L'élan attaque donc cette saison par un déplacement aux Docks.
En matchs de préparation, les Havrais n'ont guère plus brillé que les Béarnais puisqu'ils ils affichent un bilan mitigé de 5V-6D.
Ils se sont notamment incliné contre 2 équipes de pro-B (CSP Limoges et SPO Rouen).
Nous les avions nous-même rencontré et battu 83-75 à St Brieuc.
Leur fin de préparation semble tout de même bien meilleure avec des victoires contre le SLUC et contre le BC Liege.
Voici le visage du STB version 2006/2007 :
Meneurs : Cissé, Curti
Arrières : Cox, Causeur
Ailiers : Stanley, Tucker
Intérieurs : Miller, Gay
Pivots : Traore, Duport
En gros, c'est un effectif qui ressemble un peu au notre mais en moins costaud, car un peu moins talentueux mais surtout avec un banc bien moins profond.
Comme nous, leur poste 5 est un peu tendre (il faut dire que c'est un peu de notre faute aussi puisqu'on leur a piqué Mahinmi).
Leur poste 4 manque encore plus de poids que le notre puisque le solide JK Edwards parti à Cholet a été remplacé par le bondissant ex-Burgien Sherman Gay.
La solution pour l'élan sera donc à mon avis de pilonner l'intérieur et notamment de provoquer les fautes de Traore pour les empêcher de bien défendre et pour les étouffer au rebond.
Par contre, attention au quatuor US Cox-Stanley-Tucker-Gay, ça shoote de partout donc il faudra les harceler en défense si on ne veux pas qu'ils s'enflamment (surtout Stanley, déjà bien connu de la pro-a dans ce domaine et aussi Tucker qui nous avait planté 32 pions en prépa ).
Sinon, le STB comme l'élan repart avec une génération de jeunes talents (Curti, Causeur, Duport) mais contrairement aux notres, leur temps de jeu devrait être conséquent car ils ne sont pas en 12ème ou 13ème rotation.
Les déplacements aux Docks n'ont jamais été des cures de santé donc même si ce STB est en théorie à notre portée, méfiance !!!...d'autant plus que notre élan est encore en rodage.
[ProA 1ere journée] STB Le Havre 76-61 EBPO
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[ProA 1ere journée] STB Le Havre 76-61 EBPO
Modifié en dernier par alien64 le 25 sept. 2006 9:07, modifié 1 fois.
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Elan Forever
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Une info comme ça en passant, issue du site web du STB.
Site Officiel STB LE HAVRE a écrit :Dans ce match, nous aurons la joie de retrouver Ian Mahinmi, l'ancien havrais, formé au STB qui devrait resté 1 voir 2 ans à l'Elan Béarnais avant de s'envoler pour les Etats-Unis.
Wow, ça c'est de l'info...Jerome a écrit :Une info comme ça en passant, issue du site web du STB.
Site Officiel STB LE HAVRE a écrit :Dans ce match, nous aurons la joie de retrouver Ian Mahinmi, l'ancien havrais, formé au STB qui devrait resté 1 voir 2 ans à l'Elan Béarnais avant de s'envoler pour les Etats-Unis.
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pascal64lons
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Herbert le confirme dans son itw parue dans l'Eclair du jour.
Il restera 1 an ou plus en fonction de sa progression.
Il restera 1 an ou plus en fonction de sa progression.
Gros doute pour Greer, Moins pour Bauer
L’Elan s’est présenté au complet et en tenue… Oui mais devant M. Yves Urieta, maire de Pau, le parterre des élus et de ses partenaires, à l’occasion de la traditionnelle présentation de l’équipe à ceux qui en sont ses premiers soutiens !
Et si c’est avec 12 joueurs pro que l’équipe s’envole ce vendredi matin pour le Havre, théâtre de l’ouverture du championnat samedi soir (20 heures) rien ne dit que tout le monde étrennera le maillot.
Le corps médical restait même des plus sceptiques concernant la participation de Ricardo Greer dont la contusion au mollet, contractée lors de la finale du tournoi de Brest, n’est pas totalement résorbée, d’où un risque certain d’aggravation. Curieusement, la médecine serait davantage favorable à donner le feu vert à Mike Bauer opéré d’une fracture du nez dimanche dernier et libéré de son impressionnant pansement quelques heures seulement avant son apparition en public…
Bien entendu Mike Bauer porte les traces du traumatisme et son visage n’en n’a pas terminé de passer par toutes le couleurs de l’arc en ciel, mais avec un masque de protection adapté il pourrait figurer sur la feuille de match.
Un qui n’y sera pas, c’est Freddy Fauthoux, le capitaine, victime d’un décollement de l’aponévrose au mollet lors du stage de préparation, ne semblant pas, au vu des derniers examens, devoir revenir avant le délai des six semaines qui avait été fixé par le corps médical…
C’est donc dans un configuration sans doute proche de celle avec laquelle il a clôturé mardi soir sa pré -saison à Vitoria que l’Elan ira en Normandie…
Et si le période de reprise semble avoir laissé des traces un peu partout dans le monde du basket, l’Elan lui retiendra qu’il a du payer, outre l’absence de son coach pour quinze jours, un lourd tribut aux blessures.
Outre Fauthoux, Harrison, aura fait défaut lors de 9 des 10 matches de préparation, Mahinmi, et Rupert auront eux manqué les 5 premiers matches, tandis qu’au moment où Harrison revenait c’était au tour de Greer et de Bauer de disparaître…
le 21 / 9 / 2006
Source : http://www.elan-bearnais.fr
L’Elan s’est présenté au complet et en tenue… Oui mais devant M. Yves Urieta, maire de Pau, le parterre des élus et de ses partenaires, à l’occasion de la traditionnelle présentation de l’équipe à ceux qui en sont ses premiers soutiens !
Et si c’est avec 12 joueurs pro que l’équipe s’envole ce vendredi matin pour le Havre, théâtre de l’ouverture du championnat samedi soir (20 heures) rien ne dit que tout le monde étrennera le maillot.
Le corps médical restait même des plus sceptiques concernant la participation de Ricardo Greer dont la contusion au mollet, contractée lors de la finale du tournoi de Brest, n’est pas totalement résorbée, d’où un risque certain d’aggravation. Curieusement, la médecine serait davantage favorable à donner le feu vert à Mike Bauer opéré d’une fracture du nez dimanche dernier et libéré de son impressionnant pansement quelques heures seulement avant son apparition en public…
Bien entendu Mike Bauer porte les traces du traumatisme et son visage n’en n’a pas terminé de passer par toutes le couleurs de l’arc en ciel, mais avec un masque de protection adapté il pourrait figurer sur la feuille de match.
Un qui n’y sera pas, c’est Freddy Fauthoux, le capitaine, victime d’un décollement de l’aponévrose au mollet lors du stage de préparation, ne semblant pas, au vu des derniers examens, devoir revenir avant le délai des six semaines qui avait été fixé par le corps médical…
C’est donc dans un configuration sans doute proche de celle avec laquelle il a clôturé mardi soir sa pré -saison à Vitoria que l’Elan ira en Normandie…
Et si le période de reprise semble avoir laissé des traces un peu partout dans le monde du basket, l’Elan lui retiendra qu’il a du payer, outre l’absence de son coach pour quinze jours, un lourd tribut aux blessures.
Outre Fauthoux, Harrison, aura fait défaut lors de 9 des 10 matches de préparation, Mahinmi, et Rupert auront eux manqué les 5 premiers matches, tandis qu’au moment où Harrison revenait c’était au tour de Greer et de Bauer de disparaître…
le 21 / 9 / 2006
Source : http://www.elan-bearnais.fr
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pascal64lons
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Alors, prêt pour les trois coups?
La préparation de l’Elan ne laissera pas un souvenir impérissable. Elle a surtout été marquée par les absences à répétition et les blessures qui restent à l’ordre du jour puisque sur les 12 joueurs qui ont fait le voyage au Havre, neuf seulement sont, lors de la veillée d’armes, assurés de tenir leur place.
