DTC?Montagnard a écrit :Je m'incline devant tant "d'intellectualité" si je peux dire, concentrée au même endroit !
Effectif 2016-2017 (John Cox p265)
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
J'm'en branle ... Je suis comme je suis !gpolin a écrit :Rhoo, le tacle à la carotide d'awaremannn sur Jaco avec un "T'es tellement vieux que j'utilise des expressions anciennes exprès pour toi"awaremannn a écrit :T'es bien un prof toi, toujours tout corriger
J'ai dit mst pour qu'il comprenne
L'arbitre n'a rien vu, et le jeu se poursuit !
Sinon, non les profs ne sont pas là pour tout corriger, juste "besoin de reconnaissance"
awaremannn a écrit :DTC?Montagnard a écrit :Je m'incline devant tant "d'intellectualité" si je peux dire, concentrée au même endroit !
Les soirées vont être de retour !!GuiTheGuy a écrit :T'inclines pas trop quand même, avec toutes ces histoires de branlettes, ça pourrait jaser.
Go Elan GOOOOOOOO !!!
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
Bon la récré est terminée. Finies les digressions svp. Sinon ça va couper. Merci d'avance.
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
Normalement DJ a du passer une échographie ce matin, on ne devrait plus attendre longtemps les résultats.
Je n'ai rien trouvé pour l'instant !!
Je n'ai rien trouvé pour l'instant !!
Que la montagne est belle....
Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
DJ incertain contre Antibes mais rien de dramatique selon la République!
Il passera de nouveaux examens jeudi!
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
elan-bearnais.fr a écrit :DJ Cooper, touché à l'entame du dernier quart-temps à Toulon vendredi dernier souffre d'un "hématome à l'insertion du fémur et de la hanche" a informé ce lundi en début d'après-midi le Directeur Exécutif Didier Gadou qui a rajouté qu' on ne prendra aucun risque", avec le meneur de jeu si précieux de l'Elan.
De nouveaux examens seront effectués jeudi car "le docteur a besoin de le revoir pour savoir si oui ou non il peut être apte pour la réception d'Antibes samedi soir". D'ores et déjà forfait pour le match de FIBA Europe Cup à Tartu mardi (18h, J.05) DJ est par conséquent incertain pour la réception des Sharks (sam. 20h, J.09), jour où il se verra remettre en avant match son trophée de meilleur joueur de Pro A du mois d'octobre.
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
A l'occasion de son trophée de MVP du mois d'Octobre, DJ a répondu aux questions de supporters sur le site de la LNB : DJ Cooper répond à vos questions
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
http://www.doubledouble.rs/blog/evro-ta ... ka-orteza/
Je sais même pas quelle langue c'est mais on comprend les grandes lignes
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
C'est du bosniaque à priori. Une rumeur comme quoi le Maccabi Tel Aviv serait intéressé par DJ Cooper.
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
Le club annonce un retour imminent de Bokolo dans l'actualité présentant le match à Chalon :
elan-bearnais.fr a écrit :A noter que cette rencontre sera la dernière pour Ron Howard sous le maillot palois, Yannick Bokolo devant pouvoir débuter sa saison vendredi prochain à l'occasion de la réception de Châlons-Reims.
Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
Je viens de voir ca aussi ... mais sur BeBasket
http://www.bebasket.fr/championnat-pro- ... epart.html
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Go Elan GOOOOOOOO !!!
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
Bebasket ne fait que répéter ce qui a été dit sur le site de l’Élan.Jaco11 a écrit :Je viens de voir ca aussi ... mais sur BeBasket
http://www.bebasket.fr/championnat-pro- ... epart.html
Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
Si quelqu'un a la chance de lire l'article et de nous en sortir ce qu'il y'a d'intéressant
http://www.lequipe.fr/Basket/Article/Dj ... ins/755432
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Re: Effectif 2016-2017 : Ron Howard (p198)
basket
pro a
DJ Cooper, la magie au creux des mains
Le 02/12/2016, mis à jour le 02/12/2016 05:00:00
Le meneur américain est le petit génie de la Pro A. Un talent rare, tout à la fois homme discret, passeur génial et compétiteur féroce.
