SUD-OUEST
kinder pense que curry et sambé vont commencer le match et je penche plus pour heurtel et curryJCVD a écrit :jack a écrit :une mousse vrtuelle ( malheureusement ) pour heurtel , curry .KINDER64 a écrit :Oui. Je pense que Curry et Sambé risque de commencer ensemble.
Ça veut dire quoi?
donc une mousse virtuelle est en jeu !!!
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Pyranea
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Personne ne la releve pour l'instant mais j'aime bien la derniere reponse de Pierre Grall
"Mr le President de la ligue si vous lisez cet articlePierre Grall a écrit :....Et je suis sûr qu’on va encore écrire de belles pages d’histoire dans le futur et vivre de belles finales en cinq manches qui feront vibrer tout le public français....