Fred Fauthoux restera en civil en rongeant son frein sachant que pour lui le retour n’interviendra pas avant le début octobre, Mike Bauer possède bien un masque des plus sophistiqués mais l’opération n’a pas huit jours et si le garçon est guerrier l’appréhension d’un coup sur une nez tout juste refait reste à craindre, enfin si Ricardo Greer va bien mieux, la cicatrisation n’est pas définitive et le risque existe…
C’est donc sans aucun doute sur les acteurs du dernier match amical face à Vitoria, mardi que Gordon Herbert va s’appuyer ce samedi dans la salle des Docks Océanes. Délicat dans ce contexte de se hasarder à un quelconque pronostic quand bien même côté normand on fait également été de retard à l’allumage, notamment pour Tony Stanley, l’ailier si prompt à dégainer et pour Babou Cissé, le meneur revenu du Japon avec des petits bobos…
Ces mêmes acteurs auxquels le coach va demander d’insister sur le secteur défensif, puisque c’est là le point de départ de sa philosophie et que, par séquences, ses hommes en ont démontré les bienfaits. En Espagne justement où l’Elan a joué les yeux dans les yeux avec son rival pendant une demi-heure avant de céder sous les assauts d’une press tout terrain déployée par l’armada du Tau, mais il s’agissait là d’un avant goût européen et tout le monde n’est pas le Tau ….
Reste que la basket prôné par Herbert est gros consommateur d’énergie et d’agressivité. Et que si son but est de finir par user l’adversaire, il nécessite une condition optimale et une longueur de banc en adéquation avec l’effort demandé toute choses dont l’Elan ne dispose pas encore, en raison des absences, en raison également de la différence du niveau physique des joueurs. Il va falloir ainsi du temps à CC Harrison, un seul match à son actif, pour redevenir le régulateur qu’il sait être, tout comme Thierry Rupert et Ian Mahinmi n’ont pas encore effacé le déficit d’un mois d’absence. De plus, concernant, le futur « Spur », il se sait sous surveillance renforcée et dans sa volonté de réussir son pari il n’est pas dit qu’il ne se mette pas un surcroît de pression dans sa quête de rattraper le temps perdu. Comme le dit le coach, « il n’a pas encore 20 ans »… Le fait pour lui de démarrer le championnat dans une salle, un club, un environnement qui étaient encore le sien il y a 4 mois rajoute à la difficulté, mais ce sera aussi l’occasion de le voir gérer l’événement dans la mesure où il peut s’attendre à un bel accueil de ce public Havrais …
L’Elan s’avance donc sur la scène du championnat à pas feutrés sachant bien que sa victoire sur ces mêmes havrais, il y a un peu plus de quinze jours à St Brieuc, relève de l’anecdote, compte tenu des handicaps des uns et des autres à l’époque.
Reste que Joah Tucker un garçon venu de NCAA et difficilement « classable » (3 ou 4 ?) avait été un terrible fer de lance (30 points) et qu’associé à Stanley il ne devrait pas faire mentir la tradition havraise, laquelle s’appuie beaucoup sur le tir à trois points. Avec bonheur faut-il le rappeler, cette équipe restant sur trois qualifications au play-off .Même si sur les bases défensives du match de Vitoria les béarnais peuvent nourrir quelques ambitions, ils savent aussi qu’il faudra éviter les coups de chaud, notamment ceux dont son capables à tout moment les artilleurs havrais.
En un mot comme en cent cet Elan en pleine construction sait que désormais, il lui faudra hebdomadairement poser une pierre supplémentaire à l’édifice….
le 22 / 9 / 2006
Source: élan-béarnais.fr
La préparation de l’Elan ne laissera pas un souvenir impérissable. Elle a surtout été marquée par les absences à répétition et les blessures qui restent à l’ordre du jour puisque sur les 12 joueurs qui ont fait le voyage au Havre, neuf seulement sont, lors de la veillée d’armes, assurés de tenir leur place.
Fred Fauthoux restera en civil en rongeant son frein sachant que pour lui le retour n’interviendra pas avant le début octobre, Mike Bauer possède bien un masque des plus sophistiqués mais l’opération n’a pas huit jours et si le garçon est guerrier l’appréhension d’un coup sur une nez tout juste refait reste à craindre, enfin si Ricardo Greer va bien mieux, la cicatrisation n’est pas définitive et le risque existe…
C’est donc sans aucun doute sur les acteurs du dernier match amical face à Vitoria, mardi que Gordon Herbert va s’appuyer ce samedi dans la salle des Docks Océanes. Délicat dans ce contexte de se hasarder à un quelconque pronostic quand bien même côté normand on fait également été de retard à l’allumage, notamment pour Tony Stanley, l’ailier si prompt à dégainer et pour Babou Cissé, le meneur revenu du Japon avec des petits bobos…
Ces mêmes acteurs auxquels le coach va demander d’insister sur le secteur défensif, puisque c’est là le point de départ de sa philosophie et que, par séquences, ses hommes en ont démontré les bienfaits. En Espagne justement où l’Elan a joué les yeux dans les yeux avec son rival pendant une demi-heure avant de céder sous les assauts d’une press tout terrain déployée par l’armada du Tau, mais il s’agissait là d’un avant goût européen et tout le monde n’est pas le Tau ….
Reste que la basket prôné par Herbert est gros consommateur d’énergie et d’agressivité. Et que si son but est de finir par user l’adversaire, il nécessite une condition optimale et une longueur de banc en adéquation avec l’effort demandé toute choses dont l’Elan ne dispose pas encore, en raison des absences, en raison également de la différence du niveau physique des joueurs. Il va falloir ainsi du temps à CC Harrison, un seul match à son actif, pour redevenir le régulateur qu’il sait être, tout comme Thierry Rupert et Ian Mahinmi n’ont pas encore effacé le déficit d’un mois d’absence. De plus, concernant, le futur « Spur », il se sait sous surveillance renforcée et dans sa volonté de réussir son pari il n’est pas dit qu’il ne se mette pas un surcroît de pression dans sa quête de rattraper le temps perdu. Comme le dit le coach, « il n’a pas encore 20 ans »… Le fait pour lui de démarrer le championnat dans une salle, un club, un environnement qui étaient encore le sien il y a 4 mois rajoute à la difficulté, mais ce sera aussi l’occasion de le voir gérer l’événement dans la mesure où il peut s’attendre à un bel accueil de ce public Havrais …
L’Elan s’avance donc sur la scène du championnat à pas feutrés sachant bien que sa victoire sur ces mêmes havrais, il y a un peu plus de quinze jours à St Brieuc, relève de l’anecdote, compte tenu des handicaps des uns et des autres à l’époque.
Reste que Joah Tucker un garçon venu de NCAA et difficilement « classable » (3 ou 4 ?) avait été un terrible fer de lance (30 points) et qu’associé à Stanley il ne devrait pas faire mentir la tradition havraise, laquelle s’appuie beaucoup sur le tir à trois points. Avec bonheur faut-il le rappeler, cette équipe restant sur trois qualifications au play-off .Même si sur les bases défensives du match de Vitoria les béarnais peuvent nourrir quelques ambitions, ils savent aussi qu’il faudra éviter les coups de chaud, notamment ceux dont son capables à tout moment les artilleurs havrais.
En un mot comme en cent cet Elan en pleine construction sait que désormais, il lui faudra hebdomadairement poser une pierre supplémentaire à l’édifice….
le 22 / 9 / 2006
Source: élan-béarnais.fr
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Monstertruck64
- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
- Messages : 711
- Enregistré le : 29 juil. 2006 18:26
Bon ce soir, il nous faut déjà frapper un bon coup au Havre.
Ce ne sera pas facile dans le contexte que l'on sait mais des individualités comme Britton peuvent faire la dif'.
Esperons que Gilchrist joue (pour la premiere fois enfin !) au basket!
Il devrait faire le taff puisque c'est un match important par rapport au match amicaux...
Je pense raisonnablement que nous allons gagner.
Avec meme pas mal de points d'avance...
Ce ne sera pas facile dans le contexte que l'on sait mais des individualités comme Britton peuvent faire la dif'.
Esperons que Gilchrist joue (pour la premiere fois enfin !) au basket!
Il devrait faire le taff puisque c'est un match important par rapport au match amicaux...
Je pense raisonnablement que nous allons gagner.
Avec meme pas mal de points d'avance...