David Loriot
PAU - Son génie est un don. Son talent est une lutte. Quand il pousse la porte du palais des sports de Pau avant-hier matin, dans un survêt gris où ses guiboles flottent un peu, difficile d'imaginer que ce petit meneur américain de1,83 m ravage les terres de France depuis deux mois. La tête est un peu rentrée dans les épaules, le destin recroquevillé.
À vingt-six ans bientôt, DJ Cooper est pourtant devenu en deux mois le magicien du palais. Du creux de ses mains, l'enfant de Chicago écrit les plus belles histoires. Du bout de ses doigts, il fait naître une oeuvre magistrale. «J'ai joué avec des meneurs doués pour la passe, mais, lui, c'est une science», résume son coéquipier, Alain Koffi. Cooper est un passeur comme la Pro A n'en a sans doute jamais connu, un joueur au physique ordinaire élevé au rang de phénomène par ce don sublime de voir avant les autres. «Je suis béni pour ma vision du jeu», glisse-t-il.
Avec 11,5 passes de moyenne par match, Donnell Junior Cooper éclaire, ensorcelle et a déjà fait oublier son prédécesseur au poste, Michael «Juice» Thompson, pourtant meilleur marqueur de Pro A 2015-2016. Chez Cooper, il y a ce petit brin de noblesse en plus, ce désir de faire briller les autres. «Mon job, c'est d'abord d'impliquer mes coéquipiers. Je préfère la passe au tir», avoue le meilleur passeur de l'automne, toutes ligues européennes confondues !
Un altruisme qui détonne un peu dans le basket moderne et qui renvoie à des temps anciens, quand Laurent Sciarra, octuple meilleur passeur de Pro A, mettait la balle au-dessus de sa tête pour trouver le joueur à l'opposé que lui seul alors avait vu. Ce fut d'ailleurs un questionnement qui tarauda le staff palois avant de le faire signer cet été. Car Cooper n'était pas le premier choix. Et si Erving Walker n'avait pas décliné l'offre de l'Élan béarnais au dernier moment pour filer à Strasbourg, Cooper ne serait pas là. «Sa qualité de passe, on savait, sa capacité à prendre du rebond défensif aussi, mais c'est vrai que j'avais un peu une inconnue sur le fait qu'il puisse être scoreur», convient le coach palois, Éric Bartéchéky.
En un peu plus de deux mois, les doutes sont levés. Cooper est «le King» de la Pro A. Un passeur, intercepteur, rebondeur, scoreur, sorte de Rémy Bricka du basket ! «Il me fait penser à Vassilis Spanoulis. Tout le match, DJ va passer la balle, il va vous chercher sur le terrain, mais quand le drame se joue, il est là pour prendre les tirs», exprime le vétéran JK Edwards.
«Il est comme un pitbull. Il va vouloir marcher sur tout le monde» J.K. Edwards, son partenaire à Pau
Cooper est entré dans la saison comme un acharné. Un revanchard, un oublié. «Je suis sur la ligne, j'ai faim cette année», clame-t-il. Sa saison dernière, éclatée entre la Russie, la Grèce et Monaco, lui a laissé ce sentiment déplaisant d'être encore négligé dans le concert européen. «Je veux être sûr cette saison que les gens savent que j'appartiens au haut niveau», poursuit-il.
Sur le terrain, Cooper, tel un héros polymorphe, soudain se transforme. D'un coup, le masque poli du gars «timide qui lève sa petite main et distribue les bonjours dans le couloir», comme le dépeint joliment le directeur exécutif du club, Didier Gadou, tombe. Sur les planches, Cooper n'a plus qu'une idée fixe : la gagne. «Il est comme un pitbull, il déteste cette p... de défaite. Il va vouloir marcher sur tout le monde, il se fout qu'en face ce soit son meilleur ami», résume JK Edwards.
La genèse de l'histoire remonte très loin, quand le jeune kid de Chicago était l'un des plus petits sur le terrain et devait prouver qu'il y avait sa place. « Quand tu fais ma taille, c'est toujours une bataille », convient-il. Une attitude nourrie aussi par la déception de ne pas avoir été drafté en 2013, alors qu'il sortait en star de l'université d'Ohio. «Ce fut une déception. La NBA reste dans un coin de ma tête», glisse le meneur.