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philip_pau
- Joueur de banc de l'Elan
- Messages : 1902
- Enregistré le : 08 août 2004 20:32
- Localisation : Pau
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" 1ere JOURNEE PRO A :
LE HAVRE / 
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ"
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" Le Havre / Elan Béarnais Pau-Orthez "
Une nouvelle fois en échec la saison dernière, Pau-Orthez a changé de peau avec pas moins de 8 départs pour 9 arrivées. L’Elan Béarnais a fait un savant dosage entre joueurs confirmés en Pro A (Ricardo Greer, Mike Bauer, Cédric Ferchaud), Américains habitués à l’Europe (John Gilchrist, Britton Johnsen) et jeunes espoirs en devenir (Ian Mahinmi, Ludovic Vaty, Alexis Ajinça). Un effectif renforcé qui s’accompagne d’ambitions non cachées pour cette nouvelle édition : «Nous présentons une équipe athlétique et rapide qui développera un jeu attractif avec une bonne assise défensive. Même s'il faut se méfier des matches de préparation, notre équipe présente à ce jour un remarquable état d'esprit. Elle est composée de joueurs qui veulent se lancer pour certains et se relancer pour d'autres. Ils ont tous en tête le challenge de se valoriser sur la scène européenne et de valoriser le club qui fêtera son 30ème anniversaire de présence en Coupe d'Europe», a déclaré Pierre Seillant sur le site du club. Pour ses débuts, Pau-Orthez se déplace au Havre probablement sans Greer victime d’une contusion au mollet.
(Source : http://www.sport24.com)
" Se tester à l'extérieur "
L’Élan Béarnais a constitué une véritable armada durant l’intersaison et se déplace au Havre pour son premier match de la saison. L’occasion pour Ian Mahinmi de rendre visite au club qui l’a formé, mais aussi de se frotter au joueur débarqué au STB pour le remplacer : Ali Traoré.
(Source : http://www.lequipe.fr)
" En direct de la Pro A "
Le Havre : Tout le monde est sur le pont du côté de Siant-Thomas qui a intégré il y a quelques jours l'Américain Sherman Gay. Cette rencontre marquera le grand retour à la compétition de Floyd Miller après deux ans sans jouer (rupture des ligaments croisés internes).
EB Pau-Orthez : A Pau, Ricardo Greer (contusion au mollet) est incertain et fera un dernier test ce matin. Mike Bauer a fait le déplacement et pourrait entrer en jeu avec un masque pour protéger son nez fracturé il y a une semaine à Brest. Fauthoux (aponévrose) restera dans le Béarn. A noter pour ce premier match de la saison, le retour de Ian Mahinmi aux Docks Océanes mais sous les couleurs paloises.
(Source : Le Journla L'EQUIPE)
" Retour au bercail "
LE HAVRE - PAU-ORTHEZ. Ian Mahinmi rend visite à ses anciens coéquipiers pour son premier match avec l'Elan.
Nouveau. Ian Mahinmi est l'une des plus importantes recrues de l'Elan Béarnais.
PRO A (1re JOURNEE)
Voici une reconversion réussie. Il n'y a pas si longtemps, Ian Mahinmi baladait son impressionnante carcasse sur les pelouses d'un terrain de football, dans la peau d'un défenseur central anonyme. Le voilà aujourd'hui grand espoir du basket-ball français, évoluant chez un gros calibre de Pro A, drafté par les Spurs l'année dernière. Si tout se passe comme prévu, il s'entraînera l'année prochaine aux côtés de Tony Parker ou Tim Duncan, à San Antonio, en NBA. Après seulement six ans de pratique, il flirte avec les sommets du basket mondial. Une ascension plutôt rapide pour ce minot de Rouen qui ne maîtrisait pas grand chose de ce sport à la fin des années 90.
Apprentissage. A présent, le garçon joue à Pau, pour acquérir de l'expérience. Pour l'instant, il essaie surtout d'oublier son avenir texan. « Y a trop de trucs à penser pour que je me rajoute des projections ». Oui, vraiment trop de « trucs » en tête. Comme de gagner un titre avec l'Elan Béarnais, bien figurer en Euroligue et montrer au reste du monde qu'il est un des meilleurs pivots de sa génération. Un maître-mot : le travail. Il le répète à l'envi. Pour l'international espoir né en France, subtil mélange d'un père béninois et d'une mère jamaïcaine, il en a fallu un paquet pour accéder au plus haut niveau. Jusqu'à trois entraînements par jour. « De toutes façons, je ne vais rien apprendre à personne : c'est en bossant qu'on y arrive. »
De son grand-père, chef de village en Afrique, il a hérité du double-mètre (2,08 m, 104 kg) et aussi pris de lui une certaine sagesse, surprenante pour un jeune de 20 ans à qui tout réussit. Son coeur martèle San Antonio, sa raison répond Pau. « Pas la peine de se presser. Evidemment, j'ai hâte de partir aux USA, de me lancer dans cette nouvelle vie. Mais j'ai encore beaucoup de fondamentaux à apprendre ici ». Alors, pour se frotter à l'Euroligue, en accord avec les Spurs, le Normand a atterri dans le Béarn.
Retour au Havre. L'apprentissage se poursuit aujourd'hui. Hasard du calendrier, pour les débuts de la Pro A édition 2006-2007, il revient au bercail, en Normandie, là où tout a commencé : les playgrounds avec les « potes », le pôle espoir, les premières sélections. Ce soir, aux Docks Océane du Havre, il va retrouver sa raquette. Revenir chez lui sous de nouvelles couleurs aurait pu le perturber. Au contraire, il semble transcendé : « On est tous super motivés, cela se voit à l'entraînement. Et puis, c'est important de s'imposer dans les premières rencontres, de réaliser une bonne entame de championnat. Personnellement, jouer contre eux sera une source de motivation supplémentaire. Et si je peux leur mettre quelques contres... »
Ian Mahinmi a les crocs. Faim de victoires, de titres. Pour autant, il ne s'enflamme pas. « C'est sûr, nous avons un excellent groupe, de grands joueurs, un très bon coach et l'objectif est d'être champion de France. Mais on verra comment cela se passe. Il faudra assurer au niveau du mental et beaucoup travailler ». Le basketteur préfère rester mesuré. Le plus souvent du moins. A un salarié du club évoquant le déplacement de ce soir, il adresse une bonne tape dans la main et le rassure : « on va les bouffer ». Les Havrais sont prévenus. Sous le cercle, le jeune homme compte bien régner en maître.
" Rentrée des classes "
Profondeur de banc.
Vainqueurs des Normands en match amical il y a deux semaines (83-75), les Palois étaient à l'époque privés de CC Harisson et Ian Mahinmi. Le staff s'attend pourtant à une rentrée difficile. « Notre défense devra être solide. Mais nous avons une profondeur de banc qu'ils n'ont peut-être pas. A nous d'en profiter et de les épuiser », estime le directeur technique Gérald Bouscarel. Le coach Gordon Herbert dispose d'un groupe incertain pour son déplacement en Normandie. Mike Bauer (fracture du nez) pourrait peut-être fouler le parquet havrais grâce à « un masque très sophistiqué », selon Bouscarel. Quant à Ricardo Greer, victime d'une lésion à un mollet, il devrait être ménagé.
Attention, shooteurs.
Cette année, seulement huit équipes disputeront les play-offs en Pro A. Les Normands, septièmes lors du précédent exercice, ont bien l'intention d'y figurer. Pour se faire, ils comptent un recrutement intéressant. Le départ de Ian Mahinmi a été compensé par l'arrivée d'Ali Traoré (Roanne). Les Américains John Cox (Chalon) et Sherman Gay (Bourg) ont également débarqué en Normandie. Mais c'est surtout en terme de shooteur que le STB a tapé fort. Joah Tucker, l'ailier américain, recruté cet été (NCAA, Wisconsin-Milwaukee), a effectué une pré-saison tonitruante, marquant notamment 30 points face à Pau en amical. La paire Tucker/Stanley pourrait faire des dégâts.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Alors, prêt pour les trois coups? "
La préparation de l’Elan ne laissera pas un souvenir impérissable. Elle a surtout été marquée par les absences à répétition et les blessures qui restent à l’ordre du jour puisque sur les 12 joueurs qui ont fait le voyage au Havre, neuf seulement sont, lors de la veillée d’armes, assurés de tenir leur place.
Fred Fauthoux restera en civil en rongeant son frein sachant que pour lui le retour n’interviendra pas avant le début octobre, Mike Bauer possède bien un masque des plus sophistiqués mais l’opération n’a pas huit jours et si le garçon est guerrier l’appréhension d’un coup sur une nez tout juste refait reste à craindre, enfin si Ricardo Greer va bien mieux, la cicatrisation n’est pas définitive et le risque existe…
C’est donc sans aucun doute sur les acteurs du dernier match amical face à Vitoria, mardi que Gordon Herbert va s’appuyer ce samedi dans la salle des Docks Océanes. Délicat dans ce contexte de se hasarder à un quelconque pronostic quand bien même côté normand on fait également été de retard à l’allumage, notamment pour Tony Stanley, l’ailier si prompt à dégainer et pour Babou Cissé, le meneur revenu du Japon avec des petits bobos…
Ces mêmes acteurs auxquels le coach va demander d’insister sur le secteur défensif, puisque c’est là le point de départ de sa philosophie et que, par séquences, ses hommes en ont démontré les bienfaits. En Espagne justement où l’Elan a joué les yeux dans les yeux avec son rival pendant une demi-heure avant de céder sous les assauts d’une press tout terrain déployée par l’armada du Tau, mais il s’agissait là d’un avant goût européen et tout le monde n’est pas le Tau ….
Reste que la basket prôné par Herbert est gros consommateur d’énergie et d’agressivité. Et que si son but est de finir par user l’adversaire, il nécessite une condition optimale et une longueur de banc en adéquation avec l’effort demandé toute choses dont l’Elan ne dispose pas encore, en raison des absences, en raison également de la différence du niveau physique des joueurs. Il va falloir ainsi du temps à CC Harrison, un seul match à son actif, pour redevenir le régulateur qu’il sait être, tout comme Thierry Rupert et Ian Mahinmi n’ont pas encore effacé le déficit d’un mois d’absence. De plus, concernant, le futur « Spur », il se sait sous surveillance renforcée et dans sa volonté de réussir son pari il n’est pas dit qu’il ne se mette pas un surcroît de pression dans sa quête de rattraper le temps perdu. Comme le dit le coach, « il n’a pas encore 20 ans »… Le fait pour lui de démarrer le championnat dans une salle, un club, un environnement qui étaient encore le sien il y a 4 mois rajoute à la difficulté, mais ce sera aussi l’occasion de le voir gérer l’événement dans la mesure où il peut s’attendre à un bel accueil de ce public Havrais …
L’Elan s’avance donc sur la scène du championnat à pas feutrés sachant bien que sa victoire sur ces mêmes havrais, il y a un peu plus de quinze jours à St Brieuc, relève de l’anecdote, compte tenu des handicaps des uns et des autres à l’époque.
Reste que Joah Tucker un garçon venu de NCAA et difficilement « classable » (3 ou 4 ?) avait été un terrible fer de lance (30 points) et qu’associé à Stanley il ne devrait pas faire mentir la tradition havraise, laquelle s’appuie beaucoup sur le tir à trois points. Avec bonheur faut-il le rappeler, cette équipe restant sur trois qualifications au play-off .Même si sur les bases défensives du match de Vitoria les béarnais peuvent nourrir quelques ambitions, ils savent aussi qu’il faudra éviter les coups de chaud, notamment ceux dont son capables à tout moment les artilleurs havrais.
En un mot comme en cent cet Elan en pleine construction sait que désormais, il lui faudra hebdomadairement poser une pierre supplémentaire à l’édifice….
(Source : http://www.elan-bearnai.fr)
" Mahinmi de retour sur ses terres "
Qualifiés pour les play-offs ces quatre dernières saisons, Le Havre démarre la saison sur la pointe des pieds.
Le départ pour l'Elan de l'intérieur fraîchement drafté par les Spurs, Ian Mahinmi, celui de JK Edwards (11,5 points et 6,5 rebonds) pour Cholet, ajouté à l'arrêt du patriarche Pat Durham, ont dépeuplé la raquette normande. Elle est désormais aux mains du jeune et massif Joah Tucker (23 ans, 1,96m), issu de la NCAA, de l'ancien bressan Sherman Gay (2,01m) et du très jeune Ali Traoré (21 ans, 2,06m). Révélé à Roanne l'an passé (8,6 points et 4,1 rebonds), Traoré est doté de " véritable " mains, et pourrait devenir une des révélations de la saison.
[center]" Greer incertain "[/center]
Le STB compte sur un rendement optimum de son ailier Tony Stanley pour alimenter la marque. Meilleur marqueur l'an dernier (15,2 points), Stanley, boulimique parfois jusqu'à l'excès du tir à trois points (8 tentatives par match), sera le baromètre de l'équipe. L'ex-chalonais et cousin de Kobe Bryant, John Cox (13,2 points), apportera un précieux secours en attaque.
Au poste de meneur, Le Havre maintient sa confiance au duo Cissè-Curti, le premier sortant d'un Mondial consistant avec le Sénégal.
Problème, il a ramené du Japon un sérieux mal de dos qui l'a contraint à renoncer à la moitié des matches de préparation. Des rencontres préparatoires qui ont montré un STB encore loin du compte en terme de collectif.
Un constat qui vaut également pour les Palois, largement amoindris lors des dix matches de présaisons, à l'image de CC Harrison qui a manqué neuf des dix rencontres.
Ce soir, l'ailier Ricardo Greer (13,5 points de moyenne en préparation), touché au mollet en finale du tournoi de Brest, est très incertain, mais nul doute que l'envie d'évoluer dans une salle qui l'a découvert il y a trois saisons lui donne des fourmis dans les jambes.
Mike Bauer dont l'évolution de la fracture du nez est favorable, devrait être en tenue. Seul forfait palois acquis, celui du capitaine Fred Fauthoux, victime d'une aponévrose.
Gordon Herbert devrait s'appuyer sur le rendement du duo américain Britton Johnsen (19,5 points de moyenne en préparation) -John Gilchrist (9;8 points) pour dompter la défense locale.
Un revers palois en terre normande serait en tout cas vécu comme un premier véritable couac.
" Pierre Seillant : " Aller en finale et la gagner "
Finies les vacances. La saison qui démarre ce soir par un déplacement au Havre doit être celle du renouveau pour un Elan orphelin de titres depuis 2004. Toujours aussi enthousiaste, Pierre Seillant dresse l'état des lieux d'une équipe largement remaniée cet été. Il revient, également, sur la douloureuse saison dernière. Sans concession.
En ce jour de reprise au Havre, Pierre Seillant entame sa 40e saison à la tête du club béarnais.
C'est depuis son domicile orthézien qu'il suivra, par téléphone interposé, l'évolution du score de son équipe partie en Normandie sans lui. A 65 ans, le Prési, élu meilleur dirigeant sportif français en 1998, n'est plus le globe-trooter de ses débuts : " Je connais par coeur toutes les gars de France et tous les aéroports d'Europe ".
Loin des yeux mais toujours près du coeur. L'étincelle jaillie de ses yeux à l'évocation de ce maillot vert " réputé dans toute l'Europe du basket ".
A un an du centenaire du club fondé par son père, Pierre Seillant évoque la nouvelle saison marquée par le signe de la rupture et du changement.
Après deux ans de disette, l'heure est à la reconquête. Celle d'un titre, qui serait le dixième décroché depuis 1986.
Attention une meute de prétendants aux dents de plus en plus longue est également sur les rangs. Du champion manceau, en passant par Nancy, double finaliste, Strasbourg, Gravelines, l'ASVEL et Chalon, tous se sont renforcés et la lutte s'annonce impitoyable.
Même s'il avoue " que l'équipe qui démarre ce soir n'est pas encore au point ", Pierre Seillant est satisfait de la nouvelle mouture articulée autour de sept recrues, des quatre " rescapés " (Fauthoux, d'Almeida, Harrison et Rupert) et d'un nouveau coach, Gordon Herbert.
La République des Pyrénées : " Quelles leçons tirez-vous d'une saison dernière conclue par deux éliminations en demi-finale (Le Mans en championnat et Dijon en Coupe de France) ?
Pierre Seillant : L'an dernier m'a fait très mal. C'est lorsque l'on a été au complet que le " bordel " a commencé. On a terminé l'année à l'inverse de que j'espérais. Pourtant, le plus dur avait été fait en terminant en tête de la saison régulière et en éliminant tous les " gros " en coupe. Dans les moments importants, l'équipe n'a jamais eu l'envie de se dépasser. Je n'ai pas senti d'amour suffisant entre les joueurs. La défaite face à Dijon en demie de la coupe est une faute professionnelle. Ce soir-là, j'au vu quelques egos se manifester. On était loin d'une osmose totale entre les joueurs et le staff.