Ses failles et ses fragilités en ont fait un féroce compétiteur, un écorché. Sur le terrain, le discret de tous les jours grogne et invective. Adepte du trash-talking, il est à deux doigts de la bagarre avec l'Orléanais Abdel Kader Sylla. Lundi dernier à Chalon (défaite 76-96), il s'agace de la maladresse de son propre partenaire, Ron Lewis, incapable de bonifier ses passes. «À l'entraînement parfois, tu as envie de lui dire : calme-toi, ce n'est qu'un match d'entraînement», poursuit Alain Koffi.
Aux platines, DJ est dans son monde. En dehors, le meneur retrouve taille humaine. Il est au milieu des autres, «discret dans la prise de parole», relate le coach. Il est un père qui s'enquiert du bien-vivre de sa famille, de son petit garçon de trois ans, Donnell III, et de sa femme Lucky, enceinte d'un deuxième enfant. Sa devise : «Happy wife, happy life» (femme heureuse, vie heureuse).
Pourtant, il a mis le temps pour être bien à Pau. Le premier appartement ne lui allait pas. Pour le second, c'est la voisine du dessous qui a tiqué. Finalement, c'est dans une maison avec vue sur les Pyrénées que la famille Cooper s'est posée. «On a trouvé quelqu'un de craintif. On a eu sa confiance le jour où il a vu que l'on se bougeait pour lui», relate Didier Gadou.
Ce serait donc ballot de perdre le petit génie maintenant. Le Panathinaïkos, qui le fit venir quelques semaines en 2014-2015, le tire à nouveau par la manche. Le Maccabi Tel-Aviv lorgne aussi par ici. «C'est une situation délicate. Je suis bien à Pau et mon job est de performer ici», dit Cooper, un poil gêné. Gadou, lui, reste droit : «Il a un contrat chez nous et je n'ai reçu de demandes officielles de personne.» Profitons donc encore des jolis tours de main du magicien de la Pro A.
pro a
DJ Cooper, la magie au creux des mains
Le 02/12/2016, mis à jour le 02/12/2016 05:00:00
Le meneur américain est le petit génie de la Pro A. Un talent rare, tout à la fois homme discret, passeur génial et compétiteur féroce.
David Loriot
PAU - Son génie est un don. Son talent est une lutte. Quand il pousse la porte du palais des sports de Pau avant-hier matin, dans un survêt gris où ses guiboles flottent un peu, difficile d'imaginer que ce petit meneur américain de1,83 m ravage les terres de France depuis deux mois. La tête est un peu rentrée dans les épaules, le destin recroquevillé.
À vingt-six ans bientôt, DJ Cooper est pourtant devenu en deux mois le magicien du palais. Du creux de ses mains, l'enfant de Chicago écrit les plus belles histoires. Du bout de ses doigts, il fait naître une oeuvre magistrale. «J'ai joué avec des meneurs doués pour la passe, mais, lui, c'est une science», résume son coéquipier, Alain Koffi. Cooper est un passeur comme la Pro A n'en a sans doute jamais connu, un joueur au physique ordinaire élevé au rang de phénomène par ce don sublime de voir avant les autres. «Je suis béni pour ma vision du jeu», glisse-t-il.
Avec 11,5 passes de moyenne par match, Donnell Junior Cooper éclaire, ensorcelle et a déjà fait oublier son prédécesseur au poste, Michael «Juice» Thompson, pourtant meilleur marqueur de Pro A 2015-2016. Chez Cooper, il y a ce petit brin de noblesse en plus, ce désir de faire briller les autres. «Mon job, c'est d'abord d'impliquer mes coéquipiers. Je préfère la passe au tir», avoue le meilleur passeur de l'automne, toutes ligues européennes confondues !
Un altruisme qui détonne un peu dans le basket moderne et qui renvoie à des temps anciens, quand Laurent Sciarra, octuple meilleur passeur de Pro A, mettait la balle au-dessus de sa tête pour trouver le joueur à l'opposé que lui seul alors avait vu. Ce fut d'ailleurs un questionnement qui tarauda le staff palois avant de le faire signer cet été. Car Cooper n'était pas le premier choix. Et si Erving Walker n'avait pas décliné l'offre de l'Élan béarnais au dernier moment pour filer à Strasbourg, Cooper ne serait pas là. «Sa qualité de passe, on savait, sa capacité à prendre du rebond défensif aussi, mais c'est vrai que j'avais un peu une inconnue sur le fait qu'il puisse être scoreur», convient le coach palois, Éric Bartéchéky.