Au final, le bilan est décevant, la fin de saison gâchée. J'ai conscience que l'on a déçu beaucoup de gens. Le public est vite blasé et parfois il peut se montrer ingrat.
La République des Pyrénées : La séparation avec Dider Gadou est-elle digérée ?
Pierre Seillant : C'est une très longue réflexion qui a abouti à son éviction. Pour ma part, ce n'est pas encore cicratisé. Je regrette qu'il ne soit pas allé au bout de ses trois ans de contrat, mais la séparation était ineluctable. Une nouvelle dynamique passait par un chagement de coach. Didier a certainement pris l'équipe à un mauvais moment.
La République des Pyrénées : Comment s'est porté le choix sur Gordon Herbert ?
Pierre Seillant : Après avoir été en pourparlers avec un club russe et l'ASVEL, il m'a contacté après la décision de se séparer de Gadou.Par rapport aux conditions fixées par le club, c'est le meilleur choix possible. Ce qu'il a fait, deux saison à Paris puis avant en Allemagne est excellent. A Pau, il veut prouver qu'il est à la hauteur. C'est notre second entraîneur anglophone après George Fisher qui était resté dix ans à l'Elan et qui a marqué l'histoire du club.
La République des Pyrénées : Quel jugement portez-vous sur la nouvelle équipe ?
Pierre Seillant : Elle me plaît bien. Elle sera défensivement très forte. En attaque, il faut être un peu patient, mais ça va venir. Il s'agit d'un groupe très attachant.
Les joueurs sont tous animés d'un excellent état d'esprit. Certains sont là pour s emontrer aux yeux de la NBA, d'autres pour gagner des titres, et certains pour les deux.
La République des Pyrénées : Avez-vous fixé des objectifs qportifs à l'équipe ?
Pierre Seillant : Oui: arriver en finale du championnat et la gagner. Pour aller de nouveau en Euroligue, le plus simple est d'être champion.
La République des Pyrénées : Un mot sur l'Euroligue dont le Top 16 semble de nouveau difficile à conquérir.
Pierre Seillant : D'abord, c'est notre 30e saison consécutive dans une coupe d'Europe. Cela semble banal, mais c'est le résultat de beaucoup de travail, de savoir-faire , et aussi d'un peu de chance. Cette année, nous tombons encore dans une poule superbe avec trois anciens vainqueurs de l'Euroligue (Kaunas, CSKA, Barcelone). Le souhait est de gagner plus de matches à domicile que l'an dernier (2 sur 7). Il ne faut pas refuser les obstacles. Aujourd'hui, l'Euroligue produit des joueurs capables de battre l'équipe de stars américaines lors du Mondial. De nombreux clubs NBA se casseraient les dents contre certains clubs européens. J'espère que l'on sera soutenu pour réaliser des exploits. Quelqu'un qui aime le basket, ne peut pas passer à côté d'affiches aussi prestigieuses.
La République des Pyrénées : Une non participation à l'Euroligue 2007/08 mettrait-elle en péril l'avenir de l'Elan ?
Pierre Seillant : Pas du tout ! Il n'y aucune épée de Damoclès au-dessus de l'équipe, aussi bien sportive qu'économique. Notre aura est intacte partout en France et en Europe. Bien sûr, il ne faut pas faire dix saisons de suite comme la dernière.
La République des Pyrénées : Après 40 ans à la tête du club, vous êtes-vous fixé une date de fin de carrière ?
Pierre Seillant : Si la santé me le permet, je continue encore un peu... Ce serait un joli clin d'oeil d'être toujours là en 2008, pour le centenaire du club. L'Elan est un peu ma seconde famille. Après avoir été le "frère " des joueurs, j'ai été leur " père ", puis maintenant " leur grand-père ". Par contre, je ne serai jamais leur " arrière grand-père " ! (rires). Quand j'arrêterai mes fonctions auprès de l'équipe 1, je continuerai de m'occuper du centre de formation. C'est un grand bonheur d'assister à l'épanouissement des jeunes au fil des anées " .
(Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Ce soir, aux Docks Océanes, le STB reçoit l' Elan Béarnais Pau-Orthez pour le compte de la 1ère journée de Pro A.
Match à suivre sur le live de la Ligue, http://www.lnb.fr et à la radio, sur France Bleu Béarn (102.5).
La rencontre sera arbitré par MM. Radonjic, Bissang et Karaquillo.
LE HAVRE : 4. John Cox (US,1,94m), 7. Cissé (SEN, 1,88m), 8. Gay (US, 2m), 9. Cayol (FR, 1,98m), 10. Curti (FR, 1,80m), 11. Traoré (FR, 2,05m), 12. Stanley (US, 1,92m), 13. Tucker (US, 1,95m), 14. Duport (FR, 2,13m), 15. Miller (SVG, 2m).
Entraîneur : C.Monschau (FR)
EB PAU-ORTHEZ : 5. CC Harrison (US, 1,94m), 6. X d'Almeida (FR, 1,83m), 7. R.Greer (DOM, 1,96m) incertain , 8. B.Johnsen (US, 2,06m), 9. C.Ferchaud (FR, 1,96m), 11. J. Gilchrist (US, 1,85m), 12. T.Rupert (FR, 2m), 14. I.Mahinmi (FR, 2,08m), 15. M.Bauer (US, 2,03m) incertain, 17. Y.Diene (SEN,, 2,10m), 18. L.Vaty (FR, 2,05m).
Entraîneur : G.Herbert (CAN)
[/scroll]" 1ere JOURNEE PRO A :
LE HAVRE / ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ"[scroll]
[/scroll]" Le Havre / Elan Béarnais Pau-Orthez "
Une nouvelle fois en échec la saison dernière, Pau-Orthez a changé de peau avec pas moins de 8 départs pour 9 arrivées. L’Elan Béarnais a fait un savant dosage entre joueurs confirmés en Pro A (Ricardo Greer, Mike Bauer, Cédric Ferchaud), Américains habitués à l’Europe (John Gilchrist, Britton Johnsen) et jeunes espoirs en devenir (Ian Mahinmi, Ludovic Vaty, Alexis Ajinça). Un effectif renforcé qui s’accompagne d’ambitions non cachées pour cette nouvelle édition : «Nous présentons une équipe athlétique et rapide qui développera un jeu attractif avec une bonne assise défensive. Même s'il faut se méfier des matches de préparation, notre équipe présente à ce jour un remarquable état d'esprit. Elle est composée de joueurs qui veulent se lancer pour certains et se relancer pour d'autres. Ils ont tous en tête le challenge de se valoriser sur la scène européenne et de valoriser le club qui fêtera son 30ème anniversaire de présence en Coupe d'Europe», a déclaré Pierre Seillant sur le site du club. Pour ses débuts, Pau-Orthez se déplace au Havre probablement sans Greer victime d’une contusion au mollet.
(Source : http://www.sport24.com)
" Se tester à l'extérieur "
L’Élan Béarnais a constitué une véritable armada durant l’intersaison et se déplace au Havre pour son premier match de la saison. L’occasion pour Ian Mahinmi de rendre visite au club qui l’a formé, mais aussi de se frotter au joueur débarqué au STB pour le remplacer : Ali Traoré.
(Source : http://www.lequipe.fr)
" En direct de la Pro A "
Le Havre : Tout le monde est sur le pont du côté de Siant-Thomas qui a intégré il y a quelques jours l'Américain Sherman Gay. Cette rencontre marquera le grand retour à la compétition de Floyd Miller après deux ans sans jouer (rupture des ligaments croisés internes).
EB Pau-Orthez : A Pau, Ricardo Greer (contusion au mollet) est incertain et fera un dernier test ce matin. Mike Bauer a fait le déplacement et pourrait entrer en jeu avec un masque pour protéger son nez fracturé il y a une semaine à Brest. Fauthoux (aponévrose) restera dans le Béarn. A noter pour ce premier match de la saison, le retour de Ian Mahinmi aux Docks Océanes mais sous les couleurs paloises.
(Source : Le Journla L'EQUIPE)
" Retour au bercail "
LE HAVRE - PAU-ORTHEZ. Ian Mahinmi rend visite à ses anciens coéquipiers pour son premier match avec l'Elan.
Nouveau. Ian Mahinmi est l'une des plus importantes recrues de l'Elan Béarnais.
PRO A (1re JOURNEE)
Voici une reconversion réussie. Il n'y a pas si longtemps, Ian Mahinmi baladait son impressionnante carcasse sur les pelouses d'un terrain de football, dans la peau d'un défenseur central anonyme. Le voilà aujourd'hui grand espoir du basket-ball français, évoluant chez un gros calibre de Pro A, drafté par les Spurs l'année dernière. Si tout se passe comme prévu, il s'entraînera l'année prochaine aux côtés de Tony Parker ou Tim Duncan, à San Antonio, en NBA. Après seulement six ans de pratique, il flirte avec les sommets du basket mondial. Une ascension plutôt rapide pour ce minot de Rouen qui ne maîtrisait pas grand chose de ce sport à la fin des années 90.
Apprentissage. A présent, le garçon joue à Pau, pour acquérir de l'expérience. Pour l'instant, il essaie surtout d'oublier son avenir texan. « Y a trop de trucs à penser pour que je me rajoute des projections ». Oui, vraiment trop de « trucs » en tête. Comme de gagner un titre avec l'Elan Béarnais, bien figurer en Euroligue et montrer au reste du monde qu'il est un des meilleurs pivots de sa génération. Un maître-mot : le travail. Il le répète à l'envi. Pour l'international espoir né en France, subtil mélange d'un père béninois et d'une mère jamaïcaine, il en a fallu un paquet pour accéder au plus haut niveau. Jusqu'à trois entraînements par jour. « De toutes façons, je ne vais rien apprendre à personne : c'est en bossant qu'on y arrive. »
De son grand-père, chef de village en Afrique, il a hérité du double-mètre (2,08 m, 104 kg) et aussi pris de lui une certaine sagesse, surprenante pour un jeune de 20 ans à qui tout réussit. Son coeur martèle San Antonio, sa raison répond Pau. « Pas la peine de se presser. Evidemment, j'ai hâte de partir aux USA, de me lancer dans cette nouvelle vie. Mais j'ai encore beaucoup de fondamentaux à apprendre ici ». Alors, pour se frotter à l'Euroligue, en accord avec les Spurs, le Normand a atterri dans le Béarn.
Retour au Havre. L'apprentissage se poursuit aujourd'hui. Hasard du calendrier, pour les débuts de la Pro A édition 2006-2007, il revient au bercail, en Normandie, là où tout a commencé : les playgrounds avec les « potes », le pôle espoir, les premières sélections. Ce soir, aux Docks Océane du Havre, il va retrouver sa raquette. Revenir chez lui sous de nouvelles couleurs aurait pu le perturber. Au contraire, il semble transcendé : « On est tous super motivés, cela se voit à l'entraînement. Et puis, c'est important de s'imposer dans les premières rencontres, de réaliser une bonne entame de championnat. Personnellement, jouer contre eux sera une source de motivation supplémentaire. Et si je peux leur mettre quelques contres... »
Ian Mahinmi a les crocs. Faim de victoires, de titres. Pour autant, il ne s'enflamme pas. « C'est sûr, nous avons un excellent groupe, de grands joueurs, un très bon coach et l'objectif est d'être champion de France. Mais on verra comment cela se passe. Il faudra assurer au niveau du mental et beaucoup travailler ». Le basketteur préfère rester mesuré. Le plus souvent du moins. A un salarié du club évoquant le déplacement de ce soir, il adresse une bonne tape dans la main et le rassure : « on va les bouffer ». Les Havrais sont prévenus. Sous le cercle, le jeune homme compte bien régner en maître.
" Rentrée des classes "
Profondeur de banc.
Vainqueurs des Normands en match amical il y a deux semaines (83-75), les Palois étaient à l'époque privés de CC Harisson et Ian Mahinmi. Le staff s'attend pourtant à une rentrée difficile. « Notre défense devra être solide. Mais nous avons une profondeur de banc qu'ils n'ont peut-être pas. A nous d'en profiter et de les épuiser », estime le directeur technique Gérald Bouscarel. Le coach Gordon Herbert dispose d'un groupe incertain pour son déplacement en Normandie. Mike Bauer (fracture du nez) pourrait peut-être fouler le parquet havrais grâce à « un masque très sophistiqué », selon Bouscarel. Quant à Ricardo Greer, victime d'une lésion à un mollet, il devrait être ménagé.
Attention, shooteurs.
Cette année, seulement huit équipes disputeront les play-offs en Pro A. Les Normands, septièmes lors du précédent exercice, ont bien l'intention d'y figurer. Pour se faire, ils comptent un recrutement intéressant. Le départ de Ian Mahinmi a été compensé par l'arrivée d'Ali Traoré (Roanne). Les Américains John Cox (Chalon) et Sherman Gay (Bourg) ont également débarqué en Normandie. Mais c'est surtout en terme de shooteur que le STB a tapé fort. Joah Tucker, l'ailier américain, recruté cet été (NCAA, Wisconsin-Milwaukee), a effectué une pré-saison tonitruante, marquant notamment 30 points face à Pau en amical. La paire Tucker/Stanley pourrait faire des dégâts.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Alors, prêt pour les trois coups? "
La préparation de l’Elan ne laissera pas un souvenir impérissable. Elle a surtout été marquée par les absences à répétition et les blessures qui restent à l’ordre du jour puisque sur les 12 joueurs qui ont fait le voyage au Havre, neuf seulement sont, lors de la veillée d’armes, assurés de tenir leur place.
Fred Fauthoux restera en civil en rongeant son frein sachant que pour lui le retour n’interviendra pas avant le début octobre, Mike Bauer possède bien un masque des plus sophistiqués mais l’opération n’a pas huit jours et si le garçon est guerrier l’appréhension d’un coup sur une nez tout juste refait reste à craindre, enfin si Ricardo Greer va bien mieux, la cicatrisation n’est pas définitive et le risque existe…
C’est donc sans aucun doute sur les acteurs du dernier match amical face à Vitoria, mardi que Gordon Herbert va s’appuyer ce samedi dans la salle des Docks Océanes. Délicat dans ce contexte de se hasarder à un quelconque pronostic quand bien même côté normand on fait également été de retard à l’allumage, notamment pour Tony Stanley, l’ailier si prompt à dégainer et pour Babou Cissé, le meneur revenu du Japon avec des petits bobos…
Ces mêmes acteurs auxquels le coach va demander d’insister sur le secteur défensif, puisque c’est là le point de départ de sa philosophie et que, par séquences, ses hommes en ont démontré les bienfaits. En Espagne justement où l’Elan a joué les yeux dans les yeux avec son rival pendant une demi-heure avant de céder sous les assauts d’une press tout terrain déployée par l’armada du Tau, mais il s’agissait là d’un avant goût européen et tout le monde n’est pas le Tau ….
Reste que la basket prôné par Herbert est gros consommateur d’énergie et d’agressivité. Et que si son but est de finir par user l’adversaire, il nécessite une condition optimale et une longueur de banc en adéquation avec l’effort demandé toute choses dont l’Elan ne dispose pas encore, en raison des absences, en raison également de la différence du niveau physique des joueurs. Il va falloir ainsi du temps à CC Harrison, un seul match à son actif, pour redevenir le régulateur qu’il sait être, tout comme Thierry Rupert et Ian Mahinmi n’ont pas encore effacé le déficit d’un mois d’absence. De plus, concernant, le futur « Spur », il se sait sous surveillance renforcée et dans sa volonté de réussir son pari il n’est pas dit qu’il ne se mette pas un surcroît de pression dans sa quête de rattraper le temps perdu. Comme le dit le coach, « il n’a pas encore 20 ans »… Le fait pour lui de démarrer le championnat dans une salle, un club, un environnement qui étaient encore le sien il y a 4 mois rajoute à la difficulté, mais ce sera aussi l’occasion de le voir gérer l’événement dans la mesure où il peut s’attendre à un bel accueil de ce public Havrais …
L’Elan s’avance donc sur la scène du championnat à pas feutrés sachant bien que sa victoire sur ces mêmes havrais, il y a un peu plus de quinze jours à St Brieuc, relève de l’anecdote, compte tenu des handicaps des uns et des autres à l’époque.