En un peu plus de deux mois, les doutes sont levés. Cooper est «le King» de la Pro A. Un passeur, intercepteur, rebondeur, scoreur, sorte de Rémy Bricka du basket ! «Il me fait penser à Vassilis Spanoulis. Tout le match, DJ va passer la balle, il va vous chercher sur le terrain, mais quand le drame se joue, il est là pour prendre les tirs», exprime le vétéran JK Edwards.
«Il est comme un pitbull. Il va vouloir marcher sur tout le monde» J.K. Edwards, son partenaire à Pau
Cooper est entré dans la saison comme un acharné. Un revanchard, un oublié. «Je suis sur la ligne, j'ai faim cette année», clame-t-il. Sa saison dernière, éclatée entre la Russie, la Grèce et Monaco, lui a laissé ce sentiment déplaisant d'être encore négligé dans le concert européen. «Je veux être sûr cette saison que les gens savent que j'appartiens au haut niveau», poursuit-il.
Sur le terrain, Cooper, tel un héros polymorphe, soudain se transforme. D'un coup, le masque poli du gars «timide qui lève sa petite main et distribue les bonjours dans le couloir», comme le dépeint joliment le directeur exécutif du club, Didier Gadou, tombe. Sur les planches, Cooper n'a plus qu'une idée fixe : la gagne. «Il est comme un pitbull, il déteste cette p... de défaite. Il va vouloir marcher sur tout le monde, il se fout qu'en face ce soit son meilleur ami», résume JK Edwards.
La genèse de l'histoire remonte très loin, quand le jeune kid de Chicago était l'un des plus petits sur le terrain et devait prouver qu'il y avait sa place. « Quand tu fais ma taille, c'est toujours une bataille », convient-il. Une attitude nourrie aussi par la déception de ne pas avoir été drafté en 2013, alors qu'il sortait en star de l'université d'Ohio. «Ce fut une déception. La NBA reste dans un coin de ma tête», glisse le meneur.
Ses failles et ses fragilités en ont fait un féroce compétiteur, un écorché. Sur le terrain, le discret de tous les jours grogne et invective. Adepte du trash-talking, il est à deux doigts de la bagarre avec l'Orléanais Abdel Kader Sylla. Lundi dernier à Chalon (défaite 76-96), il s'agace de la maladresse de son propre partenaire, Ron Lewis, incapable de bonifier ses passes. «À l'entraînement parfois, tu as envie de lui dire : calme-toi, ce n'est qu'un match d'entraînement», poursuit Alain Koffi.
Aux platines, DJ est dans son monde. En dehors, le meneur retrouve taille humaine. Il est au milieu des autres, «discret dans la prise de parole», relate le coach. Il est un père qui s'enquiert du bien-vivre de sa famille, de son petit garçon de trois ans, Donnell III, et de sa femme Lucky, enceinte d'un deuxième enfant. Sa devise : «Happy wife, happy life» (femme heureuse, vie heureuse).
Pourtant, il a mis le temps pour être bien à Pau. Le premier appartement ne lui allait pas. Pour le second, c'est la voisine du dessous qui a tiqué. Finalement, c'est dans une maison avec vue sur les Pyrénées que la famille Cooper s'est posée. «On a trouvé quelqu'un de craintif. On a eu sa confiance le jour où il a vu que l'on se bougeait pour lui», relate Didier Gadou.
Ce serait donc ballot de perdre le petit génie maintenant. Le Panathinaïkos, qui le fit venir quelques semaines en 2014-2015, le tire à nouveau par la manche. Le Maccabi Tel-Aviv lorgne aussi par ici. «C'est une situation délicate. Je suis bien à Pau et mon job est de performer ici», dit Cooper, un poil gêné. Gadou, lui, reste droit : «Il a un contrat chez nous et je n'ai reçu de demandes officielles de personne.» Profitons donc encore des jolis tours de main du magicien de la Pro A.
Modifié en dernier par nishi le 02 déc. 2016 18:15, modifié 1 fois.
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Je sais c'est pas bien, mais on est entre nous
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