Reste que Joah Tucker un garçon venu de NCAA et difficilement « classable » (3 ou 4 ?) avait été un terrible fer de lance (30 points) et qu’associé à Stanley il ne devrait pas faire mentir la tradition havraise, laquelle s’appuie beaucoup sur le tir à trois points. Avec bonheur faut-il le rappeler, cette équipe restant sur trois qualifications au play-off .Même si sur les bases défensives du match de Vitoria les béarnais peuvent nourrir quelques ambitions, ils savent aussi qu’il faudra éviter les coups de chaud, notamment ceux dont son capables à tout moment les artilleurs havrais.
En un mot comme en cent cet Elan en pleine construction sait que désormais, il lui faudra hebdomadairement poser une pierre supplémentaire à l’édifice….
(Source : http://www.elan-bearnai.fr)
" Mahinmi de retour sur ses terres "
Qualifiés pour les play-offs ces quatre dernières saisons, Le Havre démarre la saison sur la pointe des pieds.
Le départ pour l'Elan de l'intérieur fraîchement drafté par les Spurs, Ian Mahinmi, celui de JK Edwards (11,5 points et 6,5 rebonds) pour Cholet, ajouté à l'arrêt du patriarche Pat Durham, ont dépeuplé la raquette normande. Elle est désormais aux mains du jeune et massif Joah Tucker (23 ans, 1,96m), issu de la NCAA, de l'ancien bressan Sherman Gay (2,01m) et du très jeune Ali Traoré (21 ans, 2,06m). Révélé à Roanne l'an passé (8,6 points et 4,1 rebonds), Traoré est doté de " véritable " mains, et pourrait devenir une des révélations de la saison.
[center]" Greer incertain "[/center]
Le STB compte sur un rendement optimum de son ailier Tony Stanley pour alimenter la marque. Meilleur marqueur l'an dernier (15,2 points), Stanley, boulimique parfois jusqu'à l'excès du tir à trois points (8 tentatives par match), sera le baromètre de l'équipe. L'ex-chalonais et cousin de Kobe Bryant, John Cox (13,2 points), apportera un précieux secours en attaque.
Au poste de meneur, Le Havre maintient sa confiance au duo Cissè-Curti, le premier sortant d'un Mondial consistant avec le Sénégal.
Problème, il a ramené du Japon un sérieux mal de dos qui l'a contraint à renoncer à la moitié des matches de préparation. Des rencontres préparatoires qui ont montré un STB encore loin du compte en terme de collectif.
Un constat qui vaut également pour les Palois, largement amoindris lors des dix matches de présaisons, à l'image de CC Harrison qui a manqué neuf des dix rencontres.
Ce soir, l'ailier Ricardo Greer (13,5 points de moyenne en préparation), touché au mollet en finale du tournoi de Brest, est très incertain, mais nul doute que l'envie d'évoluer dans une salle qui l'a découvert il y a trois saisons lui donne des fourmis dans les jambes.
Mike Bauer dont l'évolution de la fracture du nez est favorable, devrait être en tenue. Seul forfait palois acquis, celui du capitaine Fred Fauthoux, victime d'une aponévrose.
Gordon Herbert devrait s'appuyer sur le rendement du duo américain Britton Johnsen (19,5 points de moyenne en préparation) -John Gilchrist (9;8 points) pour dompter la défense locale.
Un revers palois en terre normande serait en tout cas vécu comme un premier véritable couac.
" Pierre Seillant : " Aller en finale et la gagner "
Finies les vacances. La saison qui démarre ce soir par un déplacement au Havre doit être celle du renouveau pour un Elan orphelin de titres depuis 2004. Toujours aussi enthousiaste, Pierre Seillant dresse l'état des lieux d'une équipe largement remaniée cet été. Il revient, également, sur la douloureuse saison dernière. Sans concession.
En ce jour de reprise au Havre, Pierre Seillant entame sa 40e saison à la tête du club béarnais.
C'est depuis son domicile orthézien qu'il suivra, par téléphone interposé, l'évolution du score de son équipe partie en Normandie sans lui. A 65 ans, le Prési, élu meilleur dirigeant sportif français en 1998, n'est plus le globe-trooter de ses débuts : " Je connais par coeur toutes les gars de France et tous les aéroports d'Europe ".
Loin des yeux mais toujours près du coeur. L'étincelle jaillie de ses yeux à l'évocation de ce maillot vert " réputé dans toute l'Europe du basket ".
A un an du centenaire du club fondé par son père, Pierre Seillant évoque la nouvelle saison marquée par le signe de la rupture et du changement.
Après deux ans de disette, l'heure est à la reconquête. Celle d'un titre, qui serait le dixième décroché depuis 1986.
Attention une meute de prétendants aux dents de plus en plus longue est également sur les rangs. Du champion manceau, en passant par Nancy, double finaliste, Strasbourg, Gravelines, l'ASVEL et Chalon, tous se sont renforcés et la lutte s'annonce impitoyable.
Même s'il avoue " que l'équipe qui démarre ce soir n'est pas encore au point ", Pierre Seillant est satisfait de la nouvelle mouture articulée autour de sept recrues, des quatre " rescapés " (Fauthoux, d'Almeida, Harrison et Rupert) et d'un nouveau coach, Gordon Herbert.
La République des Pyrénées : " Quelles leçons tirez-vous d'une saison dernière conclue par deux éliminations en demi-finale (Le Mans en championnat et Dijon en Coupe de France) ?
Pierre Seillant : L'an dernier m'a fait très mal. C'est lorsque l'on a été au complet que le " bordel " a commencé. On a terminé l'année à l'inverse de que j'espérais. Pourtant, le plus dur avait été fait en terminant en tête de la saison régulière et en éliminant tous les " gros " en coupe. Dans les moments importants, l'équipe n'a jamais eu l'envie de se dépasser. Je n'ai pas senti d'amour suffisant entre les joueurs. La défaite face à Dijon en demie de la coupe est une faute professionnelle. Ce soir-là, j'au vu quelques egos se manifester. On était loin d'une osmose totale entre les joueurs et le staff.
Au final, le bilan est décevant, la fin de saison gâchée. J'ai conscience que l'on a déçu beaucoup de gens. Le public est vite blasé et parfois il peut se montrer ingrat.
La République des Pyrénées : La séparation avec Dider Gadou est-elle digérée ?
Pierre Seillant : C'est une très longue réflexion qui a abouti à son éviction. Pour ma part, ce n'est pas encore cicratisé. Je regrette qu'il ne soit pas allé au bout de ses trois ans de contrat, mais la séparation était ineluctable. Une nouvelle dynamique passait par un chagement de coach. Didier a certainement pris l'équipe à un mauvais moment.
La République des Pyrénées : Comment s'est porté le choix sur Gordon Herbert ?
Pierre Seillant : Après avoir été en pourparlers avec un club russe et l'ASVEL, il m'a contacté après la décision de se séparer de Gadou.Par rapport aux conditions fixées par le club, c'est le meilleur choix possible. Ce qu'il a fait, deux saison à Paris puis avant en Allemagne est excellent. A Pau, il veut prouver qu'il est à la hauteur. C'est notre second entraîneur anglophone après George Fisher qui était resté dix ans à l'Elan et qui a marqué l'histoire du club.
La République des Pyrénées : Quel jugement portez-vous sur la nouvelle équipe ?
Pierre Seillant : Elle me plaît bien. Elle sera défensivement très forte. En attaque, il faut être un peu patient, mais ça va venir. Il s'agit d'un groupe très attachant.
Les joueurs sont tous animés d'un excellent état d'esprit. Certains sont là pour s emontrer aux yeux de la NBA, d'autres pour gagner des titres, et certains pour les deux.
La République des Pyrénées : Avez-vous fixé des objectifs qportifs à l'équipe ?
Pierre Seillant : Oui: arriver en finale du championnat et la gagner. Pour aller de nouveau en Euroligue, le plus simple est d'être champion.
La République des Pyrénées : Un mot sur l'Euroligue dont le Top 16 semble de nouveau difficile à conquérir.
Pierre Seillant : D'abord, c'est notre 30e saison consécutive dans une coupe d'Europe. Cela semble banal, mais c'est le résultat de beaucoup de travail, de savoir-faire , et aussi d'un peu de chance. Cette année, nous tombons encore dans une poule superbe avec trois anciens vainqueurs de l'Euroligue (Kaunas, CSKA, Barcelone). Le souhait est de gagner plus de matches à domicile que l'an dernier (2 sur 7). Il ne faut pas refuser les obstacles. Aujourd'hui, l'Euroligue produit des joueurs capables de battre l'équipe de stars américaines lors du Mondial. De nombreux clubs NBA se casseraient les dents contre certains clubs européens. J'espère que l'on sera soutenu pour réaliser des exploits. Quelqu'un qui aime le basket, ne peut pas passer à côté d'affiches aussi prestigieuses.
La République des Pyrénées : Une non participation à l'Euroligue 2007/08 mettrait-elle en péril l'avenir de l'Elan ?
Pierre Seillant : Pas du tout ! Il n'y aucune épée de Damoclès au-dessus de l'équipe, aussi bien sportive qu'économique. Notre aura est intacte partout en France et en Europe. Bien sûr, il ne faut pas faire dix saisons de suite comme la dernière.
La République des Pyrénées : Après 40 ans à la tête du club, vous êtes-vous fixé une date de fin de carrière ?
Pierre Seillant : Si la santé me le permet, je continue encore un peu... Ce serait un joli clin d'oeil d'être toujours là en 2008, pour le centenaire du club. L'Elan est un peu ma seconde famille. Après avoir été le "frère " des joueurs, j'ai été leur " père ", puis maintenant " leur grand-père ". Par contre, je ne serai jamais leur " arrière grand-père " ! (rires). Quand j'arrêterai mes fonctions auprès de l'équipe 1, je continuerai de m'occuper du centre de formation. C'est un grand bonheur d'assister à l'épanouissement des jeunes au fil des anées " .
(Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Ce soir, aux Docks Océanes, le STB reçoit l' Elan Béarnais Pau-Orthez pour le compte de la 1ère journée de Pro A.
Match à suivre sur le live de la Ligue, http://www.lnb.fr et à la radio, sur France Bleu Béarn (102.5).
La rencontre sera arbitré par MM. Radonjic, Bissang et Karaquillo.
LE HAVRE : 4. John Cox (US,1,94m), 7. Cissé (SEN, 1,88m), 8. Gay (US, 2m), 9. Cayol (FR, 1,98m), 10. Curti (FR, 1,80m), 11. Traoré (FR, 2,05m), 12. Stanley (US, 1,92m), 13. Tucker (US, 1,95m), 14. Duport (FR, 2,13m), 15. Miller (SVG, 2m).Entraîneur : C.Monschau (FR)
EB PAU-ORTHEZ : 5. CC Harrison (US, 1,94m), 6. X d'Almeida (FR, 1,83m), 7. R.Greer (DOM, 1,96m) incertain , 8. B.Johnsen (US, 2,06m), 9. C.Ferchaud (FR, 1,96m), 11. J. Gilchrist (US, 1,85m), 12. T.Rupert (FR, 2m), 14. I.Mahinmi (FR, 2,08m), 15. M.Bauer (US, 2,03m) incertain, 17. Y.Diene (SEN,, 2,10m), 18. L.Vaty (FR, 2,05m).Entraîneur : G.Herbert (CAN)
Modifié en dernier par philip_pau le 30 sept. 2006 10:47, modifié 3 fois.
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Monstertruck64 a écrit :Bon ce soir, il nous faut déjà frapper un bon coup au Havre.
Ce ne sera pas facile dans le contexte que l'on sait mais des individualités comme Britton peuvent faire la dif'.
Esperons que Gilchrist joue (pour la premiere fois enfin !) au basket!
Il devrait faire le taff puisque c'est un match important par rapport au match amicaux...
Je pense raisonnablement que nous allons gagner.
Avec meme pas mal de points d'avance...
Faut quand même arreter deux secondes avec Gilchrist... Quasiment personne n'a réelement vu plus de trois matchs de l'Elan en pré-saison mais non, faut castagner pour le plaisir. Merde, on se cale derrière les joueurs et on les pousse pour ce premier match ou bien??? Tiens, sans mésestimer la valeur de la JDA, je suis bien d'accord avec Pierrot...philip_pau a écrit :La République des Pyrénées : " Quelles leçons tirez-vous d'une saison dernière conclue par deux éliminations en demi-finale (Le Mans en championnat et Dijon en Coupe de France) ?
Pierre Seillant : L'an dernier m'a fait très mal. C'est lorsque l'on a été au complet que le " bordel " a commencé. On a terminé l'année à l'inverse de que j'espérais. Pourtant, le plus dur avait été fait en terminant en tête de la saison régulière et en éliminant tous les " gros " en coupe. Dans les moments importants, l'équipe n'a jamais eu l'envie de se dépasser. Je n'ai pas senti d'amour suffisant entre les joueurs. La défaite face à Dijon en demie de la coupe est une faute professionnelle. Ce soir-là, j'au vu quelques egos se manifester. On était loin d'une osmose totale entre les joueurs et le staff.
Au final, le bilan est décevant, la fin de saison gâchée. J'ai conscience que l'on a déçu beaucoup de gens. Le public est vite blasé et parfois il peut se montrer ingrat
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Karamasof
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Surtout après avoir éléminé l'ASVEL, Strabourg et Le Mans ! Pau devait se voir déjà en finale, et même déjà vainqueur de la coupe.
Vivement ce soir pour voir enfin, comment l'équipe va se comporter en match officiel, même si Greer sera absent, ce qui n'est pas rien. Ca aurait été sympathique de pouvoir voir Harrison et Greer évoluer ensemble, car ça fait quand même une très belle doublette.
Vivement ce soir pour voir enfin, comment l'équipe va se comporter en match officiel, même si Greer sera absent, ce qui n'est pas rien. Ca aurait été sympathique de pouvoir voir Harrison et Greer évoluer ensemble, car ça fait quand même une très belle doublette.
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Strasbourgeois !
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Ben pour moi,Karamasof a écrit :
Vivement ce soir pour voir enfin, comment l'équipe va se comporter en match officiel, même si Greer sera absent, ce qui n'est pas rien. Ca aurait été sympathique de pouvoir voir Harrison et Greer évoluer ensemble, car ça fait quand même une très belle doublette.
Greer = ce qui se fait de mieux sur le poste 3 (quand il est à son niveau ! Sinon, Gregory et Kirksay le valent)
Harrison = ce qui se fait de mieux sur le poste 2
Alors oui, c'est une belle doublette !!
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awaremann
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ben pour moi, on va bientot se rendre compte que ce qui se fait de mieux au poste 3, c'est Johnsen...Strasbourgeois ! a écrit :Ben pour moi,Karamasof a écrit :
Vivement ce soir pour voir enfin, comment l'équipe va se comporter en match officiel, même si Greer sera absent, ce qui n'est pas rien. Ca aurait été sympathique de pouvoir voir Harrison et Greer évoluer ensemble, car ça fait quand même une très belle doublette.
Greer = ce qui se fait de mieux sur le poste 3 (quand il est à son niveau ! Sinon, Gregory et Kirksay le valent)
Harrison = ce qui se fait de mieux sur le poste 2
Alors oui, c'est une belle doublette !!
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the answer64
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Et aux postes 1 et 5 : Gilchrist et mahinmiawaremann a écrit :ben pour moi, on va bientot se rendre compte que ce qui se fait de mieux au poste 3, c'est Johnsen...Strasbourgeois ! a écrit :Ben pour moi,Karamasof a écrit :
Vivement ce soir pour voir enfin, comment l'équipe va se comporter en match officiel, même si Greer sera absent, ce qui n'est pas rien. Ca aurait été sympathique de pouvoir voir Harrison et Greer évoluer ensemble, car ça fait quand même une très belle doublette.
Greer = ce qui se fait de mieux sur le poste 3 (quand il est à son niveau ! Sinon, Gregory et Kirksay le valent)
Harrison = ce qui se fait de mieux sur le poste 2
Alors oui, c'est une belle doublette !!
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Karamasof
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Et au poste 4, Rupert !the answer64 a écrit :Et aux postes 1 et 5 : Gilchrist et mahinmiawaremann a écrit :ben pour moi, on va bientot se rendre compte que ce qui se fait de mieux au poste 3, c'est Johnsen...Strasbourgeois ! a écrit :
Ben pour moi,
Greer = ce qui se fait de mieux sur le poste 3 (quand il est à son niveau ! Sinon, Gregory et Kirksay le valent)
Harrison = ce qui se fait de mieux sur le poste 2
Alors oui, c'est une belle doublette !